Un Deal Entre Mère et Fils Suite 01

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Maman a un autre secret.
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Un Deal Entre Mère et Fils (suite 01)

Tous les personnages de ce récit sont adultes.

A partir de ce jour notre complicité incestueuse s'établit selon les règles que Maman avait fixées, pour notre plus grande satisfaction à tous deux. Nous les respections tous les deux à la lettre : je ne la touchais pas et elle ne me touchait pas, mais dès que nous en ressentions le besoin, elle comme moi, nous nous masturbions face à face ou côte à côte, allongés sur son lit ou le mien, assis sur le canapé devant la télé, debout dans la cuisine quand nous étions à la maison, ou, à l'extérieur, partout où cela nous était possible sans nous faire remarquer, dans un sous-bois à l'écart, sur une aire d'autoroute hors service mais qui restait accessible, dans une chapelle désaffectée ou dans tout autre lieu où nous étions sûrs de ne pas être vus.

Je ne me lassais pas de la voir se branler robe retroussée et cuisses écartées devant moi, son doigt tourbillonnant sur son bouton érigé et son regard brillant d'excitation fixé sur ma bite turgescente, que j'astiquais avec une frénésie inlassable. Nous parvenions presque toujours à la jouissance au même moment, elle arc-boutée dans le spasme final qui la faisait feuler de plaisir et moi jutant surexcité dans la petite culotte qu'elle avait commencé par me remettre et qu'elle réenfilait comme si de rien n'était dès que j'y avais giclé. Cette habitude avait souvent le don de me faire aussitôt rebander comme un cerf. « La salope! » pensais-je sans jamais la traiter ainsi à haute voix, tant j'étais sûr qu'elle ne l'aurait pas admis. Je n'allais pas risquer de la voir rompre un accord si satisfaisant! Intérieurement cependant, je la traitais constamment de branleuse, de pute, de dix autres termes avilissants, mais je gardais le silence pendant qu'elle, comme énamourée, me ramenait à mes années d'enfance en m'appelant son petit chéri, son bébé d'amour, son cœur... Elle n'éprouvait aucune gêne à étaler pleinement son vice devant et avec moi en actes et en situations perverses mais elle refusait pudiquement de me voir l'exprimer en paroles...

Si, comme je l'ai dit, je n'aurais eu garde de transgresser la règle établie du non-toucher, cela n'empêchait pas mon esprit de vagabonder. Non seulement je la baisais régulièrement cul et con en fantasme sans m'inquiéter de son acceptation, l'obligeant par la pensée à me sucer à fond agenouillée à mes pieds, mais dans le même univers du fantasme je la livrais à toutes nos connaissances, à tous nos voisins et amis et surtout (c'était là que j'atteignais mon plus haut degré d'excitation!) à son propre père, mon grand-père, astreignant la salope à accorder à son géniteur ce qu'elle me refusait...

C'est ce dernier fantasme qui me fit porter une attention plus soutenue à l'attitude de mon grand-père dans les réunions de famille. Jusqu'à présent, j'avais simplement remarqué qu'il manifestait une préférence marquée pour ma mère par rapport à ses sœurs, mes tantes, mais j'attribuais cela à l'inclination naturelle que nous éprouvons tous, pour une raison qui nous échappe, envers une personne plutôt qu'envers un autre. Dès lors que je l'observai plus attentivement, je me rendis compte que le regard qu'il portait sur sa fille n'avait absolument rien de paternel. C'étaient sur ses seins (ses nichons, opulents s'il en était, j'étais bien placé pour en connaître la splendeur...), sur ses fesses (son cul somptueux, dont je rassasiais ma vue jour après jour...) que ses yeux se portaient immanquablement, fouillant son intimité, et lorsqu'il l'invitait à danser, à la fin du repas, il s'arrangeait toujours pour l'entraîner un peu à l'écart de la piste et pour se frotter contre elle dans la pénombre. A partir du jour où ma suspicion fut éveillée et donc ma surveillance devenue plus que vigilante, je ne pus manquer de noter que ma mère semblait de rien remarquer de son pelotage manifeste, en tout cas qu'elle ne faisait rien pour y mettre fin? Qu'est-ce que cela pouvait bien vouloir dire, sinon que si ma mère partageait avec moi un secret inavouable, je n'étais pas le seul à bénéficier de ses abandons incestueux, mais que mon grand-père pouvait quant à lui goûter à des plaisirs auxquels je n'avais pas droit? Le voir en train de la toucher ainsi en catimini alors que personne autour d'eux ne se doutait de rien me mettait dans tous mes états.

Depuis quand cela durait-il? Il fallait à tout prix que j'en aie le cœur net.

J'avais toujours eu moi aussi (mais évidemment, qu'on ne se méprenne surtout pas ici, sur le seul plan de l'affection familiale!) une relation privilégiée avec mon grand-père. Je résolus de prendre le taureau par les cornes et d'avoir avec lui une conversation... éclairante... Il me fallait cependant pour cela une entrée en matière suffisamment convaincante. Grand-père m'aimait bien, je le savais, c'était une affaire entendue, mais serait-il prêt à tout me dire de ses relations avec ma mère sans que je lui apporte la preuve que j'étais au courant?

La solution à mon problème se présenta quelque temps plus tard à l'occasion du mariage d'une de mes cousines. Juste avant de partir pour la mairie, ma mère s'était montrée particulièrement excitée. Elle était entrée dans ma chambre au matin visiblement taraudée par le « besoin » selon son expression, elle avait brusquement découvert le drap sous lequel je dormais nu, m'avait tendu sa culotte d'une main impérieuse et avait commencé à se masturber comme une folle au-dessus de moi en m'enjoignant de l'accompagner dans son branlage :

« Oh viens mon coeur, viens avec Maman! J'en ai besoin, oh j'en ai tellement besoin!»

J'avais évidemment obtempéré, mais sans pouvoir m'empêcher de me poser la question : est-ce que c'était le fait de savoir qu'elle allait retrouver Grand-père pour cette journée de festivités qui la mettait dans cet état? Elle était en tout cas véritablement déchaînée, femelle en chaleur incapable de se contenir et il ne me fallut pas trois minutes pour entendre clapoter sa mouille dans sa moule.

Cette fois cependant, elle ne remit pas sa culotte une fois que j'aie eu giclé dedans à mon habitude. J'y vis immédiatement le signe qu'il allait lui falloir se présenter décemment à Grand-père... Elle ne lui avait sans doute jamais rien avoué de nos petits arrangements secrets...

Comme bien des invités à un mariage, j'emportai avec moi mon appareil photo pour immortaliser cette journée solennelle... et si je le pouvais quelques scènes plus intimes qui... ne concerneraient pas les acteurs principaux, sur lesquels tous les objectifs seraient braqués.

Je n'étais toutefois pas absolument sûr de la réussite de mon plan, compte tenu du nombre de paparazzi familiaux qui allaient me concurrencer dans la célébration de la noce. Grand-père et Maman ne pourraient risquer de se voir pris dans le champ d'une caméra indiscrète et photographiés ou filmés par hasard à l'improviste. Je comptais néanmoins sur le fait qu'ils n'avaient pas si souvent l'occasion de se rencontrer pour se permettre d'en manquer une... J'espérais qu'ils allaient trouver un moyen de s'isoler. En tout état de cause, je n'allais certainement pas les perdre de vue!

La cérémonie à la mairie une fois terminée, l'assemblée se dirigea vers l'église. Je me laissai distancer par Grand-père et Maman. Lorsqu'ils se rendirent compte que je n'étais plus à leurs côtés, ils eurent l'air comme soulagés et échangèrent un sourire complice. Arrivés à l'église, ils laissèrent la procession les dépasser de façon à prendre place au fond, au dernier rang près des fonts baptismaux. Je me dissimulai quant à moi derrière un pilier dans la travée parallèle à la leur, mon appareil photo prêt à fonctionner.

Je n'eus pas longtemps à attendre. A peine les premiers accents de l'orgue eurent-ils retenti que je vis Grand-père se pencher à l'oreille de Maman et lui murmurer quelque chose. Elle lança alors vivement un coup d'oeil autour d'elle pour être sûre que personne ne la regardait (je m'étais vivement rabattu derrière mon pilier), se baissa et, relevant prestement sa robe, ôta sa culotte, une petite culotte noire festonnée de dentelles pour cette fois immaculée.

A ce moment, l'officiant invita l'assistance à s'asseoir, ce que tous firent. Ce à quoi cependant il n'avait surtout invité personne, c'est au petit manège auquel ma mère ne tarda pas à devoir se livrer. Sous les premières mesures du chant d'allégresse qui soudain retentissait sous les voûtes, je la vis s'accroupir dans sa travée et, dévotement agenouillée, sucer avec application la bite paternelle cependant que son géniteur portait discrètement sa culotte à son visage.

Je n'hésitai pas une seconde. Quittant mon pilier, je m'avançais vers eux et mitraillai une scène si édifiante. J'avais désormais de quoi convaincre Grand-père...

Personne, devant nous n'avait rien remarqué. Tout le monde était tourné vers les mariés.

Seuls Grand-père et Maman se tournèrent vers moi. En m'apercevant l'appareil photo à la main, Maman blêmit, mais je crus déceler dans l'oeil de Grand-père un éclair pétillant d'ironie. Une ironie qu'un demi sourire sur ses lèvres vint me confirmer... Je croyais avoir mis en œuvre un moyen pour exercer sur eux une certaine... disons pression, je me trompais : c'était un complice que j'avais trouvé. L'avenir s'annonçait sous les couleurs les plus riantes...

(à suivre)

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 5 jours

Incestes, voyeurisme... très excitant

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