Stéphanie

BÊTA PUBLIQUE

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Georges fait courir un doigt le long de ma fente, tout d'abord juste sur le bord des lèvres, puis il remonte et caresse mon clitoris. Maintenant je me tortille vraiment et j'avance mes hanches sur son contact. Je peux sentir mon jus sortir de ma chatte pendant qu'il joue avec moi. Puis il enfonce son majeur profondément en moi et commence à me baiser la chatte en jouant avec mon clitoris avec son pouce et son index.

Je n'ai pas eu de petit ami depuis l'université, car je n'avais pas le temps. Et pour être honnête, ça fait très longtemps que je n'ai pas été baisée. Mais je n'ai pas l'impression que ça m'ait manqué. Les quelques gars avec qui j'étais sorti dans le temps étaient maladroits et j'arrivais plus facilement à me faire plaisir toute seule.

Mais là, ce que fait Georges, combiné avec un public et mon humiliation, m'excite plus que je ne l'aurai imaginé.

J'ai l'impression que je suis sur le point d'exploser alors que Georges retire ses doigts et enfonce sa bite profondément dans ma chatte.

- Salope, tu ne peux pas imaginer depuis combien de temps j'attends ça!

Il commence à me baiser, lentement au début, puis de plus en plus rapidement. Et je l'accompagne avec mes hanches. Je peux sentir la chaleur montre dans mon corps alors qu'il plonge sa queue le plus profondément possible en moi. Peu importe que je sois contrainte, que ce soit de la prostitution, ou même une sorte de vengeance bizarre, je veux qu'il me baise, et je veux qu'il jouisse en moi.

Je peux sentir ma chatte se resserrer autour de son sexe et je l'entends gémir en même temps. Je sens le meilleur orgasme de ma vie enfler en moi et Je jouis, perdant le contrôle de mon corps. Je me tords et tremble alors que Georges me baise et me remplit de sa semence. Je reste allongée, les yeux fermés, le souffle court, essayant de récupérer alors que Georges s'effondre sur moi avec sa bite palpitante et giclant profondément dans ma chatte.

- Putain de salope, je crois que tu as apprécié ça plus que moi!

Il se relève et sort son sexe flasque de ma chatte.

- Merde les gars, ça valait le coup. Je vous aurais presque payé pour avoir la chance de faire ça.

Les cadres sourient et l'un d'eux dit alors :

- Tu n'en veux pas un peu plus?

- Bien sûr que si, mais laissez-moi le temps de me remettre un peu. Toi salope, nettoie-moi!

Georges me montre sa bite et je ne proteste même pas à ce stade. J'approche ma tête et je commence à sucer sa queue pour la nettoyer de mon jus et de son sperme. Je connais déjà le goût de son foutre puisqu'il a déjà éjaculé dans ma bouche plus tôt. Mais maintenant je peux goûter le mélange avec mon propre jus. Tandis que je le nettoie et le suce, son sexe recommence à devenir dur.

- Ok salope, à quatre pattes maintenant!

Je lui obéis sans vraiment réfléchir, encore stupéfaire par ce qui se produit. Il m'écarte les jambes. Je ne sais même pas ce qu'il fait et je m'en fiche alors qu'il s'approche de moi. Je sens alors son gland contre mon trou du cul. Je réalise qu'il veut aussi m'enculer.

- Oh non!

Je commence à avancer pour m'éloigner de lui. Mais il attrape mes hanches et me tire vers lui.

- Salope, tu fais ce que je veux, quand je veux! Compris?

Je me contente de hocher la tête alors qu'il pousse son gland à l'intérieur de mon cul. Ça me fait mal, car mon cul n'est pas habitué à ce traitement et le seul lubrifiant qu'il dispose est ma salive et tout ce qui reste de mon jus sur sa queue. Il fait quand même les choses en douceur en glissant lentement sa bite en moi. Il fait des va-et-vient et s'enfonce un peu plus loin à chaque fois jusqu'à ce qu'il soit bien au fond, ses hanches pressant mes fesses et ses couilles me frappant à chaque coup.

C'était très inconfortable au début, mais plus il va loin, mieux c'est. Après quelques minutes, je pousse mon cul sur sa bite pendant qu'il m'encule. Ce n'est pas aussi bon que quand il a baisé ma chatte, mais j'apprécie quand même. Je suis satisfaite quand finalement il éjacule dans mon cul. Je me tortille et je gémis comme lui, ce qui semble le satisfaire lui aussi.

Puis il me lâche et je m'effondre sur le sol, son sperme dégoulinant de ma chatte et mon cul. Mes yeux sont à moitié fermés, mais je vois Georges passer et commencer à remettre ses vêtements. Je reste allongée en essayant de bien récupérer de tout ça.

- Alors Georges, es-tu content de ce que tu as eu?

- Putain oui! Ça vaut bien toutes les misères que j'ai endurées ces dernières années.

- Donc tu penses qu'elle fera l'affaire?

- Ouais, mais je pense qu'il va falloir lui demander de porter un plug pour étirer son cul. Il est un peu trop serré pour être confortable.

- D'accord. Stéphanie, lève-toi, lave-toi et rase cette chatte. Tu vas avoir un autre client dans environ une heure.

Je me lève et je regarde autour de moi. Mes vêtements ne sont plus sur la chaise où je les ai mis. Je les vois alors au-dessus d'une des mallettes des deux cadres.

- Mes vêtements?

- Tu n'en auras pas besoin. Tu n'as pas besoin de vêtements pour les services que tu vas fournir pendant un certain temps.

L'homme ramasse mes vêtements et les mets sous son bras avec sa serviette.

- Vous ne les laissez pas?

- Tu serais tentée de les porter. Et ils ne te servent à rien ici.

- Et la nourriture?

- Nous t'apporterons tes repas dans la journée. Tu ne vas pas mourir de faim et donc tu n'as pas besoin de sortir.

- A quoi dois-je m'attendre?

- T'attendre? Disons environ quatre gars par jour. Que tu baiseras, car ils voudront baiser. La plupart du temps, tu seras tranquille la nuit.

- Alors, je suis ici comme votre pute pour les cinq prochaines années?

- Ce sont les conditions du contrat, mais nous pourrons le renégocier pour allonger la période si tu le souhaites.

- Non non!

- Tu seras la prime de travail pour beaucoup de tes anciens employés. Un groupe de ceux-ci ont regardé tes ébats en direct et ils attendent avec impatience leur tour. Nous te demanderons également de divertir certains clients et sous-traitants. Ne t'inquiète pas, tu auras de quoi t'occuper.

Non seulement je viens de me faire baiser, mais je vais me faire baiser encore et encore. Et mes employés ont tout vu.

- S'il vous plaît, je ne veux pas être la pute de l'entreprise.

- Il me semble que tu en as bien profité quand Georges te baisait.

- Georges a pris sa revanche, Mes employés m'ont vu humiliée. N'est-ce pas suffisant?

Georges a fini de s'habiller. Les trois hommes se dirigent vers la porte.

- Va te laver et rase cette chatte. Quelqu'un d'autre va arriver. Tu trouveras du lubrifiant dans le meuble près du lit.

Ils franchissent la porte, emportant mes vêtements. Je vais dans la salle de bain et je prends une douche. Je lave ma chatte et mon cul du mieux que je le peux. J'ai un stérilet que je me suis fait posé il y a quelques années, alors je ne crains pas de tomber enceinte.

Cinq ans avec quatre hommes par jour, ça fait plus de 7 000 hommes et probablement je serais baisée plusieurs fois par chacun. Putain, le jour où ils vont me libérer, j'aurais été baisée près de 20 000 fois environ. Cette perspective m'effraie, mais je ne sais pas que faire. La bonne nouvelle c'est que je vais avoir le temps de réfléchir.

Je rince ma chatte et je me fais un lavement, puis je me rase soigneusement. Ainsi, je lave tout le sperme de Georges. Je ne sais pas qui va venir ensuite, mais le résultat va sûrement être le même qu'avec Georges. Mes trois trous vont subir le même traitement. Et comme il est encore tôt dans la journée, il y aura encore deux hommes après.

Je regarde dans les placards et je ne trouve aucune trace de vêtements. Si j'arrive à trouver comment enlever ce collier, il faudra que je trouve de quoi m'habiller. Puis je devrais trouver comment sortir du bâtiment, trouver de nouveaux papiers d'identité et partir où ils ne pourront pas me retrouver. C'est beaucoup de problèmes à résoudre, mais j'ai toujours été bonne pour ça.

Un peu plus tard, je reçois la visite de Michel qui fut mon directeur de publicité. Il est mon prochain client et semble apprécier la chance de pouvoir me baiser autant que Georges. Je me contente de m'allonger sur le lit en attendant qu'il vienne. Ce qu'il fait immédiatement en enlevant ses vêtements.

- Ah, les puissants tombent aussi. Tu ne peux pas imaginer à quel point ça me fait plaisir.

- Je suis ravie de savoir que vous pouvez obtenir autant de plaisir de l'inconfort de quelqu'un d'autre.

- Tu dis ça, mais tu semblais apprécier que Georges te baise.

- Tu penses qu'avec mon manque de chance je ne sortirai pas d'ici tout de suite?

- Non tu n'as pas de chance. A quatre pattes, salope!

- Il y a du lubrifiant dans la table de chevet.

- Je vais juste te baiser en levrette pour commencer, mais si tu montres que ça te plaît, j'utiliserai alors le lubrifiant pour t'enculer!

Michel passe derrière moi et commence à mettre ses doigts dans ma chatte. Je suis surprise d'être déjà mouillée.

- Putain de salope! On dirait bien que tu es déjà prête pour moi!

Miles prend sa bite et la glisse dans ma chatte? Je m'étais attendu qu'il soit plus rude, mais en fin de compte il est doux. Alors qu'il me pénètre bien profond, je gémis.

- Tu disais que tu ne le voulais pas, mais tu agis comme si tu le veux au contraire.

Michel se penche en avant et commence à jouer avec mes seins tout en me baisant lentement par-derrière. Je me déteste, mais encore une fois, j'aime être baisée. Mon esprit est trahi par mon corps. Dans cette position, j'ai l'impression qu'il me remplit plus que Georges. Je suppose que c'est l'angle d'attaque. En tout cas c'est mieux.

Je suis là en train de baiser un ancien employé. Il n'y a pas eu de préliminaires ni de vrai consentement et pourtant j'ai la meilleure séance de baise de ma vie. Était-ce simplement parce que je n'avais pas eu de relations sexuelles depuis longtemps? Je ne sais pas et je ne peux pas vraiment le comprendre dans ces circonstances. Je pousse mes hanches en arrière alors qu'il lâche mes seins et agrippe ma taille pour enfoncer sa queue profondément en moi et éjaculer.

Puis il me retourne et s'approche pour enjamber mon visage et mettre sa bite partiellement dégonflée contre ma bouche.

- Allez salope! Nettoie ma bite!

Mes bras sont coincés sous lui, donc je ne peux pas prendre son engin avec mes mains. Alors je l'avale aussi profondément que possible. Michel prend la direction des choses et me baise la bouche alors que je reste allongée. Rapidement il bande à nouveau et il pousse sa queue jusqu'à ce qu'elle touche l'arrière de ma gorge. Je ne peux rien faire alors qu'il baise ma bouche durement et rapidement. J'essaie de respirer comme je peux autour de son engin et je me sens devenir bizarre quand il jouit dans ma bouche.

Sa queue n'était pas aussi profonde qu'elle avait été, alors je peux prendre mon souffle et avaler ce qui me semble être un litre de sperme. Quand il a fini de gicler, il se retire et roule sur le lit à côté de moi.

- Bonne salope! Ils ont dit que c'était une prime. Il faut que je trouve quoi faire pour obtenir plus de primes.

- Je crois qu'ils prévoient de faire bon usage de moi, donc tu auras probablement une autre chance de me baiser avant longtemps.

- Est-ce que ta chatte a encore envie d'avoir ma bite à l'intérieur?

- Garde à l'esprit que je suis ici juste en tant que pute? Crois-tu qu'une pute se soucie d'avoir du bien-être d'un de ses clients?

- Je voulais te baiser la chatte, mais après ces mots, je vais t'enculer. Où est le lubrifiant?

- Dans la table de chevet!

- Mets-toi en position salope!

Je me mets à quatre pattes et je lève mes fesses en l'air. Je l'entends ouvrir le tiroir de la table de chevet. Je sens l'odeur du lubrifiant alors qu'il en met sur sa bite. Puis il en dépose une noix sur son index et il l'enfonce dans mon cul. Enfin il le retire et pousse sa queue rapidement dans mon petit trou.

- C'est un joli petit cul serré! Je suis content qu'ils m'aient donné cette pilule bleue, sinon je n'arriverais pas à récupérer aussi rapidement.

Michel m'encule comme s'il baisait une pute. Il ne se soucie de rien d'autre que son plaisir. Il garde longtemps sa bite dans mon cul avant de jouir. J'ai eu l'impression qu'il allait m'enculer toute la journée. Puis enfin il gicle son foutre dans mes intestins.

Michel s'habille et part. Alors je me nettoie en vue du prochain qui va se présenter. J'ai quatre clients ce jour-là, y compris Georges et Michel. Ce sont essentiellement les quatre personnes les plus importantes de mon entreprise. Les jours suivants, ils ont grimpé dans l'entreprise, ou plutôt ils ont grimpé sur l'ancienne patronne de l'entreprise.

Je passe du temps à examiner le collier et son verrou. Rien à faire de ce côté-là. Ils ne veulent certainement pas que j'arrive à déverrouiller leur collier. La serrure ressemble à celle qui se trouve sur les distributeurs automatiques. Elle est protégée des tentatives de crochetage. Je connais un peu ce genre de serrure et j'essaie de jouer avec, mais sans grand succès.

C'est une jeune immigrée qui m'apporte mes repas deux fois par jour. Et rapidement elle me dit qu'elle ne m'aidera pas.

- Ils me disent que si je vous aide à sortir, je prendrai votre place. Et je devrais baiser tous ces hommes. Non non non!

Au bout de quelques semaines, un de mes nouveaux clients est un jeune programmeur. C'est un gars jeune, intelligent, gentil et un peu ringard. Contrairement à la plupart des autres, il essaie de me faire l'amour. Il m'embrasse et me caresse. Il essaie vraiment de me faire du bien avant de me baiser. De toute façon je n'ai pas le choix, mais je suis touchée par sa tendresse.

Paul passe un bon moment à m'embrasser tout en caressant mes seins. Puis il passe du temps à sucer chaque mamelon, à les lécher et les grignoter. Il continue à travailler ma poitrine jusqu'à ce que j'aie un orgasme.Mon corps semble toujours apprécier le sexe, mais je n'avais plus tellement d'orgasmes. Après que j'ai joui, Paul m'a prise dans une position normale.

En me baisant, il me dit à quel point je suis merveilleuse et combien il aime être avec moi. J'ai alors vraiment commencé à croire qu'il le pensait.

- Mon Dieu Stéphanie, que vous êtes belle. J'aimerais que vous soyez à moi et seulement à moi.

- Même après avoir été baisée par tant de gars de l'entreprise?

- Oui même!

Après avoir joui, Paul roule à côté de moi et me caresse le corps jusqu'à ce qu'il recommence à bander. Contrairement à la plupart des autres, il ne me demande pas de le sucer et il ne se soucie pas de me sodomiser. Il me fait rouler sur lui et il enfonce sa bite en moi. Je bouge mes hanches tandis qu'il m'embrasse et joue avec ma poitrine et mon cul. Je n'arrive pas à croire qu'il soit aussi tendre. J'aurais presque souhaité qu'il soit mon seul amant.

Nous baisons encore une troisième fois dans une position normale et après avoir joui, il passe un long moment à m'embrasser avant de se lever et partir. Ce jour-là j'ai encore un client ce qui est décevant. S'il avait été le dernier, j'aurais peut-être invité Paul à rester avec moi. Personne, au cours des trois derniers mois passés ici, ne m'a traité aussi gentiment que lui.

Une semaine ou deux après Paul, on me dit qu'il y a un évènement spécial. On me met des sangles en cuir rembourrées aux poignets et aux chevilles. Puis on m'attache les bras dans le dos. Deux hommes m'emmènent vers la porte de l'appartement. J'ai peur du choc électrique, mais ils me disent que le système de sécurité est désactivé. Ils me conduisent nue hors de l'appartement.

Complètement nue, je prends l'ascenseur jusqu'au parking et je suis conduite à une voiture aux vitres complètement teintées. Un chauffeur est au volant et les deux hommes s'assoient de chaque côté de moi sur le siège arrière. La voiture démarre et se rend sur un autre parking où ils se garent. Ils me font sortir de l'auto et, toujours nue, il m'emmène vers un autre ascenseur qui nous montent dans des bureaux. Je réalise que ce sont ceux de la société que j'avais vendue.

Les deux hommes m'accompagnent jusqu'à la grande salle de réunion, où environ vingt-cinq hommes sont rassemblés. Ils me poussent jusqu'à une table bizarre avant que l'un des hommes disent à l'assemblée :

- Comme vous le savez, Stéphanie qui a fondé cette entreprise l'a vendue en gardant tous les bénéfices. Pour compenser sa cupidité et les mauvais traitements qu'elle a fait subir à son personnel, elle fournit des services sexuels principalement aux cadres supérieurs.

Je regarde autour de moi tous les hommes qui fixent mon corps nu. Je sais très bien que la plupart d'entre eux ont dû déjà avoir vu des vidéos de moi me déshabillant et me faisant baiser. Ils ont sûrement entendu parler du « bonus » pour certains membres du personnel.

- Il est maintenant temps de récompenser certains des autres employés, mais nous allons le faire d'une manière différente.

Sur ce, l'autre homme décroche mes mains dans mon dos. Puis chacun des hommes prend une de mes mains et l'attache aux pieds opposés de la table. Puis ils écartent mes pieds et attachent les sangles des chevilles aux autres pieds de la table.

- Chacun de vous va avoir la chance d'obtenir un petit bonus de Stéphanie, soit son cul ou sa chatte à votre choix. Nous avons du lubrifiant ici pour ceux qui préfèrent l'enculer.

Maintenant je vais être baisée par vingt-cinq hommes dans la salle de réunion de mon ancienne entreprise. Si je trouve humiliant d'être déshabillée, nue et baisée par quelqu'un qu'ils choisissent de m'envoyer, ici ça dépasse tout. Je ne peux absolument rien faire. Et pire encore, je sais que ma chatte est humide alors que les hommes commencent à m'entourer.

Un miroir est accroché de l'autre côté de la table et il est incliné pour que je puisse voir le visage de chaque homme pendant qu'il me baise. Je peux sentir le premier s'approcher de moi par-derrière.

- Putain, j'avais entendu parler de cette chatte. Je regrette de ne pouvoir la baiser qu'une seule fois.

- Nous devons être gentils avec elle. Nous ne voulons pas l'abîmer sur une seule séance. En fait, elle aura probablement besoin de plusieurs jours pour récupérer.

L'homme derrière moi a ce qui ressemble à la plus grosse bite que j'ai jamais ^prise alors qu'il la claque dans ma chatte. Il attrape mes hanches et me baise violemment pendant plusieurs minutes avant de jouir en moi. Il se retire et je peux sentir et entendre un autre homme se positionner derrière moi.

- Putain, c'était sympa. Je veux encore la baiser. Dites-moi ce que je dois faire pour avoir une autre chance.

Les trois premiers se contentent de ma chatte, puis les deux suivants m'enculent. Les hommes s'enchaînent et je perds le décompte. Quand c'est enfin fini, je suis complètement endolorie et une grosse quantité de sperme coule le long de mes jambes. Alors que tous les hommes se sont vidés en moi, mes accompagnateurs détachent mes poignets et mes chevilles. Ils me redressent et doivent me tenir, car mes jambes sont trop faibles pour supporter mon poids.

Quelqu'un prend un chiffon humide et m'essuie la chatte, le cul et les jambes avant de me conduire toujours nue à l'ascenseur. Je peux entendre des rires et des cris de joie en traversant les bureaux. Le peu de femmes qui sont présentes secouent la tête et détourne le regard. Je ne leur en veux pas, je n'approuve pas non plus le traitement qui m'est imposé.

Je crois que j'ai joui trois fois pendant cette séance, mais je n'en suis pas sûre. La plupart du temps, ça m'a paru flou. Les deux hommes me mettent dans la voiture et me ramènent à l'appartement. Ils me mettent dans la baignoire. Mes jambes sont encore faibles, je fais couler de l'eau pour me laver. Les hommes me disent alors que je vais pouvoir profiter de quelques jours de congé avant de reprendre le cours normal des choses. L'un d'eux ajoute que l'évènement a été un succès et qu'ils pourraient bien le refaire dans un mois environ. Ils n'oublient pas de me dire qu'ils ont réactivé le système de sécurité.