Un Couple Ordinaire (02)

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L'acceptation, la débauche, le sexe en groupe.
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Le soleil perce au travers des persiennes, un rayon me chauffe le ventre, et barre les seins de ma femme qui dort, nue , alors que d'habitude, elle ne se sépare pas de sa chemise de nuit . Elle est très belle, impudique, et son corps porte les traces de la veille. Elle est couverte de sperme, le ventre, les seins et même la figure et les cheveux. Sous ses fesses le drap est souillé, son cul et sa chatte s'étant vidés .Je me commémore la soirée, et je revois tout ce que Christine a subie, elle , la bourgeoise de bonne famille.

Je me lève, passe sous la douche, et je vais préparer un bon petit déjeuner. En revenant à la chambre avec le plateau, j'entends la douche couler. Je vais déposer le plateau sur la table de nuit et retourne dans la salle de bain. Christine est sous la douche, le regard vers ses pieds, elle semble absente.

Je l'admire en silence, je ne peux détacher mes yeux de ce corps, l'eau ruisselle entre ses seins fermes, coule sur son ventre et descend en petites cascades le long des grandes lèvres de sa chatte. Elle réalise ma présence, me sourit timidement, et remarque la bosse sous mon peignoir. Elle coupe l'eau, je l'enveloppe avec un drap de bain, la sèche et l'embrasse langoureusement. Elle me repousse gentiment, je la dirige vers la chambre, elle découvre le petit déjeuner. Elle s'assoit sur le lit, prend un croissant et en trempe une corne dans son thé avec un nuage de lait comme je sais qu'elle aime.

Je vois deux petites larmes couler le Long de ses joues.

_Qu'à t-on fait? hier soir, je suis désolée, je t'aime, chéri, je ....je.... Je n'étais plus moi même et....

_ Je t'en prie, ne soit pas triste , je n'ai rien fait pour te retenir, même quand tu a enlevé ta culotte, je bandais, et mon cœur battait fort. Tu as fait ce dont tu avais envie, et moi j'ai aimé te regarder, mais tu m'as tout de même surpris. Que s'est il passé, tu avais un peu bu, mais bien des fois tu a bu?

_ Le fait d'enfiler cette robe, d'être sans soutien gorge, je me suis trouvé excité, j'ai repensée a la conversation que l'on a eu avec Françoise le jour où l'on a fait notre shopping. Je lui ai demandé si elle couchait avec son beau frère . Elle m'a répondue qu'elle couchait avec eux bien avant le mariage, c'est Jean ,qui l'a demandé en mariage, à condition qu'ils vivent ensemble tous les trois, et elle m'a raconté dans les détails comment ils se servaient de son corps, et les orgasmes qu'ils lui prodiguaient . Rien qu'à l'écouter, j'ai mouillé ma culotte.

Comme elle me raconte leurs conversations, elle a les mamelons qui se dressent. Je lui sèche ses larmes avec mes doigts, la prend dans mes bras et je l'embrasse.

_Alors mon chéri, tu ne m'en veux pas, j'ai pourtant été une vraie salope, j'ai tout accepté, et je crois qu'ils auraient pu faire bien pire, je ne me reconnaissais pas.

_ De mon côté, je me suis bien amusé avec Françoise, mais j'ai plus jouis à te voir, surtout quand ils t'ont prise en sandwich. Cela fait longtemps que j'espérais te voir avec un autre, mais deux, c'était incroyable.

_Alors, tu crois......! que l'on pourra les revoir?

_Si tu le désire, alors je serai le plus heureux des hommes.

Je l'allonge sur le lit, j'écarte le drap de bain, elle est nue, offerte et consentante. Les seins gonflés, les tétons dressé , la chatte luisante déjà ouverte . je me débarrasse de mon peignoir, je lui écarte les jambes avec mes genoux, je prends appui sur mes bras de chaque côté d'elle et me laisse tomber, mon sexe la pénétrant brutalement. Elle pousse un cri, mais elle me prend la taille entre ses jambes. j'attrape ses seins, et les caresses comme elle l'aime.

_Va y, plus fort, j'ai aimé quand il me les a tordu, hier!!!

Je n'en crois pas mes oreilles, quel changement en quelques heures.

Je la chevauche sans ménagement, lui défonce la chatte, s'enfonçant si profond que mon gland tape contre son utérus, je lui tire les mamelons, déformant les aréoles brunes , elle hurle

_ho oui! oui, va y,!!!! plus fort!!!!Ouuuuiiiiiii!!!!!..

Elle a un orgasme dévastateur, elle se raidie, tremble, les yeux vitreux, elle gémit, je me vide dans sa chatte. Elle met plusieurs minutes à réagir. Elle me fait presque peur, jamais elle n'avait jouie de la sorte, je me demande quel démon on a déclenché en elle.

Elle passe le dimanche pratiquement nue, c'est très inhabituel, on fera l'amour plusieurs fois dans la journée, enfin l'amour, c'est plutôt de la baise, on baise comme des bêtes.

Pourtant, les 2 jours suivants, elle reprend ses habitudes de bourgeoise, même manière de s'habiller et d'aller au boulot, même le soir, elle reprend son inséparable chemise de nuit. Le mercredi soir, dans la voiture en rentrant de la piscine, je lui demande si elle a des nouvelles de Françoise, elle me dit que non , et me demande :

_Tu veux recommencer une soirée, mais ce n'était pas prévu!!! , et maintenant je sais a quoi m'attendre!.

_Et, serait tu prête à recommencer?

_Heu! Je ne sais pas ...... que pense tu? Tu es prêt à voir ta femme avec d'autres hommes?

J'ai les yeux sur la route, mais je sens de l'hésitation, et de l'excitation dans sa voix, elle a la bouche sèche.

_Pour moi Chérie, je serai ravi, que les jumeaux s'occupent de toi, eux ou d'autres, comme tu veux.

Elle pose sa main sur ma cuisse, et frotte l'intérieur de ma cuisse. Alors, j'essaie d'aller plus loin.<< Pourquoi ne t'habilles tu pas plus sexy, cela te va très bien, tu as un corps magnifique....

_Je ne vais pas aller travailler à poils, tu a vu avec la robe que j'avais, je ne peux pas me promener comme ça?

_Françoise, porte la même, elle est venue avec à la maison, mais sans aller si loin, tu peux faire raccourcir tes robes et jupes, et de temps à autres, pour commencer, ne pas porter de soutien gorge et même poser ta culotte.

_Tu aimes ça, tu es un sacré cochon, mais si cela peut t'être agréable!!!!!.

On arrive à la maison , Elle file prendre la douche, je range la voiture et allume la TV et m'installe sur le canapé. Elle me rejoint, nue sous son peignoir, plus de nuisette.

Je m'empresse d'aller faire ma toilette

. Lorsque je reviens au salon, elle est au téléphone, je comprends que c'est avec sa copine Françoise. J'écoute avec attention, mais je ne comprends rien, juste Christine qui lui répond.

_Ok, je comprends, merci chérie, je t'embrasse.

Elle raccroche.

_Comme tu vois, j'ai appelé Françoise, mais ils s'en vont pour le Week-end,....... mais!!!!! Heu ...... Elle m'a donnée. l'adresse d'une boîte......... Ils y vont souvent, elle va prévenir le patron, et si tu veux, on peut y aller samedi soir.

_Toi, est tu sûr que tu peux....... baiser avec un ou plusieurs inconnus?

_Comme tu me l'as dit, c'est uniquement du sexe, et les jumeaux ont déclenchés je ne sais quoi en moi, et puis tu as aussi dit que tu aimes me voir ....Heu..... jouir sous un autre.

_Bien, je téléphonerai pour voir si samedi soir, on peut se rendre dans ce club.

Je la prends par la main, et l'amène dans la chambre. Je lui enlève le peignoir , elle se met à genoux et me prend en bouche, je la redresse, la couche sur le lit, et me mets en position de 69 . Je lèche ses grandes lèvres, puis les écarte, enfonce ma langue le plus profond possible, tout en frottant avec mon pouce le clitoris, elle ondule ses hanches, monte son bassin au contact de ma bouche. Elle avale toute la longueur de ma bite, sans haut le cœur.

Je me dis qu'elle a fait de gros progrès en peu de temps. Je ne résiste pas longtemps, je me laisse aller, elle avale la quantité entière de foutre, et continue de me sucer, c'est douloureux mais je ne débande pas, alors je me relève, la retourne et me plante dans son cul, cela lui fait mal, elle crie, je reste sans bouger, je savoure cet instant ou ma bite est serrée dans son fourreau. Elle halète doucement,puis la douleur s'estompe, elle me prie de la baiser, fort. Je m'acharne sur elle, elle me supplie d'aller plus fort, soudain elle pousse un cri de délivrance, elle jouit en tremblant de tous ses membres, je reste plaqué contre ses fesses et j'arrive à éjaculer une petite quantité de sperme. On s'endort dans les bras l'un de l'autre.

Le vendredi, j'appelle au téléphone le patron du club en question. Il me confirme que Françoise l'a prévenu, et qu'il sera heureux de nous recevoir d'autant qu'elle lui a fait un portrait très réjouissant de ma femme. Seulement, il faut être abonné au club, la participation s'élève à 500€. Après un silence, il ajoute que comme pour Françoise, si je lui offre ma femme le premier soir, comme l'ont fait les jumeaux , il nous délivrera la carte. Je réfléchis un moment, lui demande si je peux le rappeler en soirée, je vais en parler avec Christine, je ne veux rien lui imposer. Il me dit entendu, qu'il préfère qu'elle soit constante.

Le soir je raconte à Christine qui étonnamment trouve la proposition alléchante.

_Tu te rends compte, je vaux 500 € , Tu peux être fière , et puis si on va là-bas, il est fort probable que je passe a la casserole!!!!!.

Aussitôt, je téléphone, sous le regard approbateur de ma femme, la conversation est brève, l'homme est visiblement heureux et me demande de venir à 22 h samedi. Je ne peux m'empêcher de demander à ma femme ce qu'a pût lui dire sa copine pour qu'il nous fasse cette offre.

_ Tu sais, il faut que je t'avoue, que nous couchions ensemble à l'université, et elle aimait me dominer, elle a toujours été un peu jalouse de moi, de mon éducation, mais c'est tout de même ma meilleure amie, mais je soupçonne qu'elle ait un peu organisée l'achat de la robe et le déroulement de la soirée, elle a pu me soumettre encore une fois et profiter de mon mari et ce ne m'a pas déplu.

_Ni a moi, au contraire .

Ce matin samedi, Christine s'est levée et après la douche et le petit déjeuner Elle a déambulé , dans la maison nue. Pour aller faire le footing, elle a enfilé un mini short, et un cache cœur croisé devant, mais sans soutif. Je ne dis rien . On ferme la porte a clé , puis elle passe devant moi en petite foulée. Cela fait demi heure que l'on court , on arrive dans une petite clairière, ou l'on a l'habitude de reprendre souffle et de se désaltérer. Je lui fais remarquer qu'en courant, le lien de son cache cœur c'est détendu et que ses seins sont biens en vue. Elle rit, s'adosse contre un arbre, tire sur le lien, dégageant sa poitrine, ses seins sont bien droits, les mamelons bien visibles, je vais pour m'approcher d'elle , quand surgissant de nul part, un homme d'un certain âge, déboule. Il s'arrête net, contemple sans plus de gêne ma femme, se tourne vers moi.

_Désolé mon gas! Profite bien, je vais courir avec cette image dans la tête.

Il repart en se retournant pour mater une dernière fois. On éclate de rire, elle referme le vêtement, puis on repart.

On fait tout les samedis le même trajet, et jamais l'on a croisé personne.

L'après midi est longue, Christine est fébrile et tendue, je lui demande si elle veut que l'on annule, je ne lui en voudrais pas. Elle me répond qu'elle a un peu peur, mais à même tant elle est très excitée. De plus, elle me dit que j'attends ça avec impatience , qu'elle me connait bien. A 19h 30 on fait un repas frugal , puis direction la salle de bain. Je suis prêt et je l'attends dans le salon. Quand elle apparaît, mon cœur bat très fort, Elle est magnifique, elle porte la fameuse petite robe, évidemment sans soutien gorge. Elle tourne sur elle même, me fait face, attrape le bas de la robe, le soulève jusqu'à la taille, elle ne porte pas de culotte, et sa chatte est libre de tous poils, enlevée la petite toison blonde.

_Voilà, il ne pourra pas ce reproduire l'incident de l'autre soir, je me sens vulnérable mais je sais que tu approuve, et pour les poils j'ai bien vu comment tu regardais Françoise.

,On arrive devant le club, un voiturier ouvre la portière de ma femme, qui est gênée, car elle doit montrer son minou, en sortant les jambes de la voiture. Elle est rouge. Je l'attrape par la main, devant la porte un geant nous demande nos cartes. Je lui dit que nous sommes attendus, il demande nos prénoms.

_Mme Christine et Mr Yves! , bien sûre!!!!Mr Paul vous attend, derrière le bar, J'espère que vous passerez une bonne soirée!

Il ouvre la lourde porte, on entre, il n'y a presque personne, le bar se trouve sur la gauche, au milieu une piste de danse ou il y a deux couples, et tout autour, des alcôves, séparés par d'épais rideaux, des tables avec banquettes et fauteuils. Le tout éclairé par des lampes invisibles diffusant un éclairage très feutré, seules des estampes érotiques sont éclairées vivement. Je pousse ma femme vers le bar.

_Mr Paul s'il vous plaît?

Le serveur me fait un signe de la tête.

_Qui le demande? Ah! Christine et Yves. Enchanté .

Il me sert une poignée de main, prend la main de Christine, se penche et lui claque une bise, comme à une vieille connaissance. Je reconnais qu'il n'est pas mal. Un grand brun, légèrement hâlé, le tors musclé sous un tee-shirt aux couleurs du club, des yeux noirs, et pour l'âge, je dirais entre 50 et 60 ans.

_Dit donc, elle ne m'a pas menti, ,Françoise . Elle est sublime ta femme, elle m'a également dit que vous étiez nouveau dans le système, juste une fois avec elle et les jumeaux, de sacrés lapins ces deux là , infatigables. j'espère que l'on va bien s'entendre.

Sans rien nous demander, il nous sert deux whisky sur glace, Christine le bois pratiquement cul sec, je pense qu'elle cherche du réconfort. Paul sort de derrière le bar, prend Christine par la main.

_Tu permets, je fais danser ta femme?, on va faire connaissance.

Je les regarde danser. A côté de moi, un couple bois, la jeune femme ne porte qu'un porte jarretelles, qui tient des bas rouges, des escarpins. l'homme doit bien avoir 20 de plus, il est torse nu . Paul est en pays conquis, un bras derrière les reins de Christine, la colle contre lui, son autre main est passé sous la robe et lui pelote le cul, elle a les fesses a l'air, tout le monde peut les admirer. Elle a passée ses deux mains derrière son cou, et ils s'embrassent longuement. Un serveur vient à moi, me demande de le suivre, il m'entraîne dans une alcôve , sur la table basse se trouvent 3 flûtes et une bouteille de Champagne dans un seau à glace. Je cherche le couple des yeux, mon cœur bat, je ne les vois pas, c'est vrai que maintenant il y a du monde, beaucoup de femmes très dénudées, voir nues. Heureusement je les aperçoit, Christine a l'air de rire, mais sa robe est retroussée jusqu'à la taille, et Paul a maintenant une main sur la poitrine. Ils viennent vers moi, Christine remet de l'ordre à sa tenue, ils s'installent en face de moi, il l'attrape par le cou et de son autre main fait le service. Nous trinquons à l'amitié et à la soirée. Puis il me demande de le suivre, il embrasse ma femme sur la bouche .

Il m'entraîne vers une porte, ouvre et me fait entrer,

_ Voilà, où ça va ce passer, tu amènes ta femme ici, tu la mets nue elle s'assoit sur la chaise, les genoux écartées, les mains sur les genoux, et tu lui bandes les yeux, une femme aveugle va faire travailler son imagination, et développer ses sens.

Ah!!! J'oubliais, Françoise m'a suggérée d'être à plusieurs, aussi j'ai demandé à 3 amis de nous rejoindre, si tu veux participer, tu te mets a poil, et tu attends sur un fauteuil, je viendrai après mes amis, mais vous ne devez pas parler, elle doit croire, au moins au début ,qu'il n'y a que toi et moi. Si cela ne te convient pas, vous partez, mais se serait dommage, car vous allez avoir un plaisir inoubliable.

Il sort, je regarde autour de moi, il y a 6 fauteuils, une banquette, un grand lit , aussi large que long, et a côté une simple chaise en bois et sur le lit un bandeau.

Je retourne à ma table, ma femme est la à m'attendre, je lui demande si tout va bien, si elle veut continuer, je lui dis que je dois la préparer, lui bander les yeux, mais j'oublie de lui parler des 3 hommes supplémentaires. Elle me répond qu'elle est très émoustillée, qu'elle le trouve prévenant et très direct, mais que cela ne lui déplait pas. Elle se lève et vient m'embrasser, un long baiser humide, me dit qu'elle m'aime, me prends la main

_Allons y, j'en ai envie, je t'aime.

Arrivé dans la pièce, elle enlève sa robe, je lui explique comment elle doit se tenir, puis je me mets nu. Le temps que je lui pose le bandeau, elle joue avec mes couilles, me faisant bander fort. Elle écarte les genoux et les cuisses en grand, pose ses mains sur ses genoux. Elle est magnifique, tellement impudique, sa chatte grande ouverte, ses seins gonflés, les tétons qui pointent. Je ne peux m'empêcher de caresser un sein, elle sursaute, je l'embrasse.

_ Chérie, je vais m'asseoir sur un fauteuil, on va attendre Paul.

Ma brebis est offerte, les loups vont pouvoirs arriver. La porte s'ouvre, trois types rentrent suivis de Paul, ils sont tous nus .Je frémi quand je vois les quatre sexes , je suis nettement moins bien membré, au repos ils descendent tous a mis cuisses de leurs propriétaires, il n'y a que la grosseur qui varie. Paul arrive derrière Christine, lui passe un doigt sur la colonne vertébrale. Elle tressaille.

_Alors ma chatte, tu es prête, je vois que tu as bien voulue jouer le jeu, les yeux bandés vont décupler tes sensations

Tout en parlant, il passe devant elle, il glisse un doigt dans sa chatte, mais juste pour l'effleurer , elle se contracte pour ne pas serrer les cuisses, et reste bien ouverte., Il joue avec ses seins, effleure les aréoles, passe le bout du doigt sur l'extrémité du téton, qui sont prêts a exploser, Christine gémit doucement, de toutes petites plaintes.

_Tu es très sensible, très réceptive, on va bien s'amuser.

Moi, je bande déjà, alors que mes 4 compères sont en semi érection. Paul, maintenant frotte l'extrémité des mamelons de la paume de ses mains, puis pétri les obus à pleine main, alterne les caresses, prend les tétons entre ses pouces et ses index, Les fait rouler, et les tord les vrille. Christine pousse de petits soupirs, elle déplace sa main droite et va mettre son doigt dans sa chatte.

_ Ne te touche pas!!! reprend la pose, écarte bien tes cuisses que l'on voit bien si tu mouille, de toute façon c'est à nous de te faire jouir, pas a toi.

En se pinçant les lèvres, elle attrape ses genoux et écarte les cuisses pratiquement à 180 degrés. Je sais qu'elle peut jouir rien que par le travail des seins, et que la situation dans laquelle elle se trouve, peut l'amener très vite a son plaisir. Paul fait un geste a l'un des hommes, celui va vers la chaise, se met a genoux devant Christine, délicatement lui enfonce un doigt dans le sexe. Christine bouge le bassin, avance au devant de la main . l'homme enfonce deux doigts, et fait des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapide.

_Oh....Chéri.. tu vas me.....,, faire venir, je t'aime.

Paul me regarde, met un doigt sur sa bouche, me fait signe de ne pas répondre . Tous les hommes ont compris qu'elle croit que c'est moi qui suis entre ses jambes. L'homme retire ses doigts, et les remplace par sa langue. Il la lèche, lui aspire les lèvres, fouille sa chatte, il s'aide d'une main, certainement qu'il lui masse le clitoris, dans un cri, elle a un premier orgasme, elle perd le contrôle, resserre les cuisses sur la tête de l'homme, et l'attrape par les cheveux. Elle réalise que ce n'est pas moi, l'homme a le crâne rasé, Elle lève la tête pour essayer de voir sous le bandeau, elle panique.

_Qui c'est? Yves!!!!! Mon mari, pas sans lui, Non!!!! YVES!!!!!!

Paul me fait signe oui de la tête,

_Je suis là! Chérie, je suis avec toi, je t'aime

Elle se détend.

_Alors, vous êtes trois?

_Oui, peut être 3, concentre toi sur tes sensations, Yves est là, il ne t'arrivera rien que tu ne désire , passons aux choses sérieuses. VIENS!!!

Il la fait lever de la chaise, la guide. jusqu'au lit, c'est plus un grand coussin recouvert de Sky. Docile, elle s'allonge sur le dos, l'homme se remet entre ses jambes et recommence a lui bouffer la chatte, Paul se met à genoux au dessus de sa tête, et frotte sa queue contre ses lèvres, elle comprend, ouvre la bouche, d'une main elle le guide entre ses lèvres, je m'approche, et lui caresse les seins . J'aime la douceur de sa peau, surtout sous le sein, on dirait du velours. Les 2 autres hommes nous rejoignent, l'un se met a côté de Paul, l'autre attrape lui caresse le ventre juste au moment ou Paul se retire de la bouche aussitôt remplacé par un sexe incroyable, une grosseur énorme, la main de ma femme est loin d'en faire le tour, et en longueur, il fait 5 à 6 cm de plus que celui de Paul. Christine le repousse, s'assoit sur le matelas.

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