Un EVG Qui Dérape Ch. 01

- Allez, Amélie, c'est bon là! commençait à rouspéter Jordan, qui se regardait dans le miroir, impatient d'aller faire la fête avec ses amis, et surtout de remplir ses obligations du soir, habillé d'une mini-jupe en simili cuir rouge, corset, perruque et bas résilles noirs, un maquillage sur mesure lui donnant un aspect très féminin, mais pas au point de le faire passer pour une femme : il était un simple travesti, mais plutôt sexy pour le coup, malgré son inexpérience!

Il en était d'ailleurs assez fier : « de quoi rendre jalouses certaines amies », se dit-il en se donnant une claque au cul : « quelle belle salope je fais! ».

A tout juste 32 ans, il se préparait à son enterrement de vie de garçon, et il allait enfin se marier avec une « petite jeune » de huit ans sa cadette, une charmante russe prénommée Milena, venue de sa campagne natale étudier la psychologie à Lyon, à l'âge de 18 ans.

Elle avait rencontré Jordan, cadre dynamique sans histoire au sein d'une grande banque française, dont il partageait la passion pour le cinéma et l'analyse comportementale des personnages.

D'ailleurs, c'était un peu à cause de ce sujet qu'il en était là aujourd'hui : si d'un côté Milena estimait que le jeu d'acteur était difficile et nécessitait une dose de psychologie, Jordan considérait au contraire qu'il était aisé de s'identifier à n'importe quel type de personnage, pour peu que l'on fasse l'effort.

Au point qu'elle en avait parlé à Amélie, la meilleure amie et collègue de Jordan, devenue sa confidente avec le temps, afin de s'épancher sur cet agacement. Amélie s'en amusait beaucoup et avait proposé à Milena de le pousser à prouver sa théorie en profitant de son enterrement de vie de garçon, qu'elle allait gérer à sa façon.

Lors d'une soirée bien arrosée entre les deux amies, elle avait révélé son plan, qui avait particulièrement excité Milena, loin d'être l'oie blanche qu'elle pouvait laissait paraître à ceux qui ne la connaissaient pas, Jordan en savait quelque chose sous la couette : rarement une complicité avait amené Jordan à explorer sa propre sexualité et son petit trou s'était ouvert à sa douce compagne, véritable dominatrice aux ailes d'ange et aux doigts de fée.

Le temps passant, Milena s'était beaucoup confiée à Amélie, lui racontant quelques secrets et fantasmes de son homme, mais aussi quelques-uns des siens, lesquels avaient surpris et fasciné Amélie.

Ainsi naquit le plan « Jordie » : si Jordan pensait qu'il était facile de jouer un autre, alors il deviendrait « Miss Jordie » lors de son EVG, et il réaliserait tous les actes qu'il n'avait jamais osé faire à ce jour, pour le plus grand plaisir des deux complices.

Mais Amélie avait un autre objectif, plus secret, qui pourrait amener à une situation particulièrement savoureuse. Quand elle y pensait, elle trempait sa culotte... et si elle parvenait à ses fins, elle aurait certainement beaucoup d'orgasmes... et pas que!

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Amélie regardait Jordan s'extasier devant le miroir de son appartement : elle l'avait fait venir en fin d'après-midi pour une session d'essayage façon « Pretty woman », avec en bonus un cours de maquillage en accéléré.

Son œuvre étant terminée, il était temps d'y aller :

- Allez, viens Jordie, on y va!

- Tu peux me dire maintenant où tu m'emmènes, Amélie?

- On rejoint d'abord tes potes!

- Tu seras vraiment la seule fille?

- Et oui! Tu imagines un peu mon sacrifice de rester avec les garçons et toi au lieu d'aller avec les filles certainement me taper avec les copines un beau strip teaser bien membré.

Jordan tiqua à la provocation d'Amélie, ce qui la ravit : il ignorait en quoi consisterait la soirée de sa future épouse malgré son insistance pour savoir, mais l'imaginer baisée par un autre ne faisait pas partie de ses projets, même si l'idée avait parfois pu nourrir ses fantasmes.

Amélie riait au fond d'elle car elle avait échafaudé un plan qui irait sans doute bien au-delà des pires craintes de son ami, mais c'était pour servir la bonne cause... et sa perversion naturelle qu'aimait par ailleurs tant Jordan, avec qui elle avait eu une petite aventure bien sympa au travail, quelques années plus tôt, et leur complicité n'avait fait que se renforcer avec le temps, même quand Milena est arrivée dans sa vie!

- Ma chère Jordie, tout va commencer par cette vidéo.

Amélie lança un film sur son téléphone : Jordan vit Milena apparaître :

- Mon chéri, ce soir Amélie a reçu carte blanche avec toi pour les gages et en a suggéré un ou deux que j'adore! Tu vas donc devoir prouver ta théorie selon laquelle on peut jouer n'importe quel rôle. Le tien sera Jordie, la pute facile! Tu incarnes une fille heureuse de plaire aux hommes, prête à tout pour eux...

Jordan écoutait sagement, à la fois excité et interloqué.

Sa future femme poursuivit :

- Ton gage sera donc, si tu plais à un homme, de lui obéir aveuglément ce soir! Comme tu as toujours imaginé ce que serait de partager un moment intime avec un garçon, ça ne me gêne pas que tu conclues! Tant que tu ne trempes pas ta petite nouille avec une autre femme que moi, tout m'ira!

Jordan était presque abasourdi par la proposition indécente, mais il était encore plus excité par cette la stimulation que cette humiliation provoquait au niveau de son entre-jambes : elle avait révélé ses désirs à Amélie, qui ne cessait d'arborer un sourie espiègle.

- En plus de répondre à ton fantasme de soumission homosexuel, je veux te montrer qu'il est difficile de jouer un rôle contre nature... sauf à ce que ça soit au final ta vraie nature, qui sait? Ajouta-t-elle en riant. Si jamais tu gagnes et réussis à faire tout ce qui te sera demandé avec naturel et facilité au cours de cette nuit, que tu trouves qu'il est si facile d'être acteur, alors tu auras droit de nous baiser Amélie et moi dans le plan à trois que tu as toujours rêvé d'avoir...

A ce moment entra dans le champ de la caméra Amélie... Chacune des filles retira le manteau de l'autre, révélant pour sa fiancée, un ensemble porte-jarretelles et corset blanc, et pour son amie, la même chose mais en noir, comme un duo ange et démon.

Les deux filles se regardèrent fixement avant de se rapprocher et de s'embrasser langoureusement, les langues s'entremêlant, les mains caressant le visage de l'autre, sa tête, puis ses fesses, ses seins...

Jordan n'en pouvait plus, il avait une érection d'enfer! Lorsque le câlin se termina, sans qu'elles puissent feindre une réelle attirance, Milena reprit, le souffle rapide :

- Et si tu perds, si finalement tu ne peux pas jouer ce personnage à fond, alors tu devras accepter de te laisser prouver comment on peut aider psychologiquement quelqu'un à devenir un personnage différent, et ce en quelques jours! Dans tous les cas, une seule règle : tu obéis à toute demande, et Amélie en sera témoin et garante!

Elle envoya un bisou avec sa main avant d'exploser de rire avec Amélie : le défi pouvait commencer!

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Jordan n'avait pas peur de s'exposer ainsi en public, non seulement par bravade mais aussi par cette fierté de ne pas être si mal en femme. Il s'adressa à son amie, elle aussi très sexy mais pas aussi audacieuse que lui dans sa tenue, bien heureusement : il n'aurait plus manqué d'être prises pour deux putes!

- Tu nous conduis où alors car c'est encore tôt, il est à peine huit heures? Un resto?

- Non, pas un resto, mais ne t'inquiètes pas, si tu as faim, tu auras de quoi remplir ton estomac! dit-elle, énigmatique, avant d'ajouter que c'était un petit détour en chemin.

Amélie se gara dans une ruelle sombre de la capitale des Gaules, que ne reconnaissait pas Jordan, peu habitué à trainer dans les quartiers chauds. La nuit commençait à tomber en ce début de printemps, et les faibles éclairages des néons donnaient une tonalité particulièrement glauque à cet endroit. Il en frissonna.

Amélie remarquait une forme d'inquiétude sur le visage de son ami, et tenta de le rassurer :

- Allez, ne t'inquiète pas, je veux juste t'amener dans un magasin pour te préparer ton petit cul, la nuit sera longue et je ne veux pas que tu n'en profites pas à fond!

Et cet endroit est au calme, peu passant, donc pas de raison de paniquer.

Ils entrèrent dans un sex shop tenu par un gérant qui était la caricature du type qu'on veut éviter : un peu rustre, en large surpoids sans pour autant être obèse, la cinquantaine, de type méditerranéen, les cheveux gras et éparses... Jordan se dit qu'il avait certainement décidé d'économiser l'eau de la douche vu la sueur qui perlait sur ses épaules dénudés sous son marcel encore plus sale que lui.

Jordan nota toutefois que le type le reluquait, et se surprit lui-même, sans doute par réflexe, à regarder la bosse se former sous son jean.

- Pardon monsieur, ma copine voudrait savoir où se trouvent les godes en vue de se préparer à passer une belle soirée, et s'il y a un lieu où elle peut le tester? annonça Amélie, réussissant à rendre son ami pivoine.

- Ma jeune dame, ils sont là, de toutes les tailles, et elle peut les tester dans l'arrière-boutique autant qu'elle veut... répondit-il, dévisageant Jordan de son grand sourire digne d'un prisonnier qui découvre une femme après dix ans enfermés en cellule.

- Merci beaucoup, elle va rester sur une taille raisonnable, c'est sa première fois, elle est encore pucelle du cul, mais ça ne devrait pas tarder à changer. N'est-ce pas Jordie?

Conscient de l'enjeu du défi, Jordan prit son rôle à cœur, répondit avec lenteur, comme pour mieux allumer le gérant de son regard profond :

- Tout à fait mon ange, j'ai bien besoin de me préparer... je suis impatiente d'avoir un gros... un très gros membre dans mon petit cul de salope. En passant sa langue sur ses lèvres.

Amélie était aussi surprise que ravie : tout ceci était parfait!

Ils allèrent vers le rayon des godes tandis que le gérant passait sa main sur la bosse de son jean, excité par cette salope qui avait soutenu son regard.

- Alors Amélie, pas mal hein?

- Oui, une salope naturelle, tu me surprends! Mais c'était facile de la jouer... là, on va te choisir un gode à utiliser, que ta femme voit tes capacités, et un plug pour que tu sois fin prête à accueillir des hommes...

- Tout ce que tu veux, ma belle! Répondit Jordan, montrant une confiance certaine même s'il estimait que sa copine utiliser ces mots pour jouer avec son esprit, ses nerfs, et son excitation : il avait tellement hâte de la baiser avec sa femme qu'un gode ou un plug étaient un bien faible prix à payer!

- Allez, c'est cadeau, c'est pour moi : ton premier défi sera de t'enfiler ce joli petit gode dans une des cabines de l'arrière-salle, que tu te branles sans jouir, et qu'une fois terminée ta petite séance, tu te plantes le plug bien profond dans le cul! Et prends ce gel aussi, tu en auras besoin : faut pas que tu aies mal pour ta première, mon petit chou!

Alors qu'Amélie partit payer, Jordan se rendit dans une des cabines : ce n'était clairement pas un lieu ragoutant et il devinait, malgré une lumière tamisée, que bien des hommes étaient venus se soulager ici, la preuve en était le sol encore collant :

- Berk, c'est vraiment dégueux!

Il remarqua un film porno sur l'écran de TV surplombant la toute petite cabine, des kleenex positionnés sur un petit meuble et un pot de gel vide dans une poubelle : « heureusement que j'ai le mien! ».

Il se mit à son aise, retira sa jupe de sorte qu'il ressemblait à la pire des putes, fraichement rasée de toute part, et sortit le fameux gode :

- Allez, c'est pour la bonne cause, se dit-il. Mais pour son plaisir aussi...

Amélie avait choisi un engin pas si petit que ça, bien 18 ou 20 cm, épais, et noir, avec une texture incroyablement réaliste! Il n'avait jamais pensé que ça pouvait aussi bien rendre, au point que la curiosité le saisit : il décida de porter l'objet en bouche, ne serait-ce que pour comprendre cette sensation de sucer... il se mit à quatre pattes et commença à donner quelques coups de langues sur le gode, tout en prenant sa queue dans la main.

- Hmmm, la vilaine queue tout excitée, tu as envie que je te prenne en bouche, n'est-ce pas?

Jordan s'amusait et jouait le jeu pour complètement rentrer dans la peau de son personnage. Il finit par ouvrir la bouche et entrer le gland, épais, puis le retirer, en parlant à son amant secret, d'une voix plus féminine.

- Tu es vraiment la plus belle queue que j'ai eu à mettre en bouche jusque-là, tu sais? Quoi? Tu es ma seule? Oui, en effet! s'amusa-t-il.

Au bout de quelques minutes, il entendit des voix au loin : Amélie semblait discuter avec d'autres personnes. Tant mieux si elle était occupée, il avait une tâche à accomplir et souhaitait en profiter avant de retrouver ses potes.

- Tu as un si gros gland, j'ai envie de te prendre en bouche, de t'avaler... je veux que tu me possèdes...

Il prit de nouveau le gode en bouche et l'avala plus loin, lentement, sensuellement.

Puis il initia des va et viens, de plus en plus rapides, avant de finir par pomper la bête de plus en plus violemment comme la plus experte des putes, s'étonnant lui-même de s'exciter autant, sa queue étant dure comme la pierre.

Alors qu'il gémissait, il entendit quelqu'un entrer dans la cabine d'à côté et mettre un film porno. Il réduisit spontanément le bruit qu'il faisait avant de reprendre son petit jeu à mesure que le film avançait : Il entendit la jeune actrice porno dire à l'homme de la prendre sauvagement par le cul, ce qui l'excita d'autant plus, se projetant à la place de la jeune femme.

Il en profita pour se mettre à quatre pattes et colla le gode au mur derrière lui, grâce à sa ventouse :

- Tu vas me défoncer le cul à moi aussi hein? Allez, il est vierge, fais-toi plaisir...

Il s'enduit le petit trou du gel, recula son cul et s'empala très lentement pour éviter trop de douleur...

- Hum oui! C'est dingue cette sensation...

La pénombre l'aidait à plonger dans son personnage, comme le gode plongeait étrangement facilement en lui (« suis-je une vraie salope en fait? » se demanda-t-il), tandis que le film rythmait son mouvement de va et viens.

Il gémissait de plus en plus fort, couinant presque comme la pute du film, mais il savait qu'il ne devait pas jouir : il adorait cette épreuve, cette frustration, et s'imaginait bientôt baiser avec ses deux amies.

En pleine transe, il ne remarqua pas qu'un pénis était apparu face à lui jusqu'à le heurter de sa bouche!

Pris de court, il eut le réflexe de reculer, et s'empala encore plus profondément sur le merveilleux gode, gémissant au passage, comme un signal qu'il était prêt à servir la bête sortie de nulle part.

En effet, Jordan n'avait pas distingué sur le mur noir, un trou donnant sur la cabine voisine : c'était un glory hole! Il ne s'était pas préparé à ça et se dit qu'il était sans doute temps de rentrer avant tout dérapage, mais en entendant au loin les rires d'Amélie, il se rappela qu'il ne pouvait pas se refuser à un homme, auquel cas, il risquait qu'il s'en plaigne et qu'Amélie le sache, gâchant tout son projet.

Après une interminable hésitation, il trouva le juste compromis : il décida de se saisir de la queue et de la branler. La sensation était curieuse de prendre une autre bite en main, mais il fut agréablement surpris, et encore plus quand il entendit un râle de satisfaction de l'inconnu : la fierté de donner du plaisir à un inconnu du même sexe prit le pas sur cette douce folie, lui qui n'aurait jamais réellement envisagé partager un acte homosexuel, hétéro convaincu qu'il était!

Il avait presqu'envie de saisir la bite en bouche, juste pour la comparer avec son gode... et pour gouter au plaisir interdit. S'il ne le faisait pas, il regretterait après et retomberait dans un train-train sexuel quotidien de couple.

Il décida alors d'approcher sa langue et commença à laper le gland comme il l'avait fait avec le gode...

- Ah, oui, suce-moi, salope! finit par lui intimer cet homme qui dissimulait au maximum sa voix pour ne pas être entendu.

Mais son excitation prit le dessus lorsqu'il réclama une nouvelle fois, bien plus ostensiblement :

- Allez, suce-moi, salope! ce qui figea Jordan sur place, craignant qu'Amelie devine ce qui se tramait.

Il entendit des éclats de rire qu'il ne put véritablement interpréter : était-ce en lien avec sa conversation avec les gars, ou bien avait-elle compris ce qui se passait quelques mètres plus loin?

Il ne put réfléchir bien longtemps au risque que l'homme s'en plaigne : il ouvrit la bouche et avala le manche d'une seule traite, pour bien faire comprendre qu'il se soumettait à lui. L'homme commença à coulisser lentement son pénis dans la gorge accueillante... Il prit les choses en mains et accéléra, comme pour mieux baiser la bouche offerte, avant que les deux hommes trouvent le bon tempo.

Jordan exerçait sa première fellation, et... il aimait!

L'homme émit des petits gémissements que Jordan comprit trop tard : il éjacula d'épais jets de foutre au fond de sa gorge, ce qui manqua de l'étouffer, et l'obligea à avaler les deux premiers jets, avant de reculer sa tête, laissant l'homme jouir sur son visage, prit par la surprise!

Les derniers jets giclèrent sur ses yeux, ses cheveux et sa bouche au point qu'il ressemblait totalement à l'actrice de sa propre vidéo!

Il entendit un « merci » lointain, gêné, puis des rires au loin quelques instants plus tard. Sa queue était raide comme la pierre et il avait une furieuse envie de se terminer.

Sans avoir le temps de retrouver ses esprits, il vit une autre queue traverser le trou, mais elle était bien plus grosse que l'autre, ce qui l'obligea à reculer de surprise!

- Non mais je suis vraiment en passe de devenir la pute du quartier là, je ne vais pas toutes les prendre!

Après une hésitation, il se dit que foutu pour foutu, ça ne changerait plus grand-chose, et il décida de s'activer à nouveau, mais cette fois, en profitant mieux : il recula pour mieux se positionner à quatre pattes, écartant les cuisses comme pour recevoir son mâle au mieux.

En ajustant sa position, il sentit le gode qu'il avait fixé au mur lui titiller l'anus.

- Hum, et pourquoi pas après-tout? Allez, une double péné, c'est la journée des premières!

Il se mit à sucer son mâle tandis qu'il s'empalait de nouveau sur le gode : heureusement pour lui que son cul était bien huilé et déjà habitué à son petit jeu un peu plus tôt.

Il prit ainsi le rythme de s'empaler sur la bite puis le gode dans un mouvement de va et viens presque pro, au point de lui donner l'impression qu'il montrait une appétence un petit peu trop naturel avec tout ça.

Et ce qui devait arriver arriva : l'homme devant lui commença à gémir, annonçant de nouveau un orgasme imminent auquel cette fois il s'était préparé : il voulait tout prendre en bouche et recracher cette fois, pour éviter à la fois de s'étouffer et d'en prendre plein le visage et salir encore plus sa tenue!

L'homme éjacula copieusement dans la bouche de la pute soumise, remplissant chaque centimètre cube de son accueillant hôte.

Alors que les derniers jets l'envahissaient et qu'il recula à fond sur son gode, il eut une drôle de sensation chaude dans son cul... Il se retourna et vit que son gode était au sol. Son regard remonta vers le mur et son cul : à sa stupeur, il comprit qu'il s'était empalé sur une vraie queue, sortie d'un autre trou!

Il en cracha tout le foutre sur le mur de surprise et serra son cul si fort sur la queue que l'homme gémit de plus belle, crachant son ultime semence dans Jordan.

En état de choc, il ne put que regarder la queue se retirer lentement de son cul soumis, noire comme son gode, quasiment similaire, à ceci-prêt qu'elle appartenait à un homme.

- Oh mon Dieu, qu'ai-je fait? S'alarma Jordan, qui sentait le sperme couler le long de son cul et de ses cuisses.