Réveil préhistorique

BÊTA PUBLIQUE

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D'un coup, alors qu'elle tourne le dos à Boogy, il l'attrape par les cheveux et l'attire sur le sol, tapant son dos. Il se met au-dessus d'elle, lui ouvre facilement les jambes malgré sa résistance. Monica le voit plonger sur elle, l'embrocher en poussant un cri. Auquel le hurlement de Monica répond. Il pénètre facilement son vagin grand ouvert par le viol qu'elle a subi.

Monica voit l'animal, car c'est bien ça, en fin de compte, la violer avec beaucoup d'avidité. Les larmes n'y changeant rien. Au contraire, cela semble encore plus l'exciter, le rendre encore plus méchant, violent. Plus ma jeune femme pleure et hurle, plus il la massacre de sa queue.

Puis, elle sent son corps se remplir. Une quantité incroyable de sperme se déverse en elle, ça déborde, ça coule sur ses cuisses. Il se vide pendant près d'une minute, si ce n'est pas plus.

Après ça, il part en courant, et laisse Monica seule. Se réfugiant dans un coin de la pièce, mais ne quittant pas sa victime du regard. Monica, le vagin en feu, le sperme et le sang coulant sans fin d'elle, reste sur le sol, les jambes écartées.

La jeune fille, après avoir repris ses esprits, court vers la sortie, en ayant ramassé ses vêtements. Elle rattache péniblement sa culotte comme elle peut, remet son t-shirt... Son pantalon est trop déchiré pour qu'elle en fasse quoi que ce soit. La jeune majeure veut sortir de cet endroit, elle avance difficilement vers la porte, en boitant, où elle appuie sur le bouton de sécurité. Mais rien ne se passe. Cela lui revient, son père le lui a dit, Boogy est intelligent, ils l'ont coupé pour ne pas qu'il s'en serve pour s'échapper. Monica panique, voit la carte de sécurité sur le sol.

Son sexe lui fait tellement mal, qu'elle tombe à quatre pattes sur le sol, s'avance vers la carte, sésame pour la fin de son enfer. Elle jette de nombreux coups d'œil à Boogy, mais il ne bouge pas, ne la regardant même pas. Monica est certaine, qu'enfin soulagé, vidé, il n'a plus envie d'elle pour l'instant. Mais cela peut changer si elle ne se dépêche pas de s'échapper.

En grognant, elle s'approche de la carte d'accès. Elle a mal, elle pleure sans s'arrêter, elle sent le sperme et le sang tremper sa culotte. Au milieu de ses grognements de douleur, elle en pousse un de victoire quand sa main se pose sur la carte, sésame de sa liberté.

D'un saut, Boogy bondit sur le dos de Monica, lui coupant le souffle, la faisant presque s'écrouler au sol quand il la percute. Il faut toute le force de la jeune femme pour rester à quatre pattes. Il lui arrache de nouveau son tee-shirt et sa culotte. Sa femelle ne peut pas rester trop longtemps loin de lui. Il a trop de temps à rattraper, trop de sperme à vidanger.

Monica hurle, se débat, mais il s'en moque. Quand elle est toute nue, Boogy la frappe dans le dos, plusieurs fois, la faisant s'écrouler à plat ventre. De nouveau, elle sent son corps sur elle, son pieu énorme et dur heurter ses fesses. Le membre s'insinue entre ses fesses, appuie sur son petit trou. Mais Monica est persuadée qu'il va de nouveau prendre son sexe. Quand son anus commence à s'évaser, elle comprend qu'il va la sodomiser, l'enculer. Alors elle hurle, hurlement qui décuple, quand il fissure et détruit tout sur son passage en entrant dans son corps, par l'orifice le plus petit. Enfin qui était le plus petit...

Pendant trois jours et quatre nuits, Monica n'est plus que le jouet sexuel d'un Boogy fou de stupre et de fornication. Il lui défonce la chatte, lui massacre l'anus, lui détruit la bouche à longueur de temps. Monica n'est plus qu'un jouet, son jouet...

Quand le premier scientifique arrive, il est horrifié en découvrant une Monica méconnaissable, à plat ventre, se faire enculer par un Boogy qui beugle de satisfaction. En voyant l'humain, il tire les cheveux de sa victime. La faisant regarder le scientifique. Pire que le viol que la jeune femme subit, c'est toute l'horreur qu'il lit dans son regard qui choque l'homme.

Il lance une alerte sur mon portable, sur celui du directeur. On arrive en même temps au laboratoire. Ce que je découvre m'horrifie. Voir ce monstre couché sur le corps de ma petite fille. Beaucoup trop jeune, à dix-huit ans pour subir cela. Il est couché sur elle, son sexe couvert de sang plongé dans le rectum de ma fille.

Le directeur et le scientifique veulent intervenir de suite. Je les retiens, ce serait trop dangereux pour Monica. Il peut lui briser la nuque d'une pichenette. Il faut le laisser finir, le laisser s'éloigner de ma fille pour intervenir. Les hurlements de Monica me glacent le sang, mais je n'ai pas le choix. Je dois assister à ce truc immonde. À cet énorme pieu qui disloque le corps de ma fille.

Quand il en a fini, il se retire, son sexe redevenu mou. Il se dresse, pose un pied sur le dos de ma fille. Il se tape la poitrine en criant. Puis il s'éloigne, va se coucher. J'ai l'impression qu'il vient de nous dire; « C'est ma femelle. Reprenez-la si vous voulez, mais maintenant elle porte ma marque, elle est à tout jamais à moi. ».

Monica rampe difficilement vers la porte, laissant, comme une limace, une traînée derrière-elle. Mais là, en l'occurrence, ce n'est pas de la bave, mais du sperme et du sang. Le directeur et le scientifique entrent alors dans la pièce. Boogy ne bouge pas, il dort. Ma Monica regarde les deux hommes, puis elle tombe dans les pommes.

Je m'approche avec ma mallette. Je sors une seringue. Je regarde le directeur, il m'autorise. J'injecte dans le corps de ma fille mon invention. Pas une quantité entière, juste ce qu'il faut pour tout réparer.

Quand elle se réveille, deux jours plus tard, son père est là. Je suis là, je lui tiens la main. D'autres collègues sont là aussi.

-- Comment tu te sens, Monica ?

-- Je... Je n'ai plus mal...

-- On va prendre soin de toi, à présent. Tu vas aller mieux. Tu vas mettre au monde une nouvelle espèce, tu sais ! !

Monica regarda son père, qui gardait la tête baissée. « Une nouvelle espèce ? Papa, non ! ! » Dit-elle.

Mais elle comprend que moi, son père, j'ai autorisé tout ça... On l'ausculte, puis on part, la laissant seule dans son enfer.

Ce n'était pas fini, pour elle... Surtout que le soir même, alors qu'elle est attachée dans un lit du laboratoire, nue, tandis que le noir complet règne dans la pièce, la porte s'ouvre. Un rectangle de lumière fait ressortir la silhouette d'un homme. La porte se referme, plongeant de nouveau la pièce dans le noir.

Monica pense que c'est un infirmier. Elle entend le tâtonnement d'une main contre le mur, sûrement à la recherche de l'interrupteur. Il le trouve, la lumière vive éblouit les yeux de Monica.

Quand elle retrouve la vue, elle voit que c'est son père qui est là.

- Papa, s'il-te-plaît, détache-moi.

- Je ne peux pas, ma puce, c'est impossible.

- Pourquoi papa ? Pourquoi ?

- Tu es enceinte, une nouvelle espèce, je te l'ai dit. C'est trop important pour la science.

- Tu es certain ? Ce n'est pas trop tôt pour le savoir ?

- Non, la salle est équipée de détecteurs spéciaux. Cela indique dès qu'une femme est enceinte. Cela a sonné pour toi, quelques heures après la première éjaculation de Boogy. Après la première fois que vous avez fait l'amour.

- C'était un viol papa, tu entends, un viol !

Monica est en pleure, elle a mal, si mal. Puis une chose résonne dans sa tête, elle est restée trois jours, quatre nuits avec Boogy, à se faire violer par tous les trous. Mais si une alarme a sonné quelques heures après son premier viol, ils ont dû le savoir.

- Papa... Dis-moi, ça a sonné où ?

- Sur mon portable. Sur celui du directeur également.

- Vous n'avez pas vérifié les caméras ?

- Oui, je l'ai fait, lui aussi.

L'horreur envahit le cerveau de Monica.

- Aucun de vous n'a vu ce que me faisait Boogy ? Ce qu'il était en train de me faire ?

- Si je l'ai vu, le directeur aussi.

- Et... et... tu n'es pas... Intervenu ???

- Olga et une autre laborantine sont là pour cela, pour tomber enceinte de Boogy, même si elles ne le savent pas encore. Pour faire avancer la science. Mais là, c'était en cours. J'ai dit au directeur de laisser faire, que trois essais valent mieux qu'un ou deux.

- Quoi ?

- Assez vite, on a eu l'idée de le faire se reproduire avec une femelle humaine, pour voir, pour savoir. Déjà, on a des indices de dingue. En trois heures, tu étais enceinte, il faut presque deux mois chez nous, les humains, pour le voir.

- Papa...

- Une fois que tu es enceinte, pourquoi intervenir ? Cela nous en a appris beaucoup sur la vie sexuelle de cette époque. Puis ton corps ne t'appartient plus maintenant, il appartient à la science.

- Papa...

- Puis, je dois te dire que cela m'a excité. Beaucoup. Te voir te faire prendre par Boogy... Par devant... Par derrière... Dans la bouche... Quel pied...

- Papa...

Je me déshabille, je bande dur. Quand j'ai baisé avec Olga, j'ai imaginé le faire avec Monica, avec ma fille. Quand elle a refusé l'anal, que je l'ai enculé de force, quand je l'ai battue, c'est encore Monica que j'ai imaginée à la place d'Olga.

- J'ai toujours eu envie de toi. Là, tu es là, nue, attachée, déjà enceinte.

Je monte sur le lit, je me couche sur son corps. Ma fille chérie hurle, elle hurle encore plus quand je la pénètre. Ce n'est que le début pourtant. Je me suis injecté mes petites machines. Avec ça, si mon sexe n'a pas grandi, je suis plus endurant, je peux éjaculer beaucoup plus. Je vais pouvoir passer du temps avec ma fille, des nuits entières. Quand j'en aurais fini avec sa douce et étroite chatte, je vais l'enculer, puis me faire sucer. Recommencer... Et recommencer... Et recommencer... Jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Puis demain soir, ce sera une nouvelle nuit de sexe pour elle et moi. Et ainsi de suite, jusqu'à son accouchement.

Quand elle aura accouché, elle retournera avec Boogy, comme Olga et l'autre laborantine. On va étudier cette nouvelle espèce. On veut au moins une quinzaine de spécimens, avec la bénédiction du gouvernement. Puis quand ils en seront capables, ils se reproduiront avec d'autres femelles. Et ainsi de suite, jusqu'à ce que l'on arrive à nos fins. Avec la promesse d'en faire de super-soldat, fort comme Boogy, intelligent comme un humain. Mais si Boogy aura Monica après chaque accouchement, elle sera ma pute, mon jouet, chaque fois qu'elle est enceinte. Olga et l'autre seront au reste de l'équipe, mais ma fille ne sera qu'à moi, sauf quand je la prête, ou qu'on partouze avec elle. Mon fantasme se réalise enfin.

Aujourd'hui, quatre ans plus tard, ma fille à accouchée huit fois de Boogy. La nouvelle espèce est au-dessus de nos espoirs les plus fous. Quant à Monica, elle est encore enceinte, mais cette fois, ce n'est pas de Boogy, ni des autres scientifique qui sont fou, eux aussi, de son corps, de sa beauté. Non, elle est enceinte de moi, de six mois. Je ne vais pas l'élever différemment que Monica. Quand elle aura dix-huit ans et un jour, je serai son premier... Puis ensuite, les descendants de cette nouvelle espèce l'auront, ainsi que les autres scientifiques...

Voilà, c'est la fin de cette nouvelle histoire. Pour ceux qui attendent la suite du « Crash », j'ai perdu les deux derniers chapitre. Je suis en train de tout écrire de nouveau. Ils paraîtront sous peu ou sous un peu plus longtemps. Merci de m'avoir lue, à bientôt.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Une histoire originale et bien écrite

La dernière partie aurait mérité plus de développement pour prolonger les scènes croustillantes

Vivement une suite !

SalomeDSalomeDil y a 4 moisAuteur

Merci à vous quatre pour vos commentaires, cela fait plaisir. Contente que mon histoire vous ai plu.

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Histoire inventive, j'ai bien aimé. Bravo.

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Au punaise, le père est vraiment une crapule. Super histoir.

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Fantastique horrible et sans scrupule... et bien raconté, tu repousses les limites du genre ! Merci

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