SAP&cie 03

BÊTA PUBLIQUE

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Après cette révélation, il était devenu obsédé par l'exploitation du potentiel de la sublime Lucie et sur le moyen de manipuler la mère. Il ne sut pas immédiatement comment obtenir une obéissance total et volontaire des deux femelles présentes aujourd'hui dans les locaux. Heureusement, les jumelles chez qui Lucie était intervenue, avaient fini par parfaitement jouer leur rôle et lui avaient procuré un merveilleux moyen de pression. Mais ce fut à la dernière minute. À lui maintenant de l'utiliser subtilement et de la meilleure manière qu'il pusse.

- J'aimerais vous dire deux mots seul à seul, l'interrompit Jamila en se levant, très remontée.

En feignant la surprise M.Kahlouf l'invita à entrer dans son bureau qui à l'inverse de la salle d'attente était bien lumineux et chaleureux.

- Très bien, si vous voulez bien vous donner la peine, dit-il calmement.

Jamila entra dans le grand bureau luxueux d'un pas décidé, semble-t-il déterminée à exprimer son mécontentement. Il constata cela avec bonheur. Il pensait que Jamila avait compris en partie ce qu'il avait cherché à faire durant le mois d'essais de sa petite fille chérie. Et c'était tant mieux, il n'aurait pas à démontrer le pouvoir qu'il détenait. Si il pouvait influer de la sorte sur le planning de Lucie, il le pouvait sur celui de n'importe qui.

- Accordez-moi une seconde Jamila. En attendant, asseyez-vous, invita l'homme d'une voix autoritaire.

Dans la pièce, deux chaises y étaient installées pour les visiteurs et un confortable fauteuil pour le sous-directeur. Devant les deux fenêtres exposées sud sud-est était installé un grand bureau où y était posé un grand écran d'ordinateur, des dossiers et une pile de mails imprimés, sur lesquels il était souligné le nom de Lucie, les mots "plaintes", "secret professionnel" et "pas prolongée".

Il ne voulait pas engager tout de suite la conversation afin de prendre petit à petit le dessus sur Jamila et la laisser monter en pression. Il saisit le clavier de son ordinateur pour y saisir quelques données factices mais surtout pour organiser ses pensées. Il n'était pas surpris que la mère vienne prendre la défense de sa petite fille chérie. Cela faisait même partie de son plan.

Il mit encore quelques secondes supplémentaires pour refouler son excitation. Car, depuis dix minutes, depuis la réception d'un sms de Bruno, le chef de chantier, proche du BigBoss, il était obsédé par l'image d'une superbe jeune femme munie d'un masque de nuit, allongée sur une table de massage, son corps nue, exquis, inconsciente de la présence d'autres personnes, offrant sans le savoir la vision de son trou du cul à plusieurs mâles bandant. Oui, c'était inéluctable, il allait obtenir ce qu'il voulait. Car cette image qui était une scène vécue prouvait que son plan concernant les deux autres pouliches de la famille, ici Jessica, allait aussi au delà de ses espérances. Oui c'était ce Bruno là qui jouait avec Jessica, la deuxième fille de Jamila.

" Comme tu l'as prédit elle a encore tout gobée. J'l'ai baisée comme jamais et son cul à pris toute ma bite. Elle est prête pour le Big Boss" disait le sms de Bruno reçu il y a dix minutes. " Elle a accepté d'être ta future femme? En comprenant et en acceptant bien tout ce que cela implique? " avait répondu le sous-directeur. " Oh oui! Il n'y aura bientôt plus besoin qu'elle ai les yeux bandés pour l'enculer à la chaîne. Elle mendiera bientôt ses coup de bites! "

Ah Jessica! Cette bombe aux longues jambes, au ventre plat, à la poitrine avantageuse, aux fesses irrésistibles. La fille à la table de massage. Il avait très vite détecté sa naïveté et son complexe d'infériorité lors de l'entretien d'embauche et avait plus tard subtilement dirigé la stupide bonnasse vers la salle de sport de son "blanchisseur" Rachid. Un simple dialogue innocent, dans l'ascenseur, avec les mots clefs associant le "sport", son "père", le sentiment de "fierté" et l'action de "contraster" avaient amorcé sa longue transformation en futur fourreau pour la bite hors norme du Big Boss :

- Oh! Bonjour Jessica, vous avez l'air en forme dis donc, vous êtes resplendissante!

- Bonjour Monsieur, merci beaucoup, avait-elle répondu timidement, flattée.

- C'est quoi votre secret? ... je parie que vous faites du sport!?

- Euh ... non ...

- C'est vrai!? Bin mince alors! Qu'est-ce que ce serait si vous en faisiez! Tout le monde n'aurait d'yeux que pour vous! Moi non plus je n'en fais pas. Au grand désespoir de mon cher papa. Il serait trop fier de moi si je me musclais un peu, ça contrasterait avec mes frères. En plus, j'ai un pote qui tient une salle de sport ...

Quelques jours plus tard, la présence de la bonne Jessica faisait le bonheur des membres mâles testostéronés de la salle de muscu. Salle de muscu servant à blanchir de l'argent sale et à dealer toutes sortes de produits les faisant passer pour des produits stimulants. Puis, il avait donné les clefs psychologiques de la stupide greluche au vieux Bruno, le chef de chantier, homme de confiance du Big Boss, en échange d'un futur soutien mais à condition qu'il suive ses consignes. Buno, la quarantaine passée, avait pu ainsi séduire son futur vide couilles au club de Rachid, comme avait prévu Kahlouf. Le décès de la figure paternel exemplaire, une fille crédule en manque de reconnaissance, rien de plus simple.

Bruno avait tellement bien joué l'homme qui n'a d'yeux que pour elle, qu'elle avait emménagé chez lui, qu'elle était tombée folle amoureuse. Mais la connasse avait tellement de complexe qu'il n'avait pas réussi à la baiser avant les trois premiers mois et l'intervention de Dylan.

Ahh! Son pote Dylan, quelle super idée j'ai eut de l'inclure à mon scénario, une armoire à glace, un homme clef au sens propre comme au figuré, vulgaire agent de sécurité en apparence mais son boulot lui donnait accès aux clefs des baraques des plus gros bourges de la région, il était un passe partout incroyable! Il était malin, audacieux et dénué de scrupules envers les femelles baisables.

Lui aussi, il avait joué à merveille son rôle de célèbre et incontestable coach des stars. Supercherie qu'il avait imaginé avec la complicité de Bruno et des gars de la salle, en empruntant la baraque d'un vieux richards toujours en voyage et enfin en créant un faux blog avec photos retouchées et commentaires de stars. Cela avait parfaitement fonctionné, Jessica avait tout gobé. Elle était sous leur emprise. Dylan avait bien senti son pouvoir, faisant même faire la première séance de "coaching privé" à cette chienne la chatte à l'air, filmée, pelotant sans vergogne son corps avec de l'huile sous prétexte de cartographier sa masse graisseuse. La vidéo était savoureuse. Les gars de la salle en redemandèrent et ainsi émergea un nouveau business.

Ils ont même élaboré une combine tous les deux pour que cette petite conne coincée aille finalement jusqu'à mendier son coup d'bite à Bruno. Que du bonheur cette Jessica. C'te bâtard de Dylan est un génie d'avoir improvisé ce massage post-séance où elle voit que dalle et n'entend rien. Avalant de nombreuses doses de la soit-disante mixture, des cocks-tails! Ah ah! Trop bon le jeu d'mots! Eh oui, l'alimentation et les compléments alimentaires à base de protéines sont essentiels! Haha! Sans parler du reste. Putain quel beau petit cul! Le deal qu'ont conclu Dylan et Rachid est fructueux, les abonnements à la salle ont augmenté de cinquante pour cent. Les gars sont ravis de se vider les couilles à son insu! Mais le plus beau reste à venir avec le Big Boss. Son intervention va au minimum piquer sa curiosité et le diriger vers moi. C'est sur la bonne voie d'après le message de Bruno ce matin. Encore un peu de patience.

Quand à Jena, rien n'était encore joué, les dernières pièces du puzzles étaient presque en place. Cette chienne prétentieuse est moins crédule que sa soeur mais elle est tellement sûr d'elle et de son charme que la manipuler va être tout aussi facile. Elle croit jouer avec Djibril, Mamadou, Bertrand et moi mais c'est elle le jouet, ça ne fait que commencer. Je connais son secret. Jessica a tout raconté à Bruno. J'aurais jamais cru que cette innocente allumeuse cachait une double personnalité. Grâce à mon message Djibril a déjà dû faire apparaître Xena pour quelques minutes. J'veux pas que ça aille trop vite. Elle croit travailler cette aprème mais j'vais lui annoncer la "bonne" nouvelle tout à l'heure. Xena fera une apparition plus longue cette après midi. Mes vieux négros vont aimer. Et le bouquet final ce soir pour que Ultimate Xena prenne définitivement le contrôle. Elle ne connaît pas encore Robert, c'est sur lui que j'ai parier. C'est lui qui va l'anéantir. Une manipulatrice, face à un homme inébranlable, détestant être manipulé! Refermant beaucoup de rancoeur! Vivement ce soir!

Ce que Jena était très loin de se douter, c'était que l'auto-école était fausse. Que Djibril, Mamadou et Bertrand étaient d'ex-taulard, sortis de prison il y a un an, après vingt ans de réclusion pour braquage à main armée. Ils étaient aujourd'hui sous les ordres de Kahlouf. Ils maquillaient des voitures volés, faisaient du trafic d'épaves, de plaques. Bertrand supervisait mais obéissait à Kahlouf. Il leur avait ordonnés de rénover une ancienne voiture d'auto-école et de suivre ses ordres. Si Jena avait été un peu plus maline elle aurait trouvé ça louche que Djibril n'ai pas freiné lui même avec la double pédale au lieu de crier comme un imbécile lors de l'incident avec Mélanie. Bref, suivant ce qui allait se passer ce soir, il y aurait peut-être un nouveau business grâce à Robert. Pour l'instant, tout se passait comme prévu.

Depuis les entretiens d'embauches de la première fille, l'aguicheuse Jena au corps de vilaine gamine puis de l'effacée Jessica avec sa silhouette de potentiel modèle pour bikini sexy, la volonté de Kahlouf de posséder cette famille afin de servir ses plans était devenue une obsession. Cela stimula son esprit machiavélique.

Cette famille était incroyable. Ses filles ne pouvaient que l'inspirer. L'association employait une centaine d'auxiliaires féminines. Les trois quarts n'offraient aucun intérêt physique, trop âgée, affreusement banal, trop grosse, aucun charme ni atout. Il n'y en avait que quatre qui étaient parfaites en l'état et faisaient bander tout le monde. Le potentiel des vingt-cinq autres pourcents allait devoir être plus sérieusement évalué. Une cinquième lolita, majeur depuis deux jours, était venue s'ajouter à son premier cheptel, grâce à sa propre mère employée dans l'assoc. La recrue qu'il avait envoyé chez l'influent Justin Pirlaut ce matin même pour la première fois. Elle doit justement être sortie de chez lui. Elle doit venir immédiatement faire son rapport. J'ai hâte de la voir. Cette toute nouvelle recrue avait été très obéissante et réceptive à ses ordres impérieux. Mais ce n'était pas étonnant à la vu de ses origines asiatique et la culture de la chine qui considérait les bébés de sexe féminin comme des poids mort.

Je n'ai pas encore inclus la fille de la directrice, Marion, putain d'pétasse blondasse, ni la bombe du bureau, la nouvelle comptable, mais elles ne font pas partie des auxiliaires. Par contre, elles me font bander graves ces grandes et fines pouliches. On croirait des mannequins brésiliens, je rêve de les voir dans les mêmes tenues que ces égéries d'une grande marque de lingeries fines. Je crois que la dernière est lesbienne, je l'imagine bien en train de se faire défoncer par une dominatrice avec un gode ceinture ... Putain, faudra que je travaille sur ça.

Mais pour l'instant il devait se concentrer. Trois des cinq bombasses du SAP étaient membres de la même famille, la famille Kihdja. Même la mère faisait fantasmer certains usagers malgré sa quarantaine. Ça valait la peine de soumettre cette putain d'famille.

Mais tout se jouait maintenant. Car il pensait également que la pièce maîtresse pour soumettre entièrement Lucie se trouvait devant lui. Il fallait en premier lieu la soumettre elle, la seule qui avait une emprise totale sur Lucie était la mère bien entendu. Il voulait une emprise subtile sur elle et pour ça, il lui fallait la mère. Il fallait surtout que lui se calme et garde sa lucidité. Après une interminable minute de silence, il l'autorisa à parler ou plutôt à vociférer après qu'il ait commencé.

- Vous vouliez me parler de quelque chose Jamila? engagea Kahlouf d'une voix calme et posée en appelant la mère de famille par son prénom ce qui eut pour effet d'exaspérer encore plus Jamila.

- Bon sang! évidemment! Et ne me dites pas que vous ignorez la raison de ma présence ici! dit Jamila, le volume de sa voix augmentant petit à petit.

- Non, en effet, je pensais bien que vous accompagnerez votre fille pour qu'elle s'explique sur ses graves manquements à l'éthique et aux secrets professionnels, continua-t-il, son fameux petit sourire supérieur se dessinant au même moment sur son visage. Mais pourquoi est-ce VOUS qui êtes assise là?

- Vous le faites exprès et vous vous moquez de moi! Vous le savez très bien bordel!

Elle commençait à perdre le contrôle.

- Calmez vous, voyons ... conseilla Kahlouf en affichant un sourire encore plus franc.

- Je ne connais pas vos motivations mais j'ai remarqué votre petit manège, commença Jamila le volume de sa voix était à son paroxysme. Durant les trois première semaines, tout a été fait pour dégoûter Lucie du métier et la décourager en la faisant intervenir chez des personnes n'ayant pas d'énormes besoins, pour la plupart, mais tous antipathiques. Chaque jour vous l'avez envoyé chez des usagers désagréables, de mauvaise foie. Il y avait toujours des petites erreurs de programmations ou d'adresse engendrant des retards. Je parie que vous vous êtes occupés de son planning personnellement. Comment commencer plus mal une intervention que d'arriver en retard! Et pour finir, vous avez utilisé les jumelles pour qu'elles se plaignent de quelques choses et posséder un prétexte pour évincer Lucie. Vous l'avez fait exprès n'est-ce pas? C'est VOUS, rugit Jamila en le pointant du doigt.

M.Kahlouf décida que c'était le bon moment pour un premier coup de poker. Il allait jouer carte sur table puisqu'il savait qu'il ne pouvait pas perdre.

- Évidemment Jamila, c'est moi le boss ici, sa voix était toujours aussi calme mais il articula chaque syllabe .

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Dans la quatrième partie :

- Nous ferons connaissance avec la sublime Marylène la nouvelle comptable aux jeux coquins. Sa découverte impliquant la directrice utilisant sa fille comme objet de diversion.

- Nous visiterons l'étage au dessus du SAP. Où trois créatures de rêves vont sortir de leur coquilles car une trahison va engendrer une vengeance hardcore très bientôt.

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