SAP&cie 02

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La complexee Jessica se met au sport et devient une bombe.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/10/2017
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18/10/2018 Version 3 - Ajustements - Corrections

02/08/2017 Version 2 - Corrections - Améliorations

10/04/2017 Version 1

Cette partie met en scène uniquement la complexée Jessica, la deuxième fille de Jamila et soeur de Lucie. Vous saurez pourquoi elle s'est mise au sport, vous connaîtrez l'influence progressive mais désormais absolue de Bruno son homme et Dylan son coach et comment ils l'ont manipulée et transformée en bombe fière de se montrer et peut-être bientôt plus.

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JESSICA 9H45

La deuxième fille de Jamila, Jessica, quant à elle, n'attendait pas assise sur d'inconfortables chaises en fer dans une salle d'attente lugubre. Elle était debout, également en attente, mais pour Jessica, c'était dans les transports en commun qu'elle était en train d'éprouver sa patience. Le tramway l'amenait vers la destination où elle allait exercer son métier d'auxiliaire de vie, sous l'égide de l'association mais au service privé du vieux grand-père de son coach vénéré, comme convenu par son deal.

Contrairement à Jamila et Lucie, et pour son plus grand plaisir, elle n'était pas seule et jubilait de voir tous ces regards envieux se tourner vers elle, focalisés sur sa plastique à peine dissimulée par un petit short moulant en vinyle rose taille basse et un débardeur léger blanc crème à liens, ouvert sur les côtés. Cette tenue était totalement indécente. Jamais Jessica, ni aucune personne ne la connaissant un peu, aurait pu penser la voir porter cela en public un jour. En tout cas, pas il y a encore trois mois.

Ce magnifique corps désorientait Jess. Elle avait réalisé depuis peu qu'il pouvait être source d'envie, changeant par conséquent sa vision qu'elle avait sur elle-même et sur le fait de l'exhiber pour "le bien d'autrui", par "générosité", pour "donner l'exemple", pour "s'épanouir" disait son célèbre coach des stars soutenu par l'homme sa vie. Aujourd'hui, elle était vraiment heureuse, débarrassée de ses horribles complexes. Pour la première fois de sa vie elle était véritablement excitée dans un lieu public. Quel contraste il y avait avec ce qu'elle pensait d'elle même, il y a encore quelques mois.

En effet, depuis toute petite Jessica cherchait sa place. Elle voulait un peu attirer l'attention sur elle, sans jamais avoir eut le sentiment d'y parvenir. Étant la deuxième des trois filles de Jamilla, elle eut toujours du mal à se distinguer au milieu de ses sublimes soeurs. De son point de vue, Lucie était la plus belle, la plus intelligente, la plus jeune et possédait le corps le plus désirable des trois. On pouvait la confondre avec la toute jeune mannequin, demi-soeur de la people Kim Kardashian, Kendall Jenner, en légèrement plus grande et avec plus de poitrine. Pourtant, Jessica était reconnaissante à Lucie de ne pas en jouer.

Elle adorait sa fabuleuse petite soeur. Lucie rayonne et me fait profiter de sa lumière, alors que Jena ne m'apporte que de l'ombre. En effet, Jena, quant à elle, n'avait pas son pareil pour attirer tous les regards sur elle et pour manipuler son monde. C'était une séductrice née avec son petit corps fin d'adolescente mais avec des formes exactement là où il le fallait pour exciter les mecs, des atouts qu'elles mettaient incroyablement bien en valeur grâce à ses vêtements le plus souvent moulants, à des décolletés soigneusement portés, à ses gestes sensuelles, à sa démarche aussi féline et ondulée que ses cheveux colorés en blond à la Shakira. Tout chez elle faisait penser à la féline chanteuse colombienne, avec quinze ans de moins. Elle obtenait des hommes tout ce qu'elle voulait grâce à son corps désirable et à son petit sourire avenant, sans rien donner en échange évidemment. Un beau jour, à force de jouer les garces, les hommes se rendront compte qu'en fait elle les déteste et qu'elle les considère comme indigne de la fille aînée de George! Un jour, ça se retournera contre elle, s'était déjà dit Jess.

Il y a encore six mois, Jessica se sentait non seulement ridiculement idiote à côté de Lucie mais aussi complètement écrasée par la présence de Jena. Elle était pourtant très jolie aussi, beaucoup plus grande que sa maudite soeur aînée avec ses longues jambes, une poitrine plus généreuse que celle de Lucie sans être, ni exagérément grosse ni tombante, un visage agréable et un regard hypnotisant grâce à ses yeux verts. Sa silhouette à elle, celle du bas de son corps s'apparentait plus à celle d'Adrianna Karembeu à ses plus belles heures avec sa longueur de jambes époustouflantes, un visage proche de la bonne actrice méconnue Catalina Denis.

Pourtant, et malgré un physique très attrayant, elle se sentait anonyme à côté de ses soeurs. Ou plutôt se refusait de voir l'intérêt des hommes en son encontre. Car il était bien réel, évidemment, mais elle n'y croyait pas, puisque ses soeurs étaient selon elle tellement mieux. Elle pensait même qu'à la longue, l'homme avec lequel elle prendrait le risque de sortir et qu'elle aimerait, se détournerait d'elle pour une de ses soeurs. En fait, Jena a toujours pris un malin plaisir à détourner les garçons qui s'intéressaient à elle en les allumant, et une fois plus.

Elle subissait souvent de fortes montées d'angoisses en imaginant que son propre père puisse la dédaigner et s'intéresser uniquement à ses soeurs, si il avait été encore en vie. Elle en faisait d'horribles cauchemars qui détruisaient le peu d'amour propre qu'elle arrivait parfois à emmagasiner grâce à Lucie.

Elle expliquait ce désintérêt des hommes envers elle, qui était dans la réalité un dédain de cet intérêt, par un corps pas assez musclé, des formes trop généreuses mais surtout par son manque de culture, par sa crédulité risible et son manque d'assurance. Elle aurait tellement voulu être quelqu'un dont l'avis compte et surtout, surtout que son père la remarque depuis l'au-delà. Sa soeur Lucie lui assurait qu'elle était parfaite, que Papa l'aurait aimée autant que Jena et elle, parce qu'elle était bienveillante et généreuse, qu'elle ne devait pas changer et même continuer comme ça mais Jessica avait besoin de développer chez elle quelque chose de spécial. Elle ne pourrait jamais être aussi maligne que sa soeur cadette et jamais aussi séductrice que son aînée. Même si elle n'avait pas besoin de se différencier pour plaire, elle se sentait dans l'obligation de faire symboliquement quelque chose afin qu'elle se sente méritante et qu'elle accepte qu'un jour on la choisisse pour ce quelque chose qu'elle aurait en plus par rapport à ses soeurs.

C'est pourquoi, il y a six mois, elle s'inscrivit à une salle de sport. Tous les jours, elle travailla dur et son corps devint son obsession. Ce fut le début de sa métamorphose. Elle rencontra presque immédiatement un bonhomme, dans la quarantaine passée, Bruno, fréquentant aussi la salle et qui n'avait d'yeux que pour elle. Elle ne sut pas pourquoi, peut-être son âge, mais elle associa son intérêt à celui qu'aurait pu lui accorder son père.

Elle en fut extraordinairement exaltée. Jamais elle ne s'était sentie aussi importante aux yeux de quelqu'un. Deux mois après leur rencontre, elle emménagea chez lui. Elle en devint accro. Aussi bien de cet homme, que de ses mots flatteurs, aussi bien de ses connaissances éclectiques, que de son regard d'abord admiratif, souvent lubrique puis amoureux.

Elle voyait dans les yeux de Bruno, son homme, le regard de son père. Même si certain étaient pour ainsi dire incestueux, ils la mettaient dans un état de satisfaction indescriptible. Et depuis ce matin, elle voyait l'admiration, l'envie et la fierté de son père dans le regard de chaque homme présent dans le tram. Et pour couronner le tout, elle voyait les yeux de Jena dans les oeillades jalouses des autres femmes. Ce matin, elle prit conscience qu'elle aimait ses regards, qu'elle aimait se montrer. Le plaisir ressenti était addictif.

Oui, ce matin, les regards de ses gens médiocres, vivant leur vie médiocre, avec leur physique ordinaire, subissant comme elle les chaos du tram presque bondé, lui donnait un sentiment nouveau de supériorité dont elle se délectait. Elle jubilait car c'était ce qu'elle pensait d'elle-même et de sa vie il y a peu. Papa que c'est bon de ne plus être comme eux! Ces pauvres gens l'ont remarqué aussi, je le vois dans leurs yeux! Ils m'envient! C'était aussi pour susciter ces réactions admiratives qu'elle avait travaillé si dur. Ces réactions étaient la preuve de sa réussite, qu'elle allait peut-être même pouvoir réaliser son nouveau rêve de mannequinât. L'impressionnant et autoritaire Dylan, son coach privé avait tenue sa promesse.

Je lui dois tellement. Grâce à lui je suis devenue quelqu'un qu'on n'ignore plus. Bruno m'avait conseillé d'obéir, que je devais lui faire confiance et comme d'habitude il avait raison. Dylan a tenu parole. Il m'avait promit qu'en me soumettant sans broncher lors de ses séances, il ferait de mon corps une oeuvre d'art. Qu'il serait tellement parfait que tout le monde me regarderait telle une déesse grecque. Et aujourd'hui, c'est bien ce qu'il se passe. Quel pied! Regarde Papa comme ils m'envient! Regardez les gens! Regardez mon corps et prenez le comme exemple! Papa doit commencer à me remarquer et sera bientôt fier de moi.

À la base, c'était pour trouver sa place à côté de ses soeurs, rendre jalouse Jena et toutes les autres femmes, donner envie à chaque homme de les tromper avec elle et jamais plus avec sa maudite aînée, pour devenir ainsi importante et convoitée ; c'était aussi pour ne plus être comme toutes ces personnes, insignifiantes et quelconques qu'elle s'était pliée aux exigentes et exténuantes séances de son coach, du fameux coach des stars. Avec lequel elle avait travaillé en privé cinq fois par semaine dont trois séances par semaine chez lui.

Oui, chez lui, car son secret était des séances spéciales, alternant sauna, hammam, cryothérapie, relaxation, massage intégral et bien sûr exercices physiques intenses et alimentation saine.

Encore aujourd'hui, elle hallucinait de savoir qu'il avait tout ça chez lui. Il ne pouvait être que quelqu'un d'important, c'était évident. Ainsi son coaching avait suscité beaucoup d'espoir chez Jessica. Espoir au départ alimenté par son infaillible et éclairé Bruno, devenu son très récent fiancé, qui apparemment avait eut vent de l'extraordinaire réputation du coach trentenaire auprès des stars en Californie et en Floride et prédisait même à Jess une carrière de mannequin si elle suivait à la lettre, sans réfléchir et avec zèle, ses directives.

Les circonstances de leur rencontre avaient été inespérées. Mais le destin avaient amené Jessica à faire croire à M.Dylan Pierce qu'elle pratiquait le fitness depuis longtemps, qu'elle n'était pas une novice. C'était faux, elle lui avait menti, mais sans ça, sa transformation n'aurait pas pu se produire.

Au départ, lorsqu'il avait fait son apparition à la salle, il n'avait même pas posé le regard sur elle. D'ailleurs, elle ne s'était pas imaginée l'importance de cet homme même si il dégageait quelque chose intimant le respect. Elle se sentait incroyablement chanceuse qu'un tel pro puisse la prendre sous son aile, elle, une telle gourde insignifiante. Les circonstances, le destin l'avaient mis sur sa route.

Dans ce tram, cette phase d'attente la plongea dans les souvenirs de ses débuts un peu risible et honteux. Heureusement, les circonstances et le deal impossible à rompre qu'elle avait conclu au préalable l'avaient empêchée de s'enfuir et d'abandonner, l'obligeant à croire en lui, l'obligeant à lui faire croire coûte que coûte qu'elle n'était pas une novice, l'obligeant à dissiper les doutes qu'il pourrait avoir. L'obligeant à mettre sa pudeur de côté pour ne pas éveiller les soupçons.

Elle se souvint comment il avait ri d'elle lors de la première séance privée, chez lui, dans son incroyable maison et comme elle s'était sentie ridiculement ignare, comme trop souvent, quand il lui avait dit d'aller se changer et qu'elle avait débarqué pimpante avec ses vêtements de sports tout neufs.

- Ahaha, t'es sérieuse là? T'as le sens de l'humour en plus ... Ahaha putain! ... c'est super, s'était-il exclamé après avoir ri à gorge déployée en la montrant du doigt, sans qu'elle ne comprenne pourquoi! Bon, allez, assez perdu d'temps. Maintenant enlève moi ses vêtements ridicules de putains d'clowns amateurs pour qu'on commence la phase UNE, si tu veux qu'on fasse du travail de pro.

Devant la surprise de Jess, il était redevenu sérieux et lui avait demandait :

- Dis-moi cocotte, tu sais comment se passent les vrais séances de coaching professionnel? Rassure-moi, t'es pas aussi stupide? Tu sais comment ça se passent? Tu ne m'aurais pas menti en disant que tu étais déjà initiée? Avait-il dit en croisant les bras.

- Non non! avait-elle encore menti avec un grand sourire crispé en commençant à enlever son haut flashy. Je jouais la comédie!

Ça commençait mal. Évidemment, elle ignorait qu'elle devait-être la tenue adéquat pour ses séances, soit disante de pro. Peut-être en sous-vêtements, se dit-elle. Elle avait déduit petit à petit ce qu'il attendait d'elle. Jusqu'où elle devait aller en observant les réactions de son coach quand elle enleva un à un ses vêtements. Les bras de l'impressionnant Dylan étaient restés croisés après qu'elle ait d'abord ôté son top jaune fluo, révélant sa brassière noire bien remplie par un bonnet D. Alors elle continua. Elle glissa ses doigts sous l'élastique de son collant de running et le baissa en se penchant, s'exposant en petite culotte tanga. Comme les bras de l'homme en face d'elle n'avaient toujours pas changé de position, malgré qu'elle soit déjà en sous-vêtements, elle compris qu'il attendait plus, que le retrait de ses classiques vêtements de sport ne suffisait pas. Allait-elle prendre l'incroyable décision de se mettre totalement nue?

Je ... je ... je n'peux pas faire ça? Et puis même ... que dirait Bruno? Même devant lui je n'ai jamais osée me montrer complètement nue, encore moins en pleine lumière, à cause de mes horribles complexes. Bruno était-il au courant? Bon sang! Mais oui sûrement! Il est au courant de tout, il sait tout. Mais alors ... pourquoi ne m'a-t-il pas prévenue? ...

La réponse fusa.

Il ne voulait pas me faire peur, ça doit être ça. Je suis déjà tellement anxieuse et timide. Bon sang le coach me regarde!! Oh non! Il est sûrement en train de se poser des questions! Je ne dois pas le laisser douter de moi. Nous avons passé un accord, je n'peux pas reculer. C'est pour cela que Bruno m'a dit de faire tout c'qui était nécessaire sans réfléchir? Oh bon sang c'est sûrement ça ... je .... pourquoi?

Devant l'impatience de son impressionnant coach, ne voyant pas d'autres solutions, elle s'était résolue. Puisque Bruno m'a dit de tout faire. ...

Elle se fit alors violence et finit par mettre à nue sa superbe poitrine, bien ronde avec de toutes petites auréoles entourant des petits tétons appétissant. C'est seulement à ce moment que son coach montra sa satisfaction en décroisant les bras. Puis décrispa son visage lorsqu'elle descendit sa culotte et qu'il étudia sa chatte rasée, tout en faisant deux pas de côté pour ensuite admirer son cul.

Elle fut extrêmement gênée et interdite devant la situation et face aux regards insistant de Dylan Pierce sur son intimité. Est-ce vraiment normal? Oui sûrement se rassura-t-elle.

Alors, malgré sa honte et pour ne pas alimenter ses soupçons, elle n'avait émis aucune contestation en se déshabillant et en voyant M.Pierce tourner autour de sa silhouette totalement dévoilée. Sans qu'il ne cache à aucun moment sa satisfaction. Elle ne dit rien puisqu'après tout, Bruno avait aussi dit que Dylan était sollicité par les plus grandes stars américaines. Elles encensaient le "Frenchie DP", ça voulait donc dire que les stars faisaient ce qu'il demandait, et lui faisaient donc obligatoirement confiance. Elle en avait eut la preuve. Mon Bruno m'a montré le blog avec les photos avec de nombreuses stars et m'a traduit les commentaires. Son travail est irréprochable. Bon sang! J'me sens si vulnérable. ...

Une autre voix était alors apparue dans sa tête, obligée d'apparaître par cette situation difficilement gérable pour l'introvertie jeune complexée ... Ça suffit maintenant tes manières de pouffes, que dirait ton militaire de père s'il te voyait trembler de peur à cause de ta stupide pudeur, que penserait-il de toi s'il te voyait incapable d'obéir, de suivre des directives et les conseils de deux vrais Hommes que sont Dylan et Bruno. Ces Hommes qui te font l'honneur de te consacrer du temps, pour s'occuper de toi!! ... Ces idées dans sa tête finirent par la convaincre qu'elle devait non seulement en finir avec la Jess terrifiée mais qu'elle devait devenir Jess la studieuse, Jess l'appliquée, Jess la passionnée, Jess l'exaltée.

Ces idées, commençant à faire leur chemin, elle était alors restée également muette lorsqu'elle remarqua que les séances étaient filmées sous différents angles par deux caméras. Points de vue multipliés par un immense miroir qui prenait tout un pan de mur et un autre plus petit et sur roulettes à la dimension d'une porte. Elle s'était retenue de demander l'utilité des vidéos ne voulant pas passer, une nouvelle fois, pour une petite conne arriérée et surtout être confondue.

C'est la première séance, c'est sans doute pour voir le "avant-après" comme dans les télé-shoppings américains, avait dit la voix autoritaire. Et sûrement pour une autre raison plus intelligente que tu ignores, il ne faut pas qu'il se rende compte de ton ignorance. Il a bien dit qu'il refusait catégoriquement de perdre son temps avec de banals profanes lors de ton deal. Il pense que tu es déjà chevronnée alors que tu n'es qu'une stupide novice. Fait comme si tout ce qu'il fait est normal Jess, si tu ne veux pas qu'il te jette. Il est irréprochable, Bruno te l'a garantie. C'est le prix à payer et le jeu en vaut vraiment la chandelle vu ses résultats. C'est un vrai pro, il n'y a pas de doute, Jess. Bruno l'a dit et il a toujours raison!

Oui ... Oui c'est vrai, je ne dois pas réfléchir, je dois me soumettre et suivre ses directives comme un bon soldat. C'est le moment ou jamais de me décoincer.

Elle s'était alors détendue, s'était redressée, assumant sa nudité devant les caméras, avait mis de côté son inconfort. Elle décida à l'inverse de tout faire pour montrer son corps aux objectifs puisque à priori cela devait être légitime. Puis elle avait fait comme si c'était normal lorsqu'il s'était approché d'elle, alors qu'elle exposait ses charmes, et qu'il avait commencé à enduire soigneusement chaque parcelle de son corps d'huile de massage.

Bon sang! Mais! ... Qu'est-ce qu'il fait!

Son corps frissonna sous les doigts du coach. La chair de poules apparue sur chaque parcelle de peau. Elle en fut essoufflée.

Allez Jess! Laisse-toi faire, tu dois même faire du zèle a dit Bruno, lui imposa la voix.

La boule au ventre, ne se croyant pas capable de cela, elle avait alors levé les bras pour les mettre derrière la tête, avait même écarté légèrement les jambes pour faciliter la tâche de son coach. Se laissant guider par la voix.

Ce qu'il fait est normal Jess, essaya-t-elle de se convaincre. Souviens toi, c'est les pro du body-building qui font ça. C'est comme dans l'émission que Bruno t'a montrée. On les badigeonne d'huile pour faire ressortir la forme des muscles lors des concours. Mais c'est sans doute aussi pour la caméra.

Cependant, elle recommença à se sentir mal à l'aise.

C'est quand même bizarre qu'il insiste autant sur ma chatte, mes seins et mes fesses. Oh oui bon sang, il insiste vraiment sur mes fesses. Il ... il est accroupie derrière moi. Il palpe, malaxe mes fesses, oh mon Bruno, pardon, dois-je le laisser faire?