Un Pari

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Je ne comprends pas encore tout. Pourquoi commence-t-elle à faire tout ce que tu veux ?

- Tu comprendras après avoir vu la vidéo !

Ce soir-là, je suis allé voir mon copain Jake. Nous étions dans la salle de jeu en train de regarder un match quand j'ai entendu Mary se disputer avec son mari. Mais je ne pouvais pas tout entendre jusqu'à ce que Mary crie :

- Écoute, je sais que je peux arrêter de travailler, mais nous avons besoin d'argent pour envoyer Jake à l'université. Donc si M. Smith veut que je sois gentille avec son fils qui me donne du travail en plus et que je dois rester plus tard, alors je le ferai. Il n'est dans mon département que pour trois semaines. Tout redeviendra normal ensuite.

C'est tout ce que j'entends de la dispute avant de partir. Le lendemain, mercredi, alors que nous sommes tous les cinq au travail, je dis à John ce que j'ai entendu. Un grand sourire s'affiche alors sur son visage.

Plus tard je vois Mary arriver avec une autre jupe et un chemisier avec quelques boutons défaits. Elle a l'air en forme. Elle se dirige vers nous cinq. Le dos au reste des bureaux, elle se penche et nous donne un bel aperçu de son décolleté.

- J'espère que vous aimez travailler ici et que vous apprenez beaucoup. Dit-elle.

John la regarde et commence à parler à voix basse de façon autoritaire :

- Bien salope, nous somme contents de voir ton soutien-gorge, mais nous voulons voir tes nichons. Alors redresse-toi et retire ton soutif pour que nous puissions les voir.

Mary le regarde. Elle est sur le point de dire quelque chose, mais elle regarde autour de nous pour voir si quelqu'un nous observe. Après s'être assurée que tout le monde est occupé, elle passe sa main dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Puis elle l'enlève.

« Waow » est tout ce que je peux dire. John continue :

- Salope, fais-les rebondir maintenant ! Personne ne regarde à part nous.

- Oui monsieur !

Mary fait ce qu'il lui a demandé. Elle secoue sa poitrine et ses seins rebondissent un peu.

- Écoute salope, tu m'agaces ! Je veux que mes amis voient ta poitrine rebondir. Maintenant !

- Oui monsieur, je le fais ! Dit doucement Mary.

John semble énervé. Il dit d'une voix un peu plus forte et vraiment dominante !

- Fais rebondir tes nichons et ne t'arrête pas jusqu'à ce que je te le dise. !

Mary regarde tout autour pour s'assurer que personne ne regarde et elle commence à faire rebondir sa poitrine. Elle saute même une fois en l'air pour bien faire bouger ses seins. Je regarde son visage et je vois qu'elle sourit. J'ai l'impression qu'elle aime être humiliée par John. Celui-ci glousse et dit :

- Ok salope, maintenant arrange-toi et va au travail. Sois prête à 11h00 pour le déjeuner.

Mary ne dit rien et obéit à Big Bad John.

- On dirait que tu l'as sous ton contrôle ! Dit Mike.

- Tu as raison. Ça a été beaucoup plus vite que je le pensais. Je crois qu'elle aime qu'on lui dise quoi faire. Vendredi, 19h00, chez moi, vous verrez de bonnes vidéos.

John et Mary sont partis déjeuner, mais ne sont pas revenus avant que nous finissions notre journée. Jeudi et vendredi, Mary a fait le tour des bureaux en souriant. Si personne ne regarde, elle fait de nouveau rebondir sa poitrine. Sinon elle revient un peu plus tard. Je suis pressé d'aller chez John pour voir ce qu'il a filmé.

*****

Le vendredi soir, j'arrive à l'appartement de John. Je sonne et c'est Mike qui vient m'ouvrir.

- Je vois que quelqu'un est impatient de voir les vidéos. Prends une bière, nous t'attendions. Tu es le dernier. Nous allons pouvoir commencer.

Je saisis une bière et comme je vois de la pizza, j'en prends une tranche. Puis je m'assois dans le seul siège qui n'est pas pris.

- Avant de commencer, je veux que vous sachiez que j'ai beaucoup enlevé d'images sur les vidéos. J'ai copié ce qui reste sur des clés USB afin que chacun de vous puisse regarder chez lui. Mais attention, vous ne pouvez la montrer à personne, car je suis dessus et je ne vous en donne pas la permission. En plus, je pense que nous ne voulons pas ruiner l réputation de Mme Jay. Vous êtes d'accord les gars ?

Nous rions tous et nous acceptons sa demande.

John a une télévision avec un grand écran et quand la vidéo commence, nous avons l'impression d'être dans la pièce avec eux.

John est le premier à parler :

- Asseyez-vous ! Nous sommes ici pour créer des liens alors j'espère que vous serez à 100 % honnête avec moi. Je voudrais pouvoir dire à mon père que notre déjeuner s'est bien passé.

- Oui je serai honnête. Tant que vous serez honnête vous aussi.

- Bien alors. Première question : Quel âge avez-vous ?

- J'ai 28 ans, 39 ans dans deux mois. Et vous ?

- J'ai 18 ans et j'aurai 19 ans dans cinq mois. Je sais que vous avez déjeuné avec Sue du département B et que vous lui avez posé des questions sur moi.

- Oui c'est vrai. Nous sommes de vieilles amies et je voulais qu'elle me donne son avis sur vous. Elle m'a dit qu'elle pensait que vous étiez un gars bien sous votre arrogance. Je crois qu'elle a déjeuné et dîné avec vous.

- Elle vous a dit comment j'avais obtenu mon surnom ?

- Oh oui, elle l'a fait, mais je ne la crois pas.

- Pourtant je vous ai vu regardé mon entrejambe pendant toute la journée. Je pense que vous voudriez savoir si c'est vrai. Eh bien je pense que je pourrais vous laisser voir pour que vous ne vous posiez plus de questions.

- Non, je suis une femme mariée et ce n'est pas correct. De plus, je suis votre patronne pour les trois prochaines semaines. Que faites-vous ?

- Je retire mon pantalon. Je m'en fous que vous regardiez. Je vous laisserai même toucher, salope. Je m'en fiche que vous soyez mariée ou ma patronne.

- D'abord je n'aime pas que l'on me traite de salope. Et je ne tromperai pas mon mari, surtout avec vous.

John ne l'écoute pas et descend son pantalon. Puis il enlève son caleçon. Putain, ce n'est pas une bite, mais un gourdin. Il se tient debout devant Mary et aucun d'eux ne dit un mot. Il se rapproche d'elle jusqu'à ce que sa bite soit à dix centimètres de son visage. Il dit d'une voix rauque :

- Voulez-vous la toucher ? Vous avez imaginé pendant toute la journée à quoi ça ressemblait. Maintenant vous la voyez. Allez, vous pouvez la toucher et l'aider à avoir sa taille maximale.

Mary ne peut empêcher ses yeux de fixer son entrejambe. Mais elle fait un effort et lève les yeux vers lui pour lui sourire. Sa main s'avance vers sa bite, mais elle a un mouvement de recul.

- Non, je ne peux pas vous toucher. Je suis mariée et vous devez vous rhabiller !

Nous pouvons entendre John rire d'elle. Il sait qu'elle est fascinée par la taille monstre de sa virilité. Sans dire un mot, il s'assoit sur le canapé à côté d'elle et il prend sa main avec son alliance pour le déplacer sur sa bite.

Son sexe grossit. Il commence à se dresser. Il doit bien faire trente centimètres de long. Il retire sa main alors que Mary commence à bouger la sienne autour de sa queue. Elle commence à caresser de bas en haut la tige énorme. Je suis en train de regarder la mère de mon copain branler la bite d'un gars autre que son mari. C'est vraiment excitant pour moi.

- Avec votre autre main aussi ! Voyez comment elle peut devenir plus grosse.

Mary commence à bouger ses deux mains de haut en bas sur le gourdin. Après quelques minutes, John tend sa main pour la poser à l'arrière de la tête de la femme. Puis il commence à pousser sa tête vers sa bite énorme. Mary ne semble pas lui résister, ses lèvres touchent maintenant le gland. Faiblement, elle gémit :

- Nous devons arrêter, je ne le fais même pas à mon mari !

John garde sa main sur l'arrière de sa tête et il appuie sa bouche sur sa bite. Elle se débat un peu, mais finalement elle ouvre la bouche et laisse pénétrer le sexe.

Sa bouche est entièrement étirée alors que le gland pénètre à l'intérieur. La main de John toujours sur sa tête, il la fait monter et descendre plus rapidement sur sa tige. A un moment je la vois s'étouffer,

mais il continue à bouger sa tête, à lui baiser la bouche. Après quelques minutes, on peut voir qu'il éjacule abondamment. Mary essaie d'avaler, mais elle s'étouffe une nouvelle fois. Elle ne peut pas tout avaler. John sort alors de sa bouche et elle monte ses mains pour attraper ce qui s'échappe. Ensuite on la voit lécher ses mains. John dit alors :

- C'est la première fois que tu avales du sperme ?

- Non, mais je ne l'ai pas fait souvent. Répond Mary doucement.

- Maintenant je sais que tu es curieuse et que tu ne seras pas satisfaite tant que tu ne connaîtras pas la réponse.

- La réponse à quoi ?

- Savoir si tu peux gérer ma bite !

Humiliée de savoir qu'il avait deviné ses pensées, Mary le regarde. John lui ordonne alors d'enlever ses vêtements et elle obéit. Je n'arrive pas à croire qu'elle se soumette à lui si vite.

Mince, elle est encore mieux sans ses vêtements. Ses seins s'affaissent légèrement, mais ils ont l'air encore bien fermes. Sa chatte est soigneusement taillée. j'entends John dire :

- Lève-toi !

Mary se lève. Il la retourne, saisit ses mains pour les lui mettre dans le dos puis il la penche sur le canapé. Il commande ensuite :

- Allez, demande, salope !

- S'il vous plaît, baisez-moi ! Vous avez raison, je le veux ! Baisez-moi maintenant !

Je peux à peine croire ce qu'elle dit, mais aucun d'entre nous ne dit quelque chose.

John saisit sa bite et l'enfonce brutalement dans sa chatte. Il n'y a ni amour ni tendresse dans cet acte, c'est juste un homme qui baise une femme soumise aussi fort qu'il le peut. On peut entendre Mary gémir de pur plaisir.

- Tu aimes te faire baiser, n'est-ce pas ?

Elle ne fait que gémir plus fort.

- Tu es une bonne petite pute. Dis-moi comment tu aimes ça !

Elle tremble et répond :

- Je vous sens bien, n'arrêtez pas !

Il commence à la pilonner plus vite et plus fort.

- Supplie, salope !

Immédiatement elle répond :

- Baisez-moi ! Baisez votre patronne ! Aaaaahahhhh je jouis...

Il lui attrape les cheveux et grogne brutalement tandis qu'il continue à la baiser sans pitié. Bientôt il sort sa queue et éjacule sur son dos.

- Pas mal pour une première fois, salope ! Tu te sens mieux, n'est-ce pas ? Si tu veux encore plus de cette bite, débrouille-toi pour porter demain une jupe et un chemisier. Tu as envie de te faire baiser à nouveau, n'est-ce pas, salope ?

- Je ferais tout ce que vous voudrez si vous me baisez encore.

- Bien ! Demain tu prends rendez-vous avec un médecin et tu prendras la pilule si ce n'est déjà fait. Je ne veux pas te mettre enceinte. N'oublie pas comment je veux que tu t'habilles demain. Je veux aussi que deux boutons soient défaits sur ton chemisier. Et puis il faut que tu rases ta chatte. Tu es maintenant ma pute personnelle, n'est-ce pas ?

- Oui ! Répond simplement Mary.

- Salope, tu vas m'appeler « monsieur » à partir de maintenant. Compris ?

- Oui monsieur !

- Bien. Je ferais savoir à papa que notre déjeuner s'est bien passé. Il sera heureux de l'entendre. Maintenant, va nous préparer quelque chose à manger, salope.

C'est là que la vidéo se termine. Je n'arrive pas à croire que je viens de voir la mère de mon meilleur ami être utilisée comme un jouet sexuel par un adolescent.

- Si vous voulez toujours la baiser, venez ici demain à 10h00. Ne venez pas trop tôt. Elle sera là pour vous attendre. N'oubliez surtout pas mon argent.

Alors que nous partons de l'appartement de John, Jim dit :

- Waow, vous arrivez à le croire ?

Mike glousse :

- Je ne vais pas arriver à attendre jusqu'à demain. Notre patronne ne se comportait pas comme une mère de famille fidèle sur la vidéo. Quand je pense que nous allons la baiser...

- Je pense que ce n'est qu'une salope. Je vais bien m'amuser demain. Dit Dave.

Je ne trouve qu'à dire :

- Je serai avec vous les gars. Demain sera une journée amusante.

J'ai eu de la difficulté à m'endormir ce soir-là. Alors je me suis levé et j'ai regardé la clé USB que John nous a donné. Il y a environ huit heures de film avec Mary qui suce et baise John. Chaque fois qu'elle ne fait pas ce qu'il lui demande, il la gifle durement. Mais j'ai l'impression qu'elle aime être traitée violemment. Avec ces films, je l'ai vu passé d'une femme au foyer fidèle et très professionnelle à une femme soumise.

*****

le lendemain, comme tout le monde j'étais assez tôt devant l'appartement de John. Nous attendons jusqu'à 10h00 et nous nous présentons à la porte puis frappons. Big Bad John nous ouvre la porte sans rien dire alors que nous rentrons.

Il nous regarde et nous dit, sarcastique :

- Je suis content de vous voir tous les quatre. Je ne savais pas si vous viendrez.

Dave rigole :

- Nous n'aurions manqué ça pour rien !

Puis nous voyons Mary debout, en chemisier, jean et talons aux pieds. Elle dit :

- Bonjour les garçons. Je vois que j'ai quatre jeunes hommes à divertir aujourd'hui. John m'a garanti que mon mari et mon fils ne le sauront jamais.

Nous pouvons voir à quel point elle est humiliée de se soumettre devant nous. Nous répondons tous :

- Bonjour !

Puis j'ajoute :

- Nous promettons tous de ne rien dire à M. Jay ou à Jake de ce qui se passe ici.

Tout le monde secoue la tête en signe d'accord.

- Ok les gars, voilà ce qui va se passer : je vais partir pendant quelques heures et quand je reviendrai ça sera fini. Vous décidez dans quel ordre vous allez passer. Laissez votre argent sur la table la-bas. Amusez-vous, elle fera tout ce que vous voulez. Utilisez ma chambre.

Aucun de nous ne dit un mot avant le départ de John. Je vois Mary me regarder d'un mauvais œil. Elle se demande pourquoi je suis ici. Jim prend les rênes et dit :

- Je crois qu'il faut qu'elle se déshabille sur la table basse.

- J'ai un nom ! Dit Mary.

Alors Dave crie presque :

- Eh bien, aujourd'hui vous n'allez pas vous appeler Mme Jay. Alors faites ce qu'on vous dit, peu importe comment nous allons vous appeler.

Du regard, Mary me demande de l'aide, mais je ne réagis pas. Elle sait alors qu'elle est vaincue et elle monte sur la table basse.

Elle enlève d'abord ses souliers et elle les jette sur le côté. Elle prend une profonde inspiration alors qu'elle baisse son jean qui rejoint les chaussures. Ensuite elle défait les boutons de son chemisier de bas en haut et le vêtement rejoint les autres sur le sol.

Nous nous demandons ensuite si ça va être le tour de son soutien-gorge ou de sa culotte. Mais quand elle se cambre en avant et passe ses mains derrière elle, nous savons avec certitude qu'elle va ôter son soutien-gorge. Elle le laisse tomber en avant et ses seins remuent alors qu'elle le jette sur le côté.

Tous les yeux sont braqués sur elle. Sa poitrine est superbe. Maintenant elle glisse ses pouces dans l'élastique de sa culotte puis elle la baisse. Sa chatte est maintenant complètement rasée et on peut voir qu'elle a de grosses lèvres.

Je lève la main et je l'aide à descendre de la table. Il y a une certaine maladresse dans notre groupe. Alors que Mary se tient devant nous, entièrement nue, ses tétons commencent à durcir. Personne ne semble vraiment quoi faire à partir de maintenant. Puis Mike dit :

- Alors, qui est le premier ?

-Je veux être le dernier ! Dit Jim.

- J'aimerais être le premier, j'ai rendez-vous bientôt ! Dit Dave.

Mike dit alors :

- Je serai le deuxième.

Je n'ai plus le choix, je serais le troisième. Mais cela ne me dérange pas, car j'avais l'intention de rester jusqu'à ce que tout le monde ait fini. Dave enlève tous ses vêtements puis se dirige vers Mary. Il la regarde de haut en bas et lui dit :

- Mets-toi à genoux, je veux que tu me suces !

Sans opposé aucune résistance, la mère de mon meilleur copain se met à genoux et prend la bite épaisse de Dave dans sa bouche. Celui-ci a l'air surpris quand elle lui obéit. Il semble étonné qu'une femme, âgée de plus de vingt ans que lui, tombe à genoux pour lui faire une fellation sans poser de questions.

Après peut-être cinq ou sept minutes, Dave semble sur le point de jouir. Il pose ses doigts dans les cheveux de Mary et il tient sa tête immobile alors qu'il enfonce sa bite das et hors de sa bouche. Puis il s'arrête de bouger en gardant son sexe dans la bouche et il gémit en éjaculant au fond de sa gorge. Elle étouffe en avalant et un peu de sperme tombe sur le sol.

Dave relache ses cheveux et se retire. Sans avertissement, il passe sa main sous le menton de Mary pour tourner son visage vers le sien. Il sourit et dit :

- Vous êtes une vraie suceuse de bites, patronne !

Je peux lire sur le visage de Mary qu'elle se sent humiliée. Comme Dave bande toujours, il la pousse sur le canapé en lui levant les jambes. Puis il enfonce sa queue dans sa chatte. Il la baise ainsi pendant quinze minutes environ avant de gicler en elle.

Il se retire tout de suite et dit :

- Désolé, mais je dois partir. En tout cas, je me souviendrai longtemps de ça.

Après ces mots, il s'habille, pose de l'argent sur la table et s'en va. Mary sourit :

- Quatre garçons et il n'en reste que trois.

J'ai l'impression qu'elle aime l'idée d'être baisée par nous tous.

Mike a déjà enlevé ses vêtements. Il se dirige vers Mary en mettant un préservatif. Il saute sur le canapé et se met sur le dos. Son sexe est légèrement plus long que celui de Dave, mais tout aussi gros. Il pointe vers le plafond. Sans dire un mot, Mary monte sur lui, prend sa queue entre ses mains et la guide vers sa chatte dégoulinante.

- Oh c'est bon ! Dit-il en souriant.

Mary commence à se balancer lentement d'avant en arrière sur sa bite. Les mains de Mike pétrissent joyeusement ses seins. Puis il commence à en sucer un avant de le mordiller. Mary ne se soucie pas de ce traitement brutal.

Après avoir éjaculé, Mike se lève et s'habille. Mary sourit :

- Quatre garçons et il n'en reste que deux !

Elle va rapidement dans la salle de bain pour faire une pause alors que Mike met son argent sur la table et s'en va. Quand elle ressort de la salle de bains, je dis :

- On dirait que c'est mon tour maintenant. J'ai toujours fantasmé sur ce moment.

- Bob, tu sais que tu peux ne pas le faire. Je suis quand même la mère de ton meilleur ami...

- Je sais que je ne devrais pas faire ça, mais comme je l'ai dit, j'ai toujours fantasmé sur toi, donc je vais m'amuser.

Mary s'approche de moi et je la pousse à s'agenouiller. Je saisis grossièrement sa tête. Puis je sors ma bite et la pousse dans sa bouche. Elle pose ses mains sur l'arrière de mes cuisses et commence à balancer sa tête de haut en bas sur ma queue. Je vois qu'elle s'applique dans sa fellation.

Je pousse alors ma queue tout au fond de sa gorge, la faisant s'étouffer. Je reste comme ça un moment en faisant tourner mes hanches puis je lui baise la bouche durement. Après quelques minutes je gicle mon foutre dans sa bouche. Elle déglutit comme elle le peut. Je n'arrive pas à croire que la mère de mon copain me suce et avale mon foutre.

En la regardant, je lui ordonne :

- Maintenant, va vers le canapé, salope !

Elle me regarde et me dit :

- Ne m'appelle pas salope, Bob ! S'il te plaît, pas toi !

- Je vais y penser ! Dis-je avec un sourire sur le visage.

Elle se déplace lentement vers le canapé. J'attrape ses jambes pour les lever en l'air et brutalement j'enfonce ma bite bien raide dans la chaleur de sa chatte.

- Oh putain que c'est bon ! Crié-je en commençant à la baiser sans relâche.

J'aime voir soumise cette femme sophistiquée. Je la baise aussi fort que je le peux. Nos corps cognent l'un contre l'autre avec des bruits de gifles. Mes couilles frappent son cul nu alors que mes doigts glissent entre ses jambes et trouvent son clitoris enflé. Je commence à le titiller rapidement.

- Ohhhhhh je jouiiiisi... Gémit la mère sexy de mon copain.

Son corps tremble alors que sa chatte se contracte autour de mon sexe. Jim sourit et nous encourage :