Un Couple Ordinaire (02)

_Mon dieu!!! Vous êtes combien?

Paul, lui pose les mains sur ses épaules et lui enlève le bandeau. Elle regarde autour d'elle, ses yeux s'habituent peu à peu a la lumière diffuse. Elle sourit en mettant ses mains devant ses yeux.

_Hoooo! mon dieu, vous êtes 5, je sentais bien qu'il y avait quelque chose, mais 5!!!!!!!

Paul:

&Tu as peur? C'est trop? Ta copine m'a dit que je pouvais.

_ Euh...,Non,........je veux bien essayer, mais, Cheri...... tu vois ces queues, surtout lui, vous allez me déchirer. Chéri, tu vas être heureux, Françoise me le payera, je vous en prie soyer doux.

_Si tu veux arrêter Chérie??????....

_NON, PAS MAiNTENANT!!!

Elle est donc assise, entourée, de 5 bites en ruts. Elle se met a genoux, et embrasse chaque membres du bout des lèvres, puis tient une bites dans chaque main elle suce la troisième pendant quelques secondes puis change de partenaires, nous suçant a tour de rôle. Encore une fois, c'est Paul qui lance les hostilités quant elle a le cul tourné vers lui, il se met à genoux et enfile sa queue dans la chatte offerte devant lui. Elle pousse un soupir, et actionne son bassin d'avant en arrière. Elle continue a nous sucer avec avidité. Devant ce spectacle, je décharge mon sperme, une première giclée l'atteint sur le menton, elle lâche la bite qu'elle suce et enfourne la mienne pour avaler les jets suivants. Elle me sourit, puis fait une grimace, émet une plainte lancinante, je comprends qu'elle souffre, en effet , Paul l'a attrapé sous le ventre, la soulève, ses genoux ne sont plus sur le matelas, et lui enfonce toute la longueur de sa pine, il ferme les yeux et jouit, vidant ses couilles au font du ventre de ma femme qui tient en équilibre sur sa queue et ses avant bras. Il la laisse retomber, se retire et se recule pour reprendre son souffle. Il est très vite remplacé par un autre, ce n'est pas celui qui a la plus grosse bite, mais il est du même gabarit que Paul , il commence à la baiser lentement, elle a le monstre dans la bouche, il est très profond, Elle le tient d'une main, qui appuie contre sa bouche. Elle l'empêche d'aller plus profond, mais entre son petit doigt et le ventre de l'homme il y a la place d'une autre main. Elle le fait sortir de sa bouche, dit a l'autre homme qui est dans sa chatte

_Attend, je vous veux tout les deux, couche toi, je vais me mettre sur toi

Il s'exécute, se couche, il tient sa bite droite d'une main, a ma surprise, elle l'enjambe, lui montrant son dos, s'écarte les fesses et se laisse descendre lentement sur sa queue. Elle grimace, souffle, mais glisse doucement jusqu'à ce que son cul touche le ventre de l'homme, elle marque un temps d'arrêt, puis en regardant l'autre qui se branle lentement, elle monte et descend sur la queue, qui est bien plantée dans son cul. Elle fait une dizaine de vas et viens , puis s'allonge sur le dos. L'autre comprend l'invitation, en voyant la chatte bien ouverte et suintante de mouille et de sperme, vient se mettre entre leurs jambes, et entre sa bite dans la grotte accueillante. Elle pousse de petits cris,

_ Hum!!! c'est bo.....n! Oui! Oui! Baisez moi!.........fort!!!!!, merci........Cheriiiiiiii! Mon dieu, ils vont me détruire.

Paul, tout comme moi, s'astique, en regardant le tableau. Je suis abasourdi, le troisième homme lui a prit la bouche, mais c est elle qui mène le jeu, elle ne subit pas comme avec les jumeaux, elle baise ces trois hommes . Elle donne des coup de reins, la bite dans sa chatte ne peux entrer en entier, l'autre dans son cul, par moment est prête à sortir, mais elle s'enfonce jusqu'aux testicules, Christine hurle, de plaisir mélangé à la douleur, elle a un orgasme dévastateur, elle ne réagit plus, elle rebondie entre les deux sexes comme une poupée, le troisième vide son sperme a moitié dans sa gorge et sur son visage. Elle ne redescend pas, elle plane. C'est à peine si elle réalise qu'elle change de partenaires, Paul est dans son cul, et moi dans sa chatte. C'est inimaginable, je prends ma femme en même temp qu'un autre. La sensation est indescriptible, je sens la queue de Paul glisser contre la mienne Je ressens les palpitations de son sexe, Je remplis la chatte de mon jus, mélangé au sperme des autres.

Pendant plus de 2 h, on va user et abuser de Christine, qui va voguer d'orgasmes en orgasmes, plusieurs fois, elle est a la limite de la perte de conscience. Tous les hommes l'aurons prise devant et derrière, même plusieurs fois, elle a avalé plusieurs fois notre sperme. Le plus dur pour elle c'est quant elle a voulu s'assoir sur la longue et grosse queue, elle n'avait que le gland, qu'elle grimaçait , et hurlait de douleur, on a voulu la dissuader, mais elle a insisté , et a fini, avec les yeux pleins de larmes, par la prendre en entier, il la mise a genoux, en levrette, et il la pilonnée, jusqu'au moment où il l'a remplie de sperme en une longue plainte, ses couilles claquant contre sa chatte, nous étions tous assis à nous branler, abasourdis par le spectacle. Nous sommes tous épuisés, les corps couvert de sueurs. Christine en plus de la sueur est gluante de sperme, sa bouche, ses cheveux, son visage, de sa chatte et de son cul, coulent de longs filets de jute. Sa chatte est rouge, boursouflés . Son anus a du mal à se refermer.Les trois hommes nous salut, embrasse ma femme en la remerciant, Paul nous dit de le suivre pour prendre un dernier verre et nous montrer les sanitaires. Ils nous donne des serviettes, que nous mettons autour de la taille. Elle sont minuscules, et cachent a peine nos fesses, Christine a les seins nus, il nous dit que nous pourrons récupérer nos vêtements ici avant de partir. On le suit, on passe dans une sorte de couloir, d'un côté il y a 3 rangs2 de gradins et de l'autre côté une grande vitre, en regardant mieux, je m'aperçois, que derrière la vitre, se trouve la pièce ou l'on était . Je le fais remarquer à Paul, qui m'explique que nous avons été vu par tous ceux qui le voulaient, c'est le but du club, baiser, voir être vu. Décidément, cette soirée est pleine de surprises . Arrivé au bar, on s'assoit sur de grands tabourets de bar, Paul passe derrière et revient avec 3 coupes de Champagne.

_Je vais faire préparer vos cartes , vous avez gagnés le statut de ''VIP''. Ma secrétaire va venir vous prendre en photos, juste une photo d'identité. Tu sais Christine, tu es canon, et un super bon coup, Yves a beaucoup de chance, de plus vous êtes un couple très équilibré, j'espère qu'à l'avenir, je pourrais profiter de tes faveurs , mais sachez qu'il n'y a aucune obligation.

Christine lui demande :

_ Les 3 hommes qui sont venus, ce sont des habitués?

_Non, c'est mes employés, ils sont là, pour satisfaire certains clients et clientes, il y a également 5 jeunes femmes, je vous les présenterai.

La secrétaire arrive, pose son ordinateur portable sur le bar, a tour de rôle on passe devant l'écran et elle fait un photo. Elle nous dit que dans 10 mn nos pass seront prêt. Paul nous indique les douches, ce sont des cabines en lignes, ouvertes, comme dans une salle de sport, sauf que c'est mixte, mais bon tout le monde est à poils. Je pousse ma femme dans une cabine, l'eau chaude nous fait un bien fou, je savonne Christine avec un gel prit au distributeur sur le mur, il sent le monoï, c'est tres agréable, je la nettoie de partout, elle se laisse faire, malgré les personnes qui vont et viennent , elle n'a plus aucune pudeur, a son tour elle me lave, insiste sur ma queue qui reprend un peu de vigueur.

La toilette terminé, nous voilà main dans la main, entièrement nus, déambulant, dans les couloirs et les différentes pièces, on trouve une pièce, avec une croix de saint André, une balançoire en chaîne, et un poteau au milieu de la pièce ou une femme d'un certain âge est attachée et se fait flageller par un homme au ventre bedonnant, elle crie et pleure, entrainant son rimmel sur les joues, Des couplent assistent en faisant l'amour debout, ou couchés sur les matelas à même le sol. Un peu plus loin, on débouche dans une salle entièrement carrelée, avec 4 jacuzzis , il y a de la place, Christine me fait descendre dans l'un d'eux, c'est très agréable, en face de nous, 2 femmes se caressent et s'embrassent, sur le côté, un homme se masturbe doucement, Christine se penche sur mon épaule :

_Je t'aime mon chéri, tu m'as fait vivre quelque chose que je n'imaginais pas. Je suis heureuse, et j'accepte que l'on me voit nue, j'éprouve même du plaisir, c'est fou .

L'homme c'est déplacé, il est a côté de Christine, il lui prend un sein, et le caresse , elle lui sourit, mais lui retire la main, il lui rend le sourire et dit :

_Dommage.

D'un commun accord, on récupère nos cartes, puis on va reprendre nos vêtements et après avoir salué et remercié Paul, nous partons.

Voilà, 1 mois que cette soirée est passée, nous voila de nouveau samedi et nous attendons nos amis Françoise, Jean et Jacques les jumeaux. Il n'y a plus d'ambiguïté , nous allons baiser ensemble comme a chaque fois que nous nous réunissons . Le repas est prêt, j'ai pris un short et une chemisette, ma femme une mini jupe sans culotte, elle n'en porte plus, même pour le travail, et sur ces seins, un simple foulard noué dans le dos.

Quand ils arrivent après les embrassades, apéritif et repas, le repas terminé, Jacques a attiré Christine sur ses genoux, le foulard ne tient pas longtemps sur sa poitrine, il suce les mamelons, qui prennent vite du volume, Francoise qui aime faire des pipes, a défait le pantalon de son mari, et baissé mon short, et nous suce avec ardeur. Plus d'une heure est passé, les jumeaux ont bien profités de ma femme, et moi de mon côté , j'ai exploré tous les orifices de Françoise.

On prend une petite pause devant un alcool, je suis étendu sur un transat, et je regarde les deux femmes sur la balancelle qui discutent. Jean approche un transat a côté de moi:

_Elles sont belles, ne trouve tu pas? J'aime enculer ta femme, elle a des orgasmes ravageurs et c'est très stimulant, de toutes façons, j'adore la sodomie.

Tout en discutant, la main de Françoise s'est emparé du sein de ma femme, elle lui titille le téton, jouant malicieusement avec, etant donné que Christine aime particulièrement cela, elle se laisse aller en arrière offrant d'avantage sa magnifique poitrine. Je me délecte du spectacle . C'est la première fois qu'elles se touchent en notre présence, même si l'on sait très bien qu'elles étaient amantes a l'université. Visiblement elles y retrouvent beaucoup de plaisir, Christine s'est laissée glisser, Françoise lui suce un seins, tire le mamelon de sa main, l'autre étant enfouie dans sa chatte, trois ou quatres doigts vont et viennent faisant un bruit de succion et de clapotis. Je me caresse le sexe, absorbé par cette vision.

Soudain, la main de Jean se pose sur ma fesse, je suis surpris, il la glisse sur mon ventre.

_Je peux t'aider?

Je ne réponds pas, trop surpris, le prenant pour une acceptation, il empoigne ma queue et commence un doux branle. Sans trop réfléchir, j'écarte les jambes, il en profite pour me masser le cul avec son autre main . Pourquoi je ne réagis pas, et lui s'enhardit, et me masse l'anus, il mouille son doigt de salive, et me pénètre lentement. Je suis pris entre la culpabilité de me laisser faire et le désir de découvrir une nouvelle sensation.

Jean a compris que je ne résistai pas, Il lâche ma bite qui est bien raide, me prend par les hanches et me fait glisser, le cul au bord du transat, il me monte les jambes sur ses épaules, ouvrant mon cul en grand, il mouille encore des doigts et un après l'autre, les enfile dans mon antre avec des mouvements circulaires, je trouve cela agréable.

_Tu aimes? A tu déjà été pris par là?

_Non!........ mais......... j'aimerai bien.........., soit doux.

J'en reviens pas, je lui demande de m'enculer, jamais je n'ai été attiré par les hommes, mais j'ai très envie d'avoir sa bite en moi.

Volontairement, sans un mot, je me positionne a quatre pattes sur le matelas du transat. Jacques et en face de moi, et se masturbe regardant, alternativement les femmes et son frère et moi. Jean se place derrière moi, je sens sa bite contre mon cul, il crache dans ses doigts enduit sa queue, pousse légèrement. Malgré moi, je me contracte , il me caresse la fesse, me dit que tout va bien, brusquement il me claque la fesse, sous la surprise je me relâche, il en profite pour entrer son gland. Je suis surpris, cela ne me fait pas mal, juste une petite gêne, pas plus. Mais le bruit de la claque a fait réagir les femmes, elles me regardent toutes les deux, un sourire sur leurs lèvres, ma femme m'envoie un baiser avec sa main. Je suis soulagé, j'ai crains sa réaction. Étrangement je me sens bien. Il ne bouge pas, je m'habitue progressivement à cet intrus. Jean passe ses mains sous mon ventre, remonte à ma poitrine, il titille mes tétons, ils réagissent, ils gonflent, les aréoles se tendent, deviennent coniques, et les mamelons sont turgescentes, je n'y crois pas.

_C'est bien, pas beaucoup d'hommes bandent des seins, tu as des prédispositions pour avoir et donner du plaisir .

C'est Jean qui vient de me faire ce compliment. j'en éprouve de la fierté. Il commence a s'enfoncer très lentement, je serre les dents, une étrange brûlure m'envahit, il me semble que mon intestin se déchire, il marque un temp d'arrêt, je respire très vite, je pense même à lui dire d'arrêter, mais si je le fais a ma femme, je dois pouvoir l'accepter. Il recommence à progresser, je pousse un petit cri de douleur, j'ai très mal, j'ai cette impression d'être déchiré, avec une envie de repousser l'intrus, même une envie d'aller aux toilettes , Il ne bouge plus, me tire légèrement sur les tétons . Je me détends, la douleur s'estompe un peu, mais elle est toujours là. Pourtant, Jean se retire lentement, sans sortir, puis revient en place. Il fait ça une dizaine de fois, la douleur s'en va au fur et à mesure.

Il va de plus en plus vite, et je me surprends à reculer mes fesses vers sa bite, une douce chaleur m'envahit, je pousse de petits ( han! han! ) chaque fois qu'il me pousse. je prends vraiment du plaisir, je ne pensais pas que se soit possible. Jacques se lève la bite bien raide a la main et je comprends vite son intention, j'ouvre la bouche. J'entends les femmes applaudir, je suis pris à la broche.

Mes sentiments se bousculent dans ma tête et dans mon corps, la bite de jean vient tapper contre ma prostate, déclenchant d'innombrables frissons, celle de Jacques contre mes amygdales, mon sexe se gonfle, je décharge sans même me toucher ou même être branlé. Ma jouissance est extrême, il me semble avoir de l'électricité tout le long de la colonne vertébrale. Jacques se vide dans ma gorge et par réflexe j'avale la totalité, puis c'est au tour de Jean d'envoyer sa sauce dans mon cul, c'est agréable de sentir les contractions de cette queue qui envoie de grandes giclées chaudes. c'est presque avec regret que je sens sa queue ramollir et sortir de mon cul.

Ma femme ce lève, vient vers moi, plaque sa poitrine contre mon torse et me roule un patin bien baveux, je suis aux anges .Je pense au chemin parcouru en quelques mois, des fantasmes a la réalité, ma chérie, nue avec nos amis, Jean la tient les épaules contre terre, il lui a replié les jambes sur sa poitrine elle a le cul et la chatte pointé en l'air complètement ouverte, il l'encule a grands coups de bite. Ou est la femme BC BG, elle va au travail nue sous ses jupes qui ont bien raccourcis, ne porte plus de soutiens gorge, elle m'a même dit, que certains jours, suivant les clients prévus, elle se mettait nue sous sa blouse blanche,

dèboutonnait deux boutons en haut pour voir le regard et la gêne des hommes sur le siège de son cabinet.

Tous les samedis soir, on s'envoie en l'air, soit au club ou avec notre trio favori. On pense même à élargir notre groupe d'amis.

Je l'entends crier, elle a un ultime orgasme, je passe ma main derrière moi, j'ai du sperme qui coule de mon cul.

Je souris.............