Une Aide Précieuse

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« NON ! S'il te plaît, ne t'arrête pas, continue. Oh mon Dieu, ne t'arrête plus... » Dis-je, mais je pouvais déjà sentir sa bite se présenter à l'entrée de ma vulve. Ivre, mais pas folle, je savais ce que je ne devais pas faire. Jouer avec sa bite, se caresser mutuellement, bon c'était limite, mais la pénétration, dans mon lit conjugal, non ! Je savais que s'il dépassait ce point de non-retour, j'allais au devant de graves ennuis. Je devais arrêter ça avant qu'il ne soit trop tard.

« Omar, s'il te plaît, laisse-moi te sucer, je vais te donner du plaisir, vraiment ! » Je le suppliais, et mes mains essayaient vainement de le repousser. Je sentais déjà son gland démesuré écarter mes grandes lèvres, entrer graduellement en moi, ressentant à quel point il était épais, tandis qu'il m'ouvrait inexorablement. Mes yeux s'écarquillèrent devant la multitude de sensations.

Quelques centimètres, juste au bord, comme s'il hésite, puis ce gland monstrueux qui saute en moi d'un seul coup, qui m'envahit, qui m'ouvre en me coupant le souffle. Ensuite, il a pris son temps pour progresser à l'intérieur, à petits coups, tandis que mon cœur s'emballe, ma respiration s'accélère, ma chatte est en feu. Avec environ le tiers de sa bite, il me baise délicatement, se contentant d'aller jusqu'où les autres hommes vont, mon mari y compris.

Mais l'effet est totalement différent. Il est si gros, si épais, il étire tellement les parois de ma chatte, qu'il me fait ressentir des émotions inconnues avant. Avec sa queue phénoménale, maintenant que je suis en délire, il continue de s'enfoncer plus profondément, toujours aussi lentement. Clouée sur le lit, ses bras passés sous mes jambes pour les relever et les maintenir contre mon corps, ses mains sous mes reins, il pousse sa bite de plus en plus profondément dans ma chatte conquise.

« Oh mon dieu, vas-y doucement, chéri, s'il te plaît, ralentis, tu es si fort » J'ai crié pour qu'il ralentisse, mais mon émoi est devenu si fort, les sensations qui m'assaillent sont si intenses, à présent qu'il me baise tellement plus profond, j'ai crié pour qu'il accélère.

Sa bite entre et sort de ma vulve, m'empale et me cloue sur le lit conjugal. Elle me remplit au-delà du possible, et je pense qu'il est en train de m'estropier, que je ne serai plus jamais la même. Ses bras puissants enserrent mes jambes et ma taille tandis qu'il possède ma chatte avec détermination, mes hanches se soulèvent, s'offrent à son rythme lent et méthodique, mon corps cède et je crie :

« OUI ! Je jouis ! Oh mon Dieu ! OUI ! » Je jouis pendant qu'il me baise, mais quand je retrouve un peu de calme, il ne s'arrête pas, il continue sur le même rythme lent, immuable, tout en s'enfonçant de plus en plus profond. Je ne le savais pas, mais il n'était pas complètement entré, et son tamponnage systématique commence à me rendre folle.

Il a continué à me baiser pendant longtemps, sans changer de rythme, sans s'arrêter, m'emmenant vers d'autres orgasmes, et j'ai perdu l'esprit. Je lui ai crié des choses insensées, que je l'aimais, que je lui appartenais et surtout, j'ai fait des comparaisons désobligeantes pour mon mari.

Finalement, après une éternité, il s'est libéré en moi, me remplissant de son sperme. Sentir son sperme gicler profondément en moi, je n'avais jamais ressenti d'ardeur aussi intense. Il a sorti sa queue et s'est allongé sur le lit à côté de moi.

« Tu es une sacrée affaire, tu as la chatte si étroite, mais tu adores baiser. Ton mari ne doit pas avoir grand-chose dans le pantalon. Il est tard, et je dois y aller. Je reviendrai plus tard pour te baiser, et je resterai plus longtemps » Il a enfilé ses vêtements, s'est penché pour m'embrasser, puis il est parti.

Mon esprit était embrumé, j'étais toujours ivre, alors j'ai approuvé. J'ai replié mes jambes et je me suis recroquevillée sur le lit pour dormir. Je ne m'étais jamais sentie aussi complètement heureuse. Quand je me suis réveillée, c'était le matin, le soleil brillait, et un marteau-piqueur creusait dans ma tête. D'un seul coup, la mémoire m'est revenue, et j'ai été horrifiée par mon inconduite.

Allongée sur mon lit, me remémorant toutes les péripéties de la soirée, la honte et l'humiliation m'ont envahie. Comment avais-je pu laisser une telle chose arriver? Puis, je me suis souvenue des orgasmes puissants qui m'avaient bouleversée, et mon Dieu, je sais comment c'est arrivé.

J'ai posé mes pieds sur le sol pour qu'ils soient à l'endroit exact où j'ai été baisée la nuit dernière. Le lit était encore mouillé sous mes fesses, là où son sperme s'est écoulé de moi. Une flaque encore visqueuse sur le sol, quelle quantité de sperme avait-il? Je me suis levée et j'ai enfilé un peignoir, puis je suis descendue me préparer un café. Qu'est ce que je vais faire?

Je vais devoir parler à Omar, lui dire que c'était une erreur, il doit le comprendre, je n'étais pas moi-même, c'était l'ivresse. J'ai pris une douche, je me suis habillée, et j'ai fait le ménage. Je n'ai pas le numéro de téléphone d'Omar, je dois donc simplement attendre de le revoir.

Pendant les deux jours suivants, mes pensées ont oscillées entre la culpabilité et la honte. Les incroyables orgasmes que le vieil homme m'a procurés, et les paroles que j'avais dites sous le coup de l'émotion. Comment un si vieil homme peut-il avoir une bite aussi merveilleuse, et l'utiliser avec autant de talent.

Le jeudi soir, Thomas est revenu à la maison et j'étais heureuse de le voir, même si j'étais dans mes petits souliers. Je n'avouerai jamais, hors de question. Ce n'était pas intentionnel de ma part, c'était l'ivresse et la fourberie d'Omar, donc inutile d'avouer. J'ai agi normalement, pour ne pas inquiéter mon mari inutilement.

Nous nous sommes couchés. Thomas voulait du sexe, alors je me suis laissée faire, il m'a embrassée en pelotant mes mamelons si sensibles, pour m'exciter, mais mon esprit était obsédé par le souvenir d'Omar me baisant, et cela m'excitait beaucoup plus. Lorsqu'il est descendu me lécher la chatte qui était trempée, il a dû penser que tout fonctionnait, mais je suis tellement perfide. Pendant qu'il me léchait, je pensais à Omar, et mon corps jouissait sous ses coups de langue.

Thomas sait bien me faire jouir avec sa langue, même si c'est un record de rapidité. Avec sa bite, eh bien, Thomas prend son plaisir. Il n'a pas réussi à me faire jouir souvent avec sa bite. Parfois, au début de notre mariage, et encore, je n'en suis pas sûre. Pas comme Omar ! Mon Dieu, je ne dois pas penser cela. C'était l'ivresse, pas Omar !

Et merde, Omar m'a fait jouir un nombre incalculable de fois. Sa bite, c'est Dieu tout puissant, c'est du sexe génial. Ma rêverie revit ces orgasmes tandis que Thomas me chevauche, sa queue glisse facilement dans ma chatte excitée. Pendant que Thomas me baise, j'imagine Omar sur moi, et les différences sont énormes. Pas seulement la taille, mais surtout la façon de me prendre. Thomas me pistonne rapidement, contrairement à la maîtrise et à l'endurance d'Omar. Mes pensées se perdent dans la comparaison de mes amants, je perçois un orgasme qui s'approche, je vais jouir, et je sens Thomas éjaculer en moi, ralentir et s'arrêter, satisfait.

J'ai hurlé : « Non ! Ne t'arrête pas, je vais jouir, continue, non ! » Mais c'est trop tard, Thomas se retire, soulagé et repu, pensant que j'allais me contenter de sa langue. J'étais déçue, et je l'ai blâmé :

« Thomas, j'étais si proche, tu ne pouvais pas m'attendre un peu? » Puis je me suis tue, honteuse, oh mon Dieu, je n'aurais pas dû lui faire de reproches à haute voix.

« Excuse-moi, bébé, j'y étais presque, et j'espérais jouir encore. Toute cette semaine m'a parue si longue sans toi, et je me faisais une telle joie. Je t'aime tant ! » Je me suis excusée.

Il a dit : « Désolé bébé, je ne savais pas, je veux dire, d'habitude, tu ne jouis jamais deux fois, désolé ! » Nous en sommes restés là, et nous nous sommes vite endormis.

Vendredi matin, je me suis réveillée tôt. Thomas dormait encore, et je me sentais si minable de l'avoir trompé avec Omar, puis de l'avoir humilié la nuit dernière. Oui, je me sentais abjecte en le regardant dormir, et je voulais me faire pardonner. Je me suis déplacée en rampant pour embrasser sa poitrine nue, puis ma bouche est descendue lentement vers sa queue.

J'ai pris sa bite encore molle dans ma bouche, toute souple et poisseuse de la nuit, car je suis capable de tout pour me faire pardonner. Sa bite entièrement dans ma bouche, pour goûter nos saveurs d'hier soir, ma langue triture sa queue tandis que ma bouche aspire en tirant un peu sur sa queue, pendant qu'elle commence à s'ériger. Sa queue qui était toute petite grandit, mais encore une fois, mon imagination visualise la bite d'Omar si épaisse que je ne pouvais pas la prendre en bouche.

Sucer la bite de Thomas comme si ma vie en dépendait, sa bite maintenant rigide et pleinement érigée. Je suis capable de tout prendre dans ma bouche, mais je suis incapable d'oublier la grosse bite d'Omar. Ma main joue doucement avec ses testicules, je sors sa queue de ma bouche, pour la lécher, du gland jusqu'à ses couilles, je lèche partout, jusqu'à son anus, puis je remonte lentement, léchant chaque centimètre de peau, et je finis par le gland, taquinant le frein. Puis je remets la totalité de sa bite dans ma bouche, poussant contre le fond de ma gorge, le tenant là en essayant d'en prendre encore plus, en essayant de résister au haut-le-cœur.

Quand il commence à éjaculer, son sperme emplit ma bouche et j'ai du mal à avaler toute la glu chaude et poisseuse, mais je le garde dans ma bouche tant qu'il n'a pas fini. Il se libère en grognant comme une bête fauve. Quand il a fini, je retire lentement sa queue de ma bouche, et je la lèche pour tout nettoyer. Sa queue tressaute sous mes coups de langue, car je sais qu'il est sensible maintenant. Je lève les yeux et lui souris, il nage en plein bonheur. Je l'avais déjà fait auparavant, mais il y a longtemps. Ok, mon mari est un mâle heureux qui ne se doute de rien, mais comment vais-je affronter Omar ce week-end?

Nous sommes samedi matin avant que je m'en rende compte, et je ne sais toujours pas quoi dire à Omar. On frappe à la porte. Thomas est à l'étage, il se douche et je n'ai vraiment pas envie d'ouvrir. Mais je sais que je ferais mieux de faire face, le plus tôt possible c'est mieux. J'ai ouvert à Omar, il est entré, et je lui ai dit :

« Omar, l'autre soir, j'avais trop bu, on a déconné, mais je ne suis pas une salope, je suis désolée, mais s'il te plaît, il faut que ça s'arrête là, sois gentil, n'en parle pas à Thomas. J'espère que tu me comprends. Pardonne-moi »

Omar m'a souri, et il a dit : « Ne t'inquiète pas Bérengère, je comprends. Tu m'as rendu très heureux l'autre nuit. Je sais que je ne devrais pas te parler de ça, mais tu es franche avec moi, alors je serai franc avec toi. Tu m'as fait un bien fou, sexuellement parlant. J'ai de gros besoins, et je suis resté trop longtemps sans partenaire. Avec ma femme, quand nous étions jeunes, ce que j'ai fait avec toi l'autre soir, nous le faisions toutes les nuits, 4 à 5 fois par nuit. Bien sûr, avec l'âge, nous avions ralentit pour le faire plus que 2 à 3 fois par nuit. Mais ma femme était une personne très spéciale qui adorait le sexe autant que moi »

Je sais que mon visage doit révéler mon état de choc. Il pourrait faire l'amour 2 à 3 fois par nuit? Mais, comment? Quel homme peut avoir une telle endurance? Et il a dit que jeunes, ils faisaient l'amour 4 à 5 fois par nuit? Mon dieu, la pauvre femme ! Mon esprit est déstabilisé, il continue de me parler, mais je n'écoute plus. Je fais le calcul, en essayant d'imaginer à quel point ma chatte serait dévastée si j'étais autant baisée. Comment une femme pourrait-elle gérer autant d'orgasmes? Une telle chose, est-ce possible? J'ai repris mes esprits en l'entendant me dire :

« Je tiens à te remercier de m'aider à me trouver une partenaire, puis-je revenir un soir de cette semaine pour voir les résultats, et s'il y a eu des réponses? »

« Euh, oui, bien sûr Omar, mais pas de blague, hein, juste les résultats, ok? Mardi soir, ok? »

Omar a souri et m'a dit : « Eh bien, c'est d'accord, je ne tenterai rien, mais si tu veux m'avoir, chérie, je ne vais pas t'en empêcher ! »

Déjà, j'entends Thomas descendre les escaliers. Omar et moi, nous sommes toujours dans l'entrée, et le coude que fait le couloir ne permet pas de voir l'entrée depuis les escaliers. Omar a juste souri, il m'a fait un clin d'œil, et m'a pincé le téton. J'ai crié de surprise autant que de douleur, et Omar m'a tiré la langue. Je ne pouvais rien dire, et mes mamelons sont devenus instantanément durs. Ils pointaient sous la fine étoffe lorsque je me suis retournée vers Thomas.

Les yeux de Thomas se sont écarquillés en voyant mes tétons coquins pointer ainsi, et son sourire indique son plaisir de me voir dans d'aussi bonnes dispositions. Mes seins tendent le mince débardeur que j'ai enfilé ce matin sans soutien-gorge. Thomas adresse un clin d'œil à Omar, comme pour partager sa fierté d'avoir une si belle femme. Thomas passe son bras à ma taille, sans oublier de me caresser les fesses au passage. Omar a vu son geste, et il lui sourit en retour.

Les deux hommes sont face à face maintenant et discutent des tâches de la journée. A intervalle régulier, mon mari vérifie si mes nichons pointent toujours autant. Au besoin, Thomas m'attrape les fesses, afin que je reste excitée, et prête à servir. Le coquin a une idée derrière la tête, c'est sûr ! Après quelques minutes, je leur ai dit que j'avais beaucoup à faire, je me suis excusée, et je les ai laissé discuter.

Ce soir-là, après qu'Omar soit parti tôt pour le bingo, Thomas et moi discutions, assis sous le porche. Il m'a confié avoir parlé de moi avec Omar. Le bougre lui aurait dit qu'il a beaucoup de chance d'avoir une petite femme aussi sexy. Thomas souriait en disant cela, ça le rendait heureux qu'un mâle l'envie d'avoir une belle femme.

« Thomas, ce n'est pas sérieux, le vieux Omar a 71 ans ! »

« Eh bien, il a peut-être 71 ans, mais d'après ce que les villageois racontent, le vieux Omar est un sacré coureur de jupons. Selon la légende, il a culbuté pas mal de femmes dans la région, et elles n'étaient pas toutes sans copain ! »

Je suis restée stupéfaite par ces confidences, et cela s'est vu sur mon visage.

« Quoi? Il y a un problème? » M'a demandé Thomas.

« Eh bien, Omar m'a raconté qu'il n'avait plus de partenaire depuis la mort de sa femme, et il avait l'air si malheureux d'être un vieil homme solitaire »

Thomas a éclaté de rire : « Oui, il semblerait que ce soit sa méthode pour séduire. Il raconte aux femmes qu'il convoite à quel point il est malheureux car il n'a plus de relations sexuelles, certaines tombent dans le piège et elles ont pitié de lui, et d'autres couchent avec lui pour diverses raisons. Mais d'après ce qui se raconte, c'est juste sa méthode d'approche, pour faire tomber sa proie dans ses filets. Mais il semble qu'ensuite, après qu'Omar ait abusé d'une femme une première fois, il l'a possédée à plusieurs reprises. Certaines femmes ont prétendu être follement amoureuses parce que c'est un merveilleux amant, et bien qu'elles sachent qu'il se moque d'elles, elles lui courent après. Personne ne sait ce qu'il y a de spécial, mais elles en sont folles »

« Tout ce que je sais, c'est que c'est un travailleur acharné. Il ne coure pas, mais bon sang, il abat beaucoup d'ouvrage jusque tard dans la soirée » J'ai voulu le défendre, mais j'ai pensé que je pouvais éveiller la méfiance de mon mari. Donc, Omar est un vieux coquin, conquérant et pervers. Eh bien, je vais l'aider avec ses recherches en ligne, puisque je lui ai promis, mais c'est tout. Plus de sexe.

Ce soir-là, à peine dans le lit, mon mari voulait du sexe, et j'étais bien d'accord. Mon esprit était encore troublé par son histoire sur Omar, et sur ses ruses de vieux pervers pour séduire les femmes. Mon mari a commencé par jouer avec mes mamelons très sensibles, puis il m'a sucé les seins en palpant ma chatte avec ses doigts. J'ai eu un premier orgasme gentillet, puis sa bouche est venue prendre la place de ses doigts sur ma chatte.

Avec sa langue et ses lèvres, il s'est concentré sur mon clitoris jusqu'à me faire exulter. Satisfait de son travail, il s'est couché entre mes jambes écartées pour me baiser. Mais pour moi, dans mon fantasme, c'est Omar qui me baisait. J'ai enroulé mes jambes autour de ses reins pour augmenter le roulis de mes hanches, et pour mieux répondre à ses coups de bite. Je baisais mon mari en rêvant que c'était Omar qui me prenait et, dans mon délire, je geignais et je haletais comme une salope.

Malheureusement, en mettant autant d'enthousiasme dans ce coït, je me suis bien vite aperçue que mon mari était proche de jouir. J'ai essayé de le ralentir, de le bloquer contre moi pour qu'il dure un peu, mais c'était trop tard, il s'est libéré en moi en grognant. Une fois de plus, je restais là, frustrée, parce que j'étais si proche de finir en apothéose. Bon sang, Thomas, pourquoi jouis-tu si vite? Après, Thomas s'est endormi très vite, et je réfléchissais dans le noir. J'ai pensé que je devais arrêter de demander à Thomas des choses qu'il ne pouvait pas faire. Ce n'était pas juste.

Le lundi matin, Thomas préparait son sac, alors j'ai demandé ce qui se passait. Il m'a dit qu'il partait en déplacement. Il a dit qu'il avait oublié de me le dire, ou que je l'avais oublié. J'ai accepté cette explication, en sachant pertinemment à quel point j'ai été rêveuse toute la semaine. Il m'a dit qu'il espérait rentrer très tard le jeudi soir, sinon le vendredi matin. Il m'a embrassée et il est parti.

Le mardi soir, lorsqu'Omar est arrivé, je ne peux pas prétendre que je l'avais oublié, car j'ai pensé à lui toute la journée. Je savais que je devais me méfier de la boisson, pas de bière ce soir, alors après le dîner, nous sommes allés devant l'ordinateur. Après un long moment de recherche et d'envoi de messages aux femmes qui lui plaisaient, Omar m'a expliqué que toute cette histoire de chasse aux femmes l'excitait, et qu'il avait pensé à moi tout le week-end. Il espérait partager à nouveau un doux moment dans mes bras. Mes sens étaient en état d'alerte, et mes nerfs étaient exacerbés.

« Non, Omar, nous ne pouvons pas faire cela, vraiment. Je suis mariée, et même si je t'apprécie beaucoup, une femme mariée ne doit pas faire l'amour avec un autre homme. Tu comprends ça, Omar? Je t'aime beaucoup, mais plus de sexe entre nous, ok? »

Il n'a rien dit, il s'est juste levé, il a ouvert sa braguette, il souriait en se tenant près de moi, son ventre au niveau de mon visage. Il m'a juste dit :

« Vas-y, je sais que tu en meurs d'envie, et moi aussi je te désire »

J'étais tétanisée, troublée, excitée, honteuse, essayant de cacher mon émoi.

« Non Omar, c'est impossible, inutile d'insister, c'est vraiment impossible »

Il a juste accru son sourire, comme s'il se moquait de ma détermination. Lentement, il a débouté et enlevé sa chemise, puis il a dégrafé son pantalon et l'a laissé tomber à ses pieds. Enfin, il a fait glisser son boxer, libérant sa magnifique bite noire à quelques centimètres de mon visage.

« Je sais que tu le veux, et tu le sais aussi. Tu en meurs d'envie, la petite tache humide sur ton short est là pour le prouver »

La honte m'envahit, l'humiliation augmente mon désir et ma confusion. Je dois être rouge comme une pivoine : « S'il te plaît, les volets sont ouverts, les lumières allumées, ne reste pas planté là, les gens peuvent te voir, dépêche-toi de te rhabiller, s'il te plaît » Je pensais au qu'en-dira-t-on.

« Tu as raison, montons dans ta chambre, nous serons tranquilles pour nous aimer en privé » Il m'a attrapée par la main et m'a fait monter les escaliers. J'ai protesté tout le long du chemin. Dans ma chambre, Omar a ouvert le lit et s'est allongé, les mains derrière la tête. Sa queue en semi-érection était si belle. Je lui ai dit :