Super-Heroines en Détresse - 01

BÊTA PUBLIQUE

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— « Savais-tu Super-chaudasse que le clitoris d'une femme normale mesure environ dix centimètres? Bien sur je ne parle pas de sa partie visible mais du clitoris dans son ensemble, de celui qui est profondément collé à ton vagin de salope... » Commença le chef des Trash Kings en agitant son appareil d'un air savant.

Supermaiden affolée ne voyait pas du tout où l'homme voulait en venir mais elle craignait le pire.

— « Et savais-tu que le clitoris d'une kryptonienne comme toi mesure dans les quinze centimètres, qu'il possède bien plus de terminaisons nerveuses qu'une humaine ordinaire. En fait ce n'est pas vraiment de ta faute, si tu es une Supersalope, toutes les kryptoniennes sont des putes, il suffit de les baiser convenablement pour leur montrer leur nature ! »

D'un geste précis, le Don appuya son appareil sur le haut de la vulve de Supermaiden, écrasant son clitoris. Il pressa la gâchette. Une douleur fulgurante déchira la jeune héroïne, la faisant hurler. Konan resserra sa prise autour de la gorge de sa victime, l'immobilisant totalement. Le visage rouge, Supermaiden peinait à reprendre sa respiration, elle était au bord de l'évanouissement.

— « C'est bientôt terminé, je t'ai injecté la première partie d'un dispositif d'asservissement Drakarian. Il fusionne en ce moment même avec les cellules nerveuses de ton clitoris. La douleur fait partie du processus. tu le sens? Il étend ses racines en profondeur dans ton clito de petite salope dépravée et plus rien ne pourra l'extraire. Un observateur extérieur n'en verra que la partie émergée, le dispositif prendra l'aspect d'un anneau ou d'autre chose, il peut changer de forme, tu verras qu'on va bien s'amuser avec toi. Tu vas découvrir que cette chose a de nombreuses fonctions et tu apprendras à en aimer certaines... »

Un dispositif d'asservissement Drakarian ! Supermaiden frissonna de peur, réalisant pour la première fois qu'elle était entre les mains des pires extra-terrestres de la galaxie, qu'ils venaient de faire d'elle une esclave et sans doute de mutiler son corps. Elle se remit à sangloter.

— « Passons à la suite ! » Annonça Don Gatillo que la détresse de la super-héroïne mettait de bonne humeur.

Apeurée, Kara vit Don Gatillo recharger son étrange cloueuse, ceci fait, il se rapprocha d'elle pour lui caresser longuement les seins. Dans sa position, elle ne pouvait pas voir ce qu'il préparait jusqu'à ce quelle ressente une vive douleur dans son téton gauche. Elle gémit pathétiquement. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de son téton droit. Sans attendre Konan repositionna sans ménagement sa tête, plaquant sa joue contre le tapis du billard, offrant son lobe d'oreille gauche, puis son droit à l'impitoyable cloueuse Drakariane. En plus du feu qui irradiait dans son corps, la douleur se propageait maintenant dans toute sa tête à partir de ses oreilles, comme si quelque chose rampait dans son cerveau.

— « Qu'est-ce que vous me faites... » Gémit-elle misérablement...

Don Gatillo se recula pour admirer son œuvre, il attendit quelques secondes que les connections du dispositif avec le système nerveux de la Supersalope se fassent. Il vit avec satisfaction se former un premier anneau de métal dans le clitoris turgescent de Supermaiden, suivi rapidement par deux autres semblables dans ses tétons durcis et enfin les deux derniers dans ses lobes d'oreille.

Le corps de la Super-pute était maintenant paré de cinq anneaux de métal extraterrestre. N'importe quel Drakarian était capable de contrôler par la pensée ce dispositif d'asservissement, le métal polymorphique dont il était constitué ferait le reste.

Don Gatillo se concentra mentalement sur le clitoris de Supermaiden, obéissant à son ordre, il vit l'anneau grossir et s'alourdir, prenant de la matière. Il glissa son index à l'intérieur de celui-ci et tira vicieusement vers lui, faisait gémir la sublime blonde d'inconfort. Le clitoris de la Super-salope sortait maintenant de façon obscène de son capuchon, il joua un instant avec, l'écrasant entre ses doigts, tirant encore dessus, arrachant autant de gémissements soumis à sa victime. Satisfait il reporta son esprit sur les lobes d'oreilles de la super-héroïne, transformant les anneaux métalliques en boucles d'oreilles pendantes ornées des lettres T et K.

— « Tu ne nous échapperas jamais blondasse, tu seras notre esclave jusqu'à la fin de ta misérable vie. » murmura Konan à l'oreille de la fille.

La soirée se termina en une gigantesque orgie, ou Supermaiden fut soumise à l'appétit lubrique des membres des Trash Kings et des Blacks Angels. Sa chatte encore dilatée ne décourageait pas les hommes de la prendre dans toutes les positions. L'esprit vide, Kara ne pensait plus à rien, chacun de ses orifices était là pour satisfaire leurs envies bestiales, les hommes ne se lassait pas de son corps ferme, souple et surtout accueillant. Balloté entre leurs mains, elle enchainait les doubles et triples pénétrations. Le plaisir sale et répugnant qu'elle connaissait si bien remplaça la douleur. Elle s'abandonna complétement, ne gardant que des souvenirs flous et obscènes de cette soirée sans fin.

*

*****

*

Les journées d'esclavage sexuel s'enchainaient et se ressemblaient pour Supermaiden, jusqu'à ce qu'elle se rende compte que ses pouvoirs revenaient peu à peu, en commençant par sa force. Kara ne savait pas quoi faire de cette information, elle savait qu'elle devait le dire à Don Gatillo, mais elle garda le silence tout en se sentant coupable de le faire. Une toute petite voix jusqu'alors inexistante lui murmurait qu'elle pourrait peut-être s'enfuir et retrouver une vie normale, mais le voulait-elle vraiment?

Tous les jours, elle testait discrètement ce qu'elle pouvait faire, il lui faudrait sans doute de bien longues semaines avant d'être tout à fait remise, mais ses progrès étaient encourageants. Elle devenait plus endurante, ce qui lui permettait de mieux profiter des incessantes pénétrations qu'elle subissait. Heureusement pour elle, car le dispositif d'asservissement injecté par Don Gatillo la maintenait dans un état d'excitation sexuelle sans précédent.

Elle se masturbait quotidiennement sans qu'on le lui ordonne, avec abandon... Elle suçait des bites avec envie... Même quand elle léchait des pompes son clitoris lui envoyait de douces ondes de plaisir, la récompensant de sa dévotion. Jour après jour, elle devenait un peu plus accro au plaisir et avec le timide retour de ses pouvoirs, le sexe devenait meilleur, ses orgasmes duraient même plus longtemps.

Une fois le Don l'avait punie sans raison, juste pour lui rappeler qu'il était son maître. Une terrible souffrance s'était propagée dans son corps à partir de ses implants, la faisant instantanément tordre de douleur, lui faisant même perdre la vue et l'ouïe. En détresse, complétement désorientée et paniquée, elle avait eue l'impression de mourir... puis après ce qui lui sembla une éternité, la douleur était revenue à un niveau supportable.

Là Don Gatillo l'avait copieusement baisée, son énorme sexe la défonçait méthodiquement, ajoutant à la douleur, des sensations plus familières... Aveugle et sourde, les sensations provenant de sa chatte malmenée se faisaient plus intenses, le plaisir prenait le pas sur la douleur. C'était comme si la grosse bite du Don faisait refluer la douleur, la soignait... Par Rao, elle aimait cette bite qui la violait, qui la défonçait si bien...

Le corps en sueur, elle se souvenait avoir hurlé de plaisir sans pouvoir s'entendre. Seules remontaient vers son cerveau les sensations de pure jouissance provenant de sa chatte violée sans merci par Don Gatillo.

En l'absence de ses sens, elle avait fait de son mieux pour le satisfaire, mais ce n'était pas ce qu'il voulait, il la désirait passive, soumise. Il l'avait giflée puis fessée pendant qu'il la sodomisait brutalement lui arrachant de nouveaux cris de plaisir. Son endurance de super-héroïne partiellement revenue, l'aida à tenir le coup et à être à la hauteur des exigences de son amant. Mais dans son esprit confus, chaque claque qu'elle prenait était une marque de désir du Don pour elle. Et cette pensée la faisait mouiller comme une vraie petite salope...

Don Gatillo déchargea à trois reprise en elle, une première fois dans sa chatte, la seconde fois dans son rectum. La troisième fois, rassasié de son corps, il l'avait enfin autorisé à le pomper, ce qu'elle avait fait avec une dévotion extrême, lui faisant sa meilleure gorge profonde.

Pendant qu'elle avait la bite du Don dans la gorge, elle se souvenait avoir entendu sa voix dans sa tête. Cette voix inhumaine et gutturale était la seule chose qu'elle entendait dans le silence de sa surdité, elle lui rappelait qu'elle n'était qu'un bel animal pour lui et que tant qu'elle resterait docile, il n'aurait pas besoin de lui infliger cette punition de nouveau. Elle était sa chose, son esclave et qu'elle n'existait que pour le satisfaire.

Avec le recul et même si à cet instant elle avait adoré ce que Don Gatillo lui avait fait, Supermaiden n'était pas prête d'oublier la leçon. Dans ses rares moments de lucidités, elle s'était demandé comment il avait pu la rendre sourde et aveugle. Elle en avait déduis que le dispositif implanté dans ses oreilles devait agir sur son cerveau. C'était sans doute aussi grâce à lui qu'il avait pu lui parler dans sa tête, à moins qu'il ne soit doté de pouvoirs télépathiques. Elle se demandait avec inquiétude s'il s'était rendu compte qu'elle récupérait peu à peu ses pouvoirs.

Kara ne pouvait s'empêcher de repenser en souriant bêtement, à la façon dont il l'avait baisée, la brutalité dont il avait fait preuve... Elle adorait ça en fait et elle ne pouvait s'empêcher de l'aguicher à chaque fois qu'elle le recroisait. Malheureusement pour elle, il semblait être de marbre, préférant la laisser entre les mains de ses hommes et de ce Ramon dont elle pouvait lire dans les yeux, tout le mépris qu'il éprouvait pour elle.

Et puis elle avait pris la décision de révéler à Don Gatillo qu'elle retrouvait ses pouvoirs, espérant ainsi s'attirer ses faveurs, mais avant qu'elle puisse le faire, il y eut cette matinée étrange. Après une orgie où elle avait de nouveau baisé avec un nombre incroyable de bikers et de criminels, l'un d'entre eux l'avait aidé. Supermaiden était encore dans un état second quand l'homme l'avait faite sortir du repère de Don Gatillo, il s'était présenté à elle comme étant un flic sous couverture et l'avait mise dans un bus direction le centre-ville de National City. Elle était libre...

*

*****

*

Le bus était bondé, il n'y avait aucune place pour s'assoir. Dans un état second, Kara s'accrocha à une barre de soutient verticale, essayant péniblement de rassembler ses esprits. Le métal sous ses doigts, lui faisait ressentir d'étranges et familières sensations, tant il lui rappelait la barre de strip-tease qu'elle utilisait pour distraire les hommes de Don Gatillo. Elle portait cette infâme tenue de cosplay de Supermaiden, avec cette jupe rouge ridiculement courte assortie à un crop-top ultra moulant. Elle révélait bien plus qu'elle ne cachait tous les détails de son anatomie parfaite, à commencer par sa belle et ferme poitrine, ses tétons fièrement dressés ornés de leurs anneaux de piercing moulés avec indécence par le tissu. Ainsi habillée, même la pire des salopes était plus classe qu'elle.

Kara attirait franchement l'attention des autres passagers. La plupart étaient des hommes, des ouvriers, des retraités, qui la regardaient avec envie ou désapprobation, une mère détourna le regard de son enfant en jurant entre ses dents. Honteuse, Kara tira sa jupe vers le bas, essayant en vain de paraitre plus décente et de cacher son intimité désespérément poisseuse aux regards des autres.

Elle ferma les yeux, s'accrochant plus fort à la barre, serrant les jambes l'une contre l'autre pour tenter de contenir son malaise. Le dispositif Drakarian accroché à son clitoris avait pris la forme d'un poids de lestage suspendu par une petite chaine. Il devait bien faire une grosse centaine de grammes, ce poids infernal tirait inexorablement son pauvre bourgeon de chair sensible vers le bas, provoquant de douloureuses sensations érotiques qu'elle avait beaucoup de mal à ignorer et encore moins contrôler.

Depuis que Don Gatillo lui avait implanté cette chose en elle, ses zones érogènes étaient régulièrement en feu, en proie à une excitation constante. Elle avait tout le temps envie de faire l'amour, ses mamelons en érection permanente étaient devenus hypersensibles, son clitoris gonflé saillait en dehors de son capuchon, réclamant une attention constante. Kara était certaine qu'il avait grossi et pas qu'un peu, des larmes coulèrent de ses beaux yeux bleus, écrasée par la certitude qu'il ne redeviendrait jamais normal et qu'elle resterait une salope à jamais avec un clitoris de salope.

Sans s'en rendre compte, Kara serra et desserra ses cuisses l'une contre l'autre en rythme, massant lascivement son clitoris enflammé contre la barre du bus. Elle gémit en réalisant que l'un des passagers la filmait avec son téléphone portable. Elle rougit comme une pivoine en se demandant ce qu'allait faire cet homme de cette vidéo, pourtant, elle continua à se frotter, incapable de s'arrêter. Morte de honte, elle détourna le regard de l'autre côté du bus pour s'apercevoir qu'un autre type, un vieux à moitié chauve, la reluquait avec un air particulièrement malsain.

Kara n'eut pas le temps de se poser plus de questions, un homme venait de se coller contre ses fesses derrière elle. Il lui murmurait des obscénités à l'oreille, la traitant d'allumeuse, de petite salope en chaleur... Il avait raison. Elle pouvait sentir l'érection de l'inconnu derrière elle à travers son pantalon. Elle se mordit la lèvre inférieure, en espérant que tout cela resterait discret. Elle jeta un petit coup d'œil apeurée au type qui la filmait pour réaliser qu'il continuait. Elle ferma les yeux pendant que l'inconnu collé contre son dos, glissait l'une de ses mains sous sa jupe par devant. C'était tout sauf discret. Il jura en découvrant la petite chaine et le poids accroché à son clitoris en même temps que sa chatte trempée de mouille.

— « Putain de cochonne, tu es vraiment une vicieuse pour te trimbaler avec un truc pareil ! Tu aimes ça te faire tripoter dans le bus... Tu mouille comme une truie, espèce de roulure ! » Grogna l'homme dans son oreille, le souffle court.

Kara gémit sourdement en écartant un peu les cuisses pour lui faciliter le travail. Elle ne pouvait plus détacher les yeux du téléphone portable de l'homme qui la filmait, imaginant que cette vidéo finirait dans l'un des recoins sordides d'internet, là où le nom de Supermaiden serait pour toujours associé à son surnom de Supersalope. Honteuse, elle hoqueta, paralysée par un orgasme. Elle resta ainsi blottie dans les bras de l'inconnu, n'osant pas bouger pendant qu'il explorait sa moule gorgée de jus. Il tira sur le poids, provoquant des ondes de plaisir douloureux dans son clitoris gonflé. Elle n'arrêtait pas de gémir sourdement, alors que des larmes de désir honteux coulaient sur ses joues.

L'homme n'arrêtait pas de lui susurrer des obscénités alors qu'il s'énervait sur sa chatte. Kara ouvrit encore un peu plus les cuisses pour lui permettre de fouiller plus profondément dans son sexe détrempé. Elle savait qu'il avait envie de la baiser sur place... elle aussi en avait envie. D'autres passagers s'étaient mis à la filmer, incapable de réagir, elle avait l'impression que cet enfer ne finirait jamais.

Deux arrêts plus loin, l'homme prit Kara par la main pour l'entrainer à l'extérieur du bus. Soulagée, elle se laissa faire, les jambes flageolantes. Il la poussa sans ménagement dans une impasse étroite et sombre encombrée par de grands conteneurs métalliques de déchets, des poubelles malodorantes. Mais peu importait l'odeur, elle savait ce qui allait se passer, un frisson d'excitation parcouru son corps avide de plaisirs sales.

L'inconnu la plaqua brutalement contre le mur à côté de l'un de ces grands conteneurs. Il força sa bouche avec sa langue dans une impétueuse étreinte humide. Sans cesser de l'embrasser, il libéra fébrilement son pantalon de sa ceinture pour sortir son pénis tendu. Et sans autre forme de procès, il pénétra le sexe chaud et accueillant de la fille qu'il prenait pour la pire des salopes, d'une allumeuse qui se faisait passer pour Supermaiden.

Kara feula et se cambra, accueillant avec passion cette bite dans sa moule bien chaude. Elle se mit à gémir, la respiration saccadée, alors que les petites briques rouges salies et ternies par le temps du mur lui râpaient les omoplates au rythme des coups de reins de l'homme qui la possédait.

C'était tellement bon, qu'elle se mit à jouir après quelques vas et viens de cette bite dans sa chatte. Elle gémit incontrôlablement alors que le plaisir envahissait son corps...

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside...

Alors qu'elle se faisait proprement baisée par cet homme dont elle ignorait tout, elle avait l'impression d'entendre dans sa tête la chanson de Violet Orlandi. Kara perdit pied, elle devenait folle, son clitoris gonflé par le dispositif Drakarian, elle avait besoin de jouir, de se faire baiser comme une vulgaire pute. Elle encourageât l'homme à la troncher plus fort, alors que ses gémissements se transformaient en cri de plaisirs, attirant l'attention des badauds plus loin.

You let me violate you

You let me desecrate you

En fait, elle ne devenait pas folle et elle entendait réellement cette chanson dans sa tête, ce qui l'amenait vers des sommets de passion et d'érotisme. Le dispositif Drakarian implanté dans ses lobes d'oreilles diffusait la musique directement dans son cerveau ainsi que des influx subliminaux la poussant à l'obéissance.

Au bout de quelques minutes l'homme éjacula en elle, l'inondant de sperme et après un dernier soupir de satisfaction, il remonta son pantalon en la traitant une dernière fois de belle salope. Kara, le teint rougit par le plaisir qu'elle venait de prendre planait complétement, elle avait du mal à revenir à la réalité.

C'est alors qu'elle réalisa avec horreur que le type qui l'avait filmée dans le bus l'avait suivie dans la ruelle. Il avait certainement continué à filmer. Kara jura faiblement, elle se secoua et rattrapa péniblement l'homme qui venait de la sauter. Il attendait le bus suivant à l'arrêt de bus. Elle le détailla pour la première fois, il n'était ni beau, ni moche, un homme ordinaire qu'elle n'aurait jamais remarqué en temps normal.

Kara le regard suppliant lui dit qu'elle n'avait pas d'argent pour se payer un ticket de bus pour rentrer chez elle. Consciente de l'apparence vulgaire et échevelée qu'elle offrait, elle bredouillait, morte de honte, n'arrivant pas à s'expliquer clairement.

— « C'est pas mon problème ma belle, mais je suis certain qu'une fille comme toi n'aura aucun mal à convaincre un homme de lui offrir les 3 dollars pour lui payer son ticket, si tu vois ce que je veux dire... » Dit-il avec mépris en lui désignant d'un mouvement de menton le voyeur qui les suivaient toujours. Puis sans un regard pour elle, il s'engouffra dans le bus qui l'attendait.

Kara resta interdite sur le trottoir à l'arrêt de bus. C'est là qu'elle réalisa qu'elle avait les cuisses poisseuses du sperme de l'inconnu et que les gens autour d'elle la regardaient avec mépris... Elle crut entendre de nouveau cette maudite chanson... Prise d'un vertige, sa tête se mis à tourner.

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside...

Quelques minutes plus tard, elle était de retour dans cette ruelle, dos au mur alors que l'homme qui n'avait pas arrêté de la filmer depuis qu'elle était montée dans le bus la baisait furieusement. Elle hoquetait, de nouveau en proie au plaisir, incapable de s'arrêter de gémir comme une salope perpétuellement en chaleur. Ses pensées étaient floues, elle se souvenait qu'elle lui avait parlé, puis le trou noir, avant la sensation maintenant familière des briques rouges qui lui râpaient le dos... Kara s'accrocha à l'homme en jouissant de nouveau.