Sandra, Esclave De Son Patron - 02

Informations sur Récit
Suite de la descente aux enfers.
3k mots
4.33
21.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/26/2021
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Chapitre 5 -- Suite de la formation de salope

Le mardi suivant, Sandra se retrouve à nouveau dans la chambre de l'hôtel, face à la caméra. Comme cela commence à devenir une habitude, elle récite le texte que lui a fait apprendre par cœur son patron.

Cette fois, il l'a obligée, alors qu'elle distribuait les chèques-repas à l'ensemble des ouvriers employés par la société, à glisser son numéro de téléphone à deux d'entre eux en les invitant à prendre « un peu de bon temps ». Malgré la profonde honte ressentie, elle a évidemment été contrainte de le faire.

Son choix devait absolument se porter sur deux hommes d'origine magrébine. Son chef l'avait en effet informée de sa volonté de lui « faire découvrir des bites du monde entier ». Et là, devant le caméscope, vêtue de bas-nylon, d'un string, d'un porte - jarretelles et un soutien-gorge transparent, tous de couleur noire, elle prononce les mots escomptés :

- Bonjour! Me revoilà! C'est à nouveau Sandra. Il est important de diversifier les plaisirs sexuels dans la vie. Après un Black, il est temps pour moi d'explorer le Maghreb. Je me suis levée deux Arabes. L'occasion de faire un trio. D'autant que je meurs de faim! J'avais envie de queues, vous n'imaginez pas à quel point! J'ai entendu frapper à la porte : il est visiblement temps de passer aux exercices pratiques! Bon spectacle!

Ce faisant, elle invite les deux hommes, qui ont pris soin de porter un loup, à pénétrer dans la chambre. Elle les invite à se déshabiller puis, une fois ceux-ci dans le plus simple appareil, dégrafe son soutien-gorge, s'allonge sur le lit et les invite à s'occuper chacun de l'un de ses seins.

Elle reprend son monologue, se souvenant des phrases qu'elle doit prononcer : - J'espère que vous aimez ce que vous voyez et que vous êtes en forme, car là, je suis chaude comme jamais! Elle doit aussi les laisser se vider dans ses trois trous et toujours avoir, comme lui a demandé Roger, « deux trous occupés en même temps ». Lorsqu'elle les suce, elle doit faire énormément de bruit. En outre, la séance de baise doit être parsemée d'un langage vulgaire et d'encouragements salaces.

Pendant deux heures, elle est le jouet de leurs débordements bandulatoires : tantôt elle les branle et les suce en même temps, ou bien elle en suce un tout en baisant l'autre. Mais le pire reste à venir : se retournant une dernière fois face à la caméra, elle sait que le moment qui la terrifie va se produire dans quelques instants : - Pour être une bonne salope, il faut savoir tout faire et tout aimer. Il est temps de vous faire découvrir ce qu'est une double pénétration, à savoir avoir, en même temps, une bite dans la chatte et une bite dans le cul!

Elle tente, tant bien que mal, de garder le contrôle de ses nefs, tandis que ses amants se positionnent : elle chevauche le mieux monté des deux tandis que l'autre, avec l'aide massive de vaseline, s'active à la pénétrer analement. Elle croit défaillir. Après quelques minutes d'efforts, celui-ci arrive à ses fins. Sandra est remplie comme jamais, atteignant rapidement le seuil de la douleur. Elle poursuit tant bien que mal ses invitations devant la caméra : - C'est booooon! Oh que c'est bon! Allez-y baisez-moi! Plus fort! Je veux sentir vos queues bien dures!

Grimaçante de douleur, elle se sent enfin soulagée lorsque les deux Arabes, qui se sont désormais coordonner au niveau des mouvements, crachent en même leur semence dans ses entrailles. Inerte, elle reste de longs moments sans bouger ni mot dire, tandis que les hommes, se rhabillant, la félicite pour sa performance : - T'es une vraie chienne! Jamais, quand on te voit à l'usine, on n'aurait pu imaginer que t'étais la dernière des salopes! Putain, t'es vachement bonne!

Après plusieurs minutes, elle se relève, glisse ses sous-vêtements dans son sac, change de tenue (mini-jupe obligatoire) et retourne sur son lieu de travail, remet la caméra à son patron qui, après avoir visionné le film avec un sourire narquois, lui donne ses nouvelles instructions : - Et bien, tu dois être épuisée! Prends congé le reste de la semaine! On dira que tu es en « récupération »! Et préviens ta famille que tu seras absente pendant une semaine, du dimanche au dimanche.

- Nous allons en Italie.

- Pour ta valise, prends uniquement les vêtements que nous avons achetés au Centre commercial, y compris les chaussures. Comme je connais désormais tes mensurations, je m'occupe du reste de tes tenues. Tu verras, tu vas adorer ce séjour... Dernière question : as-tu un passeport?

- Euh... oui Monsieur, j'ai un passeport! Mais je ne comprends : il ne faut pas un passeport pour l'Italie...

- Tu es blonde, donc ne pose pas de question!

- Rendez-vous dimanche, à 9h du matin, à l'aéroport Charles de Gaule... Ne sois pas en retard!

La proposition de son chef ne manque pas d'inquiéter Sandra, d'autant que d'après sur internet, il apparaît qu'aucun vol n'est prévu pour l'Italie à cette heure-là.

Le dimanche, tel que convenu, l'intéressée se retrouve dans le hall d'entrée dudit aéroport.

Roger l'accueille immédiatement.

- On y va?

- Mais... Monsieur... il n'y aucun vol de prévu pour l'Italie...

- J'ai changé d'avis : on va finalement en Jamaïque. Tu y es opposée?

- Non... Monsieur! répond, désarçonnée la secrétaire.

- Parfait! Dans la vie, il faut des surprises, non?

- Oui... Monsieur...

- Tu parles anglais?

- Oui... Monsieur...

- Parfait!

Chapitre 6 - Suite des voyages

Et pendant huit heures, soit la durée du trajet, Sandra se demande ce qui l'attend. Le vol en question est à destination de Négril, une ville de cet Etat. Son boss ne lui adresse quasi pas la parole, ne faisant que renforcer son angoisse.

Arrivés à Négril, les deux intéressés prennent ensuite un taxi pendant plus d'une heure. La voiture se gare finalement devant un hôtel prénommé « L'Hédoniste ».

Pénétrant dans le hall de l'établissement en question, Sandra est alors informée par Roger de l'affectation de celui-ci : - Il s'agit d'un club libertin où tout est permis! Une fois les traditionnelles formalités remplies, les deux touristes se rendent dans la chambre réservée par le patron.

- J'ai pris une chambre avec des miroirs sur les murs et le plafond! Tu verras mieux ainsi comment tu es baisée. Heureuse?

- Oui, Monsieur, je suis très heureuse.

La fin de journée se passe sans encombre et vers vingt heures, il l'invite à se rendre au restaurant. Vêtue uniquement de sous-vêtements, elle doit se rendre dans la salle à manger. Portant un simple string --donné par son boss- et un soutien-gorge, elle est très gênée de se rendre à cet endroit dans une telle tenue. Elle s'exécute néanmoins. Hormis cet accoutrement indécent, où tout le monde peut voir ses fesses --et fort heureusement elle n'est pas la seule-, rien ne se passe, hormis que Roger, de retour à l'hôtel, ne manque pas de la baiser assez brutalement, tandis qu'elle a les yeux, vides, fixés sur le plafond de la salle, où les miroirs ne manquent pas de ne lui faire perdre aucun détail de sa saillie.

Le lendemain matin, avant de se rendre au petit déjeuner, il l'oblige à le sucer sur la terrasse du balcon. Tandis que des occupants passent devant celle-ci, sur la plage située en-dessous, Sandra, en pleine action, aimerait rentrer sous terre : c'est la première fois qu'elle fait une pipe « en public ».

Son chef n'a pas manqué de l'informer de la suite des événements : - La chambre que j'ai réservée est située dans la partie naturiste, près de la piscine où il y a régulièrement des soirées coquines. Celles-ci sont thématiques. Ce soir, c'est « soirée soleil ». Il lui tend alors un micro-bikini acheté par ses soins et qu'elle durant tout le dîner. Après ce moment de divertissement, la fin du spectacle suivant le repas étant terminée, ils se rendent, après être retournés à la chambre. Il l'oblige à changer de vêtements --elle porte juste une mini-jupe et un chemisier sans soutien-gorge, à la soirée lui succédant en extérieur, près de la disco.

La « piste de dance » est située à l'extérieur des chambres, dans une cour intérieure.

Une musique des années 80 s'égrène.

Roger lui donne de nouvelles instructions : - Vas sur la « piste », à trois mètres de moi, histoire que je ne manque rien du spectacle. Danse en ondulant bien du bassin.

Elle s'exécute. Elle n'a pas remarqué que deux Pakistanais ne manquent pas une miette du spectacle qu'elle offre ainsi. Après dix minutes de déhanchement à la limite de l'obscénité, son patron lui donne une injonction :

- Tu vois, derrière toi, il y a deux hommes qui apprécient ta performance. Tu vas aller t'asseoir sur la cuisse de celui qui est le plus proche de toi et tu te frotteras. Comme tu n'as pas de culotte, je suis sûr que cela va t'exciter rapidement. Tu lui masseras la braguette, en lui disant que tu aimes faire durcir les mecs et que tu as envie de baiser.

Le résultat est instantané. Le Paki bande comme un âne. Le boss invite dès lors Sandra à demander à celui-ci et à son ami d'aller à la discothèque du club.

Elle devra les embrasser amoureusement et langoureusement. Il lui est ensuite demandé de leur suggérer de faire un plongeon dans la petite piscine (trois mètres sur trois, et d'une hauteur d'un mètre cinquante) située à côté de la boîte de nuit. Elle s'exécute et tous les trois se retrouvent bientôt, dans le plus simple appareil, à barboter dans le plan d'eau.

Là encore, elle doit les faire bander en les branlant sous l'eau, puis en les suçant sur le rebord de la piscine sans les faire éjaculer, avant de les conduire, nue, vers la chambre. Roger les accompagne. Durant près de trois heures, elle est l'objet de toutes les dégradations, la nuit se terminant par une triple pénétration, son boss se contentant d'une fellation tandis que les deux étrangers la pénètrent vaginalement et analement.

Jamais elle n'a été aussi souillée.

Avant que les deux Pakistanais ne quittent la chambre, le patron leur signalent qu'ils ne doivent pas se gêner pour satisfaire leurs besoins sexuels. Il leur suffira de faire un signe et Sandra s'exécutera. La journée, après la traditionnelle pipe en public sur le balcon, s'égrène donc, entrecoupée de bronzage sur la plage, la lecture de magazines « people » que Roger lui oblige à lire en tant que « conne de blonde » et de scènes de sexe, dont la plus humiliante est celle où elle est contrainte de s'activer sur les deux hommes dans la grande piscine, où elle finit par, ayant baisé l'un tout en suçant l'autre, subir une double pénétration.

Le jour suivant, peu avant midi, allongée à côté de son patron, sur un transat, elle reçoit de nouvelles instructions : - Tu aimes les Amerloques?

- Oui... Monsieur... j'aime les Américains...

- Tant mieux! Regarde au bar! Il y a un Amerloque roux, visiblement célibataire. Rends-toi près de lui et commence une conversation --même si c'est difficile pour toi- tout en lui touchant les couilles. Fais -- le bander en lui disant que tu as envie de mieux le connaître. Sans tarder...

- Tu lui proposeras ensuite d'aller dans la chambre. Comme pour les autres, tu l'inviteras à te suivre et à te niquer dans tes trois trous. Ensuite, tu le ramèneras près de moi...

Aussitôt exigé, aussitôt fait : environ une heure plus tard, elle revient avec le rouquin, un type dans la trentaine. Là encore, Roger invite celui-ci à utiliser Sandra dès qu'il en aura besoin. Dès le lendemain, entre deux séances de bronzage, elle est contrainte de satisfaire --en plus de son boss- les envies de trois autres hommes. - Me voilà contrainte de coucher avec quatre mecs par jour! pense-t-elle en son for intérieur.

C'est horrible pour elle.

Le matin suivant, après avoir effectué une nouvelle pipe en public et, dans la foulée, été longuement et sauvagement baisée par son boss, la secrétaire remarque une conversation animée sur la plage entre celui-ci et un homme bedonnant, tatoué sur la moitié du corps, âgé d'une bonne soixantaine d'années. A la fin de la discussion et le sexagénaire parti, Roger, d'un geste de la main, l'invite à le rejoindre : - Je viens de parler avec Gerhard, un Allemand particulièrement sympathique et célibataire. Je lui ai promis une jolie surprise pour ce soir. Il viendra vers dix-neuf heures, au moment du dîner et juste avant le spectacle.

- Tu es heureuse?

- Oui... Monsieur... je suis heureuse!

- Parfait!

Après avoir passé son temps à soulager le reste de la journée les deux Pakistanais et l'Américain, Sandra se retrouve avec son chef dans la chambre de l'hôtel.

Celui-ci, guilleret, lui annonce le programme de la soirée : - Aujourd'hui, c'est soirée SM! Avant de lui tendre une tenue sortie de sa valise. Celle-ci s'avère des plus étranges et malsaines : elle consiste en une série de bandes noires horizontales laissant deviner amplement son corps, d'autant que l'assistante est sans sous-vêtement.

On devine largement ses seins et ses fesses. Pour parfaire son « accoutrement », Roger lui passe au tour du cou un collier noir, dont une boucle dorée permet de prolonger celui-ci par une laisse de chien. La secrétaire croit mourir. A dix-neuf heures précises, des coups retentissent sur la porte et, sans dire un mot, son chef tend la laisse au Germanique.

Durant plus d'une heure, la fille est ainsi baladée devant les quatre cents convives qui occupent la salle à manger. Les larmes aux yeux, sous le regard de son chef, elle est ainsi exposée et exhibée par l'Allemand, qui ne boude pas son plaisir. De retour à la chambre, en passant par la discothèque, elle est évidemment contrainte d'assumer son statut de « super-salope », comme lui a indiqué son patron, avant de baiser avec son « maître » d'un soir. Là encore, elle est contrainte de le satisfaire pleinement, celui-ci ne manquant de remplir et d'inonder la malheureuse dans ses trois orifices « désormais publics ».

Je couche avec un vieux, se dit-elle, anéantie.

Les jours suivants, elle passe son temps à « câliner » cinq hommes à chaque moment de la journée.

Elle se sent toutefois soulagée : il ne reste que deux journées avant la fin du séjour et le retour, en soirée, vers l'aéroport Charles de Gaulle. L'avant-dernier jour réserve à Sandra une nouvelle surprise : le matin même, son patron l'informe qu'il a réservé une excursion pour remonter à pied la plus belle rivière de Jamaïque. Le rendez-vous est fixé à onze heures, un bus emmenant les inscrits de plusieurs hôtels. Ce disant, il tend un micro-bikini à l'intéressée. Celui-ci, composé d'un string, dévoile totalement les fesses de la secrétaire, et d'un soutien-gorge minimaliste, dévoilant largement une grande partie de ses seins.

Une fois arrivée, comme tous les autres participants, Sandra est invitée à enfiler son « costume ». Elle est gênée comme jamais elle ne l'a été. La remontée, sous l'encadrement de deux Blacks jamaïcains, se déroule sans problème, même si les regards se portent immanquablement sur son cul. Fort heureusement pense-t-elle, le groupe de trente personnes ne compte aucun enfant et seuls y participent plusieurs adolescents de plus de seize ans. A chaque difficulté, notamment un passage sur des pierres, ses fesses et ses seins ondulent, dévoilant une grande partie de ses charmes. Les jeunes et les deux guides s'en régalent, ces derniers ne manquant de toucher longuement son fessier pour l'aider à franchir les obstacles naturels.

Au terme d'une activité de près de deux heures, Sandra arrive enfin au terme de cette exploration. Elle est invitée par Roger, tandis que les autres se rhabillent, à draguer les deux guides et à s'éloigner quelque peu des « huttes » qui accueillent, en fin de parcours, les participants.

Elle a vingt minutes pour les satisfaire. Ce qu'elle fait, les consignes lui interdisant d'utiliser son vagin. Elle s'exécute, prodiguant une fellation démentielle au premier avant de se faire enculer par le second. Comme si de rien n'était, elle revient rejoindre le groupe. Même si elle tente d'afficher un sourire de façade, elle sait qu'aucun des touristes n'est dupe de ce qu'elle vient de faire pendant son absence forcée.

Le dernier jour du séjour en Jamaïque se termine par une ultime surprise. Dès le matin, après la traditionnelle fellation sur le balcon, Roger informe sa subalterne qu'il a pris contact avec le photographe indépendant travaillant pour l'hôtel : - Je t'ai réservé une séance photo ce midi. Elle comportera deux volets : l'un érotique et l'autre pornographique.

Ce faisant, il lui tend une petite valisette concernant un gode, un plug anal, des boules de geisha et des chapelets anaux. La première partie se fera avec le micro-bikini --même si elle terminera évidemment nue- et la seconde sans aucun sous-vêtement. Elle devra en outre « remercier » le photographe, l'invitant à prendre ses trois orifices, le tout sur la plage. Et pendant deux heures, Sandra se plie aux exigences du professionnel avant de lui faire part de sa grande « satisfaction ».

De retour cette fois à la réception, sur la table d'un petit salon discret, son patron sélectionne une cinquantaine de photos payantes : - Avec les vidéos et les photographies, tu ne manqueras pas, si je le fais, de devenir la star des sites pornos... Sois donc obéissante... Cela te plaît?

- Oui... Monsieur... cela me plaît...

Le retour sur Paris se passe sans encombre. Durant tout le temps du trajet, la secrétaire réfléchit à l'excuse qu'elle pourra donner à son mari pour justifier son bronzage intégral. Elle opte pour un séjour inutile en Sicile, sans quasi jamais avoir vu son boss. Elle en a donc profité pour se faire dorer au soleil dans la partie naturiste de l'hôtel, sans que personne, vu les murs protecteurs entourant la zone, ne la voit. Et ce, uniquement pour faire plaisir à son mari, qui la croit.

Le soir même, excité comme jamais, il lui fait l'amour de comme jamais. Le lundi, de retour au travail, elle prend acte des nouvelles injonctions de son chef...

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2 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 3 ans
Excitant

Le mari cocu va bientôt être mis au courant, non? Et il ne réagira pas parce que il y a eu vol. Et qui sait, Sandra va peut-être prendre du plaisir à être soumise et contrainte.

Vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

OUIIIII ! ! !

Rudy

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