Stéphanie

BÊTA PUBLIQUE

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Le bain est chaud et j'y reste un bon moment pour essayer de faire disparaître une partie de la douleur. Même si je me suis presque habituée à la routine normale, je ne pourrais m'habituer à ces gang-bangs.

Effectivement, ils me laissent une semaine de congé avant de recommencer à m'envoyer des hommes. Je sais qu'ils ont dû désactiver le système de sécurité pour m'emmener, comment pourrais-je me servir de cette information?

Il s'avère que j'obtiens de l'aide lorsqu'ils viennent me chercher pour un nouveau gang-bang. Alors qu'ils me maintiennent fermement pour m'emmener à la voiture et qu'ils m'assoient comme avant, le chauffeur se retourne et je vois que c'est Paul. Il vaporise quelque chose sur la figure des hommes qui s'endorment presque instantanément. Puis il passe à l'arrière et enlève les sangles de mes poignets et de mes chevilles. Enfin il me tend des vêtements.

Ça fait si longtemps que je n'ai rien porté que j'ai du mal avec ces vêtements. Mais Paul m'aide rapidement à m'habiller. Il sort une clé qui déverrouille le collier et il l'enfile sur un des hommes. Il me conduit vers une autre voiture et m'ouvre la portière passager afin que je monte. Puis nous partons avant que les deux hommes ne comprennent ce qui leur est arrivé.

- Où allons-nous? Demandé-je.

- Quelque part loin de cette ville!

Il conduit pendant un certain temps, avant de s'arrêter. Nous changeons alors de véhicules.

- Ils avaient des caméras dans le parking et je sais qu'ils vont déjà rechercher cette voiture pour nous trouver.

- Et cette voiture?

- Elle appartient à un ami qui vit en dehors de la ville.

- Ils ne peuvent pas nous retrouver autrement?

- J'ai tout vérifié, mais je n'ai rien trouvé d'autre.

Paul nous conduit près de la frontière canadienne. C'est une longue route, mais ça ne fait rien.

- J'ai un ami qui me dit qu'il existe des moyens et des endroits pour traverser la frontière.

- Mais elles sont beaucoup plus surveillées les frontières maintenant.

- Oui, mais ils sont plus préoccupés par les Mexicains qui entrent aux États-Unis que par les Américains qui se faufilent au Canada.

Nous nous arrêtons dans une cabane au fond des bois. Elle est propre et confortable. Le temps est beau et il fait assez chaud pour que nous n'ayons pas besoin de faire du feu. Alors que nous dirigeons vers la cabane, Paul me retourne et m'embrasse profondément. Je lui rends son baiser et nous restons enlacés pendant un long moment.

- Paul, comprenez-vous à quel point j'ai été utilisée et à quel point j'ai été abîmée?

- Oui Stéphanie, mais je veux quand même être avec vous.

- Aussi gentil que vous pouvez être et après tout ce que j'ai vécu, je ne sais pas si je pourrais vraiment apprécier d'être avec un homme.

- Essayez, et je vais essayer d'être aussi tendre et attentionné que possible.

Paul me conduit dans une petite chambre. Nous nous asseyons sur le lit et nous nous embrassons encore jusqu'au moment où nous nous allongeons côte à côte en continuant de nous embrasser.

- Je sais que nous avons déjà eu des relations sexuelles auparavant, mais vous n'aviez pas le choix à l'époque. Je veux que vous sachiez que vous avez le choix maintenant.

- Paul, je vous dois tellement que vous pouvez avoir n'importe quelle partie de moi comme vous le voulez.

Il passe sa main sur mon sein gauche, à travers mon haut et mon soutien-gorge. Il joue avec pendant quelques secondes avant de s'arrêter.

- Est-ce que je peux faire ça?

- Paul, je vous demande seulement de ne pas me blesser physiquement, à part quelques pincements. Sinon vous pouvez tout faire. Si je change d'avis, je vous le dirais. Mais vous n'avez pas à demander avant chaque chose que vous avez envie de faire.

- Je sais que vous avez passé des mois à laisser quiconque faire ce qu'il voulait avec vous. Je ne veux pas être comme ça.

- Paul vous êtes un homme très gentil, et je vous dois beaucoup. Je ne veux rien vous refuser.

- Vous me direz si vous n'aimez pas quelque chose?

- Je vous le promets.

Il recommence alors à toucher ma poitrine, et j'aime ça.

- Paul s'il vous plaît, enlevez mon haut.

Je m'assois et il attrape le bas du chemisier pour le faire passer au-dessus de ma tête. Il le place ensuite sur le sol à côté du lit. Je l'embrasse et je remets ses mains sur mes seins. Après quelques minutes, je sais que j'ai besoin de plus.

- Pouvez-vous détacher mon soutien-gorge?

Paul passe sa main derrière moi et tâtonne un peu avant de réussir à le décrocher. J'avance mes bras et je me penche en avant pour que le soutien-gorge tombe. Paul le prend et le place sur le chemisier.

- Enlevez votre chemise Paul!

Il l'enlève et je remets ses mains sur mes seins. Il commence à les serrer et à titiller mes mamelons pendant que nous nous allongeons en nous embrassant. Je le tire alors sur moi. Il embrasse mon sein droit. Puis il prend le mamelon entre ses dents et il le mordille tout en le suçant. Je gémis, je me tortille et je lui caresse la tête alors qu'il apprécie ma poitrine.

Je commence vraiment à aimer ça alors qu'il s'attaque à l'autre sein pour faire la même chose. Il caresse mon sein droit tout en suçant le gauche. Pendant tous les mois que j'ai passés avec tous ces hommes, Paul était le seul à avoir fait attention à essayer de me faire du bien. Il s'applique si bien que ses efforts me font jouir.

Je le tire vers le haut et nous nous embrassons encore alors que ses mains errent le long de mon corps jusqu'à ma taille. Je saisis sa main et je la mets entre mes jambes. Je mouille plus que jamais. Paul frotte mon monticule à travers mes vêtements pendant que je gémis et je l'embrasse en lui caressant le dos.

- Paul s'il vous plaît, enlevez-moi tout!

Il glisse le long de mon corps en l'embrassant partout en descendant, de mes lèvres à mon cou, ma poitrine et mes seins, mon ventre en enfonçant sa langue dans mon nombril pour me chatouiller. Il défait le bouton de mon jean puis il le baisse lentement. Alors qu'il touche cette zone, j'ai l'impression que mon désir s'enflamme. Je soulève mes hanches pour qu'il puisse lentement tirer mon jean sur mes jambes et le l'enlever.

Il revient caresser ma chatte à travers ma culotte et je soulève à nouveau mes hanches. Il continue à me toucher, mais j'ai besoin d'autre chose.

- Enlevez-la!

Il m'embrasse à nouveau, juste au-dessus de la culotte avant de la tirer vers le bas et de l'envoyer rejoindre le jean. Je suis soulagée et j'écarte les jambes autant que possible pour laisser l'accès à Paul. Il commence à embrasser ma cheville puis il remonte en me léchant jusqu'au genou, puis sur l'intérieur de ma cuisse jusqu'à ce qu'il atteigne ma chatte.

Je pensais qu'il allait s'intéresser à mon sexe qui veut désespérément que l'on s'occupe de lui, mais il redescend vers mon autre cheville pour recommencer à remonter en m'embrassant chaque pouce de peau. Au moment où il s'approche une nouvelle fois de ma chatte, je suis en feu. Je le veux, j'ai besoin de lui, de sa bouche, de sa langue, de ses doigts, de sa bite, n'importe quoi.

J'ai quand même du mal à le croire. Ma chatte qui a été violée par tant d'hommes, tant de fois pendant des mois, veut à nouveau recevoir un homme. Mes jambes sont largement écartées, mais au lieu d'aller directement sur mon sexe, Paul passe sur le côté puis au-dessus et redescend de l'autre côté.

Puis il se rapproche peu à peu, juste à l'extérieur de mes lèvres en embrassant et léchant. Il tourne autour de mon clitoris qui me fait mal tellement il est excité. Je crois que je vais devenir folle de désir sexuel. J'ai trop envie de lui. C'est alors qu'il dépose un gros baiser juste au centre de ma chatte.

Je pousse mes hanches en avant alors qu'il commence à lécher mon intimité et mon clitoris, d'abord les lèvres extérieures puis il enfonce sa langue en moi. Il titille et suce mon clitoris tout en mettant lentement un doigt dans ma chatte qu'il fait bientôt entrer et ressortir. Je sens mon sexe happer son doigt et tout mon corps se tord sous le plus gros orgasme que j'aie jamais connu.

J'ai tellement été baisée, mais Paul est le seul homme à me faire l'amour. Je me remets de ma jouissance alors qu'il m'embrasse. Je peux goûter mon jus sur ses lèvres et je ne crois pas avoir déjà senti quelque chose d'aussi sucré. On pourrait penser qu'après des mois de baise quotidienne à répétition, je n'aurais plus aucun frisson. Mais cet homme m'a donné ce frisson.

- Paul? Je veux que tu te sentes aussi bien que tu viens de me faire sentir. Que puis-je faire pour toi? Qu'est-ce que tu veux? Ma bouche, mon cul, ma chatte? Tout est à toi! Prends-les s'il te plaît!

Paul glisse alors sa bite dans ma chatte et j'enroule mes jambes autour de sa taille alors qu'il commence lentement à me faire l'amour. J'ai besoin de lui, je le veux en moi, tout au fond. Je veux qu'il remplisse ma chatte avec sa bite, qu'il la remplisse avec son sperme. A ce moment, je crois que je pourrais en avoir assez de cet homme. J'accorde alors le mouvement de mes hanches à ses lents coups de rein.

Il enfonce sa bite profondément dans mon ventre jusqu'à ce qu'il pousse un grognement. Il pousse sa queue profondément et éjacule une grosse quantité de sperme. Puis il s'effondre sur moi et je sens mes mamelons bien durs gratter sa poitrine et ses poils me chatouiller. Il est toujours à bout de souffle quand il se dégage et recommence à m'embrasser dans le cou, l'oreille, le visage. Il caresse mon corps en même temps.

Nous nous embrassons et nous nous caressons pendant longtemps avant de finalement nous endormir et rêver. Quand nous nous réveillons, quelques heures plus tard, nous faisons de nouveau l'amour, mais d'une manière plus calme et plus modérée. Puis nous nous douchons et nous nous habillons avant que Paul établisse son plan.

Un sentier commençait derrière la cabane, un sentier pour animaux. Paul me donne une boussole en me disant de toujours suivre le nord. Il me dit qu'avec la pleine lune je n'ai pas besoin de lampe pour suivre le sentier.

Il me dit que la chose la plus sûre est de suivre la piste pendant qu'il traverse la frontière en voiture pour m'attendre plus loin sur la route. Il me conduira alors à Montréal qui n'est pas très loin.

Il fait juste un peu froid alors Paul me donne une veste en plus des vêtements et des chaussures qu'il m'avait fourni un peu plus tôt. Ces habits n'étaient pas de ma taille, mais ça allait. J'espérais trouver quelque chose de mieux à Montréal. Paul m'embrase et j'avance dans les bois. Il faut un peu de temps à mes yeux pour s'adapter à l'obscurité, mais la lune brillante m'éclaire bien.

Il y a des endroits où j'ai du mal à suivre le sentier et quand je crois être perdue, je regarde la boussole et je m'assure de marcher vers le nord. Généralement, après quelques pas dans les bois, je retrouve un sentier. La forêt n'est pas trop touffue alors ma marche est assez facile, même si je trouve sur ma route des petits étangs et lacs ainsi que des ruisseaux.

Comme je n'ai pas trop confiance dans le noir et que j'ai peur de tomber dans l'eau, j'essaie de trouver des passages peu profonds où je patauge. Généralement l'eau ne monte pas plus haut que mes genoux. Je suis en chaussures de marche et en jean. Et comme je n'ai pas l'intention de les enlever, je les laisse se mouiller. Donc ça devient un peu inconfortable de marcher dans des vêtements mouillés.

Finalement, après une bonne heure de marche, je tombe sur une route. J'avais dit à Paul que je mettrais un petit chiffon pour indiquer où j'étais. Il devait s'arrêter, baisser toutes les vitres et ouvrir toutes les portières de la voiture afin que je sache que c'était bien lui avant de sortir de ma cachette. c'était un peu paranoïaque de ma part, mais je voulais m'assurer que c'était bien Paul et qu'il était tout seul. Je ne voulais pas retourner dans l'appartement.

Paul m'a délivré et m'a éloigné, mais même maintenant, je n'ai pas entière confiance en lui. Je sais qu'il a des idées pour me faire disparaître, mais j'ai mes propres idées

Une voiture s'arrête. Paul en sort et ouvre tout comme indiqué. Je scrute attentivement avant de sortir de ma cachette. Nous remontons dans la voiture et j'enlève chaussures et chaussettes pour les laisser sécher un peu alors que nous roulons vers Montréal. Nous nous arrêtons pour acheter deux téléphones jetables et avoir de nouveaux numéros. Jusque-là je n'avais plus de téléphone et Paul avait jeté le sien depuis un moment déjà.

Paul nous trouve un petit motel à la périphérie de Montréal. Dans la chambre je me déshabille pour laver et faire sécher mes vêtements. Nous faisons encore l'amour et nous nous endormons. Le matin, mes vêtements sont secs mais froissés.

Je demande à Paul s'il a de l'argent en lui disant que je le rembourserai mille fois. Il veut m'accompagner, mais je lui dis qu'il vaut mieux que nous ne soyons pas ensemble et que je reviendrai dans la soirée. Je me rends dans un magasin de vêtements en solde pour acheter des tenues plus agréables ainsi que des sous-vêtements et un petit bagage de voyage.

Je me change dans des toilettes publiques et range mes affaires dans le bagage. Je vais ensuite dans un salon de coiffure où je fais couper mes longs cheveux blonds et les fait teindre en brun. Avec ma nouvelle coiffure, une paire de lunettes de soleil et ma nouvelle tenue je suis méconnaissable. Dans les vieux quartiers je pose quelques questions et je trouve bientôt un endroit où je peux obtenir un faux passeport.

Beaucoup de pays ont maintenant des passeports sophistiqués avec des puces intégrées, mais je trouve un gars qui peut me fournir un passeport sud-africain sans données biométriques. Comme Paul m'a donné une grosse somme d'argent je peux payer mon faux passeport et prendre un aller simple pour Paris. Alors que l'avion s'apprête à décoller, j'envoie un SMS à Paul pour lui dire que je reprendrai contact avec lui dans quelques jours.

Depuis ma période de mannequinat, j'ai gardé des amis à Paris et je vais frapper chez l'un d'eux pour passer la nuit et obtenir de quoi aller en suisse où il y a la banque avec mon argent.

Je prends le TGV de Paris à Genève, puis je vais directement au consulat américain. Il me faut un vrai passeport à mon nom pour avoir accès à mon compte bancaire.

Je raconte au consulat une série de demi-vérités. Que j'ai été kidnappée, emprisonnée, utilisée sexuellement et transportée en Europe clandestinement. Ils vérifient mes empreintes digitales et autres données biométriques et j'arrive à obtenir que l'on me fasse un nouveau passeport.

Il faut bien sûr quelques jours avant de tout vérifier et que j'obtienne ce passeport. Mais comme j'ai toujours des amies mannequins à Genève, je peux vivre chez elle. Enfin, avec mon nouveau passeport, je peux accéder à mon compte bancaire bien rempli. J'ai bien sût les millions de la vente de mon entreprise, mais aussi les intérêts et les bénéfices que j'y avais mis auparavant.

Je rembourse alors tous mes amis européens qui m'ont aidée. Puis j'engage les meilleurs avocats pour vérifier et faire annuler mon contrat de services personnels. Ceux-ci montent une affaire et la confient à un juge féminin intelligent. Mes avocats expliquent rapidement ce qui m'est arrivée avec ce contrat et la juge a immédiatement empêché son exécution jusqu'à ce qu'il y ait un procès et un verdict.

Paul m'avait dit que plusieurs personnes dans l'entreprise étaient mal à l'aise avec ce que l'on vait fait de moi. Si bien que mes avocats ont reçu leurs dépositions. L'un d'eux avait même des copies des vidéos qui avaient été faites. L'entreprise me poursuit de son côté pour rupture de contrat et me demande des dommages et intérêts. Mais moi je les poursuis pour kidnapping, séquestration, prostitution, etc. Rapidement la juge statue en ma faveur et m'accorde cent millions de dommages et intérêts. Avec les appels, cela peut prendre encore des années avant que ça se termine, mais pour l'instant le contrat est nul.

J'avais abandonné mon téléphone jetable dans l'avion pour Paris et j'en avais acheté un autre. Une fois que je me suis sentie installé, j'envoie un SMS à Paul en lui demandant comment je pouvais lui envoyer de l'argent et en lui demandant de prendre l'avion pour Londres. Il me répond qu'il est malade d'inquiétude et que mes anciens « amis » offrent une récompense d'un million pour avoir des informations où je vis.

Étant un peu paranoïaque, j'envoie de l'argent à Paul et je lui demande de m'envoyer un message quand il est à Londres. Un ami là-bas le contacte et lui dit de prendre le train pour Paris. A Paris un autre ami lui dit d'aller à Genève. Entre-temps, je renseigne la police suisse sur mon ancien enlèvement en leur disant que mes ravisseurs pourraient essayer de me reprendre.

Aujourd'hui, je vis dans un bel endroit près de Genève, loin des personnes qui m'ont maltraitée. Paul vit avec moi et je travaille sur une autre idée. Mais cette fois, je laisse Paul diriger l'entreprise. Il sait ce que je veux et ce dont j'ai besoin et il est la personne la plus douce pour gérer le personnel.

FIN.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

excellent

tres tres bon

surtout la fin

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
stephanie

tres belle histoire, parait etre proche de la réalité malheureusement.

j aime vos histoires, merci.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Très bonne histoire avec une fin morale

ça change !

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