Super-Heroines en Détresse - 01

BÊTA PUBLIQUE

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— « Bientôt tu ne verras plus le monde de la même façon, très chère ! » Déclara Don Gatillo en caressant familièrement la joue de Supermaiden. Il s'approcha de son visage pour regarder les pupilles de la jeune femme se dilater sous l'effet de la drogue.

Kara ne savait pas combien de temps, elle était restée dans les vaps, ni combien de temps Don Gatillo était resté avec elle. Elle se souvenait juste que l'homme était resté seul avec elle à la regarder de ses yeux froids et cruels et qu'il l'avait touchée. A son réveil, ses pouvoirs n'étaient toujours pas revenus, la laissant sans défense, à la merci de Don Gatillo et de son gang.

Toutes les huit heures, des hommes venaient la voir pour lui injecter sa dose, certains la frappaient sans ménagement quand elle faisait mine de se rebeller ou des fois juste pour le plaisir de la cogner. Le plus faible des hommes du gang était désormais plus fort qu'elle. Assez rapidement, elle apprit à ne plus se débattre, même quand ils lui touchaient les seins.

Ça avait commencé avec ses seins, sa poitrine modeste mais bien faite avait l'air d'attirer les mains de ses ravisseurs comme des aimants. Kara avait toujours été fière de ses seins, son B parfait était loin des stéréotypes de la blonde à forte poitrine que les dessinateurs lui attribuait parfois dans les comics à son image. Elle n'avait pas besoin de gros poumons pour être parfaite, sa poitrine ferme et ses mamelons dressés avec insolence faisaient sa fierté.

Pour l'heure l'un de ses geôliers, lui triturait les seins sans qu'elle ne se révolte. Au bout de seulement deux jours, la jeune femme qui avait jadis été une super-héroïne prête à tout pour protéger les innocents était devenue méconnaissable. Elle n'était plus vraiment Supermaiden, mais une jeune femme ordinaire, victime de sa propre faiblesse et de l'emprise impitoyable du gang de Don Gatillo. Les drogues qu'ils lui faisaient prendre sapaient sa volonté. Même si elle se trouvait misérable, faible et méprisable, elle était prête à tout pour améliorer son sort quitte à se faire tripoter vulgairement comme une trainée. Naïve, elle se disait que personne n'en saurait rien.

Bien évidement Ramon suivait sur les écrans de contrôle les progrès de Supermaiden et partageait les données qu'il collectait avec Don Gatillo. Les caméras HD de sa cellule avaient filmés en détail la dégradation rapide de Supermaiden.

Ramon ne pouvait s'empêcher d'être un peu déçu par le peu de résistance que lui avait opposé la super-héroïne de National City. Il supposait que la jolie blonde était bien trop habituée à ses pouvoirs, qu'elle ne connaissait pas réellement la souffrance et que devenir du jour au lendemain une fille ordinaire... Il ricana dans sa tête... Ça et conjugué aux souffrances et humiliations quotidiennes que lui faisaient subir ses hommes... Ça avait dû l'atteindre.

Quand les membres du gang s'étaient rendus compte que Supermaiden était impuissante face à eux, ils avaient mis en place un véritable rituel de dégradation. La plupart d'entre eux avaient de bonnes raisons de lui en vouloir, cette salope avait envoyé plusieurs des leurs à l'hôpital ou en prison. Il était temps pour elle de rendre des comptes et l'addition était sacrément salée.

Bien sûr, elle essaya de s'enfuir dans les premières heures de sa détention et bien sûr sa pitoyable tentative s'était soldée par un échec et une cuisante punition qu'elle n'était pas prête d'oublier. Pour lui faire passer l'envie, ses hommes ne l'avaient pas ratée. Les coups de ceintures avaient plu sur elle, laissant des ecchymoses et des marques sur son corps déjà affaibli. Ils l'avaient poussée dans des positions douloureuses pour mieux la fouetter, l'obligeant à crier de douleur.

Obéissant aux ordres de Don Gatillo, Ramon veillait cependant à ce que ses hommes n'aillent pas trop loin. Aussi, il alternait ces débauches de violence avec des séances d'humiliations tout aussi satisfaisantes. Si les coups et les gifles la marquaient physiquement, c'était la douleur morale qui la dévastait le plus. Les insultes constantes et les humiliations que lui faisaient subir les hommes, la faisaient douter de sa valeur. Ca et le cocktail de drogues qu'elle prenait.

Ramon avait vu Supermaiden forcée de s'agenouiller devant ses hommes, implorant leur clémence, les suppliants comme une gamine apeurée, abandonnant toute dignité, sa volonté brisée. Il l'avait vu supportant leurs crachats sur son visage parfait, ouvrant timidement la bouche quand l'un de ses hommes le lui avait demandé, avalant en sanglotant l'immonde crachat...

Puis Paco lui avait ordonné de venir lécher ses bottes, ce qu'elle avait fait, avec veulerie. Car après sa tentative de fuite, Supermaiden était prête à tout pour ne plus mettre ses geôliers en colère. Il avait vu Javier passer derrière elle, lui soulever la jupe, introduire deux doigts dans son anus et lui branler le cul pendant qu'elle léchait la semelle de la chaussure de Gustavo. Cette salope s'était juste tortillée un peu pour tenter de lui échapper, puis voyant qu'elle n'arrivait à rien, elle s'était laissé faire en gémissant et pleurant. Les hommes ne se gênaient pas pour sortir leurs smartphones et faire des photos supplémentaires de l'héroïne désormais soumise à leur volonté.

La prostitution faisait partie du business, Ramon avait brisé plus d'une femme dans sa vie, forçant ces malheureuses à offrir leurs corps pour quelques billets. A presque soixante-trois ans, il était devenu une sorte d'expert en psychologie et il était bien placé pour savoir qu'aucune femme n'était au-dessus des autres. Tout n'était qu'une histoire de moyens et d'opportunité. Mais il avait vu des femmes ordinaires se comporter avec bien plus de dignité que cette soi-disant super-héroïne.

Ramon savait que les rires et les insultes cruelles de ses hommes, résonnaient dans la tête de cette salope de compétition, sapant sa confiance. Il voyait dans son regard la honte et le dégoût d'elle-même. Son acte de soumission en acceptant de se laisser branler le cul était révélateur de son état d'esprit, de sa reddition et de sa médiocrité en tant que femme. Dire qu'elle passait aux yeux de ses admirateurs, pour une icône féministe ! Cette fille était une blague !

Bien sûr il savait que le cocktail de drogues à base de crack, de MDMA, d'aphrodisiaques et quelques autres drogues de synthèse qu'elle prenait toutes les huit heures, avait largement contribué à disons... assouplir son caractère. Mais quand même, la presse l'avait surnommée la « fille d'acier », il s'était attendu à ce qu'elle résiste au moins la semaine, pas qu'elle craque au second jour de sa captivité.

Son boss, Don Gatillo était passé la voir. Il s'était borné à la regarder avec ses yeux malveillants, parfois il lui injectait sa dose de drogue, d'autres fois il se faisait lécher ses chaussures hors de prix. Ramon avait vu Supermaiden supplier Don Gatillo de la laisser partir, lui servant la merde habituelle, qu'elle ne dirait rien à personne. Le Don s'était contenté de la gifler avec un sourire mauvais en guise de réponse.

Evidement dès que Javier s'était vanté auprès des autres qu'il avait branlés le cul de la Supersalope, les membres du gang s'étaient succédé auprès de la prisonnière pour se rendre compte par eux-mêmes de sa docilité.

Don Gatillo avait ordonné à ses hommes, de ne pas la baiser... pas encore. D'une part, il voulait être le premier à la prendre, privilège du chef, et surtout il voulait attendre le point de non-retour, où se serait elle-même qui supplierait que quelqu'un vienne la sauter en échange d'une diminution de ses tourments. Et d'après ce qu'il voyait, Ramon sentait que ce moment était venu.

Si le Don se réservait l'usage de la chatte de Supermaiden, la pute avait déjà commencé à utiliser sa bouche pour lécher des pompes. Aussi le boss avait décidé que ses hommes pouvaient continuer à utiliser la bouche de cette salope comme ils l'entendaient. Bien sûr ils avaient le droit de la peloter autant qu'ils le voulaient, tant qu'aucune bite n'approchait de ses trous principaux. Et les membres du gang avaient trop la trouille du Don pour désobéir...

Ramon se repassa les enregistrements de la troisième journée de captivité de Supermaiden. Abandonnant toute dignité, elle avait embrassé et léché un nombre impressionnant de bottes et de chaussures, faisant courir sa langue sur des semelles souillées. Cette conne se faisait copieusement insulter et même fesser par certains. Ramon voyait avec plaisir les claques s'abattre sur le joli cul de la fille, le faisant trembloter. Parfois elle tortillait des fesses pour échapper à sa punition, mais la plupart du temps, elle se laissait faire, les larmes aux yeux. Souvent des doigts venaient s'égarer dans son anus ou dans sa chatte de plus en plus sollicitée. Branlée sans merci, il voyait clairement sur les vidéos que Supermaiden mouillait souillant les doigts de ses tourmenteurs, ce qui valait à cette pute de nouvelles bordées d'injures et de moqueries.

Sexy malgré elle, Supermaiden obéissait de plus en plus docilement à chaque ordre du gang, cherchant désespérément à éviter les punitions qui l'attendaient à chaque fois qu'elle n'était pas assez rapide, ou qu'elle comprenait mal une directive.

Ramon en tant que premier lieutenant du Don, fut le premier à lui fourrer sa bite dans la bouche. Il se souvenait que Supermaiden avait ouvert de grands yeux surpris en voyant son engin se rapprocher de son visage. Il l'avait empoignée par ses cheveux blonds alors qu'elle ouvrait déjà la bouche, prête à recevoir sa bite durcie par l'excitation. Et c'est vrai qu'il en avait sacrément envie, même s'il la méprisait, elle était vraiment bandante.

Résignée, elle s'était mise à le sucer avec application pour compenser son manque d'expérience. Il se souvenait que la sensation avait juste été divine, sans doute la meilleure pipe de sa vie. Tenir à sa merci Supermaiden avec ses cheveux de top-modèle et sa jolie bouche ventousée sur sa bite, était juste une expérience extraordinaire. Il n'avait pu tenir que cinq ou six minutes avant de lui cracher son foutre dans la gorge, dans un râle de plaisir. Il s'était ensuite essuyé la bite sur son visage, profitant de l'instant avec délectation, laissant une trace humide sperme mêlée de salive sur elle. Souillant ce magnifique visage rougi par la honte de ce qu'elle venait de faire.

Et là cette conne l'avait supplié : « S'il vous plait, je ferais tout ce que vous voulez... je vous donnerais du plaisir, mais ne me faites pas de mal... pitié... »

Agacé, Ramon lui avait de nouveau empoigné les cheveux d'une main autoritaire, lui relevant la tête. « Evidement que tu vas faire ce qu'on veut chica ! » Avait-il répondu d'un air mauvais, plongeant son regard sans compassion dans les yeux bleus craintifs de la blonde, avant de lui cracher au visage juste sous l'œil gauche.

— « Et là, tu vas commencer par sucer des tonnes de bites, tu as intérêt à t'améliorer vite si tu ne veux pas que je te corrige ! » Avait-il lâché avant de sortir pour laisser la place à Lobo.

Déjà le nouveau venu, défaisait le ceinturon de son pantalon, un air lubrique sur le visage. Lobo avait été le second à profiter des bonnes dispositions de Supermaiden, les autres attendaient leur tour. La bouche de cette Supersalope allait devenir rapidement très populaire...

Ramon fit une avance rapide sur les enregistrements. Plus tard dans la soirée, les pièces du costume de Supermaiden s'étaient dispersées sur le sol de sa cellule. La jeune héroïne était nue sur le matelas de mousse, entre Paco et Gustavo. Ramon ne pouvait qu'admirer la perfection du corps qu'il voyait. Cette gringa était vraiment splendide. Les quelques bleus sur son corps n'enlevaient rien à sa beauté. Il avait hâte de goûter à la chatte de la kryptonienne avant qu'elle ne soit trop utilisée. Il avait une bonne idée de ce que Don Gatillo et les autres Drakarians réservaient à cette pauvre fille et elle le méritait amplement, pensa-t-il avait avec une joie perverse.

Pour l'heure Supermaiden avait la bite de Gustavo dans sa jolie bouche, pendant qu'elle se faisait énergiquement doigter par Paco. Elle avait reçu sa dernière injection une heure plus tôt et devait pleinement ressentir les effets du cocktail de cocaïne, d'aphrodisiaques et des autres saloperies dans son corps. C'était la huitième pipe qu'elle taillait depuis cet après-midi et Ramon voyait que la Superchica s'habituait, devenait moins timide. Elle pompait Gustavo comme une pro, tandis qu'elle ouvrait largement les cuisses pour permettre à Paco de mieux fourrager sa chatte brulante.

A l'expression de son visage, et aux clapotis qu'il entendait entre deux commentaires peu flatteurs de ses hommes, Ramon voyait avec satisfaction que la pute était excitée par la situation et quelques minutes plus tard, il la vit jouir sous le doigtage brutal de Paco. L'homme qui n'en pouvait plus, lui enfourna sa queue dans la bouche dès qu'elle fut libre. Ramon se dit qu'il était temps de prévenir Don Gatillo, la salope était prête pour la suite.

*

*****

*

Assise nue dans sa cellule, Kara se demanda comment elle avait pu en arriver là. Il y a trois jours à peine, elle était la super-héroïne respectée et admirée de National City. Il y avait même une statue d'elle dans le plus grand parc de la ville qui le prouvait. Elle combattait toutes sortes de menaces extraterrestres, des cyborgs, des super-méchants et bien sur les gangs et les malfrats. Elle avait fait reculer la criminalité en ville et faisait les grands titres des journaux, son visage s'affichait à la une des magazines glamour, elle était un exemple pour toutes les femmes de la planète.

Mais là, sans ses pouvoirs, elle était totalement impuissante face à ses geôliers. Elle connaissait la réputation de Don Gatillo, l'empire du chef des Trash Kings s'étendait du trafic de drogue à la prostitution en passant par dieu sait quoi encore. Le regard de cet homme avait quelque chose de troublant, presque hypnotique, quand il venait la voir, elle se sentait toute chose, petite et insignifiante.

Kara savait qu'elle devait trouver un moyen de récupérer ses pouvoirs pour échapper à l'emprise de Don Gatillo et de son gang de malfrats, mais pour l'instant cet objectif lui semblait impossible à atteindre. Les injections qu'ils lui faisaient toutes les huit heures, la faisait se sentir euphorique, elle avait du mal à réfléchir, elle planait... Dans ses moments-là, elle se mettait même à aimer ce qu'ils lui faisaient subir et elle se détestait pour ça.

Pour la première fois de sa vie, elle avait peur. Peur que personne ne vienne la sauver, peur de ce qu'ils allaient lui faire, et surtout peur de ce qu'elle s'apprêtait à faire pour survivre. Kara avait peu d'expérience des hommes, mais elle savait qu'elle était belle et surtout elle savait que son corps parfait était sa meilleure monnaie d'échange...

Alors elle s'était mise à obéir docilement aux ordres du gang. Elle avait léché des bottes, certains avaient même essuyés leurs semelles sur son visage, elle avait taillé des pipes et s'était laissé tripoter et branler. Comble de la honte, elle avait même jouit entre leurs mains... à deux reprises et elle se méprisait pour ça. Comment avait-elle pu prendre du plaisir à sa propre dégradation? Comment son propre corps avait-il pu la trahir? Ces questions tournaient sans cesse dans son esprit, l'empêchant de réfléchir correctement à autre chose.

En tout cas, ça fonctionnait, même si les hommes continuaient à l'insulter et à l'humilier, ils étaient moins violent avec elle. Pour la récompenser de sa docilité, Gustavo, l'un des hommes qu'elle venait de sucer, lui avait même donné à manger. C'était de la pâté pour chien dans une gamelle posée à même le sol, mais à part du sperme, elle n'avait rien avalé depuis le début de sa captivité. Elle était littéralement affamée. Elle avait dû manger à quatre pattes, comme une vraie chienne pendant que Gustavo la filmait avec son portable. Mais peu importe, elle n'était plus à une humiliation près. Le goût était horrible, mais elle avait consciencieusement léchée sa gamelle pour n'en laisser aucune miette. Elle s'était même pourlécher les lèvres en souriant, pour donner l'impression à Gustavo qu'elle appréciait son repas.

Après ça, ils lui avaient passé un collier de cuir autour du cou, un collier de chien. Il devait y avoir quelque chose dans la nourriture, parce que depuis, elle se sentait toute chose, elle était terriblement excitée, des pensées érotiques assaillaient son esprit et elle avait très envie de faire l'amour.

C'est dans cet état d'esprit que Supermaiden fut sortie de sa cellule par deux mexicains. Ils avaient attaché une chaine à l'anneau de son collier et la trainaient nue à quatre pattes derrières eux en se moquant d'elle, la traitant de chienne. Ils lui avaient ordonné de chalouper du cul en avançant, ce qu'elle fit pour leur faire plaisir. Elle se trouva terriblement salope en se trainant sur ses genoux derrière eux, comme si elle était une vraie chienne. Elle sentait qu'il allait lui arriver quelque chose et qu'elle ne pouvait rien y changer... Cette pensée l'excitait comme une folle...

Le trio arriva dans une grande salle avec un billard, des canapés, des fauteuils, une énorme télé accrochée sur l'un des murs diffusait un documentaire sur elle. Il n'y avait aucune fenêtre nulle part, l'endroit ressemblait en plus grand à ces salles de détente et de jeux que s'installaient les américains moyens dans leurs sous-sols. Il y avait même une barre de strip-tease dans un coin de la pièce. Une quinzaine de membres des Trash Kings était rassemblés ici, la plupart avaient les yeux rivés sur elle. Kara en connaissait déjà certains par leurs prénoms, d'autres seulement par leurs bites. Elle eut une brève hésitation quand elle vit que Luis, l'un des membres du gang filmait son arrivée avec une grosse caméra montée sur un trépied. Elle rougit de honte en réalisant que ce matériel professionnel allait immortaliser sa déchéance. Elle baissa la tête honteuse et continua à suivre à quatre pattes les hommes qui la guidaient, sans oublier de bien chalouper des hanches pour la caméra.

Don Gatillo l'attendait confortablement assis dans un vieux fauteuil Chesterfield, il la regardait de ses impitoyables yeux noirs, des yeux cruels à peine humains. Elle était la seule femme de l'assemblée, être nue dans une posture de soumission au milieu de tous ses hommes la troublait de plus en plus. Mal à l'aise, elle était certaine que sa chatte était mouillée comme une fontaine.

Intimidée, Supermaiden fut conduite à genoux devant lui. Don Gatillo la regardait avec un mélange de satisfaction et de mépris évident. Une autorité naturelle se dégageait de cet homme et Kara ne pouvait s'empêcher de se sentir minable face à lui. Ne pouvant soutenir son regard noir, elle baissa les yeux, honteuse de ce qu'elle était devenue en si peu de temps.

— « Alors c'est ça la fameuse Supermaiden ! » Dit-il calmement en la toisant du regard.

Kara resta immobile, ne sachant pas quoi répondre, la tête baissée dans une attitude de soumission. Elle se prit une vicieuse taloche sur l'arrière du crâne par Ramon qui s'était rapproché silencieusement. « Répond puta ! »

— « Je suis bien Supermaiden monsieur... » S'empressa de répondre Kara d'une petite voix qui contrastait avec ce qu'elle venait d'affirmer.

— « Tu nous a causé bien des désagréments gamine. Mais à te voir là, si pathétique je me demande bien comment tu as fait pour arriver à ce résultat. Dis-moi Supermaiden c'était du talent ou de la chance? »

Kara ne voyait pas très bien où Don Gatillo voulait en venir, confuse, elle avait du mal à réfléchir, elle répondit d'une voix atone : « J'ai eue de la chance monsieur... pardon, je ne voulais pas vous causer du tort... »

— « Très bien, si tu as eu de la chance, le nom de Supermaiden me parait un peu exagéré du coup... Que penses-tu de Super-nulle ou de Super-crétine... Pourquoi pas au vu de tes exploits récents Super-lèche-bottes ou mieux encore Super-suceuse-de-bites? Dis-moi quel surnom préfère-tu Supersalope?