Un Fantasme Qui Tourne Mal

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Un jeu qui tourne mal (Nouvelle version)
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dicordoba
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L'année dernière j'avais écrit ce texte avec comme titre "Un Jeu Qui Tourne Mal" mais la chute n'avait pas fait l'unanimité. J'ai un peu revisité cette histoire afin de la rendre plus lisible tout en modifiant carrément la fin.

En espérant que cette nouvelle version vous plaise...

************

Chapitre 1 - Les événements vus par Marc

Je m'appelle Marc, j'ai 23 ans et je suis marié avec Julie depuis un an. J'ai rencontré ma femme au lycée, j'avais 17 ans et elle n'en avait que 16 à l'époque mais ce fut un vrai coup de foudre. Nous sommes sortis très vite ensemble et depuis ce jour-là, nous ne nous sommes plus jamais quittés.

Julie est une petite femme d'un mètre soixante pour à peine quarante-huit kilos et malgré son petit gabarit elle a un corps de rêve. Elle est fine mais superbement bien proportionnée et même sa petite poitrine est des plus adorables. Je suis fou amoureux d'elle et étrangement j'étais très fier de voir comment les autres hommes me jalousaient, prouvant qu'elle était vraiment belle.

Un jour alors que l'on rentrait un vendredi soir de chez des amis, on passa dans un quartier pas trop bien réputé. D'habitude, on évitait de passer dans ce coin car les rumeurs le concernant n'étaient pas engageantes. Dans une rue éclairée et légèrement passante, quelques prostituées faisaient le trottoir en dévoilant leurs corps. En voyant la façon dont ma femme les fixait, je ne pus m'empêcher de dire en plaisantant.

- Tu es mille fois plus belle que toutes ces prostituées, Je suis sûr que si tu faisais le trottoir, tu deviendrais millionnaire.

Julie me regarda bizarrement, ne me répondant pas puis elle examina les putes.

- Je plaisantais, lui dis-je alors de peur de l'avoir froissée.

- Je sais... mais ça doit être étrange de se vendre ainsi...

- Oui répondis-je, ne voulant pas la contredire

Étrangement ma chérie plongea dans un mutisme ne disant plus un mot. On resta silencieux jusqu'à la maison et lorsque je garais la voiture en bas de notre immeuble, elle sortit du véhicule sans même me regarder.

Il était tard et après s'être déshabillés on se coucha rapidement. Je fus étonné mais surtout soulagé en sentant ma petite Julie venir se blottir contre moi. Cela me rassura car je pensais qu'elle me faisait la tête après ce que j'avais dit plus tôt.

C'est alors qu'elle rompit le silence.

- Tu étais sérieux en me disant que j'étais plus belle que toutes ces putes.

- Bien sûr...

- En me disant que je serais millionnaire, c'est que tu m'avais déjà imaginé habillé comme elles?

- Heu, c'était une blague.

- Non, tu m'avais imaginé comme elles?

- Oui un peu, mais juste pour le côté sexy.

- Ça doit être bizarre de faire le trottoir

- Hé! je répondis, jamais je ne te laisserais faire un truc pareil.

- Je sais... même juste quelques minutes pour voir.

Je restais un moment silencieux.

- Qu'est-ce que tu entends par juste quelques minutes.

- Le faire comme un jeu. M'habiller comme elles et marcher quelques mètres sur le trottoir, avec les voitures qui passent, juste pour voir ce que l'on ressent.

- On dirait que c'est un fantasme, tu as envie d'essayer?

- Non, j'en parlais juste comme ça.

Je ne répondis pas puis je finis par lui souhaiter une bonne nuit.

Étrangement je dormis très mal cette nuit-là, imaginant ma femme très peu vêtue arpentant les trottoirs telle une pute. Je ne voulais pas le reconnaître mais cela m'excitait et je me mis même à avoir une érection qui ne se calma que très tard dans la nuit.

Au petit matin je lui demandais si elle avait envie de faire quelques magasins pour notre sortie du samedi matin.

- Si tu veux, me répondit-elle, je voudrais acheter un petit pull.

- Pendant que l'on sera là-bas, si ça te dit, on pourrait regarder les vêtements sexy.

Elle me fixa bizarrement puis finit par dire

- Tu as envie que je m'habille sexy pour toi

- J'en ai toujours envie, dis-je en rigolant

Elle me sourit puis me répondit, le regard coquin.

- On verra, d'abord mon pull.

- Comme tu veux

À dix heures on passa la porte du magasin de vêtements. Ce dernier était immense et sans réfléchir on alla directement dans le rayon des femmes. Julie ne mit pas longtemps pour trouver un joli petit pull rouge mais elle ne l'essaya pas tout de suite.

Par jeu ou par curiosité, on alla dans le rayon sexy et en voyant une minijupe en cuir rouge, je la lui tendis pour qu'elle l'essaye aussi. Elle hésita à la reposer avant de se décider à la prendre en constatant mon air joyeux.

- Il te faut un petit haut avec la jupe, lui dis-je en souriant

- Un haut sexy, je suppose.

- Très sexy

Et avant même qu'elle ne réponde, je lui tendais une brassière relativement transparente. En plus de sa matière légère, sa coupe très haute devait laisser apparaître le nombril.

- Je ne vais tout de même pas porter ça

- juste pour moi

Elle me dit en souriant.

- Même les putes ne sont pas aussi peu vêtues

- Tu seras ma pute à moi...

Elle ne répondit pas et prit le petit vêtement.

L'heure qui suivit fut une succession d'aller et retour du rayon à la cabine d'essayage et Julie, pour me faire plaisir, enfila des vêtements de plus en plus sexy. On prit cette séance d'habillage comme un jeu, cherchant à chaque fois le petit bout de tissu de plus en plus coquin.

On finit tout de même par passer à la caisse avec le petit pull et pas mal de vêtements importables pour une personne normale. Pour parfaire la tenue, on avait également acheté une petite paire de hauts talons à lanières histoire de rester dans le thème.

Une fois revenus à l'appartement, je lui demandais de me faire un défilé de mode. Prenant la totalité des achats du jour, elle partit dans la salle de bain en ondulant des hanches pour bien m'exciter.

Elle resta absente pendant plus de 20 minutes et lorsqu'elle apparut enfin, je n'en crus pas mes yeux. La créature que j'avais devant moi ne pouvait être ma femme.

Perchée sur ses hauts talons, elle avait mis sa minijupe en cuir qui s'arrêtait à raz des fesses. Pour le haut, elle avait enfilé un petit top noir que j'avais trouvais sexy et dont le décolleté plongeant mettait sa jolie poitrine en valeur.

Elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins étaient visibles à travers le tissu transparent. Cette petite brassière, relativement courte, laissait apparaître son nombril ce qui la rendait encore plus désirable.

Elle était magnifique mais aussi complètement indécente et juste en la regardant je me mis à bander et eus envie de lui sauter dessus.

- Et en plus je n'ai pas mis de culotte, dit-elle en rigolant

- Tu es splendide et en étant vêtue comme ça, tu es prête à faire le tapin.

Elle me regarda bizarrement

- Tu veux voir l'effet que ta femme a sur les autres hommes?

- Là, je suis sûr que tu leur ferais beaucoup d'effet mais je sais que tu n'oserais jamais faire le trottoir comme ça.

- Si je ne connais personne, juste quelques minutes, peut-être...

- Tu n'as que la gueule, lui dis-je en riant

- Que la gueule! tu ne me crois pas capable de le faire? Je vais te montrer que tu te trompes complètement et que tu ne me connais pas aussi bien que ça...

Je ne savais pas si elle était sérieuse mais je me rendis compte que mes mots l'avaient vexée.

- Tu veux vraiment qu'on y aille, lui demandais-je surpris.

- Je vais te montrer que ta femme n'est pas une peureuse, on va y aller.

Je ne savais plus trop quoi penser. Aurais-je mal jugé ma femme et aurait-elle le courage de le faire. Regardant sa tenue, et étant de plus en plus excité, je lui dis.

- D'accord mais tu ne sors pas de l'immeuble comme ça. Imagine la tête de madame Wilson si on la croise dans les escaliers.

Cela la fit sourire puis, se reprenant, elle réfléchit quelques secondes avant de me répondre.

- Il n'est pas loin de midi, il y a trop de monde dehors. si je dois m'exposer comme ça je préfèrerais le faire assez loin d'ici et pas en ville vu l'heure.

- Sur un parking?

- Pourquoi pas

Voulant la taquiner encore un peu, je ne pus m'empêcher de lui dire en riant.

- De toute façon je te connais et je sais que tu n'as que la gueule. Je te parie ce que tu veux que tu ne sortiras pas de la voiture.

- Tu l'auras voulu. Je mets une jupe plus longue par-dessus celle-là ainsi qu'une petite veste pour cacher mon top. Je vais prendre aussi une autre paire de chaussures et je me changerais dans la voiture, lorsqu'on sera arrivé à destination.

Julie disparut dans le dressing et revint vêtue plus soft, un sac en plastique à la main avec ses hauts talons dedans.

- On y va et tu vas voir que je n'ai pas que la gueule, me dit elle en me narguant.

- Ok, on va voir.

On descendit jusqu'à la voiture et une fois à l'intérieur je lui demandais.

- Où veux-tu que l'on aille?

- Pourquoi pas sur un parking d'autoroute.

- Avec tous les camions?

- Si tu as peur pour ta petite femme on stoppe tout, mais ça sera de ta faute.

- Ok, lui dis-je, on y va.

Je pris la direction de l'autoroute et durant tout le trajet, nous ne dîmes plus un mot, comme si quelque chose d'important était en train de se jouer. Au péage, je pris la direction de Paris, sachant qu'il y avait une aire de repos avec station-service à moins de 10 kilomètres.

Lorsque je vis le panneau annonçant notre destination, je ne pus m'empêcher de demander à ma femme.

- Tu es sûre de vouloir le faire. On est samedi midi et il y aura pas mal de monde.

- Oui, je ne me promènerai sur l'aire que quelques minutes, histoire de gagner mon pari.

- Comme tu veux mais tu n'es pas obligée.

- Si, je le suis, je veux te montrer que je n'ai pas que la gueule

Mes propos un plus tôt avaient dû vraiment la vexer car maintenant, elle voulait aller jusqu'au bout et j'avoue que cela m'excitait un peu.

Une fois sur l'aire, je ne pris pas le parking des voitures où la fréquentation était trop importante. Voulant la rassurer un peu, je me dirigeais vers la partie poids lourds, située un peu à l'écart et où je ne voyais que cinq ou six camions garés.

L'endroit paraissait calme ce qui était bien mieux pour ma jolie petite femme, surtout si elle sortait dans la tenue sexy dans laquelle elle avait défilé devant moi.

Je me garais en toute limite du grand parking pour ne pas me faire remarquer et pour être plus tranquille. Je regardais Julie qui, sans un mot commençait à se changer.

Elle dut se contorsionner pour retirer sa jupe qui cachait sa mini en cuir et je ne pus m'empêcher d'admirer de nouveau ses cuisses fines et galbées. Elle mit pas mal de temps pour changer de chaussures et lorsqu'elle y parvint enfin elle enleva sa veste pour parfaire sa tenue.

Ça y est, elle était prête à relever le défi.

- Tu sors de la voiture et tu restes deux ou trois minutes à côté et tu auras gagné.

Elle me regarda et me sourit avec une lueur étrange dans ses yeux.

- Non, je vais aller jusqu'aux camions qui se trouvent là-bas et là j'aurais gagné.

- Mais! les camions sont au moins à cent mètres et il y en a cinq. C'est trop dangereux.

- Je ne risque rien, on est samedi midi. Et je veux te montrer que ta femme n'est pas une peureuse.

- Je n'ai jamais dit que tu étais une peureuse, juste que tu n'oserais pas faire une telle chose.

- Je vais te prouver que je peux le faire et tu seras fier de moi.

Sans rajouter un mot, Julie sortit de la voiture et prit lentement la direction des 38 tonnes. Elle était magnifique dans sa petite minijupe en cuir et dans son top presque transparent.

Sans trop savoir pourquoi, cela m'excita beaucoup de la voir prendre la direction des camions, vêtue telle une putain. Même si j'étais un peu anxieux je ne pouvais détacher mes yeux de ce corps superbe, oubliant presque que c'était ma femme.

Malgré mon appréhension, je me calais dans le siège de la voiture pour admirer la scène. Derrière les vitres teintées du véhicule et avec le soleil qui se reflétait dessus, je savais que j'étais invisible du parking. Si j'étais légèrement inquiet c'était surtout pour elle car elle était vraiment très peu vêtue.

Je savais qu'elle avait très peur et pourtant elle marchait tranquillement, comme si tout cela était normal. Heureusement que c'était dans un endroit où il n'y avait aucun passage de véhicules car dans le cas contraire je savais qu'elle ne l'aurait jamais fait.

En la voyant s'éloigner j'eus une boule au ventre doublée d'un sentiment étrange. Même s'il s'agissait de ma femme, je la trouvais tellement magnifique que j'avais presque envie qu'elle soit vu par d'autres personnes.

Après de longues minutes que je trouvais interminable elle arriva enfin au niveau des poids lourds, ce qui me soulagea. Elle allait commencer à revenir sur ses pas lorsqu'une porte d'un des véhicules s'ouvrit laissant apparaître un homme de forte corpulence.

C'était un magnifique camion de type américain dont la cabine profonde était sûrement aménagée à la façon d'un camping-car. Il sortit par la porte de côté donnant sur l'arrière de la cabine et parut étonné en découvrant mon adorable épouse. Il faut dire qu'il ne devait sûrement pas voir tous les jours une femme aussi légèrement vêtue qui exhibait un corps parfait.

Je commençais à paniquer en me demandant si je ne devais pas mettre la voiture en marche pour aller la chercher. Et pourtant, en voyant l'homme se diriger vers ma femme habillée comme une pute, je fus en même temps excité. Inconsciemment j'avais espéré que quelqu'un d'autre que moi puisse admirer cette jolie créature et de le voir aussi près de ma chérie suscita en moi un étrange sentiment.

Je ne sais pas pourquoi, mais ma femme restait immobile, laissant l'homme se placer en face d'elle pour lui parler un peu. J'étais trop loin pour entendre leur conversation mais j'imaginais Julie expliquant paniquée qu'elle n'était pas une pute. Elle était complètement figée, tel un soldat au garde-à-vous, sûrement tétanisée par une frayeur sans nom.

Ils discutèrent de longues minutes avant que l'homme ne se retourne pour reprendre la direction de son camion. En le voyant partir, cela me soulagea mais ce ne fut que de courte durée.

Quelle ne fut pas ma surprise en voyant mon épouse lui emboîter le pas, le suivant vers sa cabine, hésitante mais aussi consentante.

Non, ça ne devait pas se passer comme ça, ne comprenant pas pourquoi elle agissait ainsi. Je me faisais sûrement des idées, il allait lui donner quelque chose et elle allait revenir.

Je crus que mon cœur allait s'arrêter de battre lorsqu'il ouvrit la porte latérale de sa cabine et qu'il se mit sur le côté pour la laisser monter.

Ce n'était pas possible, c'était un vrai cauchemar, surtout lorsque je vis Julie grimper les petites marches. L'homme, pour aider ma femme, lui mit la main aux fesses, les pelotant sans vergogne sans qu'elle ne réagisse.

Je crus bien défaillir lorsqu'il rentra dans le camion juste après elle et qu'il ferma la porte.

Elle s'était jetée sciemment dans la gueule du loup et je ne savais pas quoi faire. Elle allait se faire baiser comme une vulgaire pute et je restais dans ma voiture, ne réagissant même pas.

Mais pourquoi avait-elle fait ça? Pourquoi avoir été jusqu'au bout du fantasme alors que normalement elle ne devait marcher que jusqu'aux véhicules.

J'espérais me tromper et que ma femme allait bientôt ressortir comme si de rien était.

Mais les minutes commencèrent à s'égrener lentement alors que la porte que je ne quittais pas des yeux restait inlassablement fermée.

Plus le temps s'écoulait et plus j'imaginais ma femme en train de se faire baiser. L'image du gros routier en train de souiller son joli corps me vint immédiatement à l'esprit.

C'était à la fois écœurant de le savoir en elle tout en trouvant également cette idée excitante et sans m'en rendre compte je me mis à me caresser.

Lorsque je regardais pour la vingtième fois ma montre, je constatais que cela faisait vingt minutes qu'elle était enfermée avec le gros routier. Durant tout ce temps elle devait se faire prendre par ce porc et pourtant je ne bougeais même pas, pire, je me branlais ouvertement en imaginant la scène.

Elle était sur le dos les jambes bien écartées, criant à chaque fois que la queue s'enfonçait dans son intimité. Elle, qui n'était pas très démonstrative lorsqu'on faisait l'amour se lâchait complètement sans plus aucune retenue.

Elle était devenue une pute et elle donnait son corps le plus naturellement du monde.

Non, je me trompais et j'essayais de chasser de ma tête ces visions monstrueuses. Ma petite chérie n'était pas comme ça et elle devait sûrement se contenter de discuter avec le camionneur qui était forcément un brave homme.

C'est alors, que du camion garé juste à côté, un autre routier sortit de sa cabine pour venir frapper à la porte du poids lourd où se trouvait ma femme. L'homme était bien plus jeune et il avait un physique beaucoup plus athlétique.

Je me dis que le gros n'allait pas lui ouvrir vu qu'il était peut-être en train de baiser ma femme. À sa place j'aurais agi ainsi et je pensais avoir raison en voyant la porte rester close.

En constatant que le jeune ne voulait pas partir et qu'il frappait de nouveau sur la porte métallique, montrant son impatience, je me dis qu'il perdait réellement son temps.

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque la porte du camion s'ouvrit. En voyant le gros apparaître dans l'embrasure, entièrement dévêtu, je sentis mon sang se glacer et mon cœur palpiter.

Plus aucun doute n'était permis en le voyant ainsi et je sus à ce moment-là que ma femme était son casse-croûte.

Je crus qu'il allait envoyer balader le jeune ou se mettre en colère et je fus étonné en le voyant tranquille. Pire, il lui serra la main, heureux de sa visite et discuta quelques minutes avec lui.

Lorsque je vis le gros disparaître à l'intérieur de la cabine et le jeune le rejoindre en grimpant à son tour, je fus abasourdi.

À la fois horrifié mais aussi excité, j'avais du mal à réaliser ce qui se passait vraiment. Ils allaient s'occuper à deux de ma chérie, lui faire des choses obscènes, elle qui était si douce.

J'étais sûr qu'elle leur offrait son corps sans aucune restriction tout en hurlant de plaisir alors que je restais pourtant sans rien faire.

Elle s'était habillée en pute et ces hommes devaient la traiter comme telle.

Ma femme était un petit gabarit et ils allaient sûrement la détruire, la baiser comme jamais elle ne l'avait été. Ils allaient sûrement la prendre par le cul, chose qu'elle m'avait toujours refusée et peut-être même la prendre par les deux trous.

Ces pensées malsaines me faisaient bander et de savoir ma petite femme entre leurs mains m'excitait de plus en plus. Je ne pouvais pourtant pas la laisser ainsi, je l'aimais et en sachant que deux routiers étaient en train de la baiser, je devais réagir.

Je me décidais à mettre le contact, faisant tourner le moteur. J'allais passer la première pour aller la chercher mais une voix me criait de ne pas y aller. Et si elle m'en voulait d'avoir interrompu le fantasme de sa vie. Peut-être ne me pardonnera-t-elle jamais si je vais la chercher alors qu'elle prend son pied.

Je ne savais plus du tout quoi faire et sans vraiment m'en rendre compte je coupais le contact. Après tout je lui avais demandé de ne pas y aller et de rester près de la voiture.

Le routier ne l'avait pas forcé et c'est elle qui l'avait suivi sans y être obligé.

Du coup je décidais de ne pas bouger, essayant d'imaginer ce qu'elle devait subir.

J'imaginais son superbe corps nu, tripoté dans tous les recoins. Ses adorables seins devaient être malaxés par les grosses mains rugueuses des hommes.

J'imaginais sa chatte, prise par des queues énormes et son cul élargi sans aucun lubrifiant.

Je les imaginais la remplissant de sperme, saturant ses trois trous de leur semence épaisse. Je la voyais obéissante qui se pliait à leurs moindres désirs et qui les laissait tout lui faire sans rien dire.

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