Super-Heroines en Détresse - 01

BÊTA PUBLIQUE

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Mais ce n'était pas tout, trouvant en Supermaiden une soumise parfaitement docile, les membres du gang poussaient le jeu plus loin. Un jour Paco lui pissa directement dans la bouche, lui donnant à boire son urine, elle dut sourire et le remercier. Cette humiliation donna des idées à d'autres hommes qui lui pissèrent à leur tour dans la bouche. Pour l'humilier un peu plus, ils l'obligeaient à se doigter en même temps, alors que de l'urine chaude ruisselait sur son visage. Elle le faisait en ressentant beaucoup de honte, consciente qu'elle était filmée en permanence. Elle n'osait imaginer ce que devenaient toutes les vidéos que réalisait le gang.

Deux fois par jour, elle était passée dans sa cellule à un jet d'eau froide pour la laver, Elle devait ouvrir ses trous avec les doigts pour mieux les offrir à l'eau froide. Puis l'un des membres du gang, jamais le même, la frottait avec un balai brosse, faisant rougir chaque partie de son corps. Elle sortait de là grelotante et meurtrie mais propre pour de nouvelles débauches toujours plus sordides.

Laissée libre dans le repère sous-terrain, elle avait fait la connaissance avec la barre de strip-tease pour le plaisir des membres du gang alors que la télé géante, diffusaient ses derniers exploits pornographiques comme sa dernière triple pénétration.

Tout cela se faisait à chaque fois sur la musique de Violet Orlandi, la chanson Closer rythmait ses débauches dans la grande salle commune. Cette chanson passait si souvent qu'elle se surprenait à l'avoir constamment dans la tête, il lui arrivait de la fredonner en s'endormant la nuit ou de se réveiller avec elle le matin. Elle n'en était pas sure, mais elle était presque certaine qu'écouter les premières notes de musique de cette chanson suffisait à la faire mouiller comme une salope. Elle se demandait dans ses instants de lucidité, s'ils n'étaient pas en train de la conditionner à devenir une salope par une sorte de réflexe pavlovien.

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside...

Quand ils ne la baisaient pas, elle devait se masturber avec des godes de plus en plus gros ou alors ils la forçaient à introduire dans ses orifices toutes sortes de végétaux, carottes, courgettes, concombres... Des objets insolites prenaient bien évidement le chemin de son vagin ou de son anus, tout ce qui avait un manche comme des brosses à cheveux, un balai à chiotte, des gros pinceaux mais aussi toutes tailles de bouteille et même une batte de baseball avec laquelle elle devait baiser sa chatte, parfois en souriant, parfois non, selon leurs humeurs. Bien sûr tout cela sous l'œil de leurs téléphones portables ou de leurs caméras.

Droguée, maltraitée, humiliée, insultée, Supermaiden était utilisée à la limite de sa résistance physique, elle était épuisée. Le pire c'est qu'elle prenait de plus en plus de plaisirs dans sa déchéance. Stimulée sexuellement en permanence, la super-héroïne jouissait de plus en plus vite avec les gars, même quand ils se montraient cruels avec elle. Elle commençait à éprouver un plaisir malsain dans la souffrance, appréciant les pinces sur ses tétons ou la morsure de la cravache sur ses fesses.

Réduite à la condition d'un animal, elle ne reconnaissait plus la personne qu'elle devenait. Ses journées n'étaient plus rythmées que pour la satisfaction des nombreux criminels du gang. De nouvelles têtes apparaissaient, des membres des environs et d'autres plus lointains qui venaient spécialement la voir et la baiser. Et elle se donnait corps et âme maintenant, s'empalant sur leurs sexes tendus, donnant des coups de reins, suçant, léchant avec avidité tout ce qui se présentait à portée de sa bouche.

Kara avait toujours en tête ce que lui avait dit Don Gatillo, qu'il n'aimait pas les blondes. Dans l'espoir futile de le voir changer d'avis, elle se surprenait à vouloir guetter son approbation et quand elle était en sa présence, elle ne pouvait s'empêcher de vouloir le séduire quand même. Bien sûr, il l'avait rebaisée et le sexe avec lui avait quelque chose d'extatique, d'addictif. Il était tellement endurant qu'elle se demandait s'il n'était pas humain. Mais peu importe, quand il fourrait son énorme mandrin dans sa petite chatte affolée, les sensations qu'elle ressentait avec lui était tellement intenses, que plus rien d'autre ne comptait. Parfois Kara se demandait en souriant bêtement, si elle ne développait pas une sorte de syndrome de Stockholm, si elle ne devenait pas amoureuse de son geôlier.

Plus le temps passait en compagnie du gang, plus l'idée même de s'enfuir devenait floue, incertaine. Le Don disait d'elle qu'elle était une soumise naturelle, qu'il n'avait fait que lui montrer sa vraie nature. Il avait sans doute raison, elle appréciait d'une certaine manière être leur jouet, les sensations que cela lui procurait de se soumettre à leurs désirs pervers lui plaisait et même si elle en avait honte, les orgasmes avec les membres du gang lui venaient plus naturellement. Cette routine devenait sa nouvelle normalité.

Dans ce repère souterrain, elle perdait la notion du temps, la lumière n'était jamais éteinte dans sa cellule, même quand elle dormait. Sans l'alternance du cycle jour/nuit, la seule façon qu'elle avait d'avoir une idée du temps écoulé, était de compter le nombre de traces de piqures qui constellait le creux de ses bras et il commençait à y en avoir beaucoup.

En se basant sur une injection toutes les huit heures, Supermaiden pensait être prisonnière du gang depuis maintenant neuf jours. Mais elle se trompait. En effet Don Gatillo ne l'avait fait piquer toutes les huit heures que pendant les trois premiers jours, il avait commencé à rallonger progressivement le temps entre deux injections à douze puis quinze heures sans qu'elle ne s'en rende compte. Cela faisait exactement seize jours qu'elle était son invité et bientôt elle n'aurait plus besoin que d'une injection par jour.

Les journaux et grands médias se demandaient ce qu'était devenue Supermaiden après sa victoire contre Métallo. Sa disparition avait fait les grands titres de la presse, les photos de la belle héroïne était partout, un numéro d'appel avait été mis en place. La police avait ratissé la zone industrielle à la recherche d'indices en vain. Sa disparition restait un mystère et le temps passant, d'autres actualités avaient remplacé la disparition soudaine de Supermaiden et puis la police avait annoncé lors d'une conférence de presse, que faute de nouvelles informations, elle cessait toute recherche.

*

*****

*

Supermaiden était adossée à la barre de strip-tease dans la salle commune, les cuisses grandes ouvertes, elle doigtait sa chatte obscène et détrempée pour le plus grand plaisir des criminels face à elle. Pour l'occasion, elle était habillée d'une version cosplay bon marché de son costume de super-héroïne. Les couleurs étaient flashy, la jupe si courte qu'elle ne recouvrait que son mont de vénus, quant à son haut, il s'agissait d'un crop top avec un énorme « S » rouge couvrant à peine ses seins. Il était tellement moulant qu'il ne laissait aucune place à l'imagination, soulignant plus qu'il ne cachait, ses mamelons gonflés.

You let me violate you

You let me desecrate you

Cette satanée musique la rendait dingue, faisant couler sa chatte comme une fontaine. Supermaiden gémit devant l'indécence de sa situation, de cette scène inimaginable il y a peu... avant sa capture et la perte de ses pouvoirs. Etre habillée, même modestement, après avoir passée tant de temps nue, lui paraissait étrange, presque incongru. Elle voyait face à elle, le regard de tous ses hommes méprisants, avides de la posséder et... ça la faisait vibrer. Ecrasée par la honte de son comportement, elle gémit en frottant plus fort son clitoris gonflé de désir... l'écrasant, le faisant rouler sous son pouce, à la limite de la douleur, elle gémit plus fort...

Bien sûr, Supermaiden avait toujours su qu'elle était belle et convoitée par les hommes, mais tout cela lui paraissait purement théorique quand elle n'était qu'une super-héroïne, elle n'y attachait pas vraiment d'importance. Mais maintenant alors qu'elle était impuissante et soumise à la volonté lubrique des hommes de Don Gatillo, des criminels... cette situation la faisait mouiller comme une chienne. Kara gémit encore, avec la certitude que même si elle retrouvait ses pouvoirs, elle ne pourrait plus jamais s'affranchir de la domination de ses hommes cruels. Elle était devenue leur esclave docile... Elle n'avait pas eue le choix... Mais si c'était à refaire, elle se laisserait capturer sans opposer de résistance... Supermaiden gémit un peu plus fort à cette pensée, malmenant son clitoris tout en se doigtant comme une folle, proche de l'orgasme. Elle tenta de penser à autre chose pour ralentir la montée du plaisir et profiter plus longtemps de cet instant.

Ce matin avait été une matinée spéciale. Don Gatillo l'avait emmenée dans son bureau. C'était un bureau plutôt ordinaire, encombré de piles de papiers divers, des photos encadrées de vieilles voitures aux murs. Un homme soigné dans la quarantaine les attendait. Le costume cravate sur mesure qu'il portait, devait couter au bas mot trois mois du salaire de journaliste de Kara. Il s'était présenté comme étant un avocat de chez « Wolfram & Hart ». Le nouveau venu savait parfaitement qui elle était et ne semblait pas surpris de sa nudité. Intimidée face à cet homme si bien habillé, Supermaiden s'était sentie encore plus nue qu'elle ne l'était déjà. La présence de cet avocat détonait à côté de la rusticité des tatouages des criminels des Trash Kings. Kara sentait confusément qu'il était venu pour elle, instinctivement, elle avait adopté une attitude de soumission, baissant la tête, attendant les ordres.

Elle connaissait « Wolfram & Hart » de réputation, c'était l'un des cabinets d'avocats les plus puissants en ville. Même si des rumeurs étranges courraient sur la nature de leurs clients ou de leurs activités, elle savait que c'était du sérieux.

L'avocat était venu avec une pile de documents à lui faire signer : des reconnaissances de dettes en remboursement des dommages qu'elle avait causé au gang ainsi qu'à d'autres organisations, la vente de ses droits à l'image en tant que Supermaiden, d'autres contrats qu'elle ne lut même pas. Les documents défilaient devant ses yeux, elle signait avant de passer au suivant, mettant sur chaque papier son paraphe, la mention 'lu et approuvé' ainsi qu'une empreinte digitale à l'encre noire prouvant qu'elle était bien Supermaiden.

Quand tout fut fini, Don Gatillo laissa un peu d'intimité à son avocat dans le bureau. L'homme baissa son pantalon hors de prix et dit simplement « Suce-moi la bite petite salope ! ». Supermaiden se souvint qu'elle avait souri en entendant cet ordre, tellement elle avait entendu pire ses derniers jours. Elle s'était attelé à sa tache avez zèle veillant à satisfaire l'homme.

L'avocat si élégant et propre sur lui, c'était révélé brutal en l'enculant sur le bureau, lui giflant méchamment les fesses. Il lui avait révélé, pendant qu'il la sodomisait comme un soudard, qu'il avait fantasmé sur ce moment à chaque fois qu'il l'avait vue faire sa belle, dans sa petite jupe rouge à la télé. Il lui disait qu'à force de porter une jupe aussi courte, tout le monde en ville la prenait pour une pute, une exhibitionniste... que ce qu'il lui arrivait aujourd'hui n'était que la conséquence de son comportement d'allumeuse. Les paroles de l'homme lui avait fait d'autant plus mal, que quelque part en elle, elle savait qu'il avait raison... totalement raison, elle avait été une sale petite allumeuse, il était logique qu'elle en paye le prix.

Quelqu'un dans la salle venait de la traiter de pute, Kara gémit de nouveau, au bord de l'orgasme... Elle se concentra encore pour maitriser ses sensations, faire durer encore un peu... avant de jouir...

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside...

Oui c'était une journée spéciale aujourd'hui, après cet avocat le matin, Don Gatillo avait convié dans sa planque les membres d'un autre gang. C'était de grands gaillards à la peau d'ébène portant des cuirs de motard à l'emblème des Blacks Angels. Des bikers tout aussi redoutables que les Trash Kings. Le Don semblait en affaire avec eux et voulait leur offrir son cul en spectacle de bienvenue.

Pour assurer le coup, Ramon lui avait injecté son cocktail de drogues une grosse demi-heure avant l'arrivée de ses invités. En plein trip, Kara se sentait merveilleusement bien, se laissant envahir par les sensations agréables qui circulaient dans ses veines, elle se sentait chaude, désirable et totalement baisable. Elle avait dansée dans son costume de cosplay ridicule, jouant avec la barre de strip-tease. Bien sûr, son show était enregistré par la caméra de Luis qui ne perdait rien de ses déhanchements sensuels. Elle n'était pas une professionnelle, mais les nouveaux venus avaient eu l'air d'apprécier sa performance artistique. Ils la sifflaient, l'encourageait ou l'insultait avec enthousiasme. Les membres des Trash Kings partageaient des vidéos et des photos d'elle avec les bikers dans un brouhaha entêtant.

Kara ne quittait pas de ses yeux fiévreux le chef des bikers, un certain Konan surnommé le barbare, c'était un véritable colosse noir d'au moins deux mètres de haut, musclé comme un dieu. Elle s'imaginait déjà possédée et soumise par cet homme à la peau si noire, à la fois beau et terrifiant. Bien malgré elle, la super-héroïne déchue lui envoyait des signaux indiquant qu'il lui plaisait.

Bien sûr elle ignorait à ce moment-là que comme Don Gatillo, cet homme n'était pas de ce monde et que ces deux-là avaient de bien sinistre plans pour elle, à commencer par lui faire regretter d'avoir contrarié leurs affaires criminelles dans cette ville.

Konan lui fit signe d'approcher. Sans s'en rendre compte, Supermaiden se mordilla la lèvre inférieure, se donnant un air terriblement sexy, alors que son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Jamais encore elle n'avait désiré un homme avec autant d'ardeur qu'à cet instant-là, son visage angélique affichait une combinaison de satisfaction et de luxure lorsqu'elle s'approcha enfin de lui, chaloupant exagérément des hanches, comme la putain bon marché qu'elle était devenue.

Konan s'empara d'elle, la faisant glapir de surprise, l'attirant contre lui. Les énormes mains du biker explorèrent son corps, ses seins qu'il malaxa longuement, incrustant grossièrement des doigts durs comme de l'acier dans ses chairs fermes. L'homme joua avec ses pointes dressées, la faisant grimacer de d'inconfort, il les tordait, testant leur résistance. Son vagin qu'il explora en plongeant sans aucune douceur ses doigts à l'intérieur, appréciant la texture et la profondeur de son sexe détrempé. Kara sentait bien, que pour lui, elle n'était qu'une simple marchandise, qu'il l'évaluait en la palpant rudement. Mais elle se sentit sacrément fière quand il lâcha un simple « pas mal la blondasse... »

Supermaiden savait que le black bandait et qu'il avait l'air énorme mais elle écarquilla les yeux quand elle vit le gigantesque boudin de chair en érection que cachait Konan dans son pantalon, il devait faire entre 25 et 30 centimètres de long pour une épaisseur de quoi, 8 cm !?! Il était véritablement énorme.

— « Tu n'es pas humain... » Murmura Supermaiden sidérée par ce membre hors norme, le touchant du bout des doigts, légèrement tremblante. Il était encore plus gros que l'imposant sexe de Don Gatillo.

Konan se contenta de rire, saisissant avec force la tignasse blonde de Supermaiden pour l'attirer sur son entrejambe et frotter sa bite contre son beau visage. L'homme était véritablement très fort, sans doute autant qu'un kryptonien, alimentant les soupçons de Kara sur la nature extra-terrestre de son partenaire.

Après lui avoir lécher les couilles et toute la surface de sa majestueuse queue, Supermaiden la prit en bouche et commença à la pomper. Elle n'avait jamais rien eut d'aussi gros en bouche, la commissure de ses lèvres lui faisait mal, mais elle parvint à l'emboucher complètement. Heureusement pour elle, la jeune héroïne avait pu entrainer son réflexe nauséeux avec les hommes de Don Gatillo. Elle put faire une gorge profonde décente au chef des Black Angels, ce qui l'emplit de fierté, elle tenait à ce que l'invité de Don Gatillo soit satisfait de ces services de Supersalope.

Quelques minutes plus tard, Supermaiden feulait et gémissait pathétiquement, rebondissant douloureusement sur l'énorme mandrin de l'impressionnant biker. Il était encore plus large que la batte de baseball avec laquelle, elle s'était entrainée. Sa pauvre chatte, dilatée à l'extrême était à la limite de la rupture, pilonnée sans pitié par cet homme à la peau si noire et au regard si pénétrant.

— « Oooohooo... Par Rao ! » Gémit-elle misérablement entre deux cris de douleur et de plaisir...

Labourée en profondeur par cette bite hors norme, les sensations étaient tellement intenses, qu'elle n'entendait plus les insultes et les encouragements autour d'elle, seul comptait ce sexe incroyablement puissant en elle, cette souffrance et ce plaisir imbriqué l'un dans l'autre.

Le ventre lourd, la chatte en feu, elle donnait tout ce qu'elle avait. Son beau visage déformé par les sensations extrêmes qu'elle ressentait n'avait plus rien d'innocent, elle souhaitait que ce moment dure éternellement, peu importe si sa jolie petite chatte ne s'en remettait jamais.

Supermaiden croisa le regard cruel et pénétrant de Don Gatillo. Incapable de détourner les yeux, elle avait l'impression que cet homme avait le pouvoir de regarder son âme et la luxure qui l'habitait. Elle vit en lui la satisfaction de la voir s'avilir une fois de plus. Il avait fait d'elle une soumise, une débauchée et elle aimait ça. Mieux, elle adorait ça... Sans s'en rendre compte, elle murmura « merci... » en regardant le Don qui lui répondit par un petit rictus sarcastique.

Et soudain elle jouit en réalisant que plus aucun retour en arrière n'était possible, elle jouit comme jamais encore elle n'avait jouit de sa vie. Elle avait eue de nombreux orgasmes avec Don Gatillo et ses hommes, certains incroyables, mais là, une telle souffrance mélangée à un plaisir aussi intense. Elle perdit connaissance avec la certitude qu'elle était perdue...

*

*****

*

Une douleur terrible sur son pubis ramena Supermaiden à la réalité. Elle hurla alors qu'une odeur de poulet grillé envahie ses narines... Elle ne savait pas combien de temps, elle était restée inconsciente, sans doute pas longtemps. Son cœur battait à tout rompre alors que la douleur irradiait dans tous son corps. Elle était allongée sur le dos, couchée sur le billard. Les yeux exorbités, elle tenta de se relever en vain. Konan, le visage inexpressif, était courbé au-dessus de sa tête. Le biker la maintenait plaquée contre le tapis du billard, enserrant son cou avec la laisse de son collier de chienne. Ne sachant pas quoi faire, submergée par la souffrance, elle agita ses mains nerveusement.

Konan se pencha vers son visage et lui murmura à l'oreille « Chuut... laisse la douleur envahir ton corps, profite de ce cadeau blondasse, ça ne va plus durer longtemps... »

Encore paniquée, Supermaiden tenta de calmer sa respiration, roulant des yeux à gauche à droite tentant de comprendre ce qu'il lui arrivait.

Don Gatillo passa à l'un de ses hommes, un fer à marquer le bétail encore rouge. Supermaiden blêmie en comprenant que le Don venait de la marquer à l'emblème des Trash Kings comme une vulgaire pouliche. Des larmes se mirent à couler de ses yeux, cette marque gravée dans sa peau au fer rouge était indélébile.

Don Gatillo s'empara d'un appareil étrange ressemblant vaguement à une cloueuse, manifestement de conception extra-terrestre et se tourna vers elle.