Sous la férule de Léon le concierge 02

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Alors elle le sentit imprimer sa main sur sa nuque, lui poussant le visage vers l'avant.

Un long frémissement de dégoût la parcourut des pieds à la tête lorsque le gland écarlate toucha son nez, laissant une piste glaireuse sur sa joue.

- "C''est le moment de me faire une petite pipe chère madame Erberling .. Prends ma queue entre tes délicieuse lèvres charnues....." lui commanda Rod, frottant son épais gland sur les lèvres.

Mélanie tourna ses magnifiques yeux verts vers lui, l"implorant de se montrer miséricordieux, elle savait que des femmes accomplissaient avec plaisir cet acte répugnant, mais Dave considérait cela comme une perversion.

Mais, à cet instant, elle devait accomplir l'impensable, avec ce gros porc qu'elle méprisait tant, elle aurait préféré mourir plutôt que de s'exécuter, mais il lui tenait fermement la tête, insérant son immonde gland entre ses lèvres.

Un moment plus tard elle suçait réellement la grasse queue du gros porc, il émanait une telle puanteur de ses aines, qu'elle en avait des nausées.

Dès qu'il eut enfoui sa bite dans la tiédeur de la bouche de Mélanie, il sut qu'il ne tarderait pas à jouir. Les yeux pleins de dégoût, de peur, de honte la prude madame Erberling devait s'occuper de ses couilles.

La tenant fermement, il poussa violemment son visage vers l'avant, en-sevelissant sa grasse queue jusqu'à la racine dans la bouche domptée, il gémissait de plaisir.

Il sourit en voyant ses yeux devenir vitreux et son visage rougir de honte.

- "Salope ....Je sais que, comme toutes les femmes du collège tu m as traité de gros porc" accabla-t-il la jeune femme en détresse.

Avec cette bite enfouie dans la bouche, et son visage contre les couilles puantes, elle avait bien du mal à trouver de l'air.

Soudain il grommela :

- "Ohhhhh .... chérie ........Ohhhhhh .... Je vais ..... Je vais jouirrrrr ... Je jouissss ... avale ma purée .......salope ....... Allez avale ......."

- La bite explosa loin dans sa gorge, la femme de ses rêves suffo-qua sous le flot glaireux.

Rod recula sa bite d'une petite dizaine de centimètres, lui permettant de respirer plus aisément bien qu'elle eut toujours le gland sur la langue. Alors qu'elle suffoquait, la bite continuait à vibrer vomissant son épais bouillon glaireux, lui emplissant la bouche, enfin le flot se tarit et il se reti-ra de sa bouche.

Il observa la jeune femme secouée de nausée rampant pour atteindre la boite à ordure pour y recracher le foutre.

Puis Mélanie fut saisie aux épaules et allongée sur le lit conjugal, encore habillée, mais sans culotte elle dut se mettre à quatre pattes sur le lit, puis elle sentit le lit s'affaisser sous le poids de Rod Mentor.

De ses petites mains dodues et moites il lui caressa les cuisses, puis il remonta sous la jupe pour la saisir aux hanches.

Le gros porc allait la prendre comme un porc. Elle ferma les yeux et re-nifla de honte en, sentant le bourgeon de chair se présenter à l'orée de sa féminité.

- "Oh Mon Dieu ... Faites moi mourir ....." sanglota-t-elle envahie par la honte alors que l'épais gland s'insérait entre ses babines gon-flées.

- "Maintenant je vais te baiser sale chienne .....C'est vraiment trop bon ......Yahouuuu petite chienne .......Je vais te baiser comme la vraie pute que tu es ......." Tonnait Rod Mentor s'enfouissant dans le sexe de la beauté en pleine détresse.

- "Ohhhhhh OUi .... Quelle chienne .........Ouiiiiiiii .... La salope .......Je vais bientôt juter ........Je vais te remplir de foutre .......Le gros porc va se vider les couilles dans ton con ......"

- "Ohhh Chérie ......Je vais te coller un petit goret dans le tiroir .... Ohhhh Ma salope ......."

- "Nonnnnnnn ....... Non ....... Non .... Retirez vous .....S'il vous plait ..... Je vous en prie ......Retirez vous ....... Retirez vous s'il vous plait .... Je ne veux pas que vous me mettiez enceinte ....." sanglo-ta misérablement Mélanie.

Déjà la veille, elle ne s'était pas curée la chatte pour expulser le sperme du jeune quaterback qui l'avait baisée, caressant l'idée d'être enceinte des oeuvres du jeune ado.

Mais là, c'était bien différent, elle frémissait de révulsion à l'idée d'être engrossée par cet immonde gros porc. Elle chercha à s'évader vers l'avant, échappant à sa poigne, mais il la tenait fermement.

Elle dut se résigner à une totale défaite, et elle laissa tomber sa tête en l'entendant grogner dans son dos tandis qu'il se vidait les couilles dans son connil fertile.

Mélanie gisait sur son lit sanglotant de honte, c'est alors qu'elle sentit des mouvements dans le lit, ce qui lui signalait le retour aux affaires du ce gros salaud qui venait de se vider les couilles dans sa chatte.

Il la saisit par les bras, la forçant à s'allonger sur le dos, puis il s'agenouilla entre ses cuisses et tendit la main vers le haut de son cor-sage, le lui déchirant :

- "Habillée ainsi, on te croirait si pure et innocente ......Mais tu n'es rien qu'une salope de putain. Il lui arracha vivement son soutien-gorge et sa jupe, les jetant au sol, ainsi que ses hauts talons blancs d'ailleurs. Puis il s'allongea sur elle reprenant ses assauts.

Mélanie se sentait si écoeurée qu'elle dut s'évader de la réalité le laissant prendre son plaisir. Elle se refusait à répondre à ses assauts, cachant ses sensations, elle ne voulait pas lui donner la satisfaction de la faire jouir.

- "Owwwwww ..... " cria-t-elle lorsqu'il lui mordit voracement un téton.

- "Tu n'es qu'une salope ......participe ........ Ou je te couvre la poitrine de morsures ....... Tu expliqueras ça à ton cher mari ......' menaça-t-il.

Face à cette perspective, elle se força et noua ses cuisses dans son dos, étreignant le gros porc alors qu'il allait et venait dans sa moule rési-gnée, il grogna à nouveau comme un verrat lorsqu'il s'exonéra dans sa cramouille rétive.

Rod Mentor la baisa encore trois fois, il se débrouillait pour rester en forme, il en voulait pour son argent. Il avait donné 800 $ pour la posséder dans le lit conjugal, il pouvait la baiser aussi longtemps qu'il le pourrait, évidemment il était déterminé à faire durer le plaisir.

Finalement il dut s'avouer épuisé, mais il en avait eu pour son argent. En se rhabillant, il avisa Léon :

- "Considère moi comme un client habituel de cette petite salope ..."

Mélanie n'avait pas joui une seule fois, durant cette longue épreuve, son dégoût était trop profond.

Mais, lorsque Léon lui ordonna de se dévêtir, puis de se mettre à quatre pattes, elle sut qu'elle n'allait plus tarder à jouir.

Comme la veille, il lui manipula lascivement le clito, puis il l'encula, elle vit à nouveau des étoiles alors qu'elle criait encore et encore sous les caresses de ses doigts impitoyables.

Echangeant leurs places, Rod Mentor avait enregistré toute la scène

Sortant du sommeil réparateur qui avait suivi cet orgasme fulgurant, elle jeta un oeil sur le réveil posé sur la table de nuit.

Elle sauta sur ses pieds, dans vingt minutes Dave serait de retour, il ris-quait de ramener quelques amis vider une bière, elle se pressa d'ouvrir les fenêtres pour chasser cette entêtante odeur de baise puis elle remit le dessus de lit.

Elle se rua ensuite dans la salle de bain et prit une douche, se curant la chatte, se retrouver enceinte du jeune quaterback était une chose, mais il était tout à fait exclu de se faire engrosser par l'immonde gros porc qui lui avait succédé.

Sachant qu'elle devrait continuer à acquitter le prix de son silence, Méla-nie décida de reprendre la pilule, en dépit de ses effets nocifs : elle avait tendance à s'assoupir, à se sentir lasse.

Il s'agissait là d'un petit inconvénient au regard du risque de se faire engrosser par n'importe qui, par Rod Mentor par exemple ou bien d'accoucher d'un bébé noir.

Elle fut particulièrement ennuyée d'entendre Léon lui annoncer, juste avant de partir, que la saison de basket allait reprendre dans une paire de mois, et qu'il se demandait si Maurice Brown entrerait dans la combine si on lui proposait en retour d'utiliser les trois trous d'une jolie prof blanche.

L'idée de devoir coucher avec un étudiant de quatrième année l'embê-tait. C'était la vedette de l'équipe de basket, il pesait 115 kg pour une taille de 2,10 m, sa peau était noir charbon. Elle était certaine que Mau-rice Brown marcherait dans la combine, bien trop heureux de profiter tout son saoul des charmes de sa ravissante prof d'anglais.

Maurice avait une réputation de tombeur au lycée, les filles de l'école se succédaient dans son lit, il prenait un plaisir particulier à niquer les jolies petites blanches. Profiter des appâts de la ravissante prof d'anglais ne pourrait que l'emballer.

Six semaines plus tard, Mélanie comprit qu'il était inutile de continuer à prendre la pilule, elle était enceinte.

Vérifiant sur son calendrier, il lui sembla que ses espoirs d'être engros-sée par le jeune quaterback étaient couronnés de succès.

Elle priait seulement pour que la douche vaginale qu'elle s'était imposée pour chasser le sperme de cet immonde gros porc de Rod Mentor avait été concluante, il subsistait cependant une malchance qu'elle soit enceinte des oeuvres de cet immonde salaud.

John Schroeder menant l'équipe dans son championnat, gagnait à cha-que fois avec un nombre de points préalablement défini avec Léon. Léon fit donc son beurre en pariant à coup sur pendant toute la saison.

Mélanie rejoignait avec plaisir le jeune quaterback chaque samedi après-midi au Starlight motel, elle se donnait à lui en récompense, cela faisait partie du marché qui liait Léon et John.

En fait elle y prenait beaucoup de plaisir, elle lui chuchotait à l'oreille :

- "Oh John ..... Baise moi .... Encore ....... Jouis .... Arrose moi de ta semence ....."

C'est donc avec enthousiasme qu'elle participait à leurs étreintes, nouant ses chevilles dans son dos, ses bras sur ses épaules, se cambrant pour mieux le recevoir dans sa moule accueillante.

Comme tous les ados de son âge, John ne disposait pas de beaucoup d'argent, aussi, la saison de football terminée, il n'avait plus rien à pro-poser pour continuer à jouir des faveurs de la jolie petite prof blanche. Mais comme le gain du championnat avait rapporté une petite fortune à Léon, Il lui accorda un important bonus.

John disposait, en toute liberté de Mélanie pour une après-midi et une nuit au Starlight.

Elle avait toujours caché ses sentiments en présence de Léon, mais pour ce jour spécial, seule avec John elle pouvait se laisser aller le priant d'une voix rauque :

- "Oh John ..... Baise moi ..... Baise moi fort ....... Baise ta petit salope de prof ....... Jouis dans son ventre ........ Emplis moi de ton foutre chaud ......... Vide tes couilles dans la chatte de ta prof d'an-glais .....Ohhhhh oui ....... Encore .... Je jouis ........ Vide toi .........."

Et pour la première fois, elle l'avait informé qu'elle avait menti à son mari, prétextant une sortie avec des amies, cet aveu renforçait encore le plaisir du jeune quaterback : elle mentait à son mari pour passer l'après-midi au lit en sa compagnie. Ils restèrent au lit jusqu'au lendemain matin, terminant par une dernière séance de baise sous la douche.

Mélanie détestait les derniers dimanche du mois, ce jour là elle recevait l'immonde Rod Mentor dans son lit conjugal, il payait cher pour profiter de ses appâts, mais à chaque fois il repartait épuisé l'abandonnant gi-sant sur son lit secouée de sanglots de dégoût.

Elle frissonnait de révulsion rien qu'au contact de ses sales pattes dodues. Chaque fois elle le subissait avec horreur, recrachant son sperme dans la boite à ordure, se curant la chatte avec énergie pour se laver de ses souillures.

Un mois après la fin du championnat, Dave Eberling ouvrit la porte d'en-trée à John Schroeder, il sut immédiatement à qui il avait affaire, le nom du jeune quaterback était connu de tous dans la ville, c'était lui qui avait fait mener l'équipe locale au titre de champion. Il accueillit chaleureuse-ment le jeune homme appelant sa femme :

- "Mélanie, Mélanie, devine qui est là? "

Voyant que la vue du jeune quaterback laissait sa femme sans voix, il reprit :

- "John pense qu'il a pris du retard dans ses études au cours de cette saison, il aimerait que tu l'aides à rattraper son retard .....Je lui ai répondu que ça te ferait plaisir de l'aider, après tout ce qu'il a fait pour le lycée ....."

tandis que Dave retournait s'occuper de sa pelouse, sa gentille femme s'impatiente emmenait le jeune étudiant dans son bureau, là il pourrait entretenir son gazon personnel.

Puis la saison de basket repris, le premier match était programmé ce vendredi soir.

Pendant tout le week-end, elle avait réfléchi à la signification des nombreux coups d'oeil que lui avaient jeté Maurice Brown les jours précédents, lui souriant ironiquement, se pou léchant les lèvres de la langue à sa vue, cela lui paraissait clair, Léon avait négocié ses appâts contre sa participation à ses combines.

A la fin des cours, ce vendredi après midi, elle frissonna alors que ses étudiants sortaient, Maurice Brown resta dans la salle de classe, comme il s'approchait de son bureau, Mélanie sentit un frisson d'anxiété parcou-rir son corps des pieds à la tête.

Il lui sourit goguenardement, lui caressa le bras lui chuchotant :

- "Je tes verrai demain après-midi, charmante madame Erberly ...."Je veux que tu portes cette tenue verte et les hauts talons que tu avais la semaine dernière."

Et l'après-midi suivant, Mélanie ferma les yeux tandis qu'il s'installait en-tre ses cuisses dans une chambre du Starlight motel.

Elle était allongée sur le lit, cuisses remontées, sa jupe verte troussée sur ses hanches, le fond de sa petite culotte en dentelles écarté.

On ne l'avait jamais prise aussi brutalement, et maintenant son corps la trahissait alors qu'elle nouait bras et jambes autour de son torse muscu-leux.

Elle rebondissait d'orgasme en orgasme le suppliant :

- "Ohhhhh .... Baise moi .... Encore ....... Maurice .... Vide toi dans ma chatte ..... Emplis ta prof d'anglais de ta chaude semence .......... Vide toi les couilles ......"

C'était maintenant la fin de l'été et les Eberling se préparaient à leur futur rôle de parent, les tests indiquaient qu'elle allait accoucher d'un petit garçon.

La chambre de bébé était peinte en bleu ciel, et la chaise à bébé était prête à l'accueillir.

A cet instant, dans la chambre de la maternité, Dave ne comprenait pas pourquoi sa femme ne se réjouissait pas plus à la vue du bébé que ve-nait d'amener une infirmière.

Il avait vu sa femme pleine d'entrain en préparant la chambre du bébé le mois dernier, elle avait manifesté une joie intense jusqu'à la naissance.

Il savait qu'elle allait traverser une période de dépression d'autant plus vive qu'elle avait accouché d'un bébé de 9 livres, il savait que bien des femmes passaient par ce stade dépressif, il espérait que ce ne serait pas bien sérieux.

En fait Mélanie avait été vraiment très heureuse d'accoucher de ce bébé, et était restée dans cet état de grâce jusqu'à la naissance, mais une fois le bébé lavé, c'est lorsqu'on le lui amena la première fois, qu'elle se dé-sola à sa vue.

Un seul regard lui suffit, elle sut tout de suite que ce n'était pas le fils du quaterback, il ressemblait à son immonde géniteur, il lui rappellerait cha-que jour le gros salaud qui la possédait dans le lit conjugal.

Elle ne pouvait que rester étendue, le bébé lui tétant un sein tout comme son père qui lui tétait et lui mordillait les mamelons, tandis qu'elle se re-mémorait ses immondes assauts.

En cette fin de l'été, Mélanie avait programmé son retour au domicile pour la reprise des cours, elle n'aurait plus à coucher avec John Schroe-der qui avait quitté le lycée.

Elle avait lu dans la revue sportive locale qu'il serait remplacé par un étudiant transfuge d'un autre lycée, l'articla le décrivait comme un excellent joueur mesurant 1,95 m pour 105 kg. Elle frissonna longuement à la vue de la photo du jeune joueur, il était noir charbon, les cheveux tressés en dreadloks.

Elle savait que Léon ne tarderait pas à le faire entrer dans ses combines, évidemment le prix en serait ses faveurs, elle n'avait pas fini de se prosti-tuer pour lui.

*

FIN DE L'HISTOIRE.

Avec l'aimable autorisation de Black Demon

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