Sandra, Esclave De Son Patron - 03

Informations sur Récit
Fin de la descente aux enfers.
2.7k mots
4.2
19.1k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/26/2021
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Chapitre 7 -- Baise à l'aveugle

Ce dernier ne lui donne aucun jour de congé, estimant que cette semaine a été un grand moment de détente pour elle, où elle a pu profiter de « nombreuses bites ». Le lendemain suivant, le mardi, elle se retrouve à nouveau à l'hôtel, pour une nouvelle séance de « fucking-partner », mais cette fois dans une nouvelle chambre. Elle est nue, allongée sur un lit, menottée à la tête de la paillasse. Ses jambes sont largement écartées, menottées à deux barreaux, cette fois dans le fond du palanquin. Son patron est présent, allumant lui-même la caméra.

On frappe à la porte. Il lui a indiqué ce qui l'attend : c'est la raison pour laquelle elle porte un bandeau noir sur les yeux. Roger lui rappelle ce qui va lui arriver : - Ah! Voilà tes deux collègues qui viennent te baiser. Tu les connais bien. N'oublie de bien respecter mes consignes, notamment au niveau des propos que tu devras tenir. Bien que ne pouvant les voir, elle les entend se déshabiller, et commence à réciter son texte :

- Bonjour, Messieurs! Je ne sais pas qui vous êtes et c'est cela qui m'excite! Ma bouche est à votre disposition...

Et déjà deux queues s'approchent de celle-ci. Comme elle en a reçu l'injonction, la secrétaire les accueille, les titille et les suce avec application, en faisant, comme cela lui a été ordonné, énormément de bruit.

Après quelques minutes, sentant les deux membres bien tendus, elle les invite vulgairement : - Messieurs, il est temps de me baiser à tour de rôle! Et n'oubliez pas de vous soulager dans mon cul! J'adore! Les inconnus ne manquent pas, l'un après l'autre, encouragés par les gémissements feints de la jolie blonde, de se vider, sans mot dire, dans son fondement.

Toujours silencieux, ils se rhabillent et quittent, après moins d'une heure, la chambre. Libérée par Roger, Sandra ne manque pas d'être félicitée par celui-ci :

- Bravo, petite chienne! Tu as bien joué ton rôle! Demain, il n'y aura pas de séance entre nous deux. Je dois m'absenter jusqu'à mercredi prochain pour des raisons familiales. Mais comme je sais que tu as besoin chaque jour de sexe, voici ce qui tu devras faire jusqu'à mon retour...

Avant de partir, il lui laisse donc une note dactylographiée...

Chapitre 8 -- Ration de protéines et relations de bon voisinage

Sandra, voici pendant ma semaine d'absence, la nouvelle règle à laquelle tu devras te soumettre. C'est celle que l'on va appeler la "règle des protéines".

Tu dois donner deux pipes par jour, à chaque fois avec un homme différent. Je me moque de savoir à qui, tant que c'est quelqu'un qui travaille dans la société.

Tu les dragueras vulgairement et les inviteras aux toilettes où tu les suceras dans les WC hommes. N'oublie de prendre la caméra et de te filmer en pleine action, afin que je puisse vérifier que tu respectes mes ordres.

Par ailleurs, durant cette même semaine, tu te rendras chaque jour, après avoir quitté le travail une heure plus tôt chez l'un de tes voisins, Luc Bayot, qui habite dans la même rue que toi, à environ quatre cent mètres.

Tu iras chez lui vêtue d'un long manteau, sous lequel tu porteras uniquement un soutien-gorge noir transparent, un string et des bas-nylon de même couleur. Il est au courant : c'est un ami. Tu obéiras à tous ses ordres et tu lui offriras gentiment et gaiement tes trois trous.

Et pendant ces jours d'enfer, la pauvre secrétaire ne manque pas de s'exécuter servilement. Elle se sent comme la dernière des putains et des salopes.

Chapitre 9 -- Début des amours canins

Un nouveau voyage est programmé dans la quinzaine qui s'en suit. Le séjour de trois jours et deux nuits à Budapest (Hongrie) s'est, au début, déroulé normalement : entre exhibitions, séances de baise sauvage avec son patron, le quotidien de la secrétaire ne s'en trouve guère modifié.

Le deuxième et dernier soir, après avoir dîné à l'hôtel, Roger l'a emmenée dans un club. Ils ont été immédiatement escortés par le réceptionniste jusqu'à une table. L'endroit est particulier : toutes les femmes sont nues et les hommes en costume. Son patron lui a d'ailleurs ordonné de se déshabiller, avant de lui passer un collier de chien autour du cou, muni d'une laisse, et de lui enfoncer un gag dans la bouche, qu'il a fermé à l'arrière de sa nuque. Sur un signe de son chef, elle est ensuite conduite par un serveur sur la scène qui trône au milieu de la salle.

Une fois arrivée sur celle-ci, elle est attachée à un cadre en bois, ou plutôt un pilori moyenâgeux horizontal troués à trois endroits et permettant de lui bloquer la tête et les deux mains. Elle ne peut donc pas voir ce qui passe derrière elle tout en étant parfaitement immobilisée.

Quelqu'un dépose alors un large essuie de bain sur son dos et le dessus de ses fesses. Elle suppose alors qu'elle va être prise en levrette pour le divertissement du public. Mais, soudain, terrorisée, elle entend une voix, celle du maître de cérémonie, annonçant au micro et en anglais le prochain événement : une nuit de la bestialité. Elle voit, terrifiée, passer devant elle un homme tenant en laisse un berger allemand.

Elle panique et essaie désespérément de crier, mais le bâillon empêche tout gémissement. Le speaker poursuit ses commentaires : - Vous allez voir à quel point cette femme va adorer se faire baiser par un chien...

La pauvre assistante fait de son mieux pour bouger, mais elle est par trop maintenue. Elle sent le chien commencer à lui lécher la chatte avec sa langue rugueuse. Après quelques minutes, le maître-chien décide qu'elle est prête pour la saillie et aide le berger à monter sur la femme et à introduire sa queue en elle. Tandis que le canidé commence à la marteler, elle sent inexorablement la bite pousser dans son vagin. Elle est remplie comme jamais elle ne l'a été avec un humain.

Elle est pistonnée pendant ce qui lui semble être des heures. Quand il se retire finalement, le sperme du chien s'écoule du temple profané. Un bol a d'ailleurs été posé sous elle, permettant au public de voir la quantité expulsée.

Détachée, elle est ramenée, dans un état second, à la table de Roger, un serveur déposant ledit bol devant elle, lorsqu'elle s'est enfin assise.

-- Tu es heureuse? Il t'a bien baisée? l'interroge son chef.

Mécaniquement, elle répond : - Oui ... Monsieur... je suis heureuse... il m'a bien baisée...

- Bien! Maintenant, bois!

Ce disant, il lui tend la gamelle et Sandra, le regard vide, avale la semence du canidé.

Son patron l'oblige ensuite à regarder la suite du spectacle : sur la scène, une autre dame, d'une trentaine d'années, est prise par un dogue allemand. Elle dégoûtée de ce qu'elle voit, et plus encore de ce qu'elle vient de subir.

Elle se souvient de la douleur qu'elle a ressentie lorsqu'il la pénétrée. La tête lui tourne, elle pense qu'elle va s'évanouir. Jamais elle ne s'est sentie si sale et si dégradée. Mais son boss la ramène déjà à la sordide réalité :

- Tu aimerais à nouveau te faire baiser par un gros chien?

Le regard vide, elle sait qu'elle doit acquiescer : - Oui... j'aimerais à nouveau me faire baiser par un gros chien...

La regardant avec un sourire mauvais, il se contente de répliquer : - On verra ce qu'on peut faire dans un futur proche. Tu seras alors une véritable chienne...

La secrétaire, de retour à la maison, profite de la semaine de récupération que son patron lui a octroyée. Elle s'occupe des enfants, de son mari avec qui elle fait l'amour passionnément, comme pour se faire pardonner des dégradations subies, même si elle ne peut oublier l'humiliation subie : -- J'ai été saillie par un chien, ne cesse-t-elle de se murmurer.

Chaque jour, elle se blottit dans les bras de son époux, lui disant combien elle l'aime.

De retour au travail, le lundi suivant, elle doit à nouveau montrer à son boss sa chatte totalement épilée. Celui-ci, le mardi, l'oblige à passer la journée avec un gode vibreur profondément enfoncé dans son vagin. De temps à autre, il ne manque pas de déclencher celui-ci, tantôt lorsqu'elle seule avec lui dans son bureau, tantôt lors de réunion avec ses collègues.

Le mercredi matin, Roger lui a également annoncé qu'elle ne devrait aller à le rejoindre à l'hôtel le midi, mais se rendre avec lui chez un « ami ». Le trajet dure une vingtaine de minutes. Sandra, horrifiée, se rend alors compte qu'ils se sont arrêtés devant un chenil. L'invitant à descendre, son supérieur l'emmène à l'intérieur du bâtiment avant de lui présenter le propriétaire de lieux et d'engager avec ce dernier la conversation :

- Salut Didier! Voici Sandra! Comme je te l'ai dit par téléphone, ma secrétaire s'est découvert une véritable passion pour les chiens. Je sais que tu dresses tes « pensionnaires » avec sérieux, y compris pour les besoins les plus étranges. J'ai décidé de faire surveiller mon usine par un labrador noir. C'est mon assistante qui s'en occupera avec amour... Tu as ce qu'il nous faut?

- Bien sûr, Roger! J'ai un chien qui s'appelle Rex. Il obéit parfaitement à des ordres simples. Celui qu'il préfère est « Rex, baise-moi ». Cela conviendrait-il à Madame?

La fille est anéantie. Elle vient de comprendre ce qui l'attendait.

Le maître-chien poursuit : - Pour que cet ordre soit bien enregistré par Rex, il convient de le prononcer chaque jour. Évidemment, vu cette « spécificité », le prix d'achat est un peu plus cher.

Et Roger de répondre : - Aucun souci! Le plaisir de Sandra compte plus que tout. Cela permettra, à n'en pas douter, d'augmenter sa conscience professionnelle et sa rentabilité au travail. Le prix n'a pas d'importance...

Retournant avec le labrador à l'usine, le boss explique à sa secrétaire qu'il a fait aménager un endroit dans un hangar isolé, qui peut être fermé de l'intérieur.

- Ta récente promotion fait que tu auras des tâches supplémentaires à exercer. Chaque matin et chaque soir, tu promèneras Rex dans l'enceinte de l'usine. Il te suffira de dire que ton mari que c'est le seul endroit où tu peux accueillir ce clébard, grâce à la bienveillance de ton boss. Et chaque midi, pendant la pause, tu iras le rejoindre, après avoir soigneusement fermé la porte du hall, pour ta saillie journalière.

- Avant ta copulation, tu ne manqueras pas de brancher la caméra, afin que je vérifie bien si tu respectes mes consignes. Rex sera un peu ton « mari ».

Durant tout le reste du voyage, Sandra est en pleurs, au bord de la crise de nerfs.

Son chef poursuit : - Avant chaque baise, pour bien l'exciter, tu le suceras comme une bonne épouse puis tu te mettras à quatre pattes pour le satisfaire.

- C'est bien compris?

- Oui... Monsieur...

- Tu récolteras systématiquement son sperme s'écoulant de ta chatte dans une gamelle et tu le boiras. J'espère que tu es heureuse et excitée?

- Oui, Monsieur... je suis heureuse et excitée...

- Bien!

Durant tout le mois suivant, Sandra est dispensée de retrouver son chef à l'hôtel ni de coucher avec le moindre collègue. Elle doit « être dévouée corps et âme à Rex, son nouvel étalon ». Et chaque jour, durant le temps de midi, elle retrouve son amant canin. Après l'avoir sucé, elle se met à quatre pattes et lui donne l'ordre convenu : « Rex, baise-moi ».

Systématiquement, le chien se jette immédiatement sur elle, la renifle avant de lui lécher le vagin. Puis, il la monte et la baise durement. A chaque fois, elle est remplie. Elle sent son éjaculation avant qu'il ne reste longuement collé à elle. Puis le même rituel se produit : elle récolte le sperme ayant envahi son vagin dans un bol avant de boire celui-ci face caméra, faisant semblant de se délecter de celui-ci.

Après chaque séance avec Rex, elle est contrainte de se rendre dans le bureau de Roger, de lui expliquer en détails ce qu'elle vient de faire avec Rex puis de lui remettre le film du jour qui a été tourné afin de prouver ses dires.

Son quotidien est devenu des plus sordides.

Chapitre 10 -- Carnet de baise

Au terme du mois qui vient de s'écouler, Roger la convoque, un vendredi soir, dans son bureau : - Je sais, salope, que tu n'aimes plus que baiser avec ton chien. Mais il est temps de retrouver une sexualité avec des êtres humains. Lui tendant une feuille A4 dactylographiée, il commente celle-ci de manière graveleuse : - Voici désormais ton carnet de baise. Tu es tenue d'avoir désormais trois rapports par jour avec des partenaires différents, afin de satisfaire ta sexualité débridée.

Le programme déterminé par son boss est le suivant :

- le lundi matin, avant de partir au travail, avec son mari ; à midi : avec Rex ; le soir, avant de retourner à la maison : dans les toilettes, avec Driss, le Black ouvrier de production avec qui elle a couché il y a quelques semaines dans la chambre d'hôtel. Avec ce dernier, elle doit faire longuement durcir son membre avec sa langue et sa bouche avant de lui offrir son cul. Aucun rapport vaginal n'est d'ailleurs permis avec lui ;

- le mardi matin : dès l'arrivée au travail : Rex ; à midi : ration de protéines avec un ouvrier de production (à chaque fois, cela doit être une personne différente) ; le soir : nouvelle ration de protéines avec un autre ouvrier de production. Seuls des rapports anaux --y compris avec Rex- sont autorisés ce jour-là ;

- le mercredi matin, avant de partir au travail, avec son mari ; à midi : Roger ; le soir, avant de retourner à la maison : Rex ;

- le jeudi matin, dès l'arrivée à l'usine : ration de protéines avec un ouvrier de production ; à midi : Rex ; le soir, avant de repartir : Roger. Seuls des rapports buccaux (y compris avec le chien) sont autorisés ; - le vendredi matin : Rex ; à midi : ration de protéines (avec un 4ème ouvrier différent) ; le soir : avec son mari. Seuls des rapports vaginaux sont cette fois autorisés ;

- le samedi matin : Rex ; midi : le midi (en prétextant des courses) : avec son voisin ; le soir : avec son mari. Uniquement des rapports anaux sont permis ;

- le dimanche matin : avec son mari ; à midi : avec le voisin (uniquement des rapport buccaux et vaginaux avec ce dernier) ; le soir : avec Rex.

Chapitre 11 - Épilogue

Et pendant plusieurs mois, Sandra est contrainte de respecter scrupuleusement le planning établi. Un jour, son boss la convoque dans son bureau, peu avant midi : - Ton contrat de services rendus ne touche pas encore à sa fin, mais il est temps de te libérer, d'autant plus que je me suis lassé de toi. Il me revient également que ton mari retravaille depuis un certain temps. Tu pourras désormais reprendre une activité normale comme secrétaire. Il te restera toutefois une obligation à accomplir à au moins trois fois par semaine : te faire baiser par Rex. Cela ne devrait pas te poser problème, lorsque ton mari est au travail et tes enfants à l'école. Pour te faciliter la tâche, le chien habitera désormais chez toi. Il te suffit de convaincre ta famille de l'adopter, en argumentant que l'usine veut s'en séparer et le placer dans un chenil. J'espère que tu es heureuse de garder l'un de tes nombreux amants?

- Oui... Monsieur... je suis heureuse de votre décision et vous en remercie.

- Bien évidemment, tu m'apporteras à chaque fois le film de tes ébats afin que je vérifie si tu respectes mes consignes.

- Oui... Monsieur...

Bien que ne montrant extérieurement aucun signe de satisfaction, Sandra ne peut, en son for intérieur, éprouver une certaine joie : elle n'a jamais osé se l'avouer, mais son amant canin l'amène plus que de raison à la plénitude sexuelle, chaque saillie lui procurant entre deux ou trois orgasmes : -- Me voilà sa chienne pour de longues années encore...

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4 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a environ 1 an

j'ai beaucoup aimé la parti zoo mais je trouve que tout va trop vite

CyrfranCyrfranil y a environ 1 an

Très bonne fin, la feuille de route est une excellente diée.

Darkangel73Darkangel73il y a plus d’un an

Très excitant, très bonne idée le carnet de baise!

CocuforeverCocuforeveril y a environ 3 ans
Happy end

J'aime l'épilogue où finalement Sandra a finalement son content de plaisir.

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