Un Pari

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- C'est ça Bob, baise-la bien !!! Elle jouit sur ta bite ! Baise cette salope à fond !

- Putain que c'est bon ! Sa chatte est tellement chaude et humide ! Crié-je en retour.

Je continue mon martèlement sans pitié, l'amenant vers un autre orgasme. Puis je m'arrête, la laissant haletante de frustration. Je la taquine en l'amenant au point culminant sans la laisser jouir. Mes doigts habiles tourbillonnent sur son clitoris alors que mon sexe entre et sort lentement de sa grotte. Mary convulse de plaisir sans atteindre l'orgasme.

- S'il te plaît, laisse-moi jouir, Bob !

- Je n'ai pas entendu !

- S'il te plaît...

- S'il te plaît quoi ?

- S'il te plaît, Bob ! J'ai besoin de jouir. j'ai besoin de jouir sur ta jeune bite ! J'ai besoin de jouir pour toi !

Je souris et je recommence à la baiser avec toute mon énergie. Je me penche sur elle en entortillant mes doigts dans ses cheveux. Je tire sa tête sur le côté et je chuchote dans son oreille :

- Jouis pour moi, petite salope sexy ! Et je veux t'entendre crier mon nom !

A cet instant, elle tremble et gémit avec force. Ses jambes se resserrent sur moi, ses doigts griffent mon dos alors que je continue à pilonner sa chatte. Mon nom sort de ses lèvres délicates et entrouvertes dans un chant orgasmique. Je m'enfonce une fois de plus avant de sentir que ma jouissance n'est pas loin. Alors je sors rapidement de sa chatte pour gicler sur ses seins doux.

Quelques instants plus tard, alors qu'elle se remet lentement de son orgasme, Mary me supplie :

- S'il te plaît Bob, ne dis rien à Jake ou à mon mari !

- Je garderai ma bouche fermée si je peux avoir une petite gâterie de temps en temps. Murmurai-je en me penchant en avant pour l'embrasser fort sur les lèvres.

C'est une chose dont j'ai fantasmé pendant des années. Ma langue s'emmêle avec la sienne pendant un moment.

Mary ne dit plus rien et je récupère mes vêtements pour m'habiller.

- Je suppose que tu restes pour regarder le dernier ! Demande Jim.

En riant, je réponds :

- Ouais. J'ai le temps.

Mary regarde Jim et lui sourit :

- Quatre garçons et il en reste un seul.

Jim n'est pas un gars particulièrement impressionnant, mais quand il s'est déshabillé j'ai eu un choc en découvrant qu'il avait une très grosse bite, pas aussi grosse que celle de John, mais pas beaucoup plus courte.

Il ordonne à Mary de se mettre à genoux devant lui. Il est beaucoup plus autoritaire que nous tous. Il ressemble à John dans la façon dont il traite Mary. Il saisit ses cheveux dans une poignée, tire sur sa tête et engouffre sa bite dans la bouche ouverte. Puis il la baise sans douceur. Elle s'étouffe sur sa grosse queue. Il ne faut pas longtemps avant que son foutre ne jaillisse dans sa bouche. Elle avale aussi vite et autant qu'elle le peut. Au bout d'un moment, Jim retire son sexe. Mary se lève.

Alors qu'elle se teint devant lui, il lui demande de se tourner et de se pencher. Mary obéit avant de reculer vers lui. Sa bite se presse contre elle. Elle commence à pousser et la queue entre avec facilité dans sa chatte centimètre après centimètre. Bientôt tout est en elle. Alors Jim la saisit et s'assoit sur le canapé avec elle empalée sur lui. Ses jambes sont largement écartées et je peux voir la bite enfoncée dans sa chatte. Jim commence à la faire rebondir sur lui. Ses seins remuent de haut en bas. Jim passe ses mains par-devant et attrape ses mamelons.

Il joue grossièrement avec ses seins en tirant et tordant ses tétons. Parfois, il gifle même ses nichons. Je regarde le beau visage de Mary alors qu'elle se tord de plaisir, sa chatte étirée et martelée, le souffle court avant d'avoir un autre orgasme intense prouvant qu'elle aime vraiment être traitée comme un jouet de baise.

Puis Jim la soulève de sa bite et la met à genoux devant lui. Il redresse sa bite, jette sa tête en arrière dans un plaisir intense et gicle son foutre sur le visage sexy de Mary. Celle-ci tire la langue pour attraper le sperme.

Bientôt elle sourit :

- Quatre jeunes garçons et j'ai fini.

Jim se lève pour s'habiller et au même moment je remarque John entre dans l'appartement. Il sourit et dit :

- Je crois que j'ai bien prévu le temps.

Jim sourit et laisse tomber de l'argent sur le canapé. Je fais de même et je dis :

- Voilà ton argent. A lundi !

Puis Jim et moi partons.

*****

Le lundi, Mary est en robe. Quand elle me voit, elle me sourit et va dans son bureau. Je me dirige alors vers les autres gars.

Je regarde John et je dis :

- Je ne croyais pas perdre mon pari, mais je suis content de l'avoir fait.

- Ne doutez jamais de moi en ce qui concerne les femmes. Mon père non plus ne pouvait pas croire que j'avais baisé Mary jusqu'à ce qu'il voie des photos.

A ce moment, Mary s'est approchée de nous et s'est penchée pour nous montrer ses seins sans soutien-gorge.

- J'espère que vous avez passé un bon week-end ! Dit-elle.

- Oh putain OUI ! Répond Mike.

- Ne criez pas trop, nous n'avons pas besoin que tout le monde sache ce qui se passe ici.

Nous avons tous souri, même Big Bad John. Mary nous sourit en retour et s'éloigne. Pendant les deux semaines suivantes, chaque jour, Mary venait et se penchait pour nous donner une vue magnifique sur sa poitrine. Si personne ne regardait, elle les faisait remuer.

Elle et John ont continué de déjeuner ensemble. Lorsque nous avons changé de département, John a cessé de déjeuner avec elle et elle a recommencé à porter des pantalons. John était maintenant occupé avec une autre conquête.

J'ai continué à aller chez Jake. Je ne lui ai jamais parlé de ce qui se passait entre sa mère et moi. Mary me récompensait de mon silence avec une fellation ou une bonne séance de baise suivant le temps que nous avions ensemble. A l'automne, alors que nous étions à l'université, j'ai toujours été bien accueilli chez mon ami. Et mes moments préférés furent toujours ceux où sa mère et moi pouvions trouver un moment ensemble.

FIN.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
Geoffrey163Geoffrey163il y a 28 jours

Une belle histoire, mais à nouveau une histoire que l'on peut retirer de la section non consentement

dicordobadicordobail y a environ 2 mois

Merci, j'ai adoré ton histoire. Pourtant, je n'aime pas trop les paris en général...

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Oui c’est une histoire bien bandante et bien perverse comme j’adore ! Vivement la prochaine !

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

Très bon récit

AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

Une histoire comme je les aime ! Merci Trouchard

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Changements de vie pour Jessica 01 Le jeune nettoyeur de piscine.
Gang Bang Après La Coupe Du Monde de bourgeoise respectable en pute à vieux.
Esclave du Harceleur de Mon Fils 01 Le chantage se met en place.
En Bas de La Rue Ch. 01 Deux mères font face à des adolescents.
L'enseignante, Ma Chienne Ch. 01 Viol de sa professeure.
Plus d'histoires