Pierre, Mon Initiateur! Ch. 01

Nous n'avons toujours pas échangé un mot et je le regarde sans moufter alors qu'il se déshabille devant moi, m'offrant mon premier strip-tease de mec. Je suis à ma grande surprise un spectateur enchanté par ce spectacle jusqu'alors inconnu de mes yeux.

La respiration courte, j'observe sans honte et même avec un petit sourire gourmand ce vieux mec à poil devant moi. Incompréhensible! Je suis assis en train de récupérer de mes émotions sur son canapé, mon pantalon sur mes chevilles, mes tennis au pied et je suis excité par un vieux qui se dessape après m'avoir branlé et embrassé sans jamais ne m'avoir rien demandé!

Toujours devant moi, son regard fixé sur mes yeux, Pierre fait tomber son dernier rempart et une queue de belle taille, tendue à l'horizontale me fait face comme un missile à la parade militaire.

Je devrais hurler, m'enfuir, mais je n'en fais rien. Pierre se rapproche de moi sans un bruit. Son sexe est maintenant à cinquante centimètres de mon visage environ. Il ne parle toujours pas, moi non plus. Je me surprends alors à me redresser, mes deux mains viennent se saisir de cette chair que je veux toucher et caresser. Oui, je veux le faire éjaculer et lui rendre la pareille malgré mon inexpérience totale.

J'empoigne donc cette barre douce et épaisse d'une main. L'autre va explorer ses poils autour et vient caresser ses bourses. Si Pierre est un homme comme moi, ce dont je ne doute pas, je sais où est l'endroit doux et si sensible là-dessous et je m'empresse de le caresser tout en allant et venant de mon autre main sur sa bite qui tressaute un peu.

Je lève la tête. Pierre a fermé les yeux et gémit doucement de plaisir. Sans que je ne puisse expliquer pourquoi, cela me rend éperdu de bonheur. Ses mains se posent rapidement sur ma tête et me saisissent aux tempes, ses doigts s'enfoncent dans ma chevelure et y bougent lentement. Délicieux massage.

J'accélère mes mouvements de masturbations autour de son sexe. Celui-ci vient presque par accident effleurer mes lèvres et les toucher de plus en plus souvent. Je sens bien que les mains de Pierre m'orientent peu à peu vers un acte que je commence aussi à désirer.

Dans le peu de souvenirs sexuels que j'ai embarqué avec moi, il y a le souvenir récent de cette Terminale qui un jour de « ragnagnas » et faute de mieux, a plongé sa bouche vers mon sexe et m'a sucé avec application.

Je ne sais pas si elle était douée, n'ayant aucun éléments de comparaison, mais je sais depuis le plaisir que l'on peut retirer de ces caresses. Je me souviens de ma surprise et de ce que j'ai éprouvé. J'ai donc plus qu'une petite idée du plaisir que moi aussi je peux donner à Pierre.

Je finis évidemment par entrouvrir mes lèvres. Les dés dont jetés! Son gland en partie recouvert de son prépuce vient s'y introduire, les frottant doucement. J'adore la sensualité de ce contact. C'est chaud, imposant, une odeur que je ne connais que trop bien me saisit les narines et me chamboule l'esprit.

Je passe doucement ma langue sur ce gland et je sens un liquide très salé, celui qui précède l'acte, s'infiltrer dans ma bouche. Je devrais être effrayé, mais en fait je suis excité comme un fou. Je tire sur ce sexe et l'amène plus profondément dans ma bouche.

J'essaie d'imaginer ce que j'aimerai que l'on me fasse et ce que pourrait être « la pipe idéale » pour un homme. Je m'y emploie du mieux que je le peux. Je coulisse sur ce membre avec mes lèvres le plus loin possible, m'enfonçant son sexe presque jusqu'à ma glotte et je salive un maximum dessus à chaque aller et retour.

Je veux serrer avec force et entre mes lèvres ce pieu qui navigue dans ma bouche selon ma volonté. Je veux tenter de l'aspirer comme si ma vie en dépendait.

J'entends les halètements de Pierre qui me convainquent du succès de mes manœuvres buccales. Je suis heureux de lui faire plaisir, heureux de ne pas être ridicule.

Je sens que Pierre veut accélérer son rythme car ses mains pressent ma tête d'avant en arrière de plus en plus vite. c'est sa volonté qui dicte la vitesse de ses pénétrations et j'accepte et je comprends ce transfert de puissances. Je capitule et me contente d'être un conduit humide et chaud pour son plaisir.

Je perçois réellement les contractions de sa jouissance arriver alors qu'il essaie de se retirer de ma bouche. Pierre veut sans doute m'épargner de venir en moi pour une première fois, mais je ne suis pas de son avis.

J'en ai férocement envie. Je bande à nouveau très durement d'excitation. Enfiévré par ce moment, je ne suis pas en état d'abandonner cette queue que j'embrasse goulument depuis quelques minutes.

Elle est belle, douce, dure, grosse dans ma bouche, me remplit parfaitement l'ovale de mes lèvres, je veux la garder en moi! Son jus sera mon nectar, c'est décidé!

Je décide alors de suivre ce sexe qui se retire et je prends les fesses de Pierre entre mes mains pour qu'il ne s'évade pas en le retenant autoritairement contre moi. Comprenant cela, Pierre capitule à son tour et se penche à nouveau vers ma petite personne.

Tout en faisant cela, je regarde son visage juste avant son éjaculation. Je le vois me regarder aussi avec ses désirs et sa tendresse puis s'abandonner au plaisir. Un premier jet percute mon palais et un second vient presque immédiatement envahir ma bouche. J'essaie d'avaler le tout. Le goût de son sperme est plus doux et moins violent que le mien. Dans le feu de l'action et même si ce n'est pas ma boisson préférée, j'ai toujours la volonté de tout avaler.

Boire du sperme qui arrive en masse dans votre bouche sans s'étouffer à sa première pipe, c'est carrément impossible ou alors un coup de chance. Pas de bol pour moi! Après deux gorgées, le flot ne se tarissant pas, je réussis à m'étouffer et je suis obligé de lâcher son sexe encore en action. Les dernières salves finissent sur mes joues et mes yeux, les dernières gouttes sur ma poitrine pendant que j'essaie de tousser sans que cela n'en devienne gênant pour Pierre...

En un éclair, je revois dans ma tête des images d'actrices pornos en train de se faire éjaculer sur leur visage. Cela me rappelle des photos découvertes avec des copains au collège quand un surveillant avait laissé trainer une revue pas piquée des vers dans sa sacoche en pleine étude.

Il avait suffi de cinq minutes d'absence de sa part pour que le plus téméraire d'entre nous aille fouiller dans son sac, trouve et montre le magazine à tout le monde et dévoile ces photos bien salaces.

Les cris et hurlements de l'étude avait provoqué un retour au galop de la part du surveillant, mais à par le chahut, nous étions tous à nos bureaux à son entrée en salle.

« La ferme! » avait-il crié pour rétablir l'ordre et le calme sans comprendre ce qu'il se passait. Le pauvre y avait gagné le surnom de « Branleur! » sans jamais comprendre pourquoi!

En un millième de seconde, tout cela m'est revenu! Du sperme en partie avalé dans ma gorge, du sperme toujours dans ma bouche, longues trainées gluantes sur mon visage, gouttent tombées sur mon corps et ce corps d'homme âgé vibrant entre mes bras toujours plongé dans sa jouissance, viennent de me rappeler ce souvenir..

Étais-je en train de devenir une de « ces salopes » sur lesquelles je m'étais masturbé sans fin? Étais-je soudainement devenu PD? Nom d'un chien que s'était-il passé en moi pour en arriver là?

Alors que j'étais toujours plongé dans mes interrogations et mes émois, Pierre fut le premier à parler :

-Mon petit Alain, cela faisait des mois que l'on ne m'avait pas sucé comme cela! Je te remercie, je pense que je vais avoir du mal à me passer de toi et de ta bouche.

Pierre prit une grande respiration et m'asséna un coup de grâce moral en ajoutant :

- Dis donc petite cochonne, cela fait combien de temps que tu suces des mecs, dis-moi?

À ces mots violents et rudes, je me reculais et je fondis en larmes sans pouvoir me retenir. Pierre comprenant immédiatement son erreur et la situation s'agenouilla et me prit dans ses bras.

-Excuse-moi Alain, excuse-moi. Mon Dieu! C'était donc une première et tu m'as réservé ce moment. Je te remercie, c'était sublime. Mais je t'en prie, excuse-moi, c'était tellement bon, rapide, presque naturel que j'ai cru que tu faisais cela régulièrement... Tu suces comme un Dieu, tu sais, c'était vraiment divin pour moi! Je n'y peux rien. Je te jure que j'ai croisé des mecs dans ma vie et peu savaient d'instinct sucer comme toi. Je suis désolé, mais je ne peux rien te dire d'autre! Merci, merci à toi de m'avoir offert cet instant.

Toujours blotti dans ses bras, je sentis Pierre se détendre et se mettre à rire :

-Vraiment mon petit, je suis désolé, mais je n'ai qu'une idée... Que tu me suces à nouveau, c'était trop bon! Je ne devrais pas te dire cela comme ça, mais quel pied tu m'as fait prendre! Je ne suis pas prêt d'oublier ta bouche, tes lèvres et ta langue!

Il continuait à rigoler gentiment tout en me serrant contre lui. Pris dans sa joie, j'arrêtais de pleurer et je commençais aussi à rire. D'abord un peu, puis franchement. Pierre se détacha de moi, me regarda tendrement et vint à nouveau m'embrasser. Je ne résistais pas à son baiser et je me calmais sous sa langue.

Lentement, il abandonna mes lèvres et sa bouche plongea sur mon sexe. Sa langue glissant avant sur mon cou, sur mon torse, tournant dans mon nombril (picotements étranges) et finissant par se précipiter sur ma bite tendue et parfaitement verticale.

Il l'enfourna d'une traite jusqu'à la garde m'offrant ma première gorge profonde (et je ne savais même pas comment cela s'appelait). La sensation était incroyable, inédite pour moi. J'étais peut-être doué pour sucer Pierre, mais lui m'offrait un plaisir physique et visuel que je ne connaissais pas.

Il m'avait complimenté pour ma pipe, mais ce qu'il me faisait me fit bouillir en deux temps et trois mouvements. Ma seconde éjaculation arriva sans prévenir et là aussi, Pierre me fit une belle démonstration de ses aptitudes.

Il avala et aspira tout de moi sans s'étouffer, sans s'énerver et sans montrer aucun signe de fébrilité. Il continua à se délecter de moi jusqu'à ce je redevienne inerte. Mon sexe était propre et net, brillant et humide comme si je sortais de ma douche et que je venzis de m'essuyer!

Lorsque son visage revint vers moi et qu'il m'embrassa à nouveau, je sentis l'odeur de mon sperme dans sa bouche, mais c'est sa salive que je trouvais. Il avait tout avalé et n'avait rien laissé derrière lui de mon éjaculation.

Nous récupérâmes enfin de nos émotions tranquillement sur son canapé. Puis Pierre m'offrit un verre de jus de fruit et se servit un alcool sans m'en proposer. Nous parlions peu de ce que nous venions de vivre, mais à nouveau de littérature et de bouquins, comme s'il ne s'était rien passé. Sauf que nous faisions cela à poil sur son canapé!

Une heure plus tard, alors que nous nous étions rhabillés et que l'heure de mon départ se rapprochait, Pierre me fit promettre de venir vite le revoir. Je lui dis qu'il fallait que je repense à tout cela calmement et que je ne savais pas si je reviendrais. Il n'objecta rien à mes propos, devinant que j'avais besoin de réfléchir à tout cela sans pression.

Avant de le quitter, il vint mettre dans mes mains trois livres assez anciens et réellement superbes, me disant :

-Quoi que tu décides, ils sont à toi. Alain, je sais que tu as envie de me revoir et de continuer à découvrir des choses avec moi, mais je ne te forcerai en rien. Prends ton temps et appelle-moi quand tu sauras et que tu auras pris ta décision. Quelle qu'elle soit, je l'accepterai.

Il m'entoura alors de ses bras pour me serrer contre lui sans chercher à m'embrasser et m'ouvrit la porte de sa maison pour que je puisse m'en aller. Je rentrais chez moi heureux et perturbé par les événements de la journée.

Je subis le repas du soir avec mes parents d'une mine perplexe ce qui intrigua fortement ma mère qui essaya en vain de me tirer les vers du nez.

J'allais me coucher aussitôt après manger entendant mon père lui déclarer pour la rassurer : « il doit couver un truc. Ne t'affole pas, on verra bien demain! »

Je pris les livres que m'avait offert Pierre et commençais à les feuilleter, mais je n'avais pas la tête à la lecture!

Je repensais sans cesse à la bouche de Pierre, à sa langue, à sa queue tendue devant moi, à son corps poilu et doux contre moi, à sa voix. J'avais l'impression de sentir encore le goût de son sperme dans ma bouche.

À ces souvenirs, je bandais direct et je posais les livres au bas de mon lit. Mes mains descendirent sur mon bas ventre et s'agitèrent sur mon sexe. Je me masturbais à nouveau, serrant très fortement mon membre entre mes mains, tirant dessus comme si j'avais souhaité me l'arracher.

Quant mon plaisir explosa, je recueillis le maximum de mon sperme sur mes mains et je les léchais consciencieusement.

Le reste sécha sur ma peau et sur les draps. Pour une fois, cette humidité révélatrice et l'odeur un peu forte qui sortait de sous mes draps ne me gênaient pas du tout.

Je m'endormis convaincu que j'allais revoir Pierre très vite! J'en avais besoin!

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Hello à tous,

Voici donc le premier chapitre d'une histoire qui me tient à cœur depuis longtemps.

Elle commence doucement, mais l'initiation d'Alain ne sera pas sans surprise!

J'espère que ce récit vous intéressera et vos retours m'indiqueront si je dois m'y consacrer encore car vos avis sont mon carburant!

Votre plaisir est le mien!

Caresses et soumission

MS