Mon Père

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Un récit que j'ai vécue en rêve,
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allan87
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Je suis nue sur le lit de mon père, dégoulinantes de sperme qui s'échappe de ma chatte, de mon cul , et même aux commissures de ma bouche.

je viens de subir les assauts de quatres hommes qui ont afacilement le double de mon âge. Ils m'ont prise par tous mes orifices a tour de rôle, et même trois a la fois, et mon père fait partis de mes tortionnaires, quant je dis tortionnaires, je dois dire que j'étais consentante, et même je suis dans un état second ou j'ai encore envie de sexe.

Je suis donc là , sur le dos, avec les mains d'un grand Noir, qui joue habilement avec mes mamelons. Il promène ses indexes lentement autour de mes aréoles, puis remonte mes mamelons vers le haut, sans me quitter des yeux, avec un grand sourire sur ses lèvres charnues.

je regarde le contraste de ses mains sur ma peau blanche laiteuse, et je me demande comment , moi, la petite étudiante de 19ans et demi, j'en suis arrivé là.

Je m'appelle Léa, je suis brune, cheveux court , yeux vert, assez jolie, au dire de mes amis étudiants qui me courtisent . Je mesure 1m65 pour 52 kg, de belles formes, une petite poitrine, trop petite a mon gout, des seins en forme de poires de petites aréoles brunes surmontés de tout petits mamelons, très délicats qui s'écartent légèrement vers l'extérieure un petit 80 b, une jolie chute de reins qui dessine un cul légèrement rebondit ventre plat mettant en valeur une chatte épilée, et des lèvres assez serrés .

Je suis venue au monde, causant le décès de ma mère. Mon père m'a donc élevé avec l'aide de sa sœur, ma tante. Ma mère avais 20 ans et mon père 21.

Nous avons vécu tous les trois jusqu'à mes douze ans, puis Annie ma tante, qui a un an de plus que mon père s'est mariée et a quitté la maison.

Nous sommes restés seuls, Luc mon père et moi ,

Mon père avait donc 33 ans, bien bâti, svelte. Il pratiquait le squash, et ensemble on faisait de la natation.

Les années ont passées, nous étions heureux, il y a eu un moment vers mes 16 ans où il a eu une copine qui venait à la maison, mais devant mon hostilité, elle a vite disparu.

Pour mes 19 ans, au mois de Février, il m'a offert une petite robe très sexy et m'a dit que je devais la porter Samedi soir pour l'accompagner au resto.

Le reste de la semaine m'a paru très long.

Ce fameux samedi est enfin arrivé. j'ai passé l'après-midi dans la salle de bain et dans ma chambre a me préparer .j'ai mis une belle culotte en dentelle noire avec le soutien-gorge assortie, puis j'ai enfilée la robe noire offerte par mon père.

J'étais devant mon miroir a m'admirer , mes jambes et mes cuisses mise en valeur, la robe étant très courte ma poitrine bien serrée par les bretelles nouées derrière le cou.

Quand je remarque mon père dans l'encadrement de la porte. Je me retourne, lui saute au cou ,l'embrasse sur la joue et le remercie lui disant que j'adore son cadeau.

Il me prend par la main, me fait tourner sur moi-même et me dit qu'avec ce genre de robe, on ne met pas de soutif, le dos nu ne le permettant pas.

Je le regarde en face, dénoue les bretelles de la robe, retire le soutien-gorge et pour la première fois me retrouve les seins nus face à lui.

Je vois son regard m'examiner, il avale sa salive, et me dit:

_c'est fou comme tu ressemble à ta maman .

Puis il me prend par les hanches, me fait faire demi-tour, attrape les bretelles et me les noue derrière la nuque et toujours dans mon dos, descend ses mains et arrange le tissu pour couvrir mes seins effleurant les mamelons. Je ressens un drôle de frisson parcourir la colonne vertébrale.

Il me donne une petite tape sur les fesses et dit :

_ Fini de te préparer, je sors la voiture, j'ai retenu pour 20 h.

Je me maquille légèrement, chose que je fais très rarement, un peu de bleu sur les paupières, du mascara sur les cils et du gloss rose sur les lèvres.

J'enfile un manteau et rejoints mon père

On roule depuis a peine 5mn,que je remarque que mon père me regarde de haut en bas. Comme je n'ai pas boutonnée mon manteau et que ma robe est très courte on voit le haut de mes cuisses, et je pense même que l'on voit ma culotte.

Il me dit : Tu est très belle ,on dirait que tu as 2 ou 3 ans de plus.

Je me penche vers lui,et lui fais une longue bise sur la joue :.

_Je t'aime papa!

Je pose ma main gauche sur sa cuisse, il ne dit rien, les yeux rivés sur la route.

Maintenant, il a posé sa main sur la mienne et caresse légèrement le dessus de la mienne.

Mon cœur bat a tout rompre, je ne vois pas le temps passer, que la voiture s'arrête sur un parking devant un beau restaurant.

Je réalise que je désire cet homme, mon père, mon cerveau est en ébullition.

Sa voix me sort de ma torpeur. Il me prend la main :

_Tu reve ou tu viens?

Il descend de la voiture, fait le tour et vient m'ouvrir la portière et m'aide a descendre .

Je sais qu'il a une vue plongeante sur mon entre jambes, mais je ne dissimule rien faisant comme si je ne le faisais pas exprès.

On se dirige vers l'entrée, je l'ai pris sous le bras et me sers contre lui.

Arrivé à la réception, un homme nous dit : _Bonsoir Madame, Bonsoir Monsieur, puis je prendre le manteau de Madame?

Je lui donne et je sens son regard qui me dévisage. Il nous dirige vers une table au fond de la salle, mon père ayant retenu et étant connu .

Il me fait asseoir, son regard plongeant sur ma poitrine, mon père c'est assis en face de moi.

L'homme s'éloigne et je vois mon père se mettre à rire :

Il nous a pris pour un couple! me dit il.

_, j'aime bien me faire appeler Madame!, mais je trouve qu'il se rinçait l'oeil gratis.

_Mais tu est particulièrement jolie et très sexy .

Un serveur s'approche et mon père lui commande 2 kirs royal ,puis commande les menus.

On boit nos verres tout en discutant, puis mon père appelle le serveur et lui demande 2 autres kirs

_veux tu me saouler?

_ Non, mais on fête tes dix-neuf ans ,alors c'est la fête, et puis pour moi, j'ai de beaux souvenirs d'ici, je venais avec ta maman.

Je bois mon verre, et heureusement le repas commence, je commence à avoir chaud.

Tout en mangeant, je pose beaucoup de questions sur ma mère, et mon père me dit que quand ils sortaient, elle était comme moi très sexy, elle aimait les jupes très courtes et les hauts laissant voir ses seins qui étaient magnifiques.

Puis il ajoute :

_Je n'avais pas, comme avec toi ce soir, besoin de lui dire de ne pas mettre de soutien-gorge, elle en portait rarement.

_Et tu aimais qu'elle se montre en public, tu n'étais pas jaloux?

_Non pas du tout, j'étais même fière de voir les regards sur elle, comme ce soir sur toi.

_Tu lui offrait des robes aussi sexy que la mienne ce soir?

_Bien sûr, et même que chaque fois, elle ne portait rien dessous.

La conversation se poursuit, on mange en buvant un très bon vin,

et je ne sais si c'est le vin,ou la découverte de la vie de mes parents, mais j'ai le feu aux joues.

De plus, mes seins gonflent de plus en plus, les mamelons sont bien apparents sous le tissu, et mon père ne peut pas ne pas s'en apercevoir. J'ai la chatte qui est toute humide.

Je n'entends pratiquement pas les choses que me dit mon père.

Il s'en aperçoit et me demande si tout vas bien, je lui dit bien sûr, que je suis heureuse d'être là, et que je l'aime, mais j'ai besoin d'aller aux toilettes ,

il me sourit et m'indique ou aller.

Je me lève et me dirige vers le lieu indiqué. A peine 2 minutes plus tard, je retourne vers ma table, je fixe mon père, mais il me semble que tout le monde me regarde.

Je m'assois, demande à mon père de me tendre sa main.

Surpris, il s'exécute, alors je dépose dans sa paume une petite boule de chiffon humide, noir ....

Ma petite culotte.

Il est très surpris, bafouille :

_Que fait tu? à quoi tu joues? Je ne sais quoi dire!

_Comme ça, je ressemble plus à maman, aimes tu me savoir comme ça?

Il ne dit plus rien, il glisse la culotte dans sa poche.

Un silence s'instaure entre nous, heureusement un homme s'approche de nous.

_Bonsoir Luc,comment va tu? On ne te voyait plus? Je vois que tu est en bonne compagnie, bonsoir Mademoiselle!

_Heu! Bonsoir Marc,je te présente Lea ma.....

_Sa nouvelle petite amie, bonsoir.

Je ne sais pas pourquoi j'ai dit cela, mais je voulais m'affirmer devant cet homme.

Ils échangent des banalités,puis il me tend la main, me fait un baiser sur le dessus, très vielle France, me dit bonsoir tout en plongeant ses yeux sur mes seins.

Le repas se termine, mais l'atmosphère est assez lourde entre nous, je vois que mon père se pose beaucoup de questions.

Il ne m'a rien dit quand je me suis faite passer pour son amie.

On quitte le restaurant, je sens l'air froid qui me mord la chatte, j'ai toujours les seins en érection

Mon père m'ouvre la portière, je m'assois bien au fond du siège laissant ma robe remonter sur ma taille, dévoilant ma touffe brune entre les pans du manteau.

Je suis déçue, car mon père ne réagit pas ni en bien ni en mal

On roule en silence, je ne me suis pas couverte, je sais que mon père me regarde par moment, et j'aime ça, je vois la bosse qui déforme son pantalon.

Je romps ce silence:

_Tu m'en veux de m'être faite passer pour ta copine?

__Non,pas du tout, c'était même assez cocasse, mais je pense que je n'aurais pas dû te raconter toutes ces histoires sur ta maman et moi.

_Tu as peur que je lui ressemble trop?

,_Non,mais je sais que tu voudrais lui ressembler plus, et tu es ma fille, même si je te trouve très belle et même désirable, tu reste ma fille, et je t'aime comme tu es.

On arrive à la maison, je vais au salon, pose mon manteau. Mon père me rejoint.

Il s'approche, me prend par la taille entre ses mains, je pose ma tête contre sa poitrine.

_Merci, papa pour cette soirée, je me souviendrai longtemps de mon anniversaire des 19 ans, et de cette magnifique robe.

_Moi aussi, et de comment je me suis retrouvé avec une petite culotte dans la poche. Tant qu'à la robe, elle te va a ravir, j'espère que tu l'a reportera pour moi, et je t'en offrirai d'autre

Puis il m'embrasse, un long et doux baiser sur la joue, me donne une claque sur les fesses nues, me dit au lit et bonne nuit .

Le lendemain matin, dimanche, quand il se lève, je suis à la cuisine à préparer le petit déjeuner.

Mais je n'ai pas mis de robe de chambre comme d'habitude, ni pyjama, mais une nuisette très courte et très transparente, et rien d'autre.

Il fait comme si de rien n'était, il me félicite pour le repas, et va prendre sa douche

Les journées passent, les mois aussi, je suis de plus en plus souvent a moitié nue a la maison. Je me masturbe souvent en pensant à mon père.

Je sors même entièrement nue de la douche, le croise dans le couloir pour aller me vêtir dans ma chambre. Je ne ferme plus la porte .

Je le regarde , se doucher, en cachette et fantasme sur sa queue .

Nous sommes retournés plusieurs fois au restaurant, il a tenu paroles et m'a offert des robes et des jupes toutes plus sexy les une que les autres.

Je n'ai jamais mis de sous-vêtements dessous, mais jamais il ne m'a rien dit, il a juste profité du spectacle que je lui offrait.

Le mois de juin arrive, il me dit que si je le veux, on peut aller en vacances en août sur la côte d'azur.

Je lui saute au cou et lui dit que je serai ravie.

En juillet, un soir, quand il entre, il est surpris, en effet, je me suis faite couper mes longs cheveux et aborde fièrement une coupe a la garçonne comme l'était maman.

Je vois qu'il est ému, et il ne voit pas que ma chatte est toute lisse, je me suis faite épiler entièrement, mais ce sera pour plus tard .

Il me dit qu'il a trouvé un hôtel, à Agay, juste a coté de St Tropez, et que nous partirons le premier Août pour quinze jours.

Les journées me semblent interminables,mais la fin du mois arrive tout de même.

Nous voici donc dans la voiture sur la nationale 7, direction le soleil. Comme depuis quelques temps, je suis habillée très sexy, un tee-shirt vert très prêt du corps moulant mes seins, et une mini jupe blanche et rien d'autre. Mon père lui aussi est très décontracté, un short et une chemisette laissant voir son torse musclé, je ne sais pas si il a une vue sur ma chatte, mais lorsque qu'il double un poid lourd il a toujours droit à un concert de klaxons ce qui a l'air de l'amuser.

Dans ma valise je n'ai pas mis de jeans ni pantalons, que des tenues sexy certaines offertes par mon père.

Nous voici arrivés a destination, un joli petit hôtel face à la mer, juste au bord de la plage du Dramont.

Nous prenons possession de nos chambres. Deux chambres mitoyennes, communicantes, avec de grandes salles de bain et de grandes douches à l'italienne

Les deux premiers journées se déroulent entre la plage, bains de soleil, ou je ne garde que le mini bas de maillot, faisant bronzer mes petits seins, je demande à mon père de me passer de la crème bronzante, mais il s'arrête toujours à la limite de la décence . les repas, au restaurant, et les soirées à flâner à boire des verres à la terrasse des cafés.

Le troisième jour, il fait une chaleur écrasante ,la soirée est pareille, vers onze heures, mon père décide de rentrer, prendre une douche et aller se coucher, je le suis et fais de même.

J'ai du mal à trouver le sommeil. Il fait très chaud. Je finis par sombrer, quand je suis réveillé par un grondement et un énorme bruit. Je réalise qu'il fait orage, et je n'ai jamais aimé l'orage. Les éclairs zebrent la chambre, je remonte le drap sur ma tête, je sais que c'est idiot,mais je n'arrive pas à me contrôler. Je tremble de tous mes membres.

N'y tenant plus, je me lève, ouvre la porte de communion, mon père ne dort pas, il allume sa lampe de chevet :

_Je vois que tu n'as pas changé, tu as toujours aussi peur?

Honteuse, je ne réponds pas, et me glisse sous son drap, comme quand j'étais petite fille.

Il me sourit, glisse son bras sous ma tête, je m'appuie sur sa poitrine.

Étant rassurée, je m'endors paisiblement.

Le jour se lève et le soleil passe entre les rideaux.

Je réalise que je suis dans le lit de mon père, je lui tourne le dos, et je suis lovée contre lui, mon corps épousant le sien,mes fesses contre son ventre et sa poitrine contre mon dos.

Sa main est posée sur mon ventre, entre sa main et ma peau il n'y a que le tissu de ma nuisette. J'aime la chaleur de cette main.

Ayant envie de plus, avec d'infinies précautions,je remonte ma nuisette jusque sous mon cou,en prenant soin que sa main reste en place, maintenant il a sa main sur mon ventre nu, juste au dessus de ma chatte.

J'ai le cœur qui bat à tout rompre, j'ai peur que mon père ne l'entende.Mais il n'en est rien,il respire régulièrement,il dort.

Au bout de quelques minutes,je prends sa main,et la monte toujours délicatement,vers ma poitrine.Je la glisse sur mon sein.

Je me sens bien,la chaleur de sa paume,me donne une impression de béatitude,de plus mes fesses nues sont tout contre son ventre séparé de moi juste par son caleçon.

Il me vient a l'esprit, qu'il n'y a pas de boutons sur la braguette de son caleçon et que de ce fait,même ,son sexe avait une fâcheuse tendance a vouloir se libérer.

Je suis dans mes pensées,quant il me semble ressentir une légère pression sur le sein,je ne bouge pas, puis,une deuxième.

Ma poitrine est dur, mes mamelons trugessant sont très sensibles.

Maintenant,son doigt tourne lentement autour de l'aréole,me donnant de petits frissons. Sa bite gonfle perceptiblement,

J'écoute, il respire régulièrement, alors une idée folle me vient, je passe ma main entre mes cuisses, cherche son sexe ,le passe au travers de la braguette. Comme il ne bouge pas, je mets son gland tout contre ma chatte, mais ma position,ne me permet pas d'aller plus loin.

Il émet un grognement, il doit faire un rêve érotique, car maintenant il malaxe mon sein fermement. Je pousse mon cul en arrière, mais sa bite ne dépasse pas l'entrée de ma grotte, je me sens frustrée.

Brusquement, il lâche mon sein, redresse la tête et tout étonné :

_Que ........se passe t'il? Que fait tu?

_Tu était .....heu! tu me caressait!!!Papa, tu en as envie, moi aussi.

_Non. je....., j'étais avec Hélène!

_C'est pas maman, c'est moi, Léa, papa je t'aime fort, j'ai envie que tu.....,...

_Lea, non, c'est pas possible.!!!!, Je t'aime aussi, tu es très belle et très désirable, mais .......

Je prends ma nuisette qui est roulé sous mon cou,a deux mains, et la passe au dessus de ma tête.Je suis entièrement nue, et en me dégagent son sexe est sorti de ma chatte.Je m'assoie sur le lit et prends sa queue bien bandé.

_Ne me repousse pas, depuis le soir de mes 19 ans, j'en rêve.

Il me prend dans ses bras,me donne un baiser sur la joue.

_Je sais,et je voyais bien toutes tes provocations, et c'était dur de ne pas te toucher , mais comme tu le dis j'en ai très envie.

Je me penche en avant,me mets a genoux, passe mes deux mains dans l'élastique du caleçon et le degage de ses chevilles , libérant l'objet de mes désirs, qui se dresse devant mon visage.

Sans même réfléchir, je le prends à la base et l'entoure de mes lèvres .

Je le sens palpiter dans ma bouche, je commence un Va et vient de haut en bas, tout en le branlant.

Je regarde mon père droit dans les yeux, et je comprends, et lui aussi, que l'irréparable était en train de se produire.

Il se laisse aller a cette caresse, je l'applique, comme me l'avait enseigné mon deuxième copain qui était friand de pipes.

Je m'enfonce sa queue, presque a vomir, elle est longue et large, et elle me remplit la bouche, me distant les mâchoires à la limite du supportable, mais je suis fière de le sentir à ma merci

Il gémit, me prend la tête, et m'imprime le rythme. .

Je le sens grossir encore plus, il s'enfonce au plus profond, bute contre ma glotte, descend dans ma gorge, et se vide en de grandes giclées.

J'avale tout ce que je peux, j'ai les larmes plein les yeux , les mâchoires me font mal.

Il se retire,du sperme me coule sur le menton. Je suis heureuse et très fière.

_Desolé, Bébé, je n'ai pas pus me retenir.

Je me blottie contre sa poitrine, il me caresse les cheveux, puis me caresse les seins qui sont bien tendu les mamelons bien dur..

Il les fait rouler entre ses doigts en alternant le droit et le gauche.

Il me fait coucher sur le dos,et tout en continuant de jouer avec mes seins , il m'embrasse le ventre et descend lentement vers ma chatte imberbe.

Quand ses lèvres chaudes l'

atteignent un long frissons me parcourt la colonne vertébrale . Jamais personne n'a mis sa bouche ici.

Il passe sa langue de bas en haut comme un petit chien, plusieurs fois, puis il la rentre entre mes lèvres les écarte toujours en me triturant les seins, il touche mon bouton,je gémis .

Il entoure et aspire mon clitoris, il fait des succions, je me tords dans tous les sens, je me crispe, je crie, sentant l'orgasme me gagner, il me pince les mamelons tres fort.

Je hurle,il me ballione avec une main l'autre s'acharnant sur mes seins.

Je jouis pour la première fois de ma vie.

Je n'arrive pas à dissocier le plaisir de la douleur, j'inonde le visage de mon père .

Il me laisse reprendre mes esprits,je suis en sueur.

Il s'allonge à côté de moi, je vois qu'il a repris de la vigueur, il me caresse le ventre, puis il passe une jambe sur moi, je frémi , ce que j'ai tant voulu va se produire.

Il s'appuie sur ses bras, glisse sa jambe entre les miennes et me les ouvre,

Il descend légèrement son corps, je sens sa bitte frotter contre ma vulve, lentement il s'introduit en moi, j'halète doucement.

Il est a mi chemin et j'ai déjà l'impression d'être remplie. Il appuie un peu plus et continue de s'enfoncer, il marque un temps d'arrêt , j'en profite pour me détendre un peu, j'ai la chatte distendue, je me demande si je vais supporter la totalité de son membre, ma réflexion est de courte durée, je suffoque, je manque d'air, il vient de s'enfoncer d'un coup,ses couilles venant claquer contre mon cul

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