Un Deal Entre Mère et Fils

Un deal entre mère et fils

Ce texte est la traduction librement adaptée de celui publié sur Literotica par Cheat105 sous le titre « Mommy's panties »

J'avais 18 ans et je vivais avec ma mère dans un petit village du Nord de la France. Je n'avais jamais eu de copines et j'étais toujours vierge. Ma mère avait 42 ans mais ne paraissait pas son âge.

C'était l'été qui suivait mon diplôme d'études secondaires. Contrairement à tous mes amis, qui attendaient avec impatience d'aller à l'Université, j'étais triste parce que cela signifiait que j'allais quitter ma mère. J'étais probablement considéré comme un garçon à sa maman, mais je m'en fichais. Elle et moi avions toujours été très proches, surtout après que mon père nous ait quittés quand j'étais petit. Ma mère m'avait élevé seule. Je l'aimais plus que tout au monde et elle m'aimait aussi.

Ce jour-là, je regardai par la fenêtre sa voiture sortir de l'allée et disparaître sur la route. Elle allait faire des courses en ville et j'allais pouvoir me soulager. Il était difficile d'avoir une certaine intimité en vivant avec ma mère et je devais saisir toutes les occasions possibles pour assouvir les fantasmes que je nourrissais sur elle.

Je me dirigeai vers sa chambre, où je trouvai immédiatement ce que je cherchais, son panier à linge sale. Au dessus de la pile se trouvait une culotte en dentelle noire. Je la saisis et la plaçai sur mon visage. L'odeur n'en était pas très forte, mais ça ferait l'affaire. Je quittai sa chambre avec mon trophée et gagnai la mienne. Je m'assis le dos contre la tête de lit, je baissai mon jean et sortis ma bite déjà dressée. Je portai la culotte à mon nez. L'odeur de la chatte de Maman remplit mes narines. Je commençai à me masturber d'une main pendant que de l'autre j'appliquais la culotte sur mon visage.

Soudain, la porte s'est ouverte. Maman se tenait dans l'embrasure! J'étais tellement absorbé par ce que je faisais que je ne l'avais même pas entendu entrer dans la maison. Sous le choc, elle a porté la main à sa bouche :

"Oh mon Dieu! Je suis vraiment désolée, chéri! Je suis revenue parce que j'ai oublié mon téléphone et... oh je suis désolée!" bégaya-t-elle avant de sortir précipitamment.

Je restai assis là, figé, en l'entendant démarrer et quitter la maison pour de bon cette fois. C'était un cauchemar! Ma mère m'avait surpris en train de me masturber, et qui plus est avec sa culotte! J'étais terrifié à l'idée d'avoir ruiné notre relation. Au bout d'un moment, toujours ravagé de honte, je me suis nettoyé et j'ai rapporté la culotte dans le panier où je l'avais trouvée. Puis je suis retourné dans ma chambre, je me suis allongé, j'ai essayé de penser à ce que je pourrais lui dire. Me pardonnerait-elle jamais?

Une heure plus tard j'ai entendu la voiture s'arrêter dans l'allée. Je suis resté dans ma chambre lorsqu'elle est entrée dans la maison, dans le vain espoir de l'éviter. Deux minutes plus tard, elle frappait à ma porte.

"Chéri, je peux entrer?" a-t-elle demandé.

J'étais tétanisé, mais j'ai ravalé ma peur et j'ai décidé de faire front.

"Oui, entre" , ai-je répondu le cœur battant. Puis je me suis assis sur mon lit pendant qu'elle ouvrait la porte.

« Chéri, je pense que nous devrions parler" a-t-elle dit en s'asseyant au pied de mon lit.

Devant le sérieux de son ton, j'ai à nouveau paniqué, le visage cramoisi.

"Je suis vraiment désolé Maman! S'il te plaît, pardonne-moi! Je promets que cela n'arrivera plus jamais... s'il te plaît, pardonne-moi!", ai-je imploré.

En voyant mon désespoir, elle m'a entouré de ses bras.

"Chéri, ça va... calme-toi... je ne suis pas en colère contre toi." m'a-t elle rassuré .

"Tu... tu ne me détestes pas?"

"Quoi? Non bien sûr! Je ne pourrais jamais te détester, je t'aime quoi qu'il puisse arriver" , a-t-elle dit. Je voulais juste parler de ce qui s'est passé, c'est tout.»

Nous sommes restés assis quelques minutes en silence, le temps de me laisser me calmer. Je ne pouvais pas croire qu'elle n'était pas en colère contre moi.

"Je connais ton penchant pour ma culotte depuis longtemps, tu sais. C'est tout à fait naturel mon chéri, ça ne me dérange pas. Je voulais juste te demander, pourquoi ma culotte? Je veux dire que, beau comme tu es, tu pourrais avoir la fille que tu veux." a-t-elle repris

J'étais encore un peu nerveux, mais j'ai décidé de lui dire la vérité. Après tout, Maman et moi ne nous étions jamais mentis.

"Eh bien... ça a commencé il y a des années, peu de temps après que j'ai commencé à... à le faire... Un jour, je... le faisais dans la salle de bain et j'ai vu une de tes culottes par terre. Je l'ai ramassée et... je l'ai sentie. » Je me sentais gêné d'avouer tout cela, mais soulagé de pouvoir enfin me livrer.

"Hum... eh bien, nous allons faire un marché. Tu peux utiliser ma culotte autant que tu veux, parce que je comprends que tu as tes besoins, mais tu dois me l'apporter quand tu as fini, pour que je puisse la laver avant qu'elle soit tachée. » a-t-elle déclaré.

Qu'est-ce qu'elle venait de dire! Elle ne pouvait pas être sérieuse! Mais son visage impassible me disait le contraire.

"Es-tu... tu es sérieuse, maman?" ai-je demandé.

« Bien sûr que je suis sérieuse. Je te l'ai dit, je comprends que tu aies tes besoins. Et si ma culotte est le seul moyen pour toi de les satisfaire, alors quel genre de mère serais-je pour te refuser cela? D'ailleurs, ce ne sont que des culottes, où est le mal?" a-t-elle répondu..

Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. Comment pourrais-je ne pas accepter son offre?

"Oh wow, merci Maman. Tu es la meilleure maman de tous les temps, je t'aime.' me suis-je exclamé.

"Et toi le meilleur fils, je t'aime aussi. Maintenant, je vais préparer le dîner." a-t-elle dit en se levant et en quittant ma chambre.

Je suis resté assis seul, abasourdi et essayant d'assimiler ce qui venait de se passer. Ma mère m'avait surpris à me branler avec une de ses culottes et elle me donnait la permission de recommencer!

Au bout d'un moment, j'ai l'entendu m'appeler de la cuisine.

"Chéri, le dîner est presque prêt!"

J'ai enfilé un t-shirt et je me suis dirigé vers la cuisine. Maman se tenait devant le fourneau et m'a demandé :

« Tu peux mettre le couvert? »

J'ai mis la table et nous avons commencé à manger.

"Alors, mon coeur, as-tu déjà trouvé où tu veux aller à l'université? » m'a-t-elle demandé.

J'avais en fait été accepté à Lille, mais je ne le lui avais pas dit parce que j'avais tellement peur de déménager loin d'elle et que je savais qu'elle insisterait pour que j'y aille. Mais comme elle me le demandait, je savais que je devais lui dire la vérité.

"Oh mon Dieu, c'est génial, chéri! Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt? C'est une super école! » s'est-elle exclamée.

Heureusement, nous n'avons rien dit d'autre sur le sujet. Je pense qu'elle pouvait sentir mon malaise en parlant de ça et elle ne voulait pas insister. Elle s'est levée pour faire la vaisselle. La vision de son cul tendu alors qu'elle se penchait au-dessus de l'évier m'a fait bander, alors je me suis levé et je suis allé au salon. Je me suis assis sur le canapé et j'ai allumé la télé, en espérant que mon érection disparaîtrait. Puis j'ai entendu ma mère finir son travail dans la cuisine. Elle est entrée dans le salon et s'est arrêtée quand elle m'a vu. Elle s'était manifestement rendu compte de mon état...

"Je vais aller me doucher, chéri. Et peut-être que plus tard, nous pourrons trouver quelque chose sur Netflix. Ça te semble bien?" a-t-elle dit.

"Ou... oui, ça a l'air bien", ai-je répondu en essayant de ne pas regarder son chemisier, que de l'eau avait mouillé quand elle faisait la vaisselle, le plaquant sur son soutien-gorge.

J'avais désespérément envie de me branler. Maman a quitté la pièce et j'ai attendu quelques minutes jusqu'à ce que j'entende enfin couler la douche. Je me suis levé du canapé pour gagner ma chambre le temps de me soulager. En passant dans le couloir devant la salle de bain, j'ai remarqué quelque chose accroché à la

poignée de porte. C'était une culotte en coton jaune, la culotte de Maman, chaude encore de son intimité. Je m'en suis emparé et me suis précipité dans ma chambre, où j'ai tout de suite porté la culotte à mes narines. Non seulement elle était chaude, mais elle était encore humide. Je t'aime Maman, pensais-je. Elle m'avait laissé la culotte qu'elle avait porté toute la journée.

J'ai immédiatement commencé à me branler. Je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Avant même de m'en rendre compte, je giclais dans son entrejambes. La culotte était remplie de sperme... Je remettais mon boxer et mon short, quand j'ai entendu frapper à ma porte.

"Entre", ai-je dit.

Ma mère est apparue, rhabillée. Ses cheveux étaient encore humides de la douche.

"Je vois que tu as reçu mon cadeau... a-t-elle dit en regardant sa culotte... et que tu t'en es servi...".

"Ou... oui... " ai-je balbutié.

"Bien chéri, maintenant donne-la moi pour que je la lave. Tu peux aller nous choisir un programme, je n'en ai pas pour très longtemps », a-t-elle demandé.

Je suis allé dans le salon où je me suis assis sur le canapé avec la télécommande et j'ai regardé les différents films proposés sur Netflix. Au bout d'un moment, je me suis demandé pourquoi Maman n'arrivait pas. Qu'est-ce qui pouvait lui prendre autant de temps? Lorsqu'elle est enfin arrivée quelques minutes plus tard. Ses joues étaient rouges.

« Qu'est-ce qui t'a pris si longtemps?" ai-je demandé.

"Oh... euh... rien. Je ne sais pas vraiment si je suis vraiment prête à regarder quelque chose ce soir, je me sens un peu fatiguée, mon chéri" a-t-elle déclaré.

"Oh... ok maman. Tu te sens bien?" lui ai-je demandé.

"Oui, oui... Bonne nuit, chéri." m'a-t-elle dit. Puis elle s'est penchée, a embrassé le haut de mon crâne et s'est dirigée vers sa chambre.

Il y avait là quelque chose de bizarre. Je me demandais ce qui se passait. Elle avait l'air plutôt drôle. J'espérais qu'elle allait bien.

Au cours des semaines suivantes, cela devint un rituel. Tous les soirs, ma mère allait prendre une douche et elle laissait sa culotte du jour accrochée à la poignée de porte de la salle bain. Je me branlais avec dans ma chambre et elle venait la récupérer. Au bout d'un certain temps, vu celui qu'elle mettait à la laver j'ai fini par me demander ce qu'elle faisait exactement avec elle.

Un jour, après qu'elle soit rentrée du travail, j'étais assis dans le salon, quand elle a déclaré qu'elle allait prendre une douche, comme à l'accoutumée. J'ai attendu quelques minutes jusqu'à ce que j'entende la douche couler puis je me suis dirigé vers ma chambre. Comme d'habitude la culotte de Maman était accrochée à la poignée de porte de la salle de bain. Je l'ai emportée dans ma chambre Peu de temps après que j'aie eu juté dedans, Maman est venue la récupérer. Je la lui ai tendue et j'ai attendu un moment, le temps qu'elle descende dans la buanderie. J'y suis alors descendu à mon tout. La porte était entrebâillée...

Elle avait le dos tourné mais elle avait relevé sa jupe par devant et sa main droite s'agitait sur sa chatte. Je ne pouvais en croire mes yeux : Maman se masturbait, sa culotte souillée de mon sperme à la main gauche. J'ai bandé instantanément et c'est alors qu'une idée folle m'est venue à l'esprit... J'ai poussé la porte et me suis lancé :

"Dis Maman, je pourrais me redonner cette culotte? J'ai encore envie!"

Elle a sursauté et s'est rapidement retournée.

J'ai feint la surprise :

"Maman qu'est-ce que tu fais?

"Je... j'étais... » Et tout à coup elle a craqué :

« Oh et puis tant pis! Tu vois, chéri, Maman aussi a des besoins. »

Puis elle a ôté sa jupe, me dévoilant une culotte en dentelle noire qu'elle a commencé à baisser. J'étais incapable de détourner mon regard : pour la première fois je voyais la chatte de ma mère, ses lèvres roses et gonflées brillantes de sa mouille.

Elle m'a tendu sa culotte. J'étais encore sous le choc. Je n'arrivais pas à croire à ce qui se passait.

"Prends-la, chéri" a-t-elle dit en se mordant la lèvre.

Comment aurais-je pu refuser l'offre? J'ai tendu la main et, tandis que Maman me souriait, j'ai pris la culotte. Je pouvais sentir à quel point elle était trempée. Il fallait à tout prix que je me calme! J'étais en train de me retourner pour quitter la pièce et gagner ma chambre, quand Maman m'a arrêté.

"Non chéri, fais-le! », a-t-elle dit en se mordant la lèvre une fois de plus .J 'ai hoché la tête en réponse et j'ai lentement baissé mon jean, lui exposant ma queue dressée.

Une brusque lueur s'est allumée dans ses yeux. Elle a immédiatement commencé à se doigter la chatte pendant que je me branlais devant elle. Cela a duré encore quelques minutes, je me rapprochais de l'orgasme et à en juger par les gémissements de Maman, elle en était proche elle aussi.

"Mmm... Maman, je suis sur le point de juter... . mmm... Je jouis!!!", ai-je crié, et j'ai giclé dans sa culotte.

"Oooh... oui mon bébé, jouis pour Maman... ooohh... je jouis aussi, mon chéri!" s'est-elle écrié en tremblant de tout son corps.

Nous sommes restés tous les deux silencieux pendant quelques minutes.

"Je vais la reprendre maintenant," a dit Maman au bout d'un moment.

J'ai lui ai tendu sans rien dire sa culotte remplie de sperme. Elle l'a regardée un instant, puis... elle l'a enfilée sous mes yeux ébahis!

"Eh bien, chéri, je pense que je vais préparer le dîner." a-t-elle dit en souriant et en quittant la buanderie.

Je ne pouvais pas y croire. Maman venait de remettre la culotte dans laquelle j'avais joui il y avait tout juste cinq minutes!

Ce soir-là, nous avons dîné sans rien dire, puis Maman est allée faire la vaisselle pendant que je regardais la télévision dans le salon. Quelques minutes plus tard, elle s'asseyait sur le canapé à côté de moi.

"Je pense que nous devrions clarifier les choses » a-t-elle dit.

"Ou... oui Maman » ai-je balbutié avec un soupir de soulagement, mais aussi bouleversé à l'idée qu'elle allait dire que nous ne pourrions plus jamais recommencer..

"Chéri, ce que nous avons fait était mal." , a-t-elle commencé.

J'ai immédiatement senti mon cœur se serrer. Je savais que ce que nous savions fait était mal et je savais que Maman penserait que c'était mal aussi, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.

"Mais... je pense que c'était sain." , a-t-elle continué.

" Sain? », ai-je répété, éberlué..

"Oui, comme je te l'ai dit, nous avons toi et moi nos besoins. C'est pourquoi je pense que nous devrions continuer. Mais... il faut que nous fassions... un arrangement,. Nous pouvons satisfaire nos besoins en même temps ensemble. Mais, chéri, tu dois comprendre, nous ne pouvons jamais nous toucher, seulement nous regarder le faire. Ce que nous faisons est déjà assez mal, mais nous ne pouvons pas aller plus loin » a-t-elle conclu.

J'avais du mal à croire à ce que je venais d'entendre. Je n'aurais jamais imaginé que Maman voudrait continuer. Je recommençais à bander rien que d'y penser.

"D'accord maman", ai-je murmuré d'une voix tremblante.

"Eh bien, alors chéri. Maintenant que c'est réglé, je vais me coucher. Bonne nuit mon cœur.."

Elle s'est ensuite levée du canapé et a quitté le salon.

"Bonne nuit Maman." ai-je chuchoté alors qu'elle n'était plus là...

(à suivre).