Super-Heroines en Détresse - 01

BÊTA PUBLIQUE

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— « Vous... vous pouvez m'appeler comme bon vous sembles, je ferais tout ce que voulez... »

— « Vraiment tout, salope de merde? » Demanda Don Gatillo avec une pointe d'agressivité dans la voix.

Kara hocha affirmativement la tête, convaincue qu'elle devait gagner du temps, gagner leur confiance, même si une petite voix dans sa tête lui disait que s'était un mensonge, qu'elle était faible, lâche, que c'était une façon pour elle d'accepter sa défaite et sa soumission au gang, qu'elle ne sortirait jamais d'ici vivante.

— « Oui, je ferais tout ce que vous voulez, demandez moi, je le ferais... » Annonça-t-elle en parlant un peu plus fort. Sur un signe de Don Gatillo, elle le répéta en faisant face à la caméra.

Le chef des Trash Kings croisa simplement ses jambes l'une sur l'autre, mettant en avant un pied face à elle. Sans la lâcher des yeux sombres, il lui désigna les rangers qu'il portait aux pieds. Kara avait léchée suffisamment de bottes et de chaussures ses dernières heures pour savoir qu'il voulait une preuve de soumission de sa part.

Résignée, elle se rapprocha de lui et embrassa la chaussure face à elle. Puis elle commença à faire consciencieusement courir sa langue sur la ranger, humidifiant son cuir, le faisant briller.

— « N'oublie pas la semelle stupide femelle ! » Ordonna Don Gatillo en redressant son pied.

Quand Kara posa sa langue sur la semelle, elle eut un haut le cœur, il lui avait bien semblé reconnaitre une odeur nauséabonde, mais là le doute n'était plus permis, entre les profonds sillons de la semelle se trouvaient des excréments collés.

— « Alors qu'est-ce qu'il se passe Super-conne? Tu n'aimes pas le goût de mes chaussures? »

Il y avait comme une menace dans le ton moqueur du Don, il la testait et il était hors de question qu'elle le déçoive. Faisant abstraction du goût atroce, Kara redoubla d'efforts, léchant, suçant, rentrant sa langue dans les profonds sillons de la semelle souillée. Aspirant et avalant chaque petite trace d'excréments qu'elle pouvait trouver. La tache lui sembla interminable. Une fois propre, elle dut s'attaquer à la seconde semelle qui était dans le même état. Le nettoyage de la deuxième chaussure s'avéra moins difficile, sans doute parce qu'elle avait pris l'habitude avec la première.

Kara fut relevée par deux membres du gang pendant que Don Gatillo montrait le résultat de son travail à ses hommes. Paco lui colla une bouteille de bourbon dans la main et lui ordonna de boire pour qu'elle se désinfecte la bouche.

Elle prit de grandes gorgées espérant faire disparaitre ce goût horrible. Malheureusement pour elle Kara n'avait pas l'habitude de boire et le bourbon, en plus de lui bruler la gorge, lui monta rapidement à la tête. Après quelques minutes de répits, Don Gatillo se réintéressa à elle.

— « Très bien, si tu commençais par danser pour nous distraire, Super-idiote qu'on voit si tu peux servir à autre chose qu'à lécher des bottes? »

Une fois relevée, l'un des hommes, détacha la chaine qu'elle portait autour du cou, pour qu'elle soit plus à l'aise pour la suite. Quelqu'un mit de la musique et Kara commença à se déhancher le plus sensuellement possible sur le rythme des paroles de Violet Orlandi. Elle ne connaissait pas cette chanson avant, mais les paroles obscènes de Closer résonnaient dans la salle, faisant écho à l'ambiance survoltée des hommes face à elle.

You let me violate you

You let me desecrate you

You let me penetrate you

You let me complicate you

Quand Kara se rendit compte que Don Gatillo la dévorait littéralement des yeux, elle redoubla d'efforts, dansant face à lui... pour lui... Cette musique obsédante tournait en boucle, l'incitait malgré elle à donner le meilleur d'elle-même.

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside

I wanna fuck you like an animal

My whole existence is flawed

You get me closer to God

Elle ne savait pas si c'était à cause des drogues, du bourbon, de ce qu'elle avait mangé, ou si c'était juste elle, mais elle se sentait brulante de désir pour tous ses hommes et Don Gatillo en particulier. Elle se caressait lascivement, faisant courir ses mains sur les courbes de son corps, s'offrant sans plus aucune pudeur aux regards et à la caméra de Luis, montrant ses superbes seins aux mamelons gonflés de désir ou sa chatte luisante de sécrétions. Les membres du gang qui n'était pas subjugués par sa sensualité prenaient des photos et des vidéos de sa prestation avec leurs portables. Elle était devenue une invitation à la débauche, à la luxure.

You let me violate you

You let me desecrate you...

Soudain, alors qu'elle dansait cambrée en lui tournant le dos, elle sentit Don Gatillo contre elle. Il sentait un mélange de transpiration, de cuir et de cigare. Elle poussa un petit cri d'excitation quand le vieux mexicain empauma durement ses seins, jouant avec eux, les malaxant sans pitié devant ses hommes. Il la repoussa sans efforts vers le billard au milieu de la pièce. Il avait une force étonnante pour un homme de son âge. Penchée en avant sur le billard, il lui écarta vulgairement les jambes avant de la pénétrer sans préliminaires.

Kara gémit misérablement en sentant le chibre de l'homme s'enfoncer inexorablement dans son intimité trempée. Il grogna en retour constatant à quelle point elle était chaude et se mit à aller et venir en elle, lui défonçant méthodiquement sa petite chatte de Supersalope, un rictus sadique sur le visage. Cette lèche-bottes allait définitivement apprendre où était sa place dans le monde.

I wanna fuck you like an animal

I wanna feel you from the inside

Kara n'avait pas une grande expérience avec les hommes, elle n'avait eu qu'un seul amant dans sa vie avant ce soir, mais il lui semblait que le sexe du Don était clairement plus imposant que n'importe quelle bite qu'elle avait pu voir avant, y compris celles qu'elle avait sucées récemment. Sa petite chatte si serrée avait du mal à comprendre ce qu'il lui arrivait. Don Gatillo la remplissait si bien, la baisait si bien, qu'elle était proche de l'orgasme. Elle gémissait, hoquetait sous le poids du chef de gang, sans pouvoir s'arrêter. Bon sang, ce type n'était pas humain... C'était vraiment trop bon...

Help me, it's your sex I can smell

Help me, you make me perfect

— « Ta carrière de Super-emmerdeuse est terminée... A partir de maintenant tu vas être ma pute, Supermaiden, c'est compris? » Grogna le Don profitant à fond des sensations qu'il ressentait en disciplinant cet idiote comme elle le méritait.

— « Oui, je serais tout ce que vous voulez... je ferais tout ce que vous voulez, OoohoOoh par Rao, je vais venniiiiirr ! »

Et Kara jouit comme jamais elle n'avait jouit à ce jour, dans la honte la plus totale. Ses cris de plaisirs résonnèrent dans la salle devant tous les hommes du gang, ainsi que sous l'œil froid de la caméra, qui filmait en haute définition son beau visage ravagé par le plaisir.

Don Gatillo s'empara d'une bière fraiche que lui tendait l'un de ses hommes pour le féliciter. Il but cul sec la bouteille de douze once tout en profitant des contractions de la chatte de la blonde sur sa queue. La sensation était juste divine, mais il ne voulait pas encore jouir, pas tout de suite. Il se retira du vagin affolé de la Supersalope pour y enfoncer à la place le goulot de la bouteille qu'il venait de boire. Il força la bouteille le plus loin possible étirant les muqueuses sensibles de sa victime jusqu'à ce qu'il bute au fond. Seul le culot parfaitement rond de la bouteille dépassait du vagin dilaté de Supermaiden, offrant un spectacle particulièrement obscène aux membres du gang.

Satisfait de l'effet, il se recula pour que Luis puisse saisir cette nouvelle humiliation en gros plan avec sa caméra haute définition. Puis il se rapprocha la queue à la main pour poser son gland sur l'œillet de la super-héroïne. Il bandait comme un âne à la perspective d'enculer cette Supersalope.

— « Par Rao, non pas ça, s'il vous plait... Je ferais ce que vous voulez mais pas ça... » Gémit la fille en tortillant des fesses, soudainement affolée...

Mécontent de cette remarque, le Don commença à gifler impitoyablement le cul de Supermaiden. Chaque claque retentissante lui arrachait un petit cri aigu de crainte et de douleurs mêlées, faisant rapidement rougir son splendide fessier.

— « Vas-y dit moi encore ce que je peux faire ou non avec ton cul ! » Rugit-il en abattant violement une nouvelle salve de claques sur ses fesses. « Tu vas me supplier de t'enculer, putain de salope ! »

La plupart des hommes autour du billard encourageaient leur chef à corriger dette impertinente, d'autres étaient hilares en voyant la réelle détresse de Supermaiden. Elle le supplia, mais c'était trop tard, Don Gatillo voulait qu'elle se rabaisse complétement, il lui demanda de faire mieux.

— « Pardon, pardon, monsieur, je suis une idiote ! Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, bien sûr que vous pouvez disposer de mon cul comme bon vous semble... Je suis juste une salope en manque de bites ! Je vous supplie de bien vouloir me baisez le cul, de me remettre à ma place, de me rabaisser. Enculer moi s'il vous plait... je... j'en ai besoin, faites de moi votre chienne, votre salope annale... S'il vous plait baisez-moi le cul, je suis prête à tout pour ça... Je vous en supplie Don, toute ma vie, je n'ai attendu que ça...un homme comme vous... enculez-moi s'il vous plait, Monsieur... »

Voyant que le Don ne réagissait pas, Supermaiden sincèrement désespérée se mit à onduler sensuellement des hanches, présentant son cul. Elle rajouta : « ...Pitié, défoncez le cul de votre salope... Baisez-moi... Détruisez moi le cul si vous le souhaitez, je suis votre salope, votre putain, votre esclave... Mon anus vous appartient comme le reste de mon corps, il sera le fourreau parfait pour votre bite... S'il vous plait enculez-moi, je ne suis rien... »

Ramon qui n'avait rien raté de la scène, était satisfait de la déclaration de la Super-héroïne, même si cela ne faisait que renforcer son mépris envers elle. Cette fille était d'une lâcheté sans bornes et Don Gatillo l'avait emmenée où il le souhaitait. Elle tortillait lascivement son cul rougit dans la direction du Don avec sa bouteille enfoncée dans la chatte, espérant un peu de clémence de sa part, le suppliant de venir l'enculer. Et elle avait un cul d'enfer, sincèrement, un cul aussi parfait avec les jambes qui vont avec, on n'en voyait qu'au cinéma ou sur Instagram !

— « Tu vas être exhaussé Supersalope ! » Annonça enfin Don Gatillo se remettant en position avec sa grosse bite contre l'œillet de la fille.

Il commença à forcer et enfoncer les vingt centimètres de son énorme bite, centimètre par centimètre, dans le rectum de la magnifique blonde, lui faisant mal. Supermaiden feula et se cabra sous l'énorme intrusion mais ne protesta pas. Au contraire, voulant lui plaire, elle l'encourageait à la malmener, à y aller plus fort. Elle devenait incohérente, ne savait plus vraiment ce qu'elle disait. Le Don l'avait fermement saisie par les hanches, incrustant ses mains dans sa chair, pour mieux s'enfoncer en elle. Elle hoqueta misérablement, sentant la pression dans son rectum venir comprimer la bouteille de bière plantée dans son vagin, lui provoquant des sensations étranges et contradictoires de douleur et de plaisir mélangés. Elle tenta de se détendre pour atténuer la douleur, alors qu'elle se sentait remplie comme jamais avant dans sa vie.

Et puis, elle senti le poids de l'homme se coller contre ses fesses, il lui avait mise en entier ! Bizarrement elle en ressenti une étrange fierté. Il se mit à aller et venir dans son rectum, sans lui laisser le temps de s'habituer, sans aucun égard pour elle. Elle n'était qu'un vide-couille pour lui, ce n'était pas grave, tout ce qui comptait s'était que le Don soit satisfait d'elle...

Don Gatillo lui baisait le cul de plus en plus vite maintenant, lui faisant atrocement mal. Ses couilles venaient cogner contre le cul de la bouteille de bière, lui provoquant des sensations jusqu'au fond de son vagin, la sensation était terrible, mais elle recommençait à mouiller comme une folle. Bien sûr, elle savait que c'était à cause des drogues qu'elle prenait, mais peut-être que ce n'était pas le cas, peut-être qu'elle était réellement une salope. A ce rythme-là, elle n'allait pas tarder à jouir de nouveau. Elle gémit sans savoir si c'était de la honte, de la douleur ou du plaisir. Bon sang qu'est-ce qui n'allait pas avec elle?

C'est ainsi qu'elle jouit pour la seconde fois de la soirée, en femelle soumise, dominée par un mâle, sous les moqueries et les insultes des hommes autour d'elle. Mais elle s'en fichait, tout cela n'avait plus d'importance, tout ce qui comptait c'était l'énorme bite de Don Gatillo planté dans son rectum et le plaisir qu'elle ressentait à se soumettre.

Enfin, au bout de ce qui lui sembla être une éternité, Le chef des Trash Kings éjacula une grosse quantité de sperme, remplissant ses intestins de son foutre épais. Il lui donna encore quelques coups de reins rageurs avant de se retirer, ne laissant qu'un grand vide derrière lui.

— « Ne bouges pas petite enculée ! » Lui ordonna-t-il sèchement.

Kara resta donc en position, hagarde, le fessier offert aux regards et à la caméra, sans voir ce qu'il se passait derrière elle, du sperme chaud s'écoulait lentement de son anus dilaté, souillant ses fesses. Elle comprit, quand elle sentit le goulot d'une seconde bouteille de bière s'enfoncer dans son rectum resté entrouvert. Elle grogna pendant que Don Gatillo vissait littéralement la bouteille dans son anus meurtris, l'enfonçant aussi profondément que celle dans son vagin. Le culot des bouteilles fichées dans ses orifices dilatés se touchaient presque en formant un 8. Des larmes se mirent à couler abondamment de ses beaux yeux bleus, inondant son visage parfait, alors que de nouvelles moqueries et insultes fusaient autour d'elle, la rabaissant toujours plus bas.

— « Tu es un bon coup, Super-crétine... Tu devais surement te dire, que si tu parvenais à me séduire avec ton corps de salope, je te garderais pour moi. Malheureusement pour toi, je préfère les brunes... » Déclara le Don avec une satisfaction sadique avant de rajouter : « Les gars, elle est à vous ! Profitez de votre soirée et démontez-moi cette pute ! »

Kara n'arrivait pas à endiguer le flot de ses larmes. Don Gatillo avait raison, elle s'était dit sans oser vraiment y croire que s'il la trouvait bonne, il la garderait pour lui, qu'elle éviterait de devenir la pute du gang. C'était une nouvelle et terrible humiliation pour elle, maintenant son destin était tout tracé et le pire c'était qu'elle l'avait déjà accepté. C'était la suite logique depuis qu'elle avait accepté de leur obéir, qu'elle avait accepté de se laisser tripoter, puis de tailler des pipes. C'était la raison pour laquelle elle pleurait maintenant, en réalisant qu'elle n'éprouvait aucun désir de rébellion.

Elle poussa un petit cri, quand Ramon la retourna comme une poupée de chiffon pour l'allonger sur le billard. Le mexicain avait attendu ce moment toute la journée, il bandait déjà comme un cerf. Impatient, il retira du vagin de la salope la bouteille de bière luisante de sécrétions, elle sorti en faisant un bruit humide. Supermaiden rouge de honte devant l'obscénité de sa situation cacha son visage avec ses mains en gémissant. Ramon enfourna rapidement sa bite à la place de la bouteille, dans ce sexe béant, appréciant la chaleur et la douceur de son fourreau dilaté qui se refermait sur sa queue pour l'enserrer. Il savoura cet instant comme jamais puis il commença à lentement coulisser d'arrière en avant en elle, arrachant de nouveaux gémissements à la salope.

— « Par Rao... c'est trop bon... » murmura-t-elle si faiblement que seul Ramon l'avait entendu. Le lieutenant de Don Gatillo senti comme une poussée d'adrénaline au creux de ses reins. Il résista à l'envie pressante de défoncer cette super-pétasse, bien décidé à prendre son temps.

Luis s'était rapproché, sa caméra professionnelle sur l'épaule pour filmer l'action au plus près. « Enlève les mains de ton visage, perra estúpida ! » Ordonna l'homme d'une voix agacée.

— « Obéie salope ! » Renchérit sèchement Ramon, en continuant à baiser tranquillement Supermaiden.

La super-héroïne déchue laissa alors retomber ses mains au-dessus de sa tête en un geste d'abandon terriblement sensuel. Luis ne perdit rien de l'expression de son visage baigné de larmes, mélange de honte, de soumission et de sensualité débridée, la jeune femme gisait cuisses écartées et relevées, une bouteille de bière profondément enfoncée dans son anus. Son cul maculé par un mélange de mouille et de sperme du Don souillait le billard en dessous d'elle, laissant une tache sur le tapis vert de la table.

Ramon après s'être assuré que Luis avait un bon angle de vue sur l'action, commença à augmenter la fréquence de ses coups de reins dans la chatte de la Supersalope. Il baisait Supermaiden de plus en plus vite, lui arrachant des gémissements qui ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu'elle y prenait. Stimulé par les encouragements de ses hommes et par les cris de la fille, il se mit à la baiser frénétiquement. Il avait tellement envie de cette salope, qu'il la défonçait littéralement, poussant des grognements entrecoupés d'insultes en espagnol.

Instinctivement, Supermaiden noua ses jambes derrière les reins de l'homme pour accompagner ses coups de butoir. Elle se mit à l'inciter à la baiser plus fort, gémissant en rythme avec lui. Ramon ne résista pas longtemps et cracha la purée assez vite, inondant le vagin de la Super-chaudasse de foutre. José, un autre membre du gang le remplaça aussitôt, fourrant sa bite dans la salope...

Alors que les hommes se succédaient en elle, Supermaiden fut prise sur le billard, sur le canapé, dans des fauteuils, parfois à même le sol. La caméra de Luis filmait tout. Puis enfin, elle fut reconduite dans sa cellule où quelques hommes profitèrent d'elle encore sur son modeste matelas de mousse jaune. Epuisée, elle se contentait de gémir misérablement sous les assauts continuels des membres du gang.

L'orgie se termina tard, cette nuit-là. Supermaiden n'avait qu'une vague idée du nombre d'hommes qui l'avaient sautée, mais le chiffre devait tourner autour de la quinzaine. Elle qui n'avait eu qu'un seul amant avant sa capture, venait officiellement de devenir la pute du gang.

*

*****

*

Dans les jours qui suivirent, une nouvelle routine s'installa. Supermaiden vivait intégralement nue, seulement habillée de son collier de chienne. Les membres du gang, trop occupés à la baiser, ne la frappaient plus que si elle manquait d'enthousiasme à répondre à leurs ordres humiliants. Elle apprit à baiser correctement, offrant ses trous à la demande, tailler des pipes décentes, faire des gorges profondes, baiser en même temps avec deux ou trois gars, ce genre de choses. Bien sûr, elle devait prendre des poses obscènes pour leurs téléphones portables ou bien lécher leurs chaussures crasseuses, les gars s'amusaient à marcher dans toute sorte de choses dégoutantes, parfois des excréments, avant de venir la voir.

Ce n'était pas les seules choses dégoutantes qui franchissaient sa bouche, tous les jours elle devait manger cette infâme pâtée pour chien qu'ils lui servaient dans sa gamelle. Elle mangeait à quatre pattes comme une vraie chienne, subissant leurs insultes. Elle se souvenait qu'elle ne supportait pas l'odeur âcre de cette chose qu'elle devait manger et puis, elle avait fini par s'habituer et même apprécier les sensations qu'elle éprouvait après, cette lourdeur dans sa chatte, la torpeur lascive qu'elle ressentait à cause de ce qu'ils mettaient dans sa nourriture et le sexe ensuite... Oui il lui arrivait d'attendre avec impatience la pâté qu'ils lui donnaient à manger deux fois par jour, des fois elle en redemandait quand ils ne lui en donnait pas assez. Les hommes se contentaient de rire...