Trois Hommes et Un Coup Fin 04

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Le faux départ.
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Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/20/2020
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Chapitre 4 : le faux départ.

Le lendemain, Patrick et Sylvie reprirent leurs activités habituelles. Chacun alla à son travail. Sylvie était anxieuse. Elle aurait voulu recontacter Serge, mais elle espérait en même temps que ce soit lui qui l'appelle.

Patrick, lui, était à l'affût, essayant de repérer des signes indiquant un contact entre sa femme et son amant.

Après deux jours sur le qui-vive, il décida de changer de tactique. Il rentra en fin de journée et dit à sa femme que le lendemain il devrait se rendre en province pour une réunion. Il expliqua qu'il devrait partir le soir parce que la réunion était matinale et qu'il rentrerait le surlendemain en journée. C'était un prétexte qui devait lui permettre de savoir si Sylvie allait en profiter pour retrouver son Serge. Il était sûr de la réponse bien entendu, mais une curiosité malsaine l'amenait à agir ainsi. Il espérait même qu'ils se verraient au domicile conjugal, ce qui lui permettrait de les espionner plus facilement.

Sylvie réfléchit très vite et se dit que l'occasion était trop belle. Elle devait contacter Serge et espérer qu'il puisse se rendre libre, au moins pour la soirée, peut-être pour toute la nuit. Mais tant que Patrick était là, elle ne pouvait pas appeler. Elle dut attendre le lendemain, après que son mari soit parti au travail.

- C'est Sylvie. Tu serais libre ce soir?

- Oui. Pourquoi?

- Mon mari est en déplacement jusqu'à demain.

- Je peux même venir tout de suite si tu veux.

- Non, non, il ne part qu'en fin d'après-midi de la maison. Tu pourrais passer la nuit avec moi?

- Oui, bien sûr.

- Tu pourrais venir vers vingt heures. Je te préparerais un bon repas et puis nous pourrions faire l'amour toute la nuit. Tu veux bien?

- Je viendrai avec Jacques. Prépare pour tous les trois.

- Bon.

- Alors à ce soir, vingt heures.

Sylvie était déçue que Serge ne vienne pas seul mais elle n'avait pas osé le lui dire. Pour autant, la perspective d'une visite des deux amis, si elle l'embarrassait, ne lui répugnait pas. Elle savait que son amant allait encore la partager. Avec Serge apparemment il fallait qu'elle en passe par là pour pouvoir profiter de lui et elle y était prête.

*

Patrick

Au retour du bureau, j'ai fait mes préparatifs pour partir. J'ai remplis rapidement mon sac avec juste de quoi me changer le lendemain matin. Rien dans le comportement de Sylvie ne laissait supposer qu'elle s'apprêtait à retrouver son amant.

J'ai pris ma voiture et je l'ai déplacée simplement dans une rue adjacente. La place était idéale pour que je ne sois pas visible mais que je puisse observer les allées et venues de la maison.

J'ai vu ma femme sortir. Elle était ravissante, dans une petite robe rouge qui dessinait admirablement ses formes. Elle a pris sa voiture. J'ai démarré à mon tour pour la suivre.

Elle est allée au supermarché faire des courses. J'en ai déduit qu'elle comptait cuisiner, donc rester à la maison, ce qui s'harmonisait parfaitement avec mes plans. J'ai profité de son absence pour revenir me cacher. J'ai laissé ma voiture dans une rue parallèle et je suis rentré chez moi en refermant la porte à clé de l'intérieur. Je suis monté en haut de la mezzanine. C'est un endroit dont on ne se sert quasiment pas, seulement quand on reçoit de la famille, en y installant un lit de fortune. J'étais sûr que Sylvie n'y viendrait pas. Si elle recevait quelqu'un, ce serait au salon et éventuellement dans notre chambre. Notre maison est entièrement de plein-pied, sauf cette mezzanine qui surplombe la chambre.

J'ai organisé mon confort pour pouvoir rester longtemps dans ce poste d'observation. J'ai déroulé un tapis de camping et je me suis allongé avec un petit coussin en guise d'oreiller. J'ai attendu le retour de ma femme.

Elle est revenue vers six heures et demi. Elle s'est mise tout de suite à préparer le dîner. Ensuite elle a dressé la table. Je ne voyais rien mais je l'entendais aller et venir de la cuisine à la salle à manger.

Elle est allée à la salle de bains. J'ai entendu la douche. Elle se faisait belle.

A vingt heures, on a sonné et Sylvie est allée ouvrir. De là où j'étais, je ne pouvais pas voir l'entrée mais j'ai entendu deux voix d'hommes. Ma femme a complimenté ses invités parce qu'ils lui avaient apporté des fleurs. Il y a eu des embrassades, un peu plus longues qu'un simple bisou d'accueil. J'ai entendu des gloussements, des refus, comme si les hommes tentaient de la lutiner. Ensuite tout le monde s'est avancé, probablement vers le salon et la salle à manger.

Ma femme a convié les hommes à passer à table. Ils ont dîné. Je pensais qu'ils ne devaient pas se contenter de se restaurer. Je ne les entendais pas beaucoup parler mais ça riait.

*

Sylvie

Serge et son ami Jacques m'avaient apporté des fleurs, un magnifique bouquet de roses rouges. J'étais flattée mais aussi embarrassée. Comment allais-je expliquer leur présence à mon mari quand il rentrerait?

Serge m'a embrassé sur la bouche, goulûment, et moi, je lui ai rendu son baiser, passionnément. Jacques s'est mis à me caresser les fesses en soulevant ma robe et en investissant ma culotte. Il a dû se rendre compte que mon sexe était mouillé. Il l'était déjà quand j'ai pris ma douche et ça n'avait fait qu'empirer en attendant leur arrivée. Je me suis dégagée de son tripotage parce que je ne voulais pas que ça dérape dès l'entrée.

Je les ai entraînés à la salle à manger pour le repas. J'avais choisi de simplifier les choses le plus possible et en particulier de ne pas faire d'apéritif.

Ils se sont assis en face de moi. Ils ont retiré leurs chaussures et leurs chaussettes et ont commencé à me masser la vulve sous la table, en étendant leurs jambes jusqu'à mon entrecuisse. Je leur caressais les pieds pendant qu'ils appuyaient sur mon fond de culotte.

A la fin du repas, Jacques m'a demandé de leur faire une fellation. Serge a expliqué que je devais passer sous la table. Je me suis levée et j'ai fait exactement ce que Serge venait d'exiger. Je me suis mise à genoux, les fesses sur mes talons. Les deux hommes se sont avancés sur leur chaise, dans une position où ils étaient presque allongés. J'ai ouvert la braguette de Serge, un peu moins gauchement qu'au cinéma et j'ai sorti son sexe. Je l'ai mis dans ma bouche. Serge a mis ses mains sur l'arrière de mon crâne, pour me caresser et en même temps m'inciter au va-et-vient. Il m'a relevé la tête et m'a fait comprendre que je devais passer à son copain. Je me suis déplacée à quatre pattes pour me positionner entre les jambes de Jacques. J'ai répété les mêmes gestes et je me suis retrouvé avec le sexe du copain dans la bouche. Jacques me laissait faire. Il avait ses mains croisées sous sa nuque et il fermait les yeux. Je l'observais en levant les miens.

Les deux sexes étaient recouverts de sécrétions assez épaisses. Ils devaient tous les deux être excités depuis pas mal de temps. J'ai tout léché en passant d'un sexe à l'autre. Je les masturbais en même temps. Je trouvais cela à la fois humiliant et très érotique. Paradoxalement, je crois que c'est justement parce que ça semblait dégradant que j'étais troublée alors que j'aurais dû être froissée.

Ensuite Serge a décidé que ça suffisait et que nous serions mieux au lit. Nous avons tout de même pris le temps de débarrasser la table.

On est entré dans la chambre et ils m'ont déshabillée. Serge a retroussé ma robe pour la faire passer par dessus ma tête, puis il a dégrafé mon soutien-gorge et m'a pris les seins à pleines mains. Quant à Jacques, il a baissé ma culotte, m'a écarté les fesses et y a passé sa langue. J'étais gênée parce que je n'avais pas l'habitude qu'on lèche cette partie de mon corps et en particulier l'anus. Heureusement, j'avais pris une douche juste avant leur visite.

*

Jacques

Serge m'a appelé quelques jours après notre après-midi mémorable au cinéma. Il me demandait si j'étais libre le soir même pour aller chez la dame que nous avions copieusement branlée dans la pénombre. Même si j'avais été attendu en audience par le pape, je me serais décommandé!

On s'est retrouvé chez lui vers dix neuf heures trente (chez Serge, pas chez le pape). On avait rendez-vous à vingt heures. Il ne fallait pas être en avance pour être sûr de ne pas croiser le mari. Une belle partie de jambes en l'air se profilait et j'étais émoustillé comme un collégien en dépucelage.

On a sonné à vingt heures pétante. Serge a embrassé sa nana. Moi, je n'ai pas pu résister plus longtemps à lui glisser ma pogne dans le slip, le tranchant dans la raie d'abord et puis avec une petite rotation du poignet, le médius dans la moulasse. Elle était trempée la cochonne, aussi mouillée que ma queue était raide.

On a dîné tous les trois. On lui agaçait la chatte avec nos pieds sous la table. Je lui ai rentré mon gros orteil dans la moniche. Ça glissait tout seul à l'intérieur.

Quand on est passé dans la chambre, on l'a foutue à poil tous les deux. Je lui ai léché la raie et ça m'a donné envie de l'enculer. Je suis ressorti pour chercher du beurre au frigo.

*

Patrick

Je m'étais avancé silencieusement à plat ventre sur le sol de la mezzanine pour pouvoir surplomber toute la scène. Je pouvais baisser ma tête et ainsi être invisible depuis le bas ou au contraire la relever légèrement et voir l'entrée de la pièce et la totalité du lit.

Jacques lui a dit de se mettre sur le lit. Il lui a fait prendre une posture de prosternation, les genoux sous les seins et la tête sur le drap. Elle était malléable, sans volonté de résister. Il est sorti de la chambre. Serge avait pris son téléphone portable et il filmait. Il cadrait Sylvie pour la montrer, nue et offerte sur le lit. Puis il tournait autour d'elle pour venir devant son visage et enregistrer son expression de totale soumission.

*

Sylvie

Pendant que Jacques était sorti, Serge me filmait avec son téléphone. Je ne voulais pas qu'il le fasse mais je ne pouvais pas l'empêcher de filmer mon corps nu sur le lit, en particulier mon sexe et mon derrière en gros plan. Il est venu devant moi pour avoir mon visage. Je me suis tournée pour éviter l'objectif mais il m'a ordonnée de le regarder et je lui ai obéi.

Jacques est revenu dans la chambre. Il m'a dit qu'il allait me sodomiser. Comme une idiote, j'ai refusé. Il faut dire que je n'ai jamais aimé ça et que je n'ai jamais laissé mon mari me pénétrer par là. Mon refus a eu l'effet inverse de ce que je voulais, bien sûr.

*

Jacques

Quand je suis revenu dans la chambre avec le beurre, j'ai dit à Sylvie que j'allais l'enculer. Naïvement, elle nous a dit qu'elle ne voulait pas par derrière. Bien évidemment, ça nous a excité plus qu'autre chose.

- Je vais te préparer. Tu vas voir, tu vas adorer. Je vais t'assouplir le petit trou tout en douceur.

Malgré son refus initial, elle n'a pas changé pas de position. Elle avait la tête qui reposait sur le matelas. Son cul était bien dressé. J'allais me régaler.

Serge et moi, on s'est désapé.

*

Patrick

Les deux hommes bandaient. Jacques avait la plus grosse bite. Elle était surtout épaisse.

Il s'est placé à genoux derrière Sylvie, lui a écarté les fesses et l'a léchée, se délectant visiblement. Puis il s'est enduit le pouce de salive et a commencé à masser la rondelle. J'entendais Sylvie pousser des petits gémissements de douleur qu'elle tentait vainement de faire passer inaperçu. Elle n'osait pas se plaindre apparemment. J'étais étonné de son manque d'opposition à ce qu'on lui faisait subir. Avec moi, elle était catégorique : pas par là. Elle agitait ses bras dans son dos, comme pour faire obstacle. Mais c'était inutile, Jacques ne s'en souciait pas.

Il s'est tourné et a attrapé la plaquette de beurre qu'il avait déposée près de lui sur le lit. Il en a pris un morceau directement avec ses doigts et en a badigeonné les fesses de ma femme. Il s'est enduit le sexe de la même façon. Il ne s'embarrassait pas de faire des tâches de graisse par-ci par-là.

Jacques a pris Sylvie par les hanches. Je le regardais faire. J'étais fasciné par ce qui allait se passer. Non seulement ma femme allait se faire enculer mais j'étais aux premières loges. Je surplombais la scène et je voyais ma femme avec le cul en l'air et la raie pleine de beurre.

J'ai vu Jacques prendre son sexe entre son pouce et son majeur et placer le gland tout beurré sur l'anus de Sylvie. Il a écarté l'orifice avec ses deux pouces et il a commencé à faire pression avec son bassin. De là où j'étais, j'avais une vue imprenable sur le trou et la bite qui l'agrandissait. Le nœud rentra facilement au début, prenant la place que les doigts avaient préparée. Ensuite, ça a été plus difficile mais Jacques poussait inexorablement et millimètre après millimètre, ça rentrait. Sylvie était brave mais elle n'a pas pu retenir un cri. En tout cas, elle ne cherchait pas à se dérober. Elle subissait. Serge immortalisait la sodomie.

*

Jacques

Je me suis approché du cul de madame. Un panorama magnifique. Belles fesses bien rondes, cuisses pleines, chatte poilue, belle fente et un petit trou du cul tout mignon, une pastille que j'allais élargir un peu.

Je lui ai pris les miches dans mes mains et je lui ai ouvert la raie pour pouvoir la déguster du clito jusqu'à sa rosette. Elle était bien mouillée. J'avais du jus plein les moustaches. Façon de parler parce que je n'ai pas de moustaches.

Je me suis mis à lui préparer son oignon pour bien l'assouplir et qu'elle ne souffre pas trop la petite chérie. Je voulais l'initier bien comme il faut pour qu'elle finisse par nous réclamer de l'enculer. J'ai commencé par bien me saliver le pouce. Il est gros, mais il forme une spatule qui permet de bien écraser le trou de balle. C'est ça qui l'attendrit.

J'ai placé mon doigt sur le petit œillet et je l'ai tourné dessus en appuyant doucement. Rebelote dans la bouche pour le mouiller et on recommence à tourner et presser. Elle s'ouvrait progressivement. Je suçais régulièrement mon pouce et je reprenais ma pression pour m'enfoncer un peu plus. Sylvie souffrait. Ça s'entendait. Mais elle supportait ça bravement. Je savais qu'elle finirait par aimer la pénétration anale.

Je suis arrivé à mes fins. Mon pouce avait franchi le sphincter et était dans le rectum. J'ai fouillé un peu à l'intérieur. J'ai ressorti mon doigt, mouillé mon médius et je l'ai fait entrer à la place du pouce. Le médius est plus long donc il s'enfonce plus loin. Je l'ai sorti lui aussi et je l'ai mouillé à nouveau mais en ajoutant mon index. Une fois que je pouvais lui mettre deux doigts bien au fond, je savais que c'était gagné. La bite, c'est juste un peu plus gros et un peu plus long. Sylvie était prête à me recevoir.

J'ai pris le paquet de beurre et j'en ai prélevé un bon morceau. Je lui ai tartiné l'œil de bronze et le bout de ma queue. J'ai placé mon nœud sur le trou et j'ai poussé. C'est rentré doucement.

*

Patrick

Il a fini par tout lui mettre. Il avait son pubis collé aux fesses de ma femme. Il s'est maintenu dans cette position un certain temps, ne bougeant pas. Je pense qu'il voulait que Sylvie se fasse au morceau qui lui envahissait le rectum. Il s'est penché, l'a invitée à se dresser sur ses bras pour lui caresser les seins par en dessous. Il malaxait les mamelles et titillait les tétons. Il ne relâchait pas sa pression et restait bien fiché en elle.

J'ai vu son bassin bouger. Il donnait des petits coups de cul vers l'avant. Ses fesses se contractaient à chaque poussée. Il a remis ses mains sur les hanches pour assurer sa prise et il a amplifié son mouvement. Sylvie était maintenant silencieuse mais je voyais son visage se crisper à chaque impact. Elle plissait les yeux et ouvrait la bouche.

Jacques donnait de vrais coups de boutoir, faisant avancer le cul de Sylvie. Les fesses étaient écrasées à chaque fois que Jacques la pilonnait. Leur rondeur s'aplatissait sous les percussions.

Ils se sont mis à grogner l'un et l'autre. Lui quand il perforait, elle quand elle était transpercée. Serge continuait à filmer. Il ne ratait rien, pas une expression, pas un son, pas un mouvement.

Jacques a sorti son sexe complètement et a invité Serge à prendre quelques images du trou béant. Moi non plus je ne ratais rien du spectacle et j'avais l'anus de ma femme juste sous mes yeux, incroyablement ouvert. Il y avait un rond noir au centre, de la taille d'une pièce de deux euros. C'était l'entrée du rectum.

Il a remis du beurre, l'a pénétrée à nouveau, cette fois sans aucune difficulté, et il a recommencé à lui taper dans le cul. Il ne cherchait plus à la ménager. Il l'enculait à fond, à un rythme soutenu. Les grognements étaient devenus des cris.

Sylvie aussi participait. Elle fermait les yeux, ouvrait la bouche et sa respiration s'accélérait. Ses seins ballottaient en suivant le mouvement des bourrades. Elle résistait aux poussées en forçant sur ses bras et ses cuisses.

Il a dit a Serge de laisser son portable et de venir l'aider. Il voulait que son copain lui branle le vagin pour qu'elle soit prise par ses deux trous.

Serge s'est allongé sur le lit, le dos sur le drap et il s'est glissé sous Sylvie pour mettre sa tête juste sous le ventre. Il a ensuite déplacé ses jambes entre les bras de ma femme. Il était en position de soixante neuf par rapport à elle. Il était dessous et avait sans doute une vue imprenable sur les seins pendants. Jacques s'était arrêté pour permettre à son copain de se placer. Je ne voyais pas ce que Serge faisait parce qu'il était masqué par le buste de Sylvie mais j'imaginais qu'il la branlait. Jacques s'est remis en mouvement.

Je devais faire attention pour que Serge ne puisse pas me voir. C'était le seul qui avait les yeux tournés vers le plafond et qui aurait pu m'apercevoir s'il avait regardé vers la mezzanine.

*

Jacques

Je suis resté au fond de son cul un moment sans bouger, pour qu'elle s'habitue.

Quand j'ai senti que sa douleur s'était calmée, je lui ai dit de se mettre en levrette. Je lui ai tripoté les nichons en tirant sur les tétons. Ça pendait à cause de sa position et je pouvais les traire comme des pis. Je l'ai prise aux hanches et j'ai commencé à lui donner des petits coups au fond de son cul. Je la tenais bien et je tapais ses fesses avec mon ventre. A chaque fois que je tirais en arrière, je ressortais un peu plus et je l'enfournais jusqu'à la garde. Elle ne gémissait plus mais elle se laissait manœuvrer sans résistance.

Je la bourrais bien à fond, entrant et sortant la moitié de ma queue à chaque coup de rein. On soufflait tous les deux en cadence. A un moment, j'ai retiré toute ma bite pour voir son trou. J'ai dit à Serge de venir filmer parce que ça valait vraiment le coup.

J'ai proposé à Serge de me rejoindre. Il s'est installé sous elle pour pouvoir lui fouiller dans la chatte avec sa main.

- Branle là bien pendant que je la bourre. Les deux ensemble, ça va la faire jouir. Tu lui ramones le vagin et je lui baise le petit. A nous deux on va lui donner du bonheur à cette femelle. Pas vrai Sylvie?

Elle ne nous a pas répondu. On s'est mis au turbin lui et moi. Je lui limais le fondement et Serge lui baisait la chatte avec deux doigts. On était bien coordonné. Quand il entrait, je sortais et quand je m'enfonçais, il se retirait. On tenait le rythme. Un trou plein et l'autre vide. Et puis ça s'inversait. On sentait qu'elle avait de plus en plus de mal à nous cacher son plaisir. Elle respirait la bouche ouverte, son visage se crispait. Je ne voyais pas ses yeux mais je suis sûr qu'elle les fermait et se concentrait sur son orgasme.

A un moment où Serge retirait sa main et où moi je la fourrais, elle a giclé sous elle. Je me souvenais de la façon dont elle avait joui au cinéma en me pissant dessus. La voilà qui recommençait. Ça m'excitait incroyablement de la voir qui ne pouvait pas se retenir. Serge m'a fait comprendre que je devais rester sans bouger au fond de son cul. Il s'est mis à lui astiquer le vagin à toute vitesse en lui appuyant sur le bas ventre. Il voulait qu'elle envoie la sauce. Il l'a senti venir et a ressorti ses doigts, la laissant pisser un petit coup. Il a recommencé et à six ou sept reprises, elle a mouillé le drap housse. J'adorais la voir se vider. Ça me faisait penser au lait qui sort en gerbe quand on trait. J'ai déculé et je l'ai regardée, avec ses genoux qui trempaient dans la grande tâche d'urine sur le matelas. Serge en avait aussi plein partout. Il n'avait pas été épargné.

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