Soumise ou Non 02 (Adultère)

Informations sur Récit
Inès, drague, s'offre 1 fois, puis trompe vraiment son mari.
4.7k mots
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Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/08/2023
Créé 06/08/2023
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Soumise ou non 2 (adultère)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Hugo a eu l'intention de pervertir, Inès, son épouse, en l'offrant à d'autres. C'est lui qui veut mener le jeu, ce qui n'est pas loin d'une certaine domination dans le domaine érotique. Un peu de naturisme, pendant leurs vacances à la mer, a conduit Inès, sous le contrôle de son mari, à s'exhiber devant un voyeur qui a fini par l'arroser de son sperme et même en pousser dans le vagin.

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Inès et Hugo ne passent pas toutes leurs journées à faire du naturisme sue la côte normande. Tous deux aiment faire un peu de sport. Inès commence souvent sa journée par une partie de tennis avant que la chaleur estivale ne soit trop forte. Puis, elle part à la plage avec Hugo qui pratique des sports nautiques, pendant qu'elle partage son temps entre la natation et la lecture, profitant au maximum du soleil.

En arrivant à la plage, Inès a pris l'habitude d'aller voir les prévisions météo affichées au poste de secours. Elle a pu ainsi remarquer l'un des deux maître-nageurs qui assurent la sécurité. L'homme, d'une trentaine d'années, bien bâti, lui plaît beaucoup. Inès a remarqué ses yeux bleus qui contribuent à son charme.

Les premières fois, elle passait au poste de secours, en arrivant, échangeant quelques mots avec cet homme. Elle portait en général un simple paréo noué sur son maillot de bain, avec toutefois une certaine recherche dans l'attitude, rehaussant ainsi sa sensualité naturelle, encore accentuée par les regards appuyés qu'elle sait adresser aux hommes qui lui plaisent.

Hugo a tout de suite remarqué son manège.

« Il me semble que notre maître-nageur t'intéresse, ma petite dragueuse », dit-il à Inès, qui ne peut qu'acquiescer.

« N'hésite pas à en profiter, ma chérie. Tu sais bien que j'apprécierai toutes tes aventures », ajoute Hugo.

Elle s'est rendue compte que l'homme semblait prendre plaisir à sa compagnie, lors des quelques minutes passées avec lui, chaque matin. Aussi, a-t-elle décidé de pousser plus loin son entreprise de séduction.

Depuis quelques jours, en arrivant à la plage, Inès se dirige directement vers son parasol et s'installe sur son matelas après avoir retiré son soutien-gorge de maillot de bain. Puis, elle se relève au bout de quelques minutes et se dirige, dans cette tenue, vers le poste de secours. Elle s'y attarde évidemment, discutant avec cet homme qui l'attire. Elle reste debout devant l'entrée, parlant de choses et d'autres. Le maître-nageur a évidemment l'occasion de voir beaucoup de femmes, seins nus, sur la plage, lorsqu'elles se font bronzer. Pourtant, lorsqu'elles viennent au poste pour diverses raisons, elles ont en général remis leur soutien-gorge. Aussi, la poitrine nue d'Inès parait-elle un peu déplacée et par là excitante. Elle sent souvent les regards de l'homme posés sur ses seins, alors qu'elle se tient très près de lui.

Elle a d'abord commencé ainsi, par cette petite visite matinale. Puis, elle a pris l'habitude de revenir plusieurs fois dans la journée, sous divers prétextes. Les conversations durent plus longtemps et l'homme parait s'intéresser de plus en plus à elle. Ne se contentant plus de rester sur le pas de la porte, Inès rentre souvent maintenant à l'intérieur du poste, où sa demie nudité parait encore plus incongrue. Elle s'installe en face de l'homme, négligemment appuyée sur le bord d'une table. Le collègue du maître-nageur, qui rentre et sort assez souvent, lui jette parfois des regards un peu moqueurs, qui montrent qu'il n'est pas dupe et ne doute pas de l'issue de ces rencontres.

Aujourd'hui, Inès, en sortant de l'eau, vient de marcher sur un objet coupant, s'entaillant légèrement la plante du pied. Pour recevoir les premiers soins, elle se dirige alors rapidement vers le poste de secours. Le maître-nageur est devant la porte et la regarde arriver. Pour éviter de mettre du sable dans sa coupure, Inès avance en sautant à cloche-pied. Dans ce mouvement, ses seins nus tressautent et l'homme, excité, ne quitte pas sa poitrine des yeux.

« Quel est ce gros malheur? », lui dit-il alors, en lui posant une main sur l'épaule pour la guider vers la chaise qu'il lui montre, ajoutant :

« Asseyez-vous là ! Je vais vous arranger ça ».

L'homme sort une trousse de secours d'un placard, puis lui prend la cheville dans une main, et, de l'autre, lui applique un peu de désinfectant. Au delà des gestes professionnels, le secouriste laisse une main caresser la cheville, frôler le mollet, puis revenir sur le pied, passant lentement les doigts sous les orteils d'Inès, qui frémit un peu à ce contact qui la chatouille. Elle aime cet instant où elle sent son pouvoir sur l'homme qui la désire. Pourtant celui-ci rompt le charme en disant :

« Voilà ! Le malheur est réparé », ajoutant en la fixant droit dans les yeux:

« Malgré cela vous serez toujours aussi mignonne ».

Après un bref, remerciement, Inès s'éloigne, sautillant sur un pied, lui donnant ainsi de nouveau un spectacle intéressant.

Elle a bien senti que le maître-nageur avait envie d'elle. Il y a des regards comme des intonations de voix qui ne trompent pas. Sachant que son mari lui a donné toute liberté, elle a bien l'intention d'en profiter et ne veut pas en rester là. Alors, au cours de la journée, elle se décide. Elle va retourner voir le secouriste sans prétexte particulier. C'est ce qu'elle fait en fin d'après-midi, à l'heure où le soleil déclinant commence à vider la plage. Elle rassemble ses affaires et, en partant, se dirige vers le poste. D'habitude, comme toutes les femmes qui quittent l'endroit, elle se rhabille. Pourtant, ce soir, elle a mis ses vêtements dans son sac qu'elle porte à l'épaule, restant ainsi seins nus. Sa tenue parait ainsi anormale, déplacée, mais au combien érotique. Hugo s'en est rendu compte et a compris qu'elle cherche à exciter le maître-nageur, aussi part-il devant, lui laissant la liberté de s'arrêter un instant au poste. L'homme, qui était en train de fermer, fait signe à Inès d'entrer. Pour entamer la conversation, elle le remercie de ses soins. Ils bavardent quelques minutes et Inès sent bien l'excitation de l'homme qui sait qu'elle n'est pas là par hasard. Elle en a la confirmation lorsqu'il lui dit sans détour :

« Vous me plaisez beaucoup. Ne pourrions-nous nous voir à un moment plus tranquille? »

Se surprenant elle-même de sa franchise, elle lui répond alors :

« Pourquoi pas? »

L'homme lui propose de la retrouver ici, le soir même, à dix heures, proposition à laquelle Inès répond par un « peut-être? » dont l'interrogation est contredite par un regard enjôleur.

Lorsqu'elle rentre à l'appartement qu'ils ont loué, Hugo la presse de questions. Elle lui fait alors savoir son rendez-vous de ce soir. A la perspective de cette rencontre excitante, son mari la serre dans ses bras, l'embrasse comme un fou et cherche à la mettre nue pour lui faire l'amour. Mais Inès lui résiste, préférant se garder pour son futur amant. Alors, Hugo, assiste, fébrile, à la toilette de son épouse, qui se prépare pour une nuit de plaisir. Elle choisit une tenue toute blanche, jupe et petit bustier, qui lui donnerait une allure quasi virginale si l'on ne remarquait ses seins libres sous le tissu. Après un dernier coup d'œil dans la glace pour juger de sa tenue, elle pose un baiser rapide sur la bouche de Hugo avant de le quitter pour aller à son rendez-vous galant.

En arrivant près de la plage, Inès gare sa voiture dans un endroit sombre, recherchant une totale discrétion. Elle n'aimerait pas rencontrer quelqu'un de connaissance ici, à cette heure, car elle serait bien en peine de trouver une explication plausible. Dans le noir, elle avance sur la plage. Elle ne se sent pas très tranquille et presse le pas, lorsqu'elle aperçoit le maître-nageur qui l'attendait. Rassurée, elle le suit jusqu'au poste de secours dont l'homme ouvre la porte et y fait entrer Inès. Par discrétion, ils s'abstiennent d'allumer la lumière. Pourtant, ils peuvent se voir distinctement, car la large fenêtre laisse entrer le clair de lune.

Sans dire un mot, Inès regarde la mer, attendant que l'homme prenne l'initiative. Elle sent alors un torse musclé s'appuyer contre son dos. Deux mains glissent sous ses bras et leurs paumes viennent se plaquer sur sa poitrine. A travers le fin tissu du bustier, l'homme sent bien sous ses doigts les seins libres, dont les pointes réagissent déjà à sa caresse. Puis, il la fait se retourner vers lui et l'embrasse longuement sur la bouche. Inès, qui attendait cet instant, apprécie sa façon d'embrasser et répond à son baiser. Sans abandonner ses lèvres, le maître-nageur passe ses mains sous le bustier et poursuit ses caresses, cette fois à même la peau. Puis, l'homme entreprend de la déshabiller. Il détache les bretelles et retire le bustier, la regardant un instant, seins nus, comme il l'a déjà vue souvent à la plage, mais, cette fois, la situation est beaucoup plus chargée d'érotisme. Sans plus attendre, il lui retire sa jupe, puis son slip.

Inès est excitée. S'offrir à sa vue, intégralement nue, lui fait un effet certain, comme en témoigne une légère moiteur entre ses cuisses. Alors, le maître-nageur la caresse partout. Ses mains glissent sur les seins, descendent sur le ventre. Ses doigts passent dans les boucles brunes du pubis, pour se frayer un chemin entre les cuisses. Ils y trouvent un sexe trempé, dont ils palpent les lèvres, les engluant ainsi encore plus.

Puis, l'homme se dégage un instant et se déshabille rapidement. Il est maintenant nu devant Inès. Elle le regarde et voit ce membre assez fin, mais très long, tendu contre le ventre. Elle sait que c'est elle qui le fait bander ainsi. Y penser augmente encore son excitation. Alors, l'homme lui prend le poignet. Il guide sa main vers lui, vers son sexe. Inès se laisse faire et pose ses doigts sur le membre qu'elle entoure. Elle s'étonne de sa dureté, puis commence une lente masturbation qui ne fait qu'en accroître la tension.

Bientôt, le maître-nageur change de position pour venir appuyer ses fesses sur le bord du bureau. Il attire alors Inès vers lui, de dos, et la fait courber légèrement en avant. Et, tout à coup, son sexe se plante en elle, au fond de son vagin où le gland vient buter. Le membre est rentré très facilement, tant la vulve était inondée. Il reste planté ainsi un moment, puis commence à reculer. Inès s'attend à ce va et vient qui l'excite et est prête à pousser son sexe à la rencontre de cette tige qui la perce. Mais, l'homme ne fait que se retirer. Surprise, elle se retourne et lui fait face. Le maître-nageur la regarde alors dans les yeux et lui dit :

« Suce-moi ».

Le ton autoritaire lui enlève toute hésitation et elle se penche alors vers ce membre tendu. Inès y porte ses lèvres, pour finir par le prendre tout entier dans sa bouche. Elle le suce doucement. Quand sa langue parcourt le sexe, elle sent l'odeur forte de son vagin dont les sécrétions l'ont enduit. Ce goût sur ses papilles l'excite, lui rappelant les moments de plaisir solitaire où elle se caresse elle-même et suce ses doigts. Cette excitation la fait couler de plus belle au creux des cuisses. L'homme en profite alors pour toucher sa vulve trempée et introduire ses doigts dans le vagin. Inès aime ces caresses internes, aime sentir ces doigts qui palpent les parois humides de son sexe ruisselant. Excitée, elle s'active encore plus sur ce mandrin tendu qu'elle suce goulûment. Puis, les doigts la quittent et la main vient flatter sa croupe.

« Tu as de belles fesses », lui dit le maître-nageur, tout en continuant à caresser les globes rebondis.

Puis la main se glisse dans la raie. Inès sent alors un doigt se poser juste sur sa rosette. Il s'y appuie. Sous la pression, elle sent son sphincter se relâcher et une phalange s'introduit dans l'anus. Il m'encule avec son doigt, pense-t-elle, y prenant à la fois un plaisir physique et cérébral. L'homme porte encore plus haut la tension lorsqu'il le lui enfonce très loin, puis le fait tourner. Il lui fouille ainsi longuement l'anus, du bout du doigt. Cette caresse profonde et répétée apporte des ondes de plaisir à Inès, dont la muqueuse anale se mouille de plus en plus, rivalisant presque d'humidité avec son vagin détrempé.

Lorsque le maître-nageur retire enfin son doigt, c'est pour venir se coucher sur le lit, allongé sur le dos, attendant ainsi une initiative féminine. Inès, comprenant ce qu'il attend, vient se placer au-dessus de lui. Elle s'accroupit jusqu'à ce qu'elle sente le contact du gland sur ses lèvres intimes. Elle se laisse alors tomber brutalement sur lui, s'empalant sur le pieu qu'il lui tend. Elle commence un mouvement de va et vient, coulissant sur le sexe. Je suis vraiment une salope, se dit-elle en rythmant elle-même le coït.

Mais, c'est l'homme qui interrompt le mouvement alors qu'Inès commence à ressentir la montée du plaisir. Il se retire, la fait placer à genoux sur le lit, reins cambrés et enfonce de nouveau son sexe en elle. Les mains agrippées à ses hanches, il la baise rapidement en levrette. Au bout d'un moment, Inès sent le sexe ressortir et le gland se glisser entre ses fesses. Elle sait qu'il va l'enculer. Elle ne s'y refuse pas. Au contraire, elle en a bien trop envie. Son anus, déjà lubrifié par les caresses digitales, se laisse pénétrer facilement, communiquant à Inès la chaleur de ce membre excité. Il la besogne longuement ainsi, poussant son gland loin en elle à chaque mouvement. Alors, follement énervée, elle ne peut se retenir et vient poser sa main sur sa vulve, pour toucher son bouton, ses lèvres, pour se masturber en même temps, n'hésitant pas à s'introduire les doigts dans le vagin. N'y tenant plus, sous la double caresse de ses doigts dans son vagin et du sexe qui l'encule, Inès se met à jouir sans retenue.

A cet instant, son partenaire vient de se rendre compte qu'elle se caressait. Un peu moqueur, il lui dit :

« Vous avez l'air d'aimer ça, madame ! »

Alors, traversé par une idée perverse, il se retire et vient s'asseoir sur un chaise, face à elle. Inès, indécise, reste debout devant lui, reprenant tout juste ses esprits après l'orgasme qui vient de la secouer.

« Pose ton pied sur mon genou ! », lui dit-il.

Elle obéit à son ordre, excitée de s'exhiber ainsi, car la position indécente montre sa vulve largement ouverte.

« Branle-toi ! », ordonne-t-il alors.

Inès, sans plus de retenue, laisse glisser sa main entre ses cuisses et vient caresser son clitoris, puis fouiller son vagin du bout de ses doigts effilés, qu'elle pousse loin en elle pour les ressortir trempés et les essuyer au bord de ses lèvres et sur la collerette de son bouton érigé. Le maître-nageur la regarde. Excité, il bande énormément. Il la traite de salope, puis ajoute :

« Maintenant, suce-moi ! »

Inès se penche alors, gardant les jambes écartées. Sa bouche se pose sur le gland et absorbe complètement le membre dur, qui, peu de temps avant, était encore planté dans son anus. Elle en sent l'odeur, le goût âcre sur sa langue. Elle vibre tant cela l'excite. Elle ne saurait dire si c'est cette sensation qui lui fait cet effet ou plutôt le plaisir cérébral qui la traverse lorsqu'elle pense à ce qu'elle ose faire à cet instant. Pendant qu'elle continue de lui sucer le sexe, le maître-nageur lui introduit plusieurs doigts dans le vagin. Aussi excité qu'elle, il le fait sans ménagement, plaçant finalement tous ses doigts en cône avant de les forcer en elle. Inès sent la pression qui l'écarte. Elle se retient de crier, passant rapidement du plaisir au début de la douleur, lorsque, tout à coup, son vagin se referme sur la main entière qui vient de s'y enfoncer. Le maître-nageur remue lentement sa main, sans toutefois la faire ressortir complètement. Inès sent son sexe écarté au maximum de ce qu'elle peut supporter. Pourtant elle aime ce lent et fort mouvement en elle, comme en témoigne la liqueur qui inonde le poignet de l'homme.

« Regarde, salope », lui dit-il, « c'est comme si une bite énorme te forçait ».

Ces paroles ajoutent encore à l'excitation d'Inès, qui pousse un cri bref lorsque l'homme retire brusquement sa main, lui laissant un instant l'impression d'avoir un sexe béant.

Puis le maître-nageur la fait mettre à plat ventre sur la table, jambes pendantes. La prenant aux hanches, il la pénètre alors d'un seul coup, plantant son membre tout au fond. Puis, tout en la baisant durement, il se penche et lui fait un gros suçon dans le cou. Inès sait que son amant d'un jour l'a vue plusieurs fois avec son mari et qu'il a donc voulu ainsi marquer son territoire pour bien montrer au cocu qu'il lui a pris sa femme, car il ne sait pas que c'est ce mari qui la pousse à s'offrir à d'autres.

Toujours aussi rapidement, aussi brutalement, il retire son sexe du vagin d'Inès, pour le lui enfoncer encore dans l'anus. Il la besogne ainsi très vite, l'amenant presque à la jouissance. Il la retourne alors sur le dos, les fesses au bord de la table, lui relève les jambes en les écartant bien, pour lui planter violemment son membre gonflé au fond du sexe, une fois de plus. La brutalité de son partenaire et cette alternance rapide entre les pénétrations des deux côtés excitent beaucoup Inès. Le maître-nageur la baise maintenant à grands coups, frappant à chaque fois brutalement sa matrice avec son gland, jusqu'à ce qu'il se libère, répandant son sperme en fortes giclées au fond du vagin d'Inès.

Alors, comme ivre de plaisir malgré le stress des derniers instants, elle se rhabille rapidement et le quitte pour aller rejoindre son mari, qui attend son récit. Elle est partie si vite qu'elle a oublié de reprendre sa petite culotte. Ce sera un petit cadeau en souvenir, pense-t-elle.

Dès son retour, Hugo la serre dans ses bras et l'embrasse fougueusement. Inès répond à son baiser, mais, dès qu'elle arrive à se libérer, elle se précipite vers la salle de bain, disant :

« Laisse-moi d'abord prendre une douche. »

Hugo l'attrape par un bras pour la retenir fermement, en criant presque :

« Non ! Sûrement pas ! Je te veux comme tu es, toute chaude des caresses d'un autre homme. »

Inès, épuisée et endolorie par son adultère si intense, cherche à éviter la relation sexuelle qu'espère son mari :

« Je suis vraiment fatiguée et ma chatte est trop sensible pour refaire l'amour, mon chéri. Je suis désolée, mais je peux tout te raconter. »

Malgré son envie, Hugo se veut conciliant :

« Bon, mais je vais te sucer doucement pendant ton récit. »

« Oh, non, ce n'est pas possible ou alors laisse-moi aller me laver. Tu sais, j'ai été très... très... sale », rétorque-t-elle, rouge de honte.

« Non, reste comme ça ! Je vais écouter gentiment ton récit et on verra bien après », réplique Hugo.

Alors Inès s'installe confortablement sur le canapé et commence son récit. Hugo, assis dans le fauteuil qui lui fait face, a ouvert sa braguette et sorti son sexe déjà bien tendu. Il se masturbe en l'écoutant. La vision de son mari dans cette situation et le fait de se remémorer son premier adultère poussent Inès à ouvrir les cuisses et glisser deux doigts en elle.

Lorsqu'elle termine son récit, Inès se rend compte que ce qui l'inquiétait comme étant trop sale a au contraire excité son mari au plus haut point, car il vient de la coucher sur le canapé pour sucer sa chatte odorante. Hugo pousse sa langue dans le vagin pour venir y chercher tout ce qu'il contient. Lorsqu'il a terminé ce nettoyage intime, Hugo relève les jambes de sa femme pour atteindre sa rosette qu'il lèche avec envie, aspirant même en bouche le sperme qui se trouve encore à cet endroit. A cet instant, Inès a bien du mal à éviter un orgasme qui aurait été bien trop révélateur.

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