Trois Hommes et Un Coup Fin 03

Informations sur Récit
Sylvie retrouve son amant au cinéma, avec une surprise.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/20/2020
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Chapitre 3 : le cinéma.

Le matin de leur retour, Sylvie reçut un appel. Elle était encore au lit, avec son mari à ses côtés. Ils s'étaient couchés au petit matin après la nuit dans le bus. Ils avaient encore cette journée de congé avant de reprendre le travail le lendemain.

C'était Serge qui l'appelait. Elle était très embarrassée mais elle n'en laissa rien paraître.

- Bonjour. C'est Serge.

- Oui.

- Ton mari est à côté? Tu ne peux pas parler?

- Oui.

- Je vois. Je t'attends au cinéma du forum des Halles à seize heures. Il y a un film en 3D. Je serai dans la salle. OK?

- Oui.

- Alors à tout à l'heure.

Il coupa la communication. Elle ne dit rien à son mari. Le mensonge le plus crédible est le silence. Elle avait encore beaucoup de temps, mais elle se leva et alla prendre sa douche. Elle ne pensait plus qu'à se préparer.

Elle avait encore les marques de leur étreinte mais apparemment Patrick ne s'en était pas aperçu. Ses seins étaient marbrés.

Elle se lava et se parfuma puis alla chercher ses dessous préférés dans ses tiroirs. Elle mit une petite robe parce qu'elle voulait qu'il puisse la trousser. Pas de collant mais des bas, parce qu'il faisait quand même frais dehors.

Elle se fit du café et laissa son mari se prélasser dans le lit. Cela l'arrangeait de ne pas avoir à faire la conversation. Elle pouvait rêvasser à sa guise en idéalisant ses retrouvailles avec Serge.

Quand Patrick se leva, Sylvie lui fit part de son envie d'aller faire les boutiques dans l'après-midi. Elle savait qu'il avait horreur de ça et ne se proposerait pas de l'accompagner. De son côté, Patrick suspectait quelque chose, surtout depuis ce mystérieux coup de fil, mais il ne le montra pas, préférant espionner sa femme une nouvelle fois. L'un et l'autre firent semblant. Elle pensait qu'il ne se doutait de rien, qu'il ne pouvait pas imaginer ce qui s'était passé dans le bus et au musée et lui pensait qu'elle ne se doutait non plus de rien, qu'elle ne pouvait pas imaginer qu'il savait parce que c'était impensable qu'un mari cocu ne se rebelle pas.

Vers quatorze heures, juste après le déjeuner, elle sortit. Patrick mit rapidement son manteau et se précipita à sa suite, sans qu'elle puisse le voir. Il la suivit. Elle prit le train puis le métro jusqu'au forum des Halles où elle arriva peu avant seize heures, sans se presser. Elle marcha jusqu'au cinéma et acheta un billet au guichet. Il sut à cet instant qu'elle avait un rendez-vous parce que d'une part elle lui avait menti et d'autre part, elle n'aurait jamais eu l'idée d'aller au cinéma l'après-midi.

Patrick attendit qu'elle ait disparu pour s'avancer et demander à la caisse quel film la dame précédente allait voir. La requête était surprenante mais la guichetière répondit sans faire d'histoire. Il acheta un ticket. Il demanda si la séance était commencée et on lui dit qu'il y avait encore dix minutes avant le début du film. On lui remit des lunettes spéciales parce que le film était en 3D. Il attendit à l'extérieur.

Un autre homme prit une place pour le même film. Patrick pensa que c'était peut-être la personne que sa femme devait rejoindre. Mais il ne ressemblait pas à ce Serge, l'inconnu du bus.

*

Sylvie

Je suis entrée dans la salle. Elle n'était pas très grande et presque vide. J'ai tout de suite vu Serge. Il était tout seul dans une rangée près du fond. Je me suis dirigée vers lui et je me suis assise à sa droite. Nous nous sommes embrassés. J'ai défait mon manteau et je l'ai posé sur mes genoux. Serge m'a fait un compliment sur ma robe. On se regardait. C'était la première fois que nous pouvions nous voir sans nous inquiéter de ce qui se passait autour de nous.

J'étais très excitée en venant à ce rendez-vous. J'avais à l'esprit les images torrides de notre accouplement dans les toilettes du musée et de ma jouissance dans le bus. C'était délicieusement obscène. Je me répétais ces mots vulgaires « il m'a baisée dans les toilettes ». J'en avais honte mais en même temps, j'en trempais irrésistiblement ma culotte.

Malheureusement, nous ne sommes pas restés longtemps isolés. Un homme est venu s'installer juste à ma droite. J'ai regardé Serge pour voir s'il souhaitait qu'on change de place mais il n'a pas paru vouloir bouger. Je suis restée coincée entre les deux hommes.

La lumière s'est éteinte. Chacun a mit ses lunettes et le film a commencé. Serge tenait ma main dans la sienne sur l'accoudoir.

*

Patrick

J'ai patienté jusqu'à ce que le film soit commencé pour entrer. La caissière a dû trouver ça étrange que je rate volontairement le début. Mais peut-être a-t-elle pensé que j'attendais quelqu'un qui n'est pas venu. Moi je ne voulais pas que ma femme me voit pénétrer dans la salle, bien évidemment. Quand je me suis décidé, les lumières étaient éteintes et tout le monde portait déjà les lunettes spéciales. L'entrée se faisait par l'arrière. J'ai repéré Sylvie tant bien que mal. Elle était entre deux hommes, dans les derniers rangs. Ça m'a surpris. J'aurais pensé qu'elle et son amant se seraient placés à l'écart des autres spectateurs. Je me suis assis dans la rangée du fond qui était inoccupée. Personne ne faisait attention à moi.

Les rangs étaient étagés en gradins et je surplombais légèrement ma femme. Je pouvais voir ses genoux en me tenant droit sur mon fauteuil. J'ai constaté que Sylvie et son voisin de gauche se tenaient la main. Sans doute le voisin de droite était un importun et j'ai trouvé ça cocasse.

*

Sylvie

Serge a pris mon manteau et l'a posé sur le siège libre à sa gauche. Il s'est mis à me caresser le genou. J'étais gênée à cause de mon autre voisin. Il remontait le long de ma cuisse et ça retroussait ma robe. J'ai tenté de la tirer vers le bas pour ne pas trop m'exhiber mais Serge a opposé sa force à la mienne et j'ai dû céder. Je me suis rassurée en me disant que les lunettes empêchait sans doute mon voisin de droite de voir la bande élastique de mes bas.

Serge a remonté encore sa main jusqu'à ma culotte. Il n'hésitait pas à me dévoiler entièrement. Instinctivement, j'ai serré mes jambes, comme si de les refermer me protégeait du regard de cet inconnu. S'il avait posé ses yeux sur moi, il m'aurait vue avec la robe troussée jusqu'au slip.

Mon amant me frottait le bas du pubis, juste sur mon bouton. Il m'a forcé à écarter les genoux et s'est mis à me fourbir l'entrejambe. J'étais déjà mouillée mais sa friction m'excitait encore plus. Je n'avais pas la force de lutter pour recoller mes cuisses.

Il m'a parlé à l'oreille :

- Enlève ta culotte.

Je ne savais pas comment faire pour lui obéir sans attirer l'attention de l'autre homme. Je me suis soulevée très légèrement et j'ai mis mes mains dans mon dos pour tirer sur mon slip jusqu'à ce qu'il passe sous mes fesses. Sans que je puisse me défendre, Serge a profité de ma position pour remonter ma robe au dessus de ma taille. J'étais totalement découverte, avec mon slip baissé jusqu'aux cuisses. Serge l'a fait glisser jusqu'à mes chevilles avec ses deux mains, sans se soucier de l'homme à ma droite. J'avais le sexe à l'air et la robe roulée sur mon nombril.

Tout d'un coup, mon voisin a mis sa main sur ma cuisse et m'a caressée. Serge a fait pareil sur mon autre cuisse. Chacun m'a soulevé la jambe qu'il tenait et l'a tirée vers lui en la faisant passer au dessus de l'accoudoir. J'étais paralysée par la stupéfaction. J'aurais dû me débattre mais j'avais vraiment été prise au dépourvu et les deux hommes me tenaient fermement. J'étais surtout bouleversée par le comportement de Serge, qui ne s'opposait pas à l'agression de mon voisin.

J'ai compris qu'ils devaient être complices et que Serge avait décidé de me partager avec un copain.

Ils ont agrippé ma robe et l'ont remontée encore, découvrant mon soutien-gorge. Ils l'ont fait passer par dessus les seins et j'ai eu deux bouches qui se sont mises à me téter. Ils me tenaient les cuisses grandes ouvertes avec mes jambes qui dépassaient sur leurs sièges. Les deux hommes ont commencé à me masturber ensemble. J'ai tenté de refermer mes jambes, de me soustraire à leurs gestes, de les empêcher de me dénuder mais en vain. D'abord ils étaient plus forts, ensuite je devais lutter contre quatre bras qui m'envahissaient en même temps et enfin, nous devions éviter d'attirer l'attention. Comme dans le bus, j'avais plus peur du scandale que du fait qu'on abuse de moi. Après quelques instants de résistance, j'ai fini par abdiquer. Je n'avais plus assez de force et je m'apercevais que mes efforts étaient stériles parce que quand je bloquais l'un, l'autre arrivait à me toucher, les seins, le sexe et ces attouchements n'étaient pas sans effet.

J'étais quasiment nue, ma robe ne cachant plus que mon cou, roulée comme une sorte d'écharpe, dépoitraillée avec mon soutien-gorge relevé au dessus des seins, mon sexe à l'air, avec comme seuls vêtements pour ma moitié basse mes bas et mes chaussures. Je devais avoir l'air d'une femme violée. Mais en même temps, j'avais une posture d'abandon, cuisses ouvertes et mamelles offertes.

*

Patrick

J'ai vu celui qu'elle appelait Serge tripoter Sylvie comme il avait dû le faire dans le bus, mais plus délibérément. Il semblait ne pas se soucier de l'autre voisin et mon ironie du début laissa place à de la perplexité jusqu'à ce que je comprenne qu'ils étaient de mèche. Il lui était difficile de dire qu'elle n'était pas consentante. Elle s'était certes démenée pour les empêcher de la peloter au début, mais assez vite elle s'est laissée faire.

Heureusement pour la morale, le reste de la salle était concentré sur le film et ne faisait pas attention à la scène orgiaque qui se passait dans son dos.

Malgré moi, comme les fois précédentes, je me suis aperçu que ça m'excitait énormément. Je me suis pétris le sexe à travers mon pantalon. J'évitais de me faire remarquer pour que le spectacle pornographique ne s'arrête pas.

*

Sylvie

Serge s'est penché vers moi et a chuchoté :

- Tu vas nous branler.

Ils m'ont pris les mains et les ont posées sur leur braguette. J'ai compris qu'ils voulaient que je sorte moi-même leurs verges. Je sentais qu'elles étaient dures dans le pantalon. J'ai regardé les autres spectateurs devant nous pour m'assurer qu'aucun ne s'était aperçu de ce qui venait de se passer. J'ai voulu attraper la petite tirette de la fermeture Éclair mais je ne parvenais pas à m'en saisir. C'était idiot. Serge m'a dit :

- Défais le bouton de la ceinture, ce sera plus facile.

Je l'ai fait pour Serge en me penchant vers lui et en m'y prenant à deux mains. Ensuite, j'ai regardé mon autre voisin. Il a baissé les yeux vers son pantalon et m'a fixée à nouveau. J'ai défait son bouton, j'ai ouvert sa braguette et j'ai pris son sexe pour le sortir du slip. Je me suis tournée ensuite vers Serge pour extraire le sien. Je me suis adossée à mon siège et je les ai pris tous les deux dans mes mains. C'était la première fois de ma vie que je tenais deux pénis.

Je les ai massés un moment, dégageant le gland, plongeant dans le caleçon pour caresser les testicules. Je me faisais plaisir. Mais Serge m'a rappelé ce qu'il m'avait demandé :

- Branle-nous pour nous faire gicler.

Je me suis enhardie et j'ai répondu, mais d'une voix toute timide et effarouchée par ce que je demandais :

- Je ne peux pas. Il faudrait que vous baissiez vos slips vous aussi.

Je n'avais pas l'habitude de dire ce genre de chose. Ça m'arrivait de former de telles phrases dans ma tête, mais jamais de les prononcer. De la même façon, je pouvais penser à des situations extravagantes mais j'étais incapable de les exprimer. J'avais été très excitée de me dire « il m'a baisée dans les toilettes ». Cette fois, mon cœur s'est accéléré quand j'ai proposé qu'ils se déshabillent dans le cinéma. C'est aussi grisant qu'un verre d'alcool pour quelqu'un qui ne boit jamais.

L'un et l'autre ont fait comme moi. Il se sont soulevés légèrement et se sont déculottés jusqu'aux genoux. Nous étions tous les trois culs nus sur les fauteuils du cinéma. Et moi, j'avais mes jambes en travers des accoudoirs. Les deux hommes m'ont lâchée pour me permettre de m'occuper d'eux.

Serge m'a prise par le cou et m'a attirée à lui. Il forçait sur mes épaules pour m'incliner jusqu'à ce que mes lèvres atteignent son sexe. J'ai dû laisser celui de son copain mais je tenais le sien et je l'ai mis dans ma bouche. J'ai décalotté le gland dans mon palais et je l'ai sucé. J'en suis toute honteuse, mais je dois avouer que je l'ai savouré. Ensuite Serge m'a tirée en arrière par les cheveux sans ménagement.

- Fais pareil à mon copain.

Je me suis penchée vers mon voisin et je lui ai fait ce que Serge m'avait ordonné. J'étais encore plus honteuse de ne pas avoir la moindre réticence à sucer cet autre sexe, simplement parce qu'on l'avait exigé de moi. Mais en même temps, je me disais « je suce deux hommes au cinéma ». Je trouvais cela si dépravé.

- Fais nous gicler en même temps avec tes deux mains.

J'ai pris les deux pénis et je les ai masturbés pour les faire éjaculer. Je regardais chaque membre tour à tour, attendant de voir le sperme sortir. L'ami de Serge a joui le premier. Il y a eu deux fortes projections et le reste du sperme s'est écoulé le long de la hampe jusqu'à ma main. Presque tout de suite après, c'est Serge qui a éjaculé. L'orgasme de son copain avait dû déclencher le sien. Lui aussi m'a inondé le pouce et l'index.

- Lèche le foutre que tu as sur les doigts.

Encore une fois, je me suis soumise. Je n'étais pas dégoûtée. Je me pliais aux ordres de mon amant et c'était cette obéissance qui me mettait le feu aux joues plus que d'avaler du sperme.

Les hommes ont eu quelques minutes de relâchement. J'ai voulu me remettre dans une position moins impudique, en baissant ma robe, mais ils m'en ont empêché. Quand ils ont eu repris leur souffle, ils se sont mis en devoir de me faire jouir à mon tour. Serge s'est occupé de mes seins et c'est son copain qui m'a masturbée en reprenant ma jambe sur ses cuisses.

Comme dans le bus, je n'ai pas pu me retenir de faire pipi. Ça m'arrive toujours quand mon plaisir est fort. Lui non plus n'a pas paru gêné de se faire uriner sur la main ou de touiller dans un vagin plein de liquide. J'étais quand même très embarrassée d'avoir encore mouillé un fauteuil.

Nous nous sommes rhabillés et nous sommes sortis du cinéma sans attendre la fin du film.

*

Patrick

J'ai vu ma femme sucer et masturber les deux hommes. C'était elle qui agissait. Elle les a masturbé en cherchant visiblement à les faire jouir. Quand ils ont éjaculé dans sa main, elle s'est régalée de leur semence avec sa langue!

J'aurais dû être fou de rage, intervenir, mais au lieu de ça, mon sexe était raide dans mon pantalon et je n'avais qu'une envie : me branler. Je suis allé le faire aux toilettes du cinéma. Cette fois, je me suis rappelé du visage de Sylvie, les yeux fermés, léchant lentement sa main entre le pouce et l'index, de toute sa langue et avalant, avec l'air d'en éprouver du plaisir. C'est son regard extatique tandis qu'elle dégustait le jus blanchâtre qui m'a fait jouir.

*

Sylvie, Serge et Jacques sortirent du cinéma et restèrent un moment sur le trottoir. Serge présenta son ami à Sylvie. Elle se dit que c'était très inhabituel qu'on lui présente quelqu'un qui avait encore l'odeur de son sexe sur la main. D'ordinaire les choses se passent dans l'ordre inverse et avec un certain délai.

Sylvie dit aux deux hommes qu'elle ne pouvait pas rester trop longtemps, que son mari allait s'inquiéter si elle tardait à rentrer. Elle demanda son numéro à Serge et partit. Les deux hommes s'en allèrent de leur côté. Jacques était médusé. Elle était encore mieux que ce qu'en avait dit Serge. Elle avait été tellement participative dans le cinéma! Il la revoyait, quasiment à poil dans le noir, la chatte bien exposée. Et puis il y avait eu sa façon de jouir, en pissant partout. Elle lui avait inondé la main.

Juste avant qu'ils ne se séparent, Patrick sortit des WC. Il les vit et les surveilla de l'intérieur du cinéma. La caissière le regardait en se demandant pourquoi il ne sortait pas mais elle finit par se dire qu'il devait attendre quelqu'un, peut-être celui qu'il avait attendu vainement avant le film.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

c'est chaud! veuf depuis 1 certain temps, j'aurai aimer participer à cette histoire à la place du mari! plus que les joissances de la dame, c'est les reactions du mari qui m'à exciter. voir sa femme s'envoyer en l'air!!!!! mais comment il faisait l'amour à sa femme?peut etre que sa etais 1 raison d'etre cocu! ou comme moi voir sa femme se faire baiser est 1 de ces fantasmes.

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