Maman en Chaleur Hypocrite

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Une mère humilie son fils en le masturbant.
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Maman en chaleur hypocrite

Les personnages de ce récit sont tous majeurs.

Il était tard mais je n'arrivais pas à dormir, encore tétanisé par ce qui s'était passé cet après-midi-là. Ma mère m'avait surpris, moi son fils de 18 ans, en train de me branler dans la salle de bain, dont la porte ne fermait plus depuis plusieurs semaines, et m'avait obligé à continuer à le faire devant elle. Après m'être piteusement nettoyé comme elle me l'avait ordonné, j'étais retourné dans ma chambre, penaud. Mon exemplaire de "Salopes en chaleur" n'était plus là, ma mère avait dû le confisquer et son intrusion dans la salle de bain ne devait sans doute rien au hasard : elle était venue me demander des comptes. J'étais resté dans ma chambre pendant deux heures avant que la faim ne me fasse descendre.

Ma mère épluchait des pommes de terre pour le dîner et me tournait le dos. Je restai en retrait, le cœur battant, incertain de l'accueil que je recevrais.

"Tu peux prendre deux biscuits dans la boite, pas plus", me dit-elle sans se retourner. Je la remerciai, soulagé.

Le dîner fut calme, comme d'habitude. Après les grâces que ma mère me lut dans sa bible, nous avons mangé sans parler. Je suis ensuite allé dans le salon et j'ai regardé la télévision pendant que ma mère faisait la vaisselle.

Au bout d'un moment, elle est entrée, s'est assise à côté de moi sur le canapé et a regardé l'émission qui venait de commencer. Je réalisai avec horreur qu'elle était consacrée à la masturbation. J'aurais voulu changer de chaîne mais je n'osais pas, le visage rouge pivoine. Ma mère m'a regardé longuement mais n'a pas dit un mot. Heureusement, après une demi-heure pleine de tension, un vieux film de science-fiction a suivi et ma mère a quitté la pièce.

Allongé dans mon lit, je pensais au fait qu'elle n'avait pas parlé de la scène de l'après-midi. C'était comme s'il ne s'était rien passé.

Je me suis figé brusquement lorsque la porte s'est ouverte. Dieu merci, je n'étais pas en train de me branler!

Ma mère est entrée dans ma chambre. Elle portait la chemise de nuit en pilou que je lui avais toujours vu depuis des années et qui commençait à s'effilocher au niveau des poignets et de l'ourlet. Elle s'assit au bord du lit. Je me recroquevillai sous les couvertures, ne sachant pas quoi dire.

"Ce que tu as fait aujourd'hui était honteux.", a-t-elle déclaré.

J'ai rougi à nouveau. Pendant un moment, j'avais espéré qu'elle n'en parlerait pas.

Elle a continue :

« Est-ce que tu fais ça souvent?

J'ai secoua la tête négativement. Je n'aurais pas pu lui dire que je me branlais en pensant à elle deux ou trois fois par jour, parfois même plus.

Elle découvrit brusquement les couvertures.

"Tu ne l'as pas fait depuis cet après-midi, n'est-ce pas?"

"N.. non....".

Ma mère a alors examiné les draps pour vérifier. Ils avaient été changés le matin et, Dieu merci, je n'avais pas eu l'envie de me masturber sous le choc de ce qui s'était passé. Il n'y avait donc pas de taches de sperme.

« Es-tu obligé de faire ça? » a-t-elle demandé.

-Co... comment?

-Ce que tu faisais cet après-midi, tu es obligé le faire?

-Eh bien..."

Elle a reniflé.

"Tu es comme tous les hommes, n'est-ce pas, tu es incapable de te contrôler?"

Je ne savais pas trop quoi dire. Elle soupira.

"Je suppose qu'on ne peut pas combattre la nature. Les hommes sont ni plus ni moins des animaux. »

Je n'étais pas sûr de savoir où elle voulait en venir.

"Tu sais que la masturbation est un péché?"

-Je... oui.."

Elle se leva soudain

. -"Attends ici et ne bouge pas."

Elle quitta alors la pièce d'un pas déterminé. Je me demandais si je devais rabattre mon drap lorsqu'elle revint au bout d'un moment avec une serviette.

"Mets ça ça sous toi," dit-elle en me la tendant. J'ai obéi et elle a saisi ma queue.

"Pourquoi n'es-tu pas en érection?" a-t-elle demandé avec impatience. Que fais-tu habituellement pour ça? Tu étais dans un autre état cet après-midi! Oh, oui, tu pensais sans doute à ce magazine que j'ai trouvé dans ta chambre et que j'ai jeté! Quelle revue dégoûtante! Qu'est-ce qui peut bien t'exciter là-dedans? Les photos de femmes nues?"

Sans attendre ma réponse, elle a lâché mon pénis et a déboutonné le haut de sa chemise de nuit. Elle était nue en dessous et pour le première fois de ma vie j'eus la vision de ses seins nichons pendants et ses mamelons bruns.

"Tu ne les touches pas, mais tu peux regarder si cela peut t'aider."

Elle plaça ses mains sous ses seins et releva ces derniers pour que je puisse bien les voir.

"Ah." a-t-dit en remarquant que ma bite bougeait légèrement.

Elle a alors laissé tomber ses seins mais les a gardés exposés, puis elle a commencé à me branler. Je bandai aussitôt.

"Tu es dégoûtant! Tu n'es toujours pas assez fort pour arrêter!" grommela-t-elle. Bon, je vais te masturber Essaie juste d'en finir le plus vite possible... et de ne pas en mettre partout."

J'écartai les jambes et fermai les yeux pendant que sa main commençait à aller et venir sur ma queue.

"Je suppose que tu dois penser à des choses vicieuses, n'est-ce pas?", me demanda-t-elle.

"Ou... oui Maman...

-Alors regarde mes seins, dit-elle sèchement. Je veux que tu saches que je pense que c'est dégoûtant, je veux que tu en finisses le plus vite possible! »

Je portai un regard timide sur ses gros nichons. Ils bougeaient légèrement au rythme de sa main.

" Ça t'excite de me regarder, hein?"

"Oh oui Maman", me suis-je exclamé en sentant sa main se resserrer sur ma bite.

"Tu es vraiment pervers! M'as-tu déjà vu me déshabiller? »

Je détournai le regard en rougissant

« Ou... oui Maman » ai-je avoué.

"Regarde-moi,"dit-elle sèchement.Est-ce que tu t'es masturbé pendant que tu me regardais?

-N...non, pas quand je te regardais....

...

"Après, n'est-ce pas? Tu es retourné dans ta chambre et tu l'as fait, hein?"

J'étais trop bouleversé pour nier. Ma mère le savait de toute façon.

"Hmmm. Et quand tu t'es masturbé, as-tu pensé à venir derrière moi et à regarder mes fesses?"

Je haletais, incapable de répondre. Elle a continué :

"As-tu rêvé que je me retournerais et ouvrirais ta braguette?"

Sa main agitait ma queue de plus en plus vite.

"As-tu rêvé que je sortirais ton sexe, que je me mettrais à genoux et que je la prendrais dans ma bouche?"

A cette image, je ne pus me retenir :

"Oui. Ouiiii!!! Ah putain! " Le mot m'a échappé malgré moi sous le coup de l'excitation.

Ma mère me branlait frénétiquement à présent.

-"Allez, vicieux! Dépêche-toi! »

Elle se cambra, nichons offerts. "Touche mes seins si ça te permet

d'en finir!

"Putain. Oh bon Dieu, putain!"

Je tendis avidement la main. Sous mes doigts, je sentis ses tétons durcis. Je jetai un regard furtif sur son visage : les yeux fixés sur ma queue, elle semblait comme hypnotisée.

J'étais comme hors de moi, aucune barrière ne me retenait plus :

« Oui, oui, ouiiiii!!! Branle comme ça, oh putain, putain, putain, je vais jouir! »

Et, arc-bouté sous l'effet du plaisir, je jutai convulsivement sur ses seins, sur ses mains, sur les draps. Une dernière giclée atteignit ses lèvres.

Nous nous tenions à présent immobiles?, essayant tous deux de maîtriser notre respiration.

Lorsqu'elle parla enfin, ce fut, avant de quitter la chambre, pour me traiter une fois de plus de pervers, d'animal incapable de se maîtriser.

Mais je savais désormais que c'était là pure hypocrisie de sa part et que bientôt elle ne pourrait s'empêcher de revenir calmer mes pulsions... et les siennes...

(à suivre)

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