Sébastien et Ivraie

Entrée en matière

Tout me réussissait jusque là,

Je m'appelle Sébastien j'ai 28 ans, j'étais conseillé en clientèle, je suis en couple depuis trois ans avec Ivraie 26 ans qui est hôtesse d'accueil. Nous traversons actuellement une période compliquée, j'ai été licencié économiquement il y a sept mois et je suis encore en recherche d'emploi, depuis je suis sous anti dépresseur mais mon stress et mon anxiété ne font que grandir, j'ai perdu du poids et ma libido c'est volatilisée. Après une longue conversation Ivraie étonnée et frustrée par mon comportement à décidé que notre projet d'avoir des enfants devaient être mis en stand by le temps que ma situation change et que j'aille mieux. Ce qui à mis un coup de massue à mon morale déjà bien entamé et le soir seul dans le salon j'ai pleuré.

Je vais régulièrement au pôle emploi, on m'a conseillé de me réorienter, car le payement de mes allocations sera suspendu d'ici peu. Principalement de la manutention. Je suis de plus en plus désespéré par la tournure des événements.

C'est en rentrant d'un de ces rendez vous que je m'arrête dans un bar et commande un café.

Un homme d'une soixantaine d'années les cheveux grisonnants est là, il est grand, costaud et se présente comme le patron de l'établissement, Bernard.

Il me dit qu'il me voit fréquemment marcher dans la rue la tête basse, après hésitation, je lui fait part de ma situation et fini mon récit la larme à l'œil. Il m'écoute et amicalement me tape sur l'épaule, ce qui réchauffe un peu mon cœur.

« Tiens bois un coup, c'est la maison qui offre, ça ira mieux après. »

Je m'essuie les yeux et le remercie.

C'est fort, je tousse, il sourit et me demande si je suis marié, affable, je lui raconte aussi les moments difficiles que je passe avec Ivraie et la peur de la perdre, je suis fébrile.

Bernard sourit à pleine dent, ce qui me laisse perplexe.

«T'as des photos?  »

J'ouvre mon mobile devant lui, j'ai une série d'Ivraie en bikini sur la plage lors de nos vacances en Espagne de l'été dernier.

« Ah ouais »

Il me prends mon portable des mains, fouille dans mes photos et zoom sur la poitrine et l'entrejambe d'Ivraie.

« Ça doit être bon tout ça!! » en sortant sa langue.

Moi j'ai chaud, mes mains sont moites, l'effet de la boisson sans doute, il sourit encore plus, il est proche, il m'impressionne, un mélange de peur et d'angoisse me traverse, il le voit et me caresse l'épaule.

« Les femmes aiment être baisées, il faut les pilonner comme un marteau piqueur et le pire c'est qu'elles en redemandent et si t'as une bite comme la mienne elles reviennent les salopes et ta femme est comme les autres..»

Il attends ma réaction qui ne vient pas, il me dévisage content, me tends un autre verre et d'un ton sec.

« Tiens avale celui-ci avant qu'on s'amuse »  

Je m'exécute, il souris, va à la porte d'entrée la ferme à clé et tire le rideau, je m'aperçois que nous ne sommes que tous les deux dans le bar.

Il descends son pantalon, je me fige d'effroi, il n'a pas de slip, mes yeux se figent sur son imposant gland violacé et sa colonne de chair volumineuse, ses cuisses sont massives.

Je tente mollement de reculer, il me retiens par la main qu'il dépose sur son sexe, c'est chaud, il grossit, je suis dans un état second, Bernard bouge et son sexe glisse sur ma paume, j'ai toujours les yeux fixés sur ce gland violacé, son autre main sur ma tête fait pression.

«Je vois qu'elle te fait envie, vas y suce, fait plaisir à Bernard  »

Je me retrouve à genoux, bouche ouverte prête à accueillir son sexe, il à l'âge de mon père, moi, marié hétérosexuel, j'ai chaud, ma tête tourne, ses doigts burinés et épais caressent ma tête, Il pousse son gland.

Regardes moi!  »

Je lève les yeux, je vois qu'il a mon téléphone dans sa main, il souris et commence des vas et viens, je salive énormément.

« Et bien, tu cachais bien ton jeu petite fiotte. »

Il me retourne comme une plume, baisse mon pantalon, mon caleçon, je suis en érection, il rigole.

« Je comprends ce qui frustre ta femme. »

Je rougis, il me claque sèchement les fesses, m'attrape le sexe, me malaxe brutalement les testicules.

Sa main glisse dans ma raie et ses doigts s'arrêtent sur mon anus, qu'il masse, il m'écarte les fesses crache sur mon trou, il est vulgaire, Il me doigte, je laisse échapper un gémissement, il l'entends, me vois, souris,il me branle, je suis totalement relâché et la sensation de ses doigts en moi est incroyable. Je jouis comme jamais et m'écroule.

Lorsque je reprends conscience, je suis nu, mon corps endolori, j'ai quelques flash de ce qui a put ce passer, j'ai honte, je comprends que je n'étais pas dans mon état normal, qu'il m'a certainement drogué.

Bernard, est en face de moi mon téléphone dans les mains, il me sourit. Je suis blême lorsque j'entends.

« Ivraie! Bonjour, je m'appelle Bernard, je suis le nouveau boss de Sébastien...oui...oui il va bien, en pleine forme, t'inquiètes pas....il travail...oui... je l'ai embauché dans mon bar et pour fêter ça je viens dîner avec vous deux, oui... chez toi,...il sera avec moi...il m'a fait voir des photos de toi en Espagne tu es ravissante, j'ai hâte de te voir en vrai...oui c'est ça à toute à l'heure et habilles toi sexy ça luiu fera plaisir.»

Il lève un pouce en me regardant avant de raccrocher.

A suivre.....