Gang Bang Après La Coupe Du Monde

Informations sur Récit
de bourgeoise respectable en pute à vieux.
3.4k mots
4.47
12.9k
2
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
trouchard
trouchard
190 Admirateurs

Ce petit texte est une suite sans prétention du récit d'Elko : "Gang Bang Pendant La Coupe Du Monde" publié sur le compte de LucaDehi.

Je vous invite à aller consulter le compte de ces deux auteurs pour leurs histoires vraiment intéressantes.

******

Je m'appelle Virginie, j'ai 51 ans, je suis grande, blonde et toujours sexy avec de beaux seins qui se tiennent bien et un cul encore bien ferme. Je suis marié à Bernard, directeur de cabinet du maire de notre ville. Il gagne assez d'argent pour que je me permette de ne pas avoir de travail.

Ce que ne sait pas mon mari, c'est que depuis qu'il a invité plusieurs personnes à regarder un match de foot dans notre maison, je suis devenue, contre mon gré, un vrai jouet sexuel pour beaucoup de personnes. Cette soirée-là, sans que mon mari s'en aperçoive j'ai été violée dans la cuisine par ses invités. Et, bien sûr, ils ont tout filmé et me soumettent à un chantage horrible où je dois leur obéir à tout moment. Je vais vous raconter ma vie depuis ce jour et je vais reprendre le lendemain de cette soirée.

*****

Le lendemain, mon mari se lève pour aller au travail. Il est écœuré de s'être endormi pendant le match. Je me lève péniblement à sa suite, enfilant rapidement un peignoir pour qu'il ne voie pas les rougeurs laissées par ses amis qui m'ont baisée sans vergogne dans son dos. Je suis courbaturée et n'arrive pas à croire encore ce qui m'est arrivé. Le pire c'est que j'ai joui plusieurs fois alors que je me faisais baiser par tous les trous un nombre interminable de fois. Ma chatte et mon cul sont en feu et j'ai la mâchoire en compote.

Mon mari me parle, mais je n'entends pas vraiment. Je me demande ce qui va se passer maintenant. Je sais que j'ai été filmée et j'espère fortement que mon mari ne verra jamais ces vidéos. Je l'aime et je sais que c'est réciproque. Mais voyant mon comportement, il ne me pardonnerait pas et risquerait de me foutre à la porte. Je serai alors à la rue sans le sou.

Il me fait une bise sur la joue et s'en va au travail, je ne le reverrai pas avant ce soir. Je reste pensive devant ma tasse de thé. Puis cinq minutes après le départ de mon mari, on sonne à la porte. Je suis brutalement sortie de mes pensées. Je me lève pour aller ouvrir en me demandant qui peut bien venir sonner à cette heure si matinale.

- Bonjour Virginie... Ou plutôt... Bonjour grosse salope!

J'ai ouvert la porte sur mon voisin, M. Lambert, un retraité de la SNCF qui doit avoir 65 ans. C'est le premier à m'avoir violée hier soir. Je veux refermer rapidement la porte, mais Lambert a mis son pied dans l'ouverture. Il me repousse à l'intérieur de l'appartement. Même s'il est âgé, il reste plus fort physiquement que moi.

- Que faites-vous! Allez-vous-en!!! Je vais appeler la police! Crié-je alors qu'il referme la porte.

- Ben, fais donc, salope! Dit-il en me montrant mon téléphone.

Et alors que je prends l'appareil, il ajoute :

- Je pense que Bernard ne sera pas content de voir comment sa femme aime faire la pute. J'ai une bonne vidéo où tu te fais baiser par trois hommes et qui montre que tu jouis et que tu aimes ça!

Je repose le téléphone en espérant me réveiller de ce cauchemar. Mais le vieux retraité est devant moi et sourit vicieusement.

- Que... Que voulez-vous?

- Je viens juste rendre visite à ma pute! Mais maintenant que tu es calmée, enlève donc ton peignoir! Tout de suite! Ordonne M. Lambert.

Je tremble, mais je ne sais plus que faire pour me sortir de cette situation, alors je laisse tomber mon peignoir par terre.

- Tu vois bien que tu es une pute, tu es à poil sous ton peignoir! Une bonne femme au foyer s'habillerait plus pudiquement.

- Non je ne suis pas une pute! Dis-je en essayant de refouler mes larmes.

- Si si, au fond de toi tu le sais, il faut juste que tu l'admettes! Allez, à genoux salope! Ordonne-t-il sévèrement.

Sans vraiment réfléchir, je lui obéis. Je ne sais plus où j'en suis. Que puis-je faire à part obéir? Il s'avance alors vers moi tout en dégrafant sa braguette. Bientôt il sort sa bite déjà semi-rigide et la présente devant ma bouche.

- Suce salope!

Comme hier soir j'ouvre la bouche et il y engouffre sa queue qui devient de plus en plus grosse. Il pose ses mains derrière ma tête et donne un coup de rein pour pénétrer profondément ma gorge. J'ai de la peine à respirer alors j'essaie d'appuyer sur ses cuisses pour qu'il recule.

- Arrête de te débattre, salope! Tu vas m'écouter attentivement!

J'essaie de ne plus bouger et je retiens mon souffle. Il se retire puis enfouit de nouveau sa bite dans ma gueule.

- Je vais t'expliquer ta destinée. Tu sais que si je montre une certaine vidéo à ton mari, il ne va pas s'en remettre et il va te foutre dehors. Donc à partir d'aujourd'hui tu deviens ma pute attitrée et tu feras ce que je te dis, quand je te le dis et où je te le dis. Est-ce que tu as compris?

- Mmmmm... Mmmmm!

- Ah oui, ta bouche est pleine!

Il se retire, me regarde dans les yeux en attendant ma réponse. Je suis effondrée, je n'ai pas le choix, alors je réponds docilement :

- Oui M. Lambert, j'ai compris!

- Alors suce-moi et applique-toi!

Je reprends alors la fellation qu'il m'a imposée. Je m'applique pour essayer de le faire jouir rapidement pour que mon calvaire se termine. Mais au fond de moi, je sais que ce n'est que le commencement.

- De toute façon, tu as tellement joui hier soir que ça ne devait pas te déplaire!

J'ai honte de moi. Je suis nue dans ma maison, à genoux, en train de sucer mon vieux voisin retraité. Mon humiliation est complète. Moi une femme de 51 ans, épouse d'un notable de la ville, je suis obligée de me conduire comme une pute.

Je sens alors M. LAMBERT appuyer sur ma tête alors qu'il enfonce sa bite dans ma gorge et gicle une grande quantité de sperme. J'avale comme je peux alors qu'il tapote sur ma tête comme on le ferait à un chien.

- C'est une bonne salope ça! Une bonne vide-couille!

Je rougis alors qu'il retire sa queue et la remet dans son pantalon.

- Je dois y aller! Je sais que Bernard ne rentrera pas avant 19 heures, alors je t'attends cet après-midi à 14 heures chez moi! Habille-toi en pute : sous-vêtements sexy, bas, talons sous un imperméable! Et ne sois pas en retard, sinon...

Je baisse la tête, vaincue. Je sais que je ne peux que lui obéir maintenant. Alors qu'il ferme la porte derrière lui, je me lève et vais me laver la bouche pour essayer de faire disparaître ce goût de foutre. Ensuite j'irai dans mon dressing pour choisir ma tenue pour cet après-midi.

******

14h00 moins 5, je sonne à la porte de M. Lambert. Je tremble sous mon imperméable en me demandant ce qui va vraiment m'arriver. Mon voisin ne tarde pas à ouvrir :

- Bien vieille salope, tu es à l'heure! Enlève ton imper!

- Mais... Mais... je suis dans la rue, on va me voir!

- Obéis grosse pute ou...

Je comprends que je n'ai pas le choix. Je regarde tout autour pour voir s'il y a des passants et j'espère que personne ne regarde à la fenêtre. Je déboutonne mon imperméable et je l'enlève.

- Très bien! Très sexy! Très bandante! Vas-y, entre! Me dit le vieux.

Je m'empresse de pénétrer dans sa maison et il referme la porte derrière lui. Il me prend par le bras et m'emmène dans la cuisine.

Sur le seuil, je me fige. Une autre femme est en train d'essuyer la vaisselle. Elle est habillée comme moi en sous-vêtements. Et soudain je la reconnais, il s'agit de Nicole De Veran. l'institutrice principale de l'école publique, l'épouse du notaire de la ville. Un peu plus de la cinquantaine, brune avec un chignon et des lunettes, petite boulotte, 1m55 pour 68 kilos environ, une poitrine plus grosse que la mienne qui déborde de son soutien-gorge en dentelle noir et un gros cul bien rond dans un string assorti. Comme moi elle est montée sur des talons hauts. Je vois qu'elle me reconnaît et qu'elle est étonnée. Je crois que nous rougissons toutes les deux de nous voir dans cette situation. Nous nous connaissons pour nous être rencontrées dans certaines réceptions à la mairie

- Je vois que vous vous connaissez! Toi la pute à chignon, explique à cette salope pourquoi elle est là! Moi je vais pisser! Dit M. Lambert en quittant la cuisine après avoir donné une grande claque sur le cul de Mme De Veran.

Je suis gênée et je vois que l'institutrice aussi. Pourtant elle prend une grande respiration et me dit :

- Bonjour Virginie, tu permets que je t'appelle Virginie, non? Je pense que nous sommes dans la même situation alors tu peux m'appeler Nicole. Ce vieux salaud me fait chanter et je risque de tout perdre si je ne lui obéis pas. Je suppose que pour toi c'est pareil?

Je hoche la tête.

- Bon voilà, c'est juste un mauvais moment à passer. A 17 heures 30, nous devrions pouvoir rentrer chez nous. M. Lambert organise des parties de belote avec des amis retraités. Nous sommes là pour les servir et obéir à leurs moindres désirs. Ce n'est pas si horrible que ça paraît et des fois c'est même agréable! Dit-elle en baissant la tête et en rougissant.

Je comprends maintenant. Je vais encore faire la pute pour des vieux. C'est alors que la sonnerie de la porte d'entrée retentit. J'entends Lambert crier :

- Dans le salon les salopes, mes invités arrivent.

Nous obéissons et nous rendons dans le salon. Debout, à moitié à poil, nous voyons arriver quatre vieux (dont j'apprendrais les noms plus tard) : Un grand sec déglingué qui doit bien avoir soixante-dix ans, Martin Duche, un petit chauve ventripotent qui a soixante-cinq ans, Albert Couturier, Un grand trapu et costaud, soixante-huit ans, René Dabert, et le dernier, sûrement le plus âgé avec ses soixante-quinze ans, ridé, fripé, très maigre dans un costume des années 20, Marcel Beaulieu.

Alors qu'ils saluent Lambert, ils regardent tous vers nous avec des yeux de fauves affamés. L'hôte dit alors :

- J'ai une surprise pour vous les gars, une autre grosse salope! Vous la reconnaissez peut-être, c'est la femme de mon voisin, le directeur de cabinet du maire. Je peux vous dire qu'elle a du potentiel.

Je vois alors les quatre hommes d'approcher de nous. C'est tous juste s'ils n'ont pas de la bave qui sort de leur bouche. Trois se mettent à tourner autour de moi en me tripotant avec leurs mains ridées. L'un entre ses mains dans mon soutien-gorge et serre mes seins sans douceur, un autre glisse ses doigts dans ma culotte et trouve la fente de ma chatte avant de pénétrer mon intimité, le dernier s'intéresse à mon cul et s'amuse à me fesser pour le faire trembler. Je reste immobile et regarde le quatrième homme, le petit chauve ventripotent s'approcher de ma voisine avec un sourire vicieux aux lèvres.

- Putain, ça fait une semaine que j'attends pour me vider les couilles! Dit-il.

Il saisit Mme De Veran par son chignon pour la tirer vers lui et il lui roule une pelle en faisant pénétrer sa langue dans la bouche de la pauvre femme. Celle-ci ne peut que répondre à son baiser.

Tandis que les autres continuent de me tripoter sans vergogne, le petit gros arrête d'embrasser l'institutrice et l'oblige à s'agenouiller en disant :

- Vide-moi les couilles!

Je vois la pauvre femme défaire sa braguette et sortir une queue assez impressionnante pour un vieux. Elle fait la grimace en sentant l'odeur, mais sans hésiter elle enfourne le sexe déjà bien raide. Elle s'applique à le sucer efficacement. Albert lui a saisi l'arrière de sa tête et la bouge d'avant en arrière sur sa queue.

Les trois autres vieux autour de moi continue de me maltraiter. Martin pince et tire mes tétons sans se soucier de ma douleur. Marcel, qui a baissé mon string, fait glisser trois doigts dans ma chatte de plus en plus vite. Enfin, René écarte mes fesse et plonge son index dans mon cul. Je réalise que je ne suis qu'une pute soumise qui est là pour satisfaire les hommes présents.

Mon soutif est arraché, il rejoint mon string sur le sol. Les trois hommes ont sorti leur bite et je dois les branler avec mes deux mains. Bientôt, ils me forcent à m'agenouiller et je suce l'un alors que je masturbe les autres. Ils tournent pour que je change de bite.

Du coin de l'œil, je vois Mme De Veran étouffer sur la bite du petit gros. Elle a le nez dans les poils pubiens sous son gros ventre. l'homme tient sa tête solidement alors que j'ai l'impression qu'il se vide dans sa gorge. Ma supposition est vérifiée quand il la relâche et que je vois du foutre au bord des lèvres de la pauvre femme de notaire. Je la vois avaler avec difficulté, le visage tout rouge. Nos regards se croisent et je vois que nous avons honte toutes les deux.

La bite dans ma main droite s'éloigne alors. C'est Martin qui s'approche de l'institutrice, la relève, l'approche du canapé où il la penche sur un accoudoir. Sans avertissement, il arrache son string et il la pénètre d'un grand coup de reins. Puis il se met à la pilonner sans se soucier de ses gémissements.

Je continue à m'appliquer à sucer la bite dans ma bouche alors que la queue dans ma main gauche disparaît. René s'agenouille derrière moi et m'oblige à relever mon cul et écarter mes jambes. Je sens sa bite sur mes petites lèvres et bientôt il m'enfile sans avertissement. Il agrippe mes hanches et commence à me bourrer violemment. Chaque coup de rein pousse ma bouche sur la bite devant moi qui s'enfonce de plus en plus dans ma gorge. Je manque m'étouffer à chaque fois.

- Putain, qu'elle est bonne cette vieille pute! Crie René à Lambert.

- Ouais, et elle est tellement salope qu'elle en redemande!

Je rougis alors que j'étouffe sur une bite et qu'on me baise brutalement. Je regarde Nicole qui est malmenée sur l'accoudoir du canapé. Elle a les yeux fermés alors que son corps subit les assauts brutaux du grand sec déglingué. Lambert s'approche d'elle et lui balance une claque pour qu'elle ouvre les yeux. Il tient sa bite près de sa bouche et elle l'avale dès qu'elle la voit. Elle aussi est prise par les deux bouts et doit subir.

Soudain, je sens qu'on me tient la tête et un liquide chaud et gluant envahit ma gorge. Marcel éjacule en me tenant pour que je n'en perde pas une goutte. Je suis obligée d'avaler malgré mon dégoût.

Il se retire, laissant son ami continuer de baiser ma chatte déjà bien utilisée la veille. Je regarde Nicole pousser des gémissements étouffés alors que Martin a donné un dernier coup de rein avant de jouir dans le ventre de la femme du notaire. Puis c'est Lambert qui lâche la purée dans sa bouche. Elle déglutit du mieux qu'elle le peut. Quand les deux hommes reculent, je vois l'institutrice pliée sur l'accoudoir, les yeux vitreux. Je devine qu'elle a joui sous les assauts violents.

Quant à moi, mes seins ballottent tandis que mon tourmenteur claque mes fesses tout en continuant de me pilonner. Je ne peux m'empêcher de gémir alors que mon sexe est mouillé de mon jus. Bientôt c'est ma chatte qui est inondée de son foutre chaud. Quand il se retire, je m'effondre sur le sol. Heureusement qu'on me laisse tranquille, car je sentais un orgasme arriver. J'essaie de reprendre mon souffle tandis que les hommes enlèvent complètement leurs habits avant de se mettre sur la table de la salle à manger pour jouer à la belote.

Comme ils sont cinq et que ça ne se joue qu'à quatre, Marcel va prendre Nicole par les cheveux et l'attire avec lui alors qu'il s'assoit dans un fauteuil. Il la prend sur ses genoux et ses mains commencent à explorer son corps. Il joue avec ses gros seins en l'obligeant à l'embrasser.

J'entends alors Lambert crier à mon attention :

- Toi la pute! Viens nous sucer sous la table!

J'obéis lentement et marche à quatre pattes pour me glisser sous la table. Je prends une première queue dans ma main et je la suce. Pendant une demi-heure, je vais passer de bite en bite pour sucer chacun des vieux. C'est là que j'entends crier Nicole.

Je regarde et je la vois grimacer de douleur alors qu'elle empale son cul face à nous sur la bite bien droite de Marcel. Les autres hommes se moquent d'elle.

- D'habitude c'est le notaire qui nous encule et bien cette fois c'est sa femme qui se fait démonter le cul!

- En sourdine salope, nous savons bien que tu aimes qu'on t'encule!

- De toute façon ton cul est un vrai garage à bites!

Les commentaires fusent alors que je vois le vieux Marcel tirer sur les nichons de Nicole pour l'obliger à monter et descendre sur sa queue. Quand elle a pris le rythme, Marcel descend une main sur son clito qu'il titille. Nicole ferme les yeux et semble prendre plaisir à se faire pilonner le cul.

Je suis toujours sous la table à sucer, mais la bite m'échappe. Les hommes reculent leur chaise. Une main me saisit par les cheveux et me traîne. Il s'agit du gros Albert. Assis dans sa chaise, la queue bien droite, il m'oblige à venir m'asseoir sur ses genoux et m'empaler sur son gourdin. Je gémis alors que l'engin me pénètre. Mon tourmenteur commence à sucer mes tétons déjà rigides puis il les mordille. Des décharges traversent mon corps alors qu'il m'oblique à monter et descendre sur sa queue. Je ne peux me retenir et je jouis bruyamment.

- Quelle salope! Une vraie accro à la bite! Elle ne demande que ça! Dit Albert.

- Je vous l'avais dit les gars! Dit Lambert.

Alors que je suis avachie sur l'épaule du gros qui continue de me faire balancer sur sa chatte, je reprends mes esprits alors que je sens quelque chose pousser contre mon petit trou. Je veux protester :

- Non! NON...

Mais Lambert me met une claque et mon cul est déchiré par l'entrée d'une bite. C'est René qui vient de m'enculer sans se soucier de mes protestations. Je gémis encore plus fort alors que les deux hommes me baisent en double, mais une bite vient me faire taire. Lambert a tiré ma tête sur son membre et sans réfléchir j'ai ouvert la bouche. Me voilà prise par trois bites différentes. Mon esprit crie « NON », mais mon corps réagit à ce traitement. Je sens que je vais jouir une nouvelle fois.

Un cri retentit dans la pièce. Difficilement je m'aperçois qu'il s'agit de Nicole qui jouit. Empalée sur la bite de Marcel, elle vient d'être prise par-devant par Martin. En sandwich entre les deux hommes, il semble qu'elle n'ait pu retenir son plaisir.

L'après-midi se passe ainsi. Nicole et moi sommes prises indifféremment par les cinq hommes. Aucun de nos trous n'est oublié. Nous sommes les objets de plaisir de ces hommes qui n'hésitent pas à nous prendre par trois en même temps. Nous ne sommes que des objets sexuels, des putes, des sacs à foutre.

Je ne compte plus le nombre de fois ou Nicole et moi avons des orgasmes. Et quand les hommes s'habillent et partent de chez M. LAMBERT, nous gisons sur le sol de son salon, couvertes de foutre et complètement épuisées.

Le maître de maison nous dit alors :

- Dehors les putes, nous nous revoyons dans une semaine!

- Ou peut-être plus tôt! Ajoute-t-il en ricanant.

Nous essayons de nous lever. Je vois Nicole récupérer ses sous-vêtements, enfiler son imperméable sans dire un mot et sortir tête baissée de la maison. Elle ne m'a rien dit, sûrement trop honteuse.

Je fais de même et enfile mon imper sans remettre mes sous-vêtements. Je regarde Lambert qui me sourit vicieusement. Moi aussi j'ai honte. Alors je me dépêche de rejoindre ma maison pour prendre une bonne douche avant l'arrivée de mon mari.

Je ne suis plus une bourgeoise respectable, je suis une pute à vieux...

trouchard
trouchard
190 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Une suite est prévue ? Le texte est très bien.

Bitland91Bitland91il y a 9 mois

J'adore ton récit.

APVapvAPVapvil y a 9 mois

Une petite belote ? J'attends impatiemment l'invitation.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 9 mois

Tres bonne suite j'aime beaucoup :)

LucasDehiLucasDehiil y a 9 mois

Très sympa comme suite !

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Regarder Ma Salope de Femme Un homme apprend qu'il est cocu.
Recession Les factures.
Directrice d Agence 01 Histoire d une directrice d agence bien trop sûr d elle.
Changements de vie pour Jessica 01 Le jeune nettoyeur de piscine.
Plus d'histoires