Mes Vacances Avec Ma Tante 01

Pour fêter mes 18 ans ainsi que l'obtention du BAC avec a mention très bien, mes parents m'ont offert un billet pour aller faire des vacances chez ma tante en Australie.

Tante Julie, qui a dix ans de mois que mon père, est partie habiter en Australie quand j'avais à peine 8 ans. Elle a toujours eu un esprit libre, et se sentais à l'étroit en France.

J'avais hâte de la revoir, mais surtout de découvrir tous ces beaux paysages et vivre de belles aventures. Après un vol qui m'a paru interminable, j'arrive enfin à l'aéroport de Sidney. Je sors avec ma valise et regarde autour de moi à la recherche d'un visage familier. Soudain je voie une femme qui court vers moi, et avant que je ne puisse réagir, me saute dessus et me sert fort dans ses bras. Je devine que c'est ma tante et la sert à mon tour.

Pendant qu'on se fait un gros câlin, je ne peux pas m'empêcher de remarquer que non seulement elle a une grosse poitrine, mais qu'en plus, elle ne porte pas de soutien-gorge. Cà doit surement être à cause de la chaleur.

Elle prend ma valise et m'emmène vers sa voiture. Pendant le trajet, elle me pose pleins de questions sur mes études, ce que je veux faire par la suite etc. J'essaye de la regarder dans les yeux, en faisant de mon mieux pour ne pas regarder ses seins.

Après quelques heures de route, on arrive enfin chez elle. C'est une petite maison avec un assez grand jardin. Elle me montre ma chambre et m'invite à aller me doucher pendant qu'elle prépare le repas.

Après une bonne douche, on passe à table et elle m'explique le trajet qu'on va faire pendant mes vacances, toutes les villes et les lieux qu'on va visiter. Elle est aussi enthousiaste que moi. Notre voyage commence après demain, le temps que je puisse me reposer. Épuisé, je lui annonce que je vais dormir, et elle me refait un câlin avant de me laisser rejoindre ma chambre.

Je dors d'un sommeil profond et me réveille le matin en pleine forme. Je me lève de mon lit et me dirige vers la fenêtre. Je vois alors tante Julie qui semble faire sa séance de yoga dans le jardin. Elle a mis un legging blanc et un débardeur rose. Elle fait une pose où elle a son cul bien en l'air et instantanément, j'ai un début d'érection. J'avais remarqué ses seins, mais là je me rends compte qu'elle a aussi un derrière de rêve. Je m'en veux d'avoir ce genre de pensées pour la sœur de mon père. Mais je continue à regarder. Elle change de postures et cette fois-ci, c'est ses gros seins qui sont mis en valeur. Au bout d'un moment, je n'en peux plus. Je vais alors dans la salle de bain pour me masturber et faire descendre la pression. Je sors ma queue déjà bien dure et commence à me toucher. A un moment, mon regard se pose sur le bac à linge sale et je remarque une culotte en dentelle. Je la prends et l'enroule autour de mon sexe et je continue à me masturber, et je finis par penser à ma tante et à toutes les vilaines choses que j'aimerai lui faire. Je jouis assez vite, courant la culotte entièrement avec mon foutre.

J'étais dans un moment de pur bonheur quand soudain j'entends quelqu'un frapper à la porte. Je sursaute, et pris de panique, je repose la culotte sur le haut du panier sans le laver ou au moins le cacher sous les autres vêtements.

-« Tout va bien? » me demande tante Julie.

-« Oui, oui » je réponds en essayant d'avoir l'air normal.

Je sors après un instant et remarque que le petit déjeuné est servi. Elle me dit que nous allons faire des courses pour notre « road trip » en camping-car. Je passe la journée avec elle, à acheter des vêtements, accessoires et des réserves pour la route. A plusieurs reprises, elle me surprend entrain de mater son cul ou ses gros seins, et on dirait que çà ne la dérange pas plus que çà. Elle a toujours été très ouverte d'esprit, contrairement à mon père. Quand on rentre à la maison, nous mettons les provisions dans le car qu'elle a loué puis elle me dit qu'elle va faire une machine pour laver le linge sale. Je lui dis que je n'ai pas grand-chose à faire laver. Ce n'est qu'un moment plus tard que je me rappelle que j'ai laissé sa culotte couverte de mon foutre juste au-dessus du panier.

Je cours alors vers la salle de bain mais elle est déjà en train de remplir la machine. Elle ne dit rien, mais quand elle remarque que je suis là, elle me fait juste un clin d'œil et continue à remplir la machine. Je suis rouge de honte et m'en vais dans ma chambre.

Le soir, elle m'appelle quand le diner est prêt. J'essaie d'avoir un air naturel, même si au fond de moi je suis mort de honte.

-« On va se coucher tôt ce soir » me dit-elle. « On quitte la maison de bonne heure demain ».

Je finis de manger, lui fait notre câlin habituel, et m'en vais dans a chambre. A ma grande surprise, je découvre une culotte posée près de mon oreiller. Je regarde autour de moi, ça doit surement être une blague. Je reste un instant sans bouger. Non seulement elle a vu que je me suis branlé dans sa culotte, mais en plus, çà ne lui dérange pas du tout. Elle est vraiment trop cool ma tante.

Le lendemain matin, elle vient me réveiller de bonne heure et nous somme sur la route avant que le soleil ne se lève. Nous sortons rapidement des grandes routes et nous dirigeons vers le coté sauvage de cet énorme continent. Nous parlons beaucoup pendant le trajet. Elle me fait découvrir la musique locale que j'apprécie beaucoup. Vers la fin de l'après-midi, nous sortons de la route principale et prenons un petit sentier. Au bout d'un moment nous arrivons vers une petite maison en bois.

Elle arrête la voiture et me dis qu'elle doit récupérer quelque chose avec un ami et que je peux faire un tour pour me dégourdir les jambes sans pour autant aller trop loin.

Elle descend de la voiture et se dirige vers la maison. La porte, ni les fenêtre d'ailleurs ne sont pas fermées. Je sors de la voiture à mon tour. Juste au moment où je commence à marcher, j'entends la voix d'un homme. Il a l'air content de la voir. J'allais continuer à marcher quand je commence à entendre des bruits bizarres. J'entends ma tante qui commence à gémir et lui demander de la baiser sauvagement. Je commence à sentir ma queue durcir sous mon short. Je m'approche alors tout doucement de la fenêtre pour mieux entendre. Je les entends baiser comme des cochons et ma tante n'arrêtes pas de lui dire des trucs cochons en Anglais. Grace aux sites pornos américains que je regarde, je comprends ce qu'elle est entrain de lui dire et lui demander. Elle est vraiment une cochonne ma tante. Au bout d'environ quinze minutes, j'entends un cri de ma tante, puis le silence complet. Quelques instants plus tard, je vois ma tante ressortir de la maison, avec un grand sourire aux lèvres.

-« Allons-y Lucas » me dit-elle, sans se soucier du fait que j'avais tout entendu. Clairement, les mœurs n'étaient pas les même sur ce continent.

Nous reprenons la route principale. Nous essayons de reprendre une conversation normale. Quand le soleil se couche, elle roule un instant, puis se gare dans un endroit prévu pour les camping-cars. Nous sommes les seuls pour le moment.

On fait un petit feu, et pendant que le repas est entrain de cuire, nous pennons une bière bien fraîche. Nous mangeons, bavardons et surtout, buvons pas mal de bières.

Quand finalement on éteint le feu et qu'on va dans le car pour se coucher, nous sommes assez torchés. Comme il n'y a qu'un seul grand lit, nous devons le partager.

Vu la chaleur qu'il fait, on dort avec des vêtements très légers. La nuisette de ma tante ne cache pas grand-chose et je me demande comment je vais arriver à dormir juste à côté d'elle.

Une fois sur le lit, elle semble s'être endormie assez rapidement, vu qu'elle a bu beaucoup plus que moi. J'aurai voulu faire pareil, mais je suis excité, et la voir à mes côtés dans cette petite tenue qui révèle une grande partie de ses seins n'arrange pas les chose. Il n'y a pas moyen d'avoir de l'intimité dans ce car. Je me retourne alors de l'autre côté et commence à me toucher. Au bout d'un moment je sursaute quand je sens une main sur la mienne. Je ne bouge plus, en pesant qu'elle l'a fait dans son sommeil. Mais je comprends qu'elle ne dort pas lorsqu' elle pousse doucement ma main et prend ma bite bien dure dans la sienne et commence à me branler. Elle se rapproche de moi un peu plus, et je ressens ses gros seins contre mon dos. Elle me masturbe tout doucement. Je suis trop soul et trop excité pour pouvoir réagir. Je me laisse faire et apprécie le moment. Elle accélère de plus en plus et quand elle sent que je vais jouir, elle prend un petit chiffon qu'elle avait près d'elle et me vide dedans. Elle pose le chiffon par terre et s'endort presque instantanément. Je reste éveillé un moment, essayant de comprendre ce qui venait de se passer, puis fini par m'endormir aussi.

Le lendemain, quand je me réveille, tante Julie est déjà dehors en train de faire son yoga. Je profite un moment et soudain, je me rappelle de ce qui s'est passé hier soir. Avais-je rêvé? J'ai un peu mal à la tête. Je finis par la rejoindre.

Nous mangeons un peu et après un bon café, reprenons la route. Je me sentais mal à l'aise, et elle l'a ressenti. Au bout d'un moment, elle finit par en parler ouvertement :

-« Lucas, je voudrais savoir ce que tu penses de ce qui s'est passé hier soir. Certes, nous avions bu tous les deux, mais si tu penses que c'était une erreur, alors je m'en excuse et te promets que cela ne se reproduira plus jamais » puis elle fit une pause. « Par contre, si tu n'es pas aussi coincé que ton père et que tu as envie de découvrir des choses, alors je peux te promettre que tu passeras les meilleures vacances de ta vie »

Je suis pris au dépourvu. Je m'attendais à tout sauf cela. Je ne sais plus quoi répondre. Au bout d'un moment, elle ralenti le car pour s'arrêter au bord de la route. Puis elle se retourne vers moi et me dis

-« Alors Lucas, tu en penses quoi? » tout en posant une main sur mon genou.

Je ne trouvais pas de mots pour lui répondre. Alors je pris doucement sa main, et doucement la pose sur la queue qui avait commencé à durcir. Elle sourit, caresse ma bite à travers mon short, puis reprend le volant à deux mains.

-« Lucas, je suis fière de toi. Je vais te faire vivre des vacances inoubliables » me dit-elle avant de reprendre la route.