Un Pari

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Un pari avec un coureur.
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Traduction d'un texte de Thecsm.

*****

Je m'appelle Bob. J'ai eu dix-huit ans il y a quelques mois et je vais obtenir mon diplôme de fin d'études secondaires das un mois. Je commence l'université à l'automne. Mes parents me poussent à prendre un job d'été pour avoir un peu d'argent à la rentrée. C'est pourquoi que lorsque la grosse usine locale est venue à l'école pour rechercher cinq personnes de plus de dix-huit ans pour travailler cet été, j'ai proposé ma candidature.

Mais nous étions vingt-cinq à avoir déposé une candidature. Alors ils nous ont tous réuni dans une pièce pour nous expliquer le travail. Nous devions travailler dans les différents départements de l'usine pendant deux semaines, puis à l'issue, nous travaillerons dans le département où nous étions le plus efficace. Comme nous étions nombreux à être intéressés, ils nous ont dit qu'ils allaient prendre plusieurs jours pour examiner nos candidatures et nous faire savoir lesquels d'entre nous ils prendraient.

La mère de mon meilleur ami, Jake, travaille comme gérante de la gestion des stocks dans cette entreprise, alors je me suis dit que je pourrais lui demander d'essayer de me pistonner pour faire passer ma candidature. Donc un soir, je suis allé voir Jake. Quand sa mère, Mary, est rentrée à la maison, son fils lui a dit que je voulais lui parler. Elle m'a rejoint dans le salon où je l'attendais.

- Bonjour Bob ! Ça fait un moment que je ne t'ai pas vu. Généralement tu n'es plus là quand je rentre du travail. De quoi veux-tu me parler ?

- Il s'agit des postes proposées par votre entreprise pour cet été... J'aimerais bien en obtenir un... J'espérais que vous pourriez m'aider ?

- D'accord, mais tu sais que nous avons eu 25 candidatures. Je vais parler à certaines personnes, mais je ne peux pas te garantir que tu obtiendras un poste. Je suis gestionnaire dans le département A, qui est très important pour l'entreprise, alors je vais voir si je peux t'aider.

Je l'ai remerciée et je suis restée un moment avec Jake pour jouer sur sa PS3. Alors que j'allais rentrer chez moi, le père de mon copain qui revenait du travail me dit :

- Salut Bob ! J'ai entendu dire que tu essayais de postuler pour un poste dans l'entreprise de Mary. Bonne chance !

- Merci monsieur ! Dis-je en rangeant mes affaires pour repartir chez moi.

Environ deux semaines plus tard, j'ai reçu un appel téléphonique m'informant que j'avais obtenu un poste et que je devais me présenter au service des ressources humaines à 7h00 le lundi suivant la fin des cours. Ce soir-là, j'ai appelé Mary et je l'ai remercié de m'avoir aidé.

Le jour dit, je me suis présenté à l'usine à 6h45. J'ai été accompagné dans une pièce avec des grandes tables rondes. Il y avait déjà quatre autres gars assis autour d'une table.

Je les connaissais tous. Il y avait Dave Hill, Mike Valley, Jim Hay et Big Bad John Smith. Dave, Mike et Jim étaient comme moi, des adolescents en pleine forme qui mesuraient entre 1m75 et 1m85, mais Big Bad John faisait 1m96. Il était très sportif, pratiquant le football et le basket-ball. C'était le genre de gars qui avaient toujours beaucoup de filles autour de lui. Selon certaines rumeurs, il aurait même couché avec certaines femmes mariées de notre ville.

Son surnom venait d'une des filles avec qui il était sorti en première année. Elle avait raconté à tout le monde qu'il avait une grosse bite, mais qu'il l'avait mal traitée. Et toutes les filles qui sont sorties ensuite avec lui ont raconté la même chose. Pour ma part, j'ai toujours pensé qu'il était un trou du cul dominateur.

On nous a donné à chacun un tas de paperasse à remplir. Tout en complétant ces documents, nous nous sommes assis et nous avons discuté, afin de nous mettre à l'aise à l'idée que nous allions passer l'été à travailler ensemble. C'est à ce moment que j'ai découvert que nous avions tous été sélectionnés parce nous connaissions quelqu'un qui travaillait dans cette entreprise.

Big Bad John a commencé à se vanter que son père était l'un des employés supérieurs de l'usine. Puis il s'est vanté de ses conquêtes sexuelles, attribuant son attraction au fait qu'il avait une grosse bite et que c'était ce que les femmes voulaient. Il a continué à décrire son engin et il s'est vanté qu'il pouvait baiser n'importe quelle femme sur laquelle il jetait son dévolu. Il se demandait combien de femmes à l'usine il ajouterait à son écurie cet été.

Son discours vantard m'ennuyait alors je me suis redressé et j'ai dit :

- John, je ne crois pas que tu puisses avoir n'importe quelle femme. Tu te vantes c'est tout.

Il m'a regardé et s'est mis à rire :

- Dis-moi quelle femme dans cette usine je ne pourrais pas avoir, et je te prouverai le contraire !

Je suis resté assis à le regarder.

- Tu n'arrives pas à trouver quelqu'un, n'est-ce pas ? Demanda Big Bad John en souriant.

C'est alors que je lui ai répondu :

- Si je connais quelqu'un. Son nom est Marie Jay, elle est directrice dans le département A et je sais pertinemment qu'elle est mariée et amoureuse, et que son couple va très bien.

- Alors tu veux parier ?

- D'accord ! 200 dollars ?

Big Bad John a regardé les autres gars et leur a demandé :

- Vous voulez parer aussi les gars ?

Ils ont tous dit « Oui « . Mais Mike a ajouté :

- Tu devras nous le prouver avec des photos ou autre chose. Mais comme tu te vantes qu'ensuite les femmes continuent de venir vers toi pour en avoir plus et qu'elles sont prêtes à faire tout ce que tu veux, après que tu nous auras donné la preuve, je veux qu'elle nous baise tous. Comme ça nous serons sûr que tu n'as pas trafiqué les photos.

John a commencé à rire, puis il nous a regardé l'un après l'autre :

- Je vais faire mieux que des photos, je vous montrerai une vidéo de moi la baisant. Et comme je vous ai dit, ensuite elles font tout ce que je veux pour continuer à avoir ma queue. Elle vous baisera les gars, je vous le garantis. J'accepte donc votre pari. Vous me paierez chacun deux cents dollars après avoir baisé avec elle.

Puis il m'a regardé et m'a dit :

- Tu ne la préviens pas, d'accord ?

- Oui d'accord ! Ai-je répondu.

- Maintenant, dis-moi ce que tu sais d'elle.

Tous les gars sont en train de me regarder maintenant.

- Je vais souvent chez elle. Jake, son fils, est mon meilleur ami. C'est une femme magnifique et très éduquée avec de gros diplômes. Je dirais qu'elle doit avoir vingt ans de plus que moi, donc entre 38 et 39 ans. Elle fait 1 mètre 65, 60 kilos, 95D de poitrine, la plus incroyable que j'ai vu. Je n'ai jamais vu ses seins, mais je l'ai vu en maillot de bain. Elle approche de son vingtième anniversaire de mariage. Elle a trois enfants, Jake 18 ans, et deux filles de 16 et 13 ans. Pour autant que je sache elle est folle amoureuse de son mari et elle ne l'a jamais trompé. Elle fait de la gym six fois par semaine, ce qui fait que son corps est parfait. En été, elle adore s'exposer au soleil et j'aime regarder ses jambes bronzées et sexy qui mènent à un super cul. Elle a une personnalité très gentille qui lui apporte toujours des sourires de ceux qui l'entourent. Je sais qu'elle a l'habitude que les hommes la remarquent, mais elle ne se laisse pas draguer. C'est une personne sympathique qui te donnera jusqu'à son dernier sous sans te demander de la rembourser. Elle a la réputation d'être une femme honnête. Tu as d'autres questions ?

- Waouh ! Tu sembles bien la connaître. Je suppose que tu as passé beaucoup de temps chez elle. Je n'ai plus de questions, mais je peux t'assurer d'une chose, elle ne m'ignorera pas ! Dit Big Bad John en riant.

A ce moment, une jolie femme est entrée dans la pièce et a ramassé les papiers que nous avons remplis. Elle nous a expliqué ensuite ce que nous allions faire pendant notre séjour dans l'entreprise. Elle nous a donné notre emploi du temps ainsi que les services dans lesquels nous travaillerions en premier. Puis elle nous a fait visiter l'usine. Big Bad John était très désagréable avec elle. Je l'ai regardé et je lui ai dit :

- Hé, arrête d'être aussi impoli !

Il m'a souri et m'a répondu :

- Il faut qu'ils apprennent à me supporter. Mon père leur a dit de me laisser faire et ils savent qu'ils pourraient perdre leur emploi. Donc sois gentil, et fous-moi la paix !

Lorsque nous sommes arrivés au département A, nous avons attendu que Mary vienne pour que je puisse la montrer aux autres. Quand elle est sortie de son bureau, tous les gars l'ont regardée longuement. Elle s'est approchée de nous et nous a dit :

- Bonjour, je suis Mme Jay et je suis responsable de ce département. J'espère que nous ferons mieux connaissance.

Big Bad John a alors ricané :

- Je suis sûr que nous allons bien nous connaître !

Mary a regardé John et lui a souri :

- Oh, vous devez être le fils de M. Smith. Ravie de vous rencontrer.

Elle n'a pas attendu qu'il réponde et elle s'est simplement éloignée.

- On ne m'a jamais traité aussi grossièrement. Je pense que papa aura une petite conversation avec elle plus tard dans la journée ! Dit John avec une grimace sur le visage.

Après la visite, nous avons déjeuné dans la cafeteria de l'entreprise. John n'est pas resté avec nous. Je me suis dit qu'il allait déjeuner avec son père. Mike m'a regardé et m'a demandé :

- Alors Bob, qui va gagner ce pari ?

- Je pense que nous allons gagner. John est un trou du cul et Mary une femme fidèle. Elle ne trompera jamais son mari. Je ne pense pas qu'il pourra la toucher.

- Attendez, vous deux ! Je l'ai déjà vu avec des femmes plus âgées alors à mon avis je ne compterai pas l'argent du pari avant la fin de l'été. A dit Dave.

- Nous aurions dû lui donner une limite de temps dans ce pari. Elle est magnifique comme femme et il va vouloir gagner. A ajouté Jim.

- Je vous le dis les gars, je ne pense pas qu'il ait une seule chance avec elle.

A ce moment, John nous a rejoints :

- J'espère que ça ne vous dérange pas, mais j'ai parlé à mon père du pari. Il a juste ri. Il ne pense pas que j'y arriverai non plus et il a parié lui aussi. Il m'a dit qu'il ne coucherait pas avec elle, car c'était son employé, mais il aimerait bien voir la vidéo. J'ai ajouté qu'elle était impolie. Je ne pense pas qu'il m'ait cru, mais il va lui parler cet après-midi.

- Si ton père pense que tu ne vas pas y arriver, alors assure-toi d'avoir notre argent à la fin de l'été. A dit Mike.

John a rigolé :

- Vous allez tous me payer, et avant la fin de l'été.

Après le déjeuner nous sommes allés à une formation sur la sécurité. Peu après, alors que nous allions partir, je vois Mary entrer dans la salle de cours et aller voir le formateur. Je l'ai entendu dire qu'elle voulait parler à John Smith.

Le formateur lui a montré où nous étions assis. Mary s'est approchée et a dit :

- Désolé si je vous ai paru impolie quand je vous ai vu ce matin.

- Nous n'avons jamais pensé que vous étiez impolie, madame. A répondu Mike.

- Peut-être qu'elle ne l'a pas été avec vous, mais elle l'a été avec moi ! A crié John

Il a regardé Mary de haut en bas comme un lion regarde un morceau de viande. Celle-ci a dit alors :

- Je crois que c'est vous qui êtes impoli en me regardant de cette façon.

John a souri :

- Alors je pense qu'il faut que j'en parle encoer avec mon père.

- Venez avec moi et parlons-en ! Nous n'avons pas besoin que tout le monde écoute. A rétorqué Mary.

- Bien sûr ! Allons là-bas !

Ils se sont éloignés de quelques mètres, mais de l'endroit où nous étions, nous pouvions encore entendre leur discussion.

- Je veux m'excuser pour mon attitude de ce matin et je ferai tout mon possible pour m'entendre avec vous. Mais j'aimerais juste que vous sachiez que je n'aime pas être regardé de cette façon.

- D'accord vous êtes désolée, et vous feriez mieux d'être gentille avec moi où j'en parlerai de nouveau à mon père. Je ne faisais que vous regarder, et je vous regarderai de temps en temps aussi longtemps que je travaillerai ici. Maintenant, vous pouvez aller dire à mon père que vous n'aimez pas la façon dont je vous regarde, mais jusqu'à ce qu'il me dise quelque chose, je vous regarderai comme je voudrais.

- Je voulais juste m'assurer que j'étais désolée d'avoir été impolie avec vous. Sinon j'espère que vous apprécierez de travailler ici.

Sur ces paroles, elle est repartie. John est revenu vers nous et il a dit :

- Ça va être amusant ! Je suis désolé que vous perdiez votre pari, mais au moins vous allez la baiser !

La semaine suivante, nous avons commencé à travailler dans le département B et avant la fin de la semaine, Big Bad John avait déjà rendez-vous avec une des femmes qui y travaillait. Bien sûr, il s'en est vanté. Mais nous n'y avons pas fait attention, car il ne nous a jamais montré de photos, ni parlé de cette aventure dans le détail.

Ensuite, nous avons découvert que nous allions déménager au département A une semaine plus tôt et que nous y resterions trois semaines. Nous nous doutions que le père de John voulait donner une semaine supplémentaire à son fils pour draguer Mary.

******

Ce week-end, je vais voir Jake. Je veux surtout savoir si Mary va dire quelque chose sur John. Mon copain est content de me voir, car il s'ennuie.

- Jouons à la PS 3 !

- D'accord, mais je ne peux pas rester longtemps. Je dois aider mon père à la maison. Lui dis-je.

Environ une heure plus tard, Mary rentre chez elle. Elle me voit et me dit alors :

- Bonjour Bob ! Puis-je te parler un instant !

- Bien sûr ! A toi de finir, Jake !

Mary et moi sommes allés de l'autre côté de la pièce. Elle me demande :

- Que penses-tu de John Smith ?

- Je pense que c'est un trou du cul qui utilise son paternel pour toujours s'en sortir.

- Je suis d'accord. L'autre jour, je me suis fait remonter les bretelles par M. Smith pour avoir été impoli avec son fils. Je suppose que je dois faire attention à ce que je dis quand il est là pendant les trois semaines où vous êtes dans mon département.

- C'est un gars qui adore se vanter !

- J'ai entendu des histoires à son sujet de la part de certaines femmes du département B. Elles semblent toutes l'apprécier et elles ne disent que du bien de lui. Je crois même que certaines ont passé du temps avec lui après le travail. Peut-être que lui et moi sommes partis sur un mauvais pied. Enfin, je verrai bien la semaine prochaine. Ah oui, les femmes m'ont également dit comment il avait obtenu son prénom.

- J'ai entendu certaines histoires, mais si vous voulez le savoir, je ne sais pas si elles sont vraies ou non.

- Non je ne veux pas savoir. Ce sont sûrement des ragots !

- Bon, excusez-moi, je dois aller aider mon père dans le jardin. On se verra au travail la semaine prochaine.

Sur ces derniers mots et un « Salut ! » à Jake, je rentre chez moi.

*****

Le lundi, j'ai hâte de me rendre au travail. Je suis sûr que ce sera bien de travailler dans le département de Mary.

Nous nous présentons tous au bureau des ressources humaines pour être transférés au département A. Bientôt on nous montre ce que nous devons faire dans la journée. J'aperçois Mary dans son bureau, devant son ordinateur. Elle porte un pantalon de costume normal, mais pour moi elle est toujours aussi sexy.

C'est alors que M. Smith arrive dans le département et se dirige vers le bureau de la mère de mon copain. Il voit son fils et lui fait un sourire vicieux. Quand il entre dans le bureau de Mary il porte sur son visage un air méchant. Il lui parle et elle n'arrête pas de secouer la tête pour approuver. Puis il repart. Peu après Mary sort de son bureau. Au lieu de venir directement vers nous, elle flâne en parlant à tout le monde. John se penche vers moi et murmure :

- Ne dis rien et écoute quand elle arrivera vers nous.

Finalement, après avoir fait son tour, Mary arrive vers John et moi :

- J'espère que tout le monde a passé un bon week-end. Tout va bien ce matin ?

- J'ai passé un excellent week-end. Et j'ai beaucoup pensé que j'allais travailler avec vous. J'espère que nous entendrons bien. Répond John.

- Oui moi aussi, j'espère que nous entendrons bien. Nous sommes partis sur de mauvaise bases il y a deux semaines.

- Vous avez raison. Que diriez-vous de déjeuner avec moi afin que je vous montre que je ne suis pas méchant ?

- Merci pour cette invitation, mais je ne peux pas déjeuner avec des personnes qui travaillent pour moi, ça ne se fait pas.

- Allez, vous ne voulez pas que je dise à mon père que vous avez été impolie avec moi dès le premier jour dans votre département.

- Bon d'accord, nous allons faire un déjeuner de travail et votre père n'aura pas à s'en soucier.

- Très bien, je connais un super endroit où nous pourrons manger et faire plus ample connaissance. Et je pourrais dire à mon père que nous avons réglé nos problèmes personnels. A tout à l'heure.

Mary se contente de me sourire en retournant à son bureau. John rit :

- Le déjeuner risque d'être long. ? Ne t'inquiète pas Bob, si quelque chose arrive, ce sera filmé. Je vais l'emmener à mon appartement pour le déjeuner. Papa me l'a acheté pour que je puisse être vraiment seul.

- Tu es vraiment chanceux. Mais j'espère qu'il ne se passera rien, car je veux gagner mon pari. Dans le cas contraire, j'aurais aussi gagné quelque chose de bien.

A l'heure du déjeuner, je regarde Mary et John partir ensemble. Pour ma part je vais à la cafétéria pour manger avec Dave, Jim et Mike.

- Où est John aujourd'hui ? Demande Mike.

- Il a demandé à Mme Jay de déjeuner avec lui ! Dis-je.

- On va bientôt savoir s'il raconte des conneries ! Dit Jim

Dave sourit et ajoute :

- Pour être honnête, j'espère qu'il ne raconte pas des histoires. Je crois que j'aimerai bien baiser Mme Jay. Et je suis sûr que vous aussi.

Après le déjeuner, je retourne au travail, mais Mary et John ne sont revenus que quelques heures plus tard. John m'a rejoint en souriant. Mais il ne m'a pas dit un mot sur ce qui c'était passé.

Le lendemain, Mary arrive au travail avec un chemisier blanc avec les deux boutons du haut défaits. Elle porte également une jupe noire, des bas et des talons de huit centimètres. Elle se dirige directement vers John et dit :

- Merci pour le déjeuner d'hier, monsieur !

- Pas de problème, nous pouvons encore déjeuner ensemble aujourd'hui.

- Ce serait bien monsieur, mais je dois rattraper mon retard de hier sur mon travail.

C'est alors que sur un ton sévère, John dit :

- Écoutez, vous auriez dû rester plus tard hier pour rattraper votre travail. Je crois qu'il faut que vous appeliez votre mari pour lui dire que vous allez travailler tard le reste de la semaine à cause de la surcharge de travail. Je ne voudrais pas que mon père découvre que vous prenez du retard sur votre boulot. Et vous allez travailler samedi, d'accord ?

Mary hoche la tête :

- Oui monsieur, je vais travailler ce week-end, je vais avertir mon mari.

Elle se dirige vers son bureau. Je reste là, la bouche grande ouverte avant de dire :

- J'ai l'impression que les choses ont changé entre vous deux ?

- Tu as raison. Vendredi soir, viens avec les gars chez moi, j'ai une vidéo à vous montrer ! Ricane John.

- Hein ? Déjà ?

- Oui, j'espère qu'après ce week-end elle sera totalement sous mon contrôle. Elle vous baisera et je gagnerai mon pari.

- Comment as-tu fait ?

- Vendredi, je vous montrerai une vidéo, mais vous ne connaîtrez qu'une partie de l'histoire. Je ne peux pas tout vous dire.

A l'heure du déjeuner Mary et John partent ensemble. Environ une heure plus tard ils reviennent. Mary semble penser à quelque chose. Je demande à John :

- Que se passe-t-il ?

- je voulais qu'elle te montre son décolleté. Elle ne voulait pas le faire, surtout avec toi Bob. Alors je l'ai giflée sur chaque joue et je lui ai dit que si elle voulait encore plus de moi, qu'elle devrait faire ce qu'on lui dit, même avec toi. Elle commence à comprendre que je commande et que je n'accepte pas les refus. Tu verras vendredi.

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