Tendre Adeline Chapitre 01

BÊTA PUBLIQUE

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Une nouvelle fois les souvenirs remontaient à la surface...

Les plus beaux moments de notre jeune vie s'étaient déroulés durant l'été.

Pour les grandes vacances, nos parents et grands-parents louaient une grande maison à la campagne et tous les cousins y passions les 2 mois tandis que nos parents respectifs venaient pendant leurs vacances respectives (2 à 4 semaines).

Nous dormions bien entendu plusieurs par chambre (2 à 4 généralement) mais parfois nous avions un grand dortoir commun. La plupart du temps, filles et garçons, étions séparés mais un été, il se trouva que pendant 2 semaines, les chambres étant complètes, il restait une chambre à partager entre une fille et un garçon. Les 2 petites voulaient se mettre ensemble, les 2 plus grandes aussi, les garçons dans le « dortoir ».

Adeline proposa immédiatement de dormir avec moi. Je ne disais rien, moi qui d'habitude dormais avec 2 cousins à peu près de mon âge, l'idée de passer quelques nuits auprès de ma cousine préférée me réjouissait secrètement. Nos parents et grands-parents ne virent aucun mal à cela et il fut donc fait ainsi. Ces nuits comptèrent parmi les plus belles de mes jeunes années.

Adeline se montra très coquine, bien au-delà du raisonnable. Elle minaudait tous les soirs en venant dans la chambre faisant semblant de ne pas vouloir que je la regarde tout en me laissant en voir le maximum. Elle venait de la salle de bain où elle s'était mise en chemise de nuit et avant se glisser dans les draps, passait ses mains en dessous pour retirer sa petite culotte. Elle me surveillait du coin de l'œil que je voie bien ce qu'elle faisait.

Parfois elle ne retirait pas sa culotte tout de suite et s'allongeait sur le lit et tout en discutant faisait remonter sa chemise sur ses cuisses pour que je vois sa culotte. Autre particularité, elle remettait sa culotte à chaque fois qu'elle allait aux toilettes et la quittait à nouveau à son retour. Elle laissait également la porte entr'ouverte alors que mon lit se trouvait juste en face. Le tout bien sûr pour que je regarde.

Je ne rêvais que d'une chose, lui retirer moi-même sa culotte. Je crois qu'elle lisait dans mes pensées car un soir sans que je m'y attende, elle me le proposa « tu veux me quitter ma culotte? ». J'étais stupéfait. Comment pouvait-elle me faire une telle proposition? Comment une fille sage et sérieuse pouvait-elle demander cela à un garçon? Elle n'était peut-être pas si sage en fait. Je me sentais pris au piège de mes désirs découverts. Je ne le fis jamais malgré plusieurs propositions de sa part.

Un soir d'orage, elle prétendit avoir très peur et me demanda de venir dans mon lit. J'en rêvais. Nous nous retrouvâmes dans mon petit lit. Je la serrais de plus en plus fort au fur et à mesure des coups de tonnerre. C'était merveilleux. Après l'orage, elle fit semblant de dormir pour rester.

Bien souvent elle me tournait alors le dos en position du fœtus. Je prenais la même position derrière pour approcher mon bas ventre de son derrière. Elle en chemise de nuit, moi en slip. Le bonheur.

Elle me demanda même souvent de venir dans mon lit, y compris quand le temps était clément... Il m'arrivait lorsqu'elle se levait avant moi, le matin, de renifler ses culottes de la veille dans une honte maximale et surtout la crainte d'être surpris. Son odeur y était décuplée et électrisante...

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Elle s'engouffra dans mon lit et immédiatement je la pris dans mes bras. Un énorme coup de tonnerre retentit à ce moment-là (le coup de foudre). Elle avait une toute fine chemise de nuit blanche à dentelle.

Culotte ou pas? Suspense.

Elle se serra encore plus contre moi. Je lui caressais doucement l'épaule. Ses genoux étaient contre mon sexe. Elle bougeait doucement pour m'exciter. Elle attrapa ma main pour la placer sur ses fesses. Le message était on ne peut plus clair. La porte m'était largement ouverte. Je sentis sous mes doigts la couture de sa culotte. Je caressais longuement cette frontière entre le haut de sa cuisse et sa fesse gauche. Je bandais comme un taureau sous les caresses de ses genoux. A chaque coup de tonnerre elle se serrait plus « protège-moi. J'ai trop peur, minaudait-elle. Tu me protégeras toujours, hein, dis? »

« Oui ma chérie, toujours. Je t'aime. »

C'était sorti malgré moi. Je me l'étais tellement répété que j'avais l'impression que c'était normal. Son visage se tourna vers le mien et nos lèvres se trouvèrent. Ce fut le baiser le plus incroyable de ma vie. Une douceur incroyable. Sa bouche était sucrée. Sa langue une friandise. Elle s'allongea sur le ventre et prit ma main qu'elle mit entre ses jambes. Sa culotte était détrempée. Je la caressais avec douceur. Elle me força à aller plus vite, plus profond. Je sentais ses lèvres intimes à travers le coton. Mais quel bonheur!

« Enlève ma culotte ». Encore un souvenir de notre enfance. Mais cette fois-ci je ne dirai pas non. Je soulevais le drap et me levant à côté d'elle, j'attrapai le fin tissu et le fis glisser le long de ses jambes. A chaque éclair, je voyais le bas de son corps dénudé, ses jambes blanches et si douces, son triangle doré...

« Sens-là. Je suis sûre que tu aimes ça ».

Evidemment que j'aimais ça et elle le savait, la coquine. Je reniflais avidement le fond de sa culotte détrempée. Elle attrapa mon sexe et commença à me masturber doucement. J'écartais ses jambes, les soulevais et plongeais mon visage dans son entrejambe emprisonnant sa vulve entre mes lèvres et doucement, tout doucement, pour ne jamais oublier cet instant si précieux je sortis ma langue pour enfin gouter ses liqueurs à la source. Elle m'appuya la tête pour m'enfoncer en elle. Je ne pouvais plus respirer. J'aspirai le maximum de secrétions espérant que jamais cela ne s'arrête.

« Prends-moi, Thomas, prends-moi. J'ai trop envie ». Il me restait un fond de lucidité. « Non Adeline, on ne peut pas faire cela. On n'a pas le droit. On est cousins » « On s'en fout, moi je t'aime, je ne veux rien d'autre. Je veux ta bite. Mets-moi là vite. S'il te plait. S'il te plait... THOMAAAAASSS... ».

C'était plus qu'une prière. « J'ai pas de capote. Il faut pas que tu tombes enceinte. »

« Prends-moi par derrière ».

J'étais estomaqué. Comment ma si douce petite cousine si sage, si jeune, ... pouvait-elle parler ainsi. « Hein? » « Prends-moi par derrière. C'est ça que je veux. Depuis le temps que j'attends. Depuis toute petite j'attends que ton zizi rentre dans mon cul. J'ai tellement mouillé ma culotte en pensant à ça. S'il te plait Thomas, mets-moi là. Je veux que tu te vides en moi. Je veux sentir ça dans mon ventre. » « Mais ca fait mal par derrière » « Prends ma mouille devant. Je me suis mis les doigts au fond, j'aime ça je te jure, tu me feras pas mal ». Et elle me montra ses doigts déjà enfoncés dans son petit trou.

Je me dis que ma cousine était folle. Une nympho. Elle n'était visiblement pas celle que je croyais. Elle dirigea ma bite vers sa vulve pour l'imprégner au maximum puis elle la dirigea vers son anus. Tout en douceur, je poussais vers elle.

Et très rapidement je m'enfonçais en elle.

D'une main, je caressais ses seins, de l'autre je frottais doucement son clito. Elle me saisit la main et la guida vers l'intérieur de son vagin. Deux doigts, puis trois s'enfoncèrent en elle tandis qu'elle hurlait de plaisir. Après avoir fait quelques allers-retours en elle, je décidai de changer de position. Je la remis sur le dos, lui remontant les pieds au-dessus de la tête, soulevant son postérieur. A nouveau j'entrais en elle. Ma main reprit sa place dans son vagin. Elle hurlait de plus belle. Je m'enfonçais jusqu'à la garde. J'avais honte de moi. Honte de prendre un tel plaisir à cette situation dont je n'avais même pas rêvé. Elle me regardait dans les yeux en criant des insanités. J'étais perdu dans ce regard à la fois si doux et démoniaque.

Elle était plus belle que jamais.

« Vas-y, viens, vide toi en moi. Je veux sentir ton jet au plus profond de moi, han, han, han ». Je finis par jouir de toutes mes forces sans la quitter des yeux. « Ho, c'est bon, c'est bon... ». Je m'écroulais sur elle, anéanti. Je roulais sur le côté, libérant ses fesses. Epuisé. Vidé. Le plus bel orgasme de ma vie. Incroyable. Elle se lova contre moi douce comme une agnelle « Je t'aime. Je n'aime que toi ». Et nous finîmes par nous endormir anéantis pas cet amour excessif.

Sur le matin, je fus réveillé par une caresse sur mon membre. Elle m'embrassait sur le visage tout en me masturbant. Elle ramena à nouveau ma main entre ses jambes pour se masturber avec. Je l'embrassais goulument. Nous jouîmes une deuxième fois sans pénétration, tout en douceur...

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 5 mois

Quel bonheur... ce long récit qui reste dans le non-dit, ces émois de l'enfance et de l'adolescence, cette perversité innocente... notre excitation monte avec la leur pour une fin à la hauteur de cette relation incestueuse. Difficile d'espérer une suite

Un grand merci

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