Tyrannie Machiste de VIR 02

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Layla est emmenée au poste de police.
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Ce récit est une pure fiction destinée au fantasme, en aucun cas un plaidoyer pour réduire les droits de qui que ce soit et encore moins un soutien aux régimes obscurantistes d'Iran ou d'Afghanistan.

Il fait alors un signe à ses hommes et le frère est embarqué dans un fourgon pendant que les 3 femmes sont emmenées nues, menottées, à pieds vers le poste de police...Layla est en tête, suivie par sa soeur et sa mère. Malgré la situation, elle garde la tête haute et toise après mépris les policiers qui l'encadrent et les hommes qui viennent assister à ce sinistre défilé dans les rues.

Le mois de décembre n'en est qu'à son début mais un vent froid balaie les rues et les malheureuses obligées de s'y déplacer en tenue d'Eve. Le froid piquant fait pointer les tétons, ce qui fait rire les policiers qui ne se privent pas de commentaires graveleux sur la poitrine de leurs prisonnières. Les seins lourds de Layla ballottent lorsqu'elle marche comme ceux de sa mère et de sa soeur. Elle voudrait arracher les yeux à ceux qui leur font subir ça. Elle avait justement commencé des études de droit pour défendre les plus faibles contre l'injustice et les exactions.

A l'approche du commissariat, le flot de femmes est de plus en plus important, hormis les plus jeunes et les plus âgées, elles sont toutes nues. Certaines sont menottées ou attachées. L'humiliation ressentie est terrible surtout que de plus en plus d'hommes sont massés sur le parcours et les couvrent d'insultes. Certains leur claquent les fesses ou les seins. La police ne fait évidemment pas grand chose pour les en empêcher et se contente de canaliser le flot qui a débordé des trottoirs sur la rue.

Les femmes se serrent les unes contre les autres pour se protéger du froid et des mâles qui ont maintenant envahi l'espace autour du commissariat. Beaucoup sont en larmes, y compris la soeur et la mère de Layla.

Les policiers tentent de gérer la situation mais entre la foule de mâles survoltés et le cortège de femmes en panique, la situation est électrique.

Le commissariat est un énorme bâtiment en briques datant du 19 ème. De larges grilles débouchant sur une cour intérieure ferment son accès mais celles-ci ont été ouvertes pour permettre l'entrée du convoi féminin. Elles sont départie dans différents endroits de la grande cour couverte de vieux pavés. Le vent froid continue à souffler et une fine pluie glacée commence à tomber.

Soudain un des policiers qui avait procédé à l'arrestation de Layla vient la saisir par le bras et l'amène sans ménagement, elle tente de se débattre mais reçoit immédiatement un coup de poing au ventre qui la fait chuter. Sa mère et sa soeur essaient de s'interposer mais sont aussi immédiatement rouées de coups. Les cris et les larmes s'éloignent progressivement alors qu'elle est d'abord trainée sur les pavés avant d'enfin réussir à se mettre debout.Elle regarde en arrière Sara et Fatima blotties dans les bras l'un de l'autre. Encadrée de deux policiers, elle est emmenée dans ce qui ressemble à un dépôt de véhicules. Une dizaine d'autres femmes est déjà présente, la plupart menottées ou attachées. Beaucoup ont des traces des coups et des ecchymoses sur le corps ou le visage. Elles sont d'âges et d'origines diverses, la plupart sont blanches. Layla est jetée sans ménagement au pied du groupe qui l'aide à se relever. Elles se tiennent serrées les unes contre les autres. D'autres compagnes d'infortune les rejoignent quelques minutes plus tard suivies par un petit groupe de policiers encadrant un gradé. C'est un petit homme maigre aux traits secs et au regard froid. Il s'adresse aux prisonnières d'un ton martial.

"Vous avez été arrêtées pour diverses actions menées contre l'autorité, le gouvernement et la parti VIR. Contrairement aux autres femelles qui serviront désormais l'état, vous serez d'abord conduites dans une structure spécifique dans laquelle vous serez ré éduquées à la vie en société et aux principes du parti VIR. De par votre attitude criminelle, vous avez été déchues de tous vos droits. Il vous appartient désormais de confesser vos crimes et montrer votre obéissance et votre soumission au parti VIR.Si vous êtes prêtes à retourner volontairement au service de l'état, avancez d'un pas".

Les femmes murmurent entre elles, effrayées par ce discours semblant sorti d'une époque révolue.

Une jeune femme blonde, à la peau claire et à la poitrine menue s'avance alors.

Son dos porte déjà de vilaines ecchymoses.

"Je suis coupable, je reconnais tout, je veux servir l'état et le parti" dit-elle en sanglotant.

"Très bien" dit le gradé, nous allons tester immédiatement ton obéissance.

Il claque dans les doigts et un de ses sbires s'approche de la blonde, c'est un colosse blond à la carrure large large. Arrivé devant elle, il ouvre son pantalon et en sort un sexe à moitié en érection. La victime s'agenouille lors et prend le membre sans sa bouche. Celui-ci durcit rapidement et le policier saisit alors la tête de la jeune femme commencer à sauvagement user de sa bouche, elle essaie de se débattre mais ne fait absolument pas le poids. Le policier continue de violenter la bouche de sa victime pendant de longues minutes et finit par lui éjaculer au fond la gorge avant de la lâcher enfin. Elle tombe sur le sol à moitié étouffée, du sperme lui sortant par la bouche et par le nez. Le policier se rhabille et retourne dans le rang.

Le gradé reprend alors:

"Cette femelle a accepté son statut d'esclave du partir VIR, elle sera marquée en ce sens et sera affectée au maintient du moral des forces de l'ordre. Elle sera désormais mise à la disposition d'un bataillon de 50 hommes jours et nuits pour une période de 6 mois. Le gouvernement espère que cette expérience lui permettra de comprendre la difficulté du travail de nos forces de l'ordre et la nécessité de les servir de son mieux. Si à la fin de cette période, elle porte un enfant mâle, il aura la chance de suivre dès sa naissance l'éducation dispensée par les meilleurs éléments de notre parti et de pouvoir ainsi faire carrière dans l'appareil d'état du parti VIR. Si elle donne naissance à une femelle, celle-ci rejoindra dès sa majorité les rangs des servantes de l'état."

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