Étreinte et Friandise Anale

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Nourrir un actif après une sodomie passionnée.
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Je sens son souffle tandis que je lui tourne le dos.

Je suis entièrement nu, et quelque peu paralysé, trop ému pour avoir une vraie érection, je suis une boule de nerf et je ne sais pas ce que je fais là. Derrière moi je sais qu'il me regarde, de haut en bas.

Je regarde stupidement la vitre derrière laquelle il n'y a rien à voir qu'un volet fermé. Mais il y a quand même vaguement mon reflet, un reflet de grand garçon maigrichon aux côtes saillantes, longiligne mais pourtant pas si grand, aux cheveux noirs.

Il est plus grand que moi et un peu plus musclé aussi. Il était assis sur le lit, torse nu, déjà, mais le voila qui se lève. Je le vois dans le reflet. Je l'entends.

Il s'approche de moi et je sens son souffle chaud sur le haut de mon dos. J'entends le bruit que fait sa ceinture alors qu'il a laissé tomber son pantalon, je le vois dans la vitre retirer son caleçon. Nous sommes tous les deux nus désormais.

Une main. Sa main. Vient se poser sur mes fesses. Un contact chaud, ferme, comme un choc électrique.

Comme une évidence.

Il a ses deux mains sur mes hanches maintenant. Je n'en reviens pas. Je sens tout son corps le long du mien. Sa tête est contre la mienne tandis qu'il embrasse mon cou. Je sens sa barbe de trois jours contre ma joue. Ses bras m'entourent et ses mains avancent sur mon ventre. Je sens son torse contre mon dos, son bassin contre mes fesses, entre lesquelles quelque chose de dur et de chaud veut s'insinuer. Je gémis d'aise, je suis au paradis, c'est comme si j'étais en train de fondre. Il a une main sur mes couilles. Enfin j'articule faiblement quelque chose :

- Fais-moi l'amour.

Il me retourne d'un geste, et m'embrasse, goulûment. Il s'est comme raidi, ses muscles sont bandés, il serre à peine mais je sens sa force protectrice autour de moi.

Il m'entraîne vers le lit. Je m'allonge, sur le ventre, en lui tournant à nouveau le dos. Je me sens vulnérable, offert.

J'ai les jambes écartées, les pieds qui dépassent du bord du lit, je sais qu'il a une vue imprenable sur mes fesses et mon anus, au-dessus de mes petites couilles. L'anticipation me ferait presque trembler.

Je sens qu'il approche sa tête, il est probablement à moitié sur le lit, appuyé sur ses avants bras...

Oh! Le contact de ses mains chaudes sur mon cul, pour écarter mes fesses.

Oh! Sa langue, c'est sa langue divine qui s'insère entre mes replis les plus intimes. Il me déguste lentement et je sens ma faim monter.

J'ai faim de lui, une faim anale, l'envie qu'il me remplisse, de l'avaler par le cul, qu'il rentre tout entier en moi et se vide. Je veux qu'il me saisisse en entier comme il vient de se saisir de mes fesses.

Sa langue parcours lentement mon cul et ma peau, avec une grande douceur, comme la meilleure torture du monde que m'apporte sa bouche.

Mon cerveau va s'arrêter. Je ne veux plus penser, je veux être un réceptacle à sensation, un réceptacle à sperme.

Il s'est relevé, il se met plus complètement sur moi. Je me sens bien détendu, heureux, arrivé.

Enfin, enfin, il vient, il vient en moi. Je sens son gland presser doucement. Il se fraye un chemin en moi.

Ça y est, il me pénètre. Il me remplit. Il me baise. Il m'encule. Enculade. C'est ça. Je suis un enculé. J'adore. Je veux dire ce mot. Je veux être ce mot. Enculer. J'ai envie qu'il m'encule, qu'il m'encule, qu'il m'encule. Je crie, alors qu'il est déjà complètement en moi.

- Encule-moi! Encule-moi fort! ENCULE-MOI!

Au paroxysme de l'extase, j'abandonne toute décence, toute pudeur, tout le reste, tout ce que je veux c'est qu'il aille et vienne, qu'il vienne surtout. Il est allongé sur moi, ses bras sur les miens, ses genoux autour de mes jambes. Il va commencer à bouger. Lentement, doucement, il ressort de moi, pour mieux rentrer. Ensuite. Il m'encule. C'est trop bon. Et il va et il vient et il va et il vient. Encore! Encore! Encore!

Je suis une masse de chair extatique, molle et moite qui ne vit plus que dans l'attente affamée de son sperme.

Nourris mon cul! Féconde mon cul! Féconde-moi!

Il halète au rythme de ses coups de rein saccadés et de plus en plus violents et je sens qu'il prend un pied immense dans mon cul. Son sexe est tellement dur qu'il me fait presque mal et pourtant je voudrais que ça dure toujours, je voudrais que son pilonnage dure toujours et que son éjaculation dure toujours. Je sais qu'il va jouir et que bientôt tout sera terminé. Il n'est déjà plus très loin.

- ah! Rha! Rha! C'est trop bon de t'enculer! J'adore ton cul!

- Féconde-moi! Jouis dans mon cul!

Je sens ses coups de reins de plus en plus fébrile et l'anticipation grandit. Il va jouir. Il va me remplir de son nectar. Je le sens. Son sexe s'agite de spasmes tandis que des râles rauques s'échappent de lui. Il s'effondre sur moi.

Je me sens accompli, vibrant, heureux, je l'embrasse en me retournant.

Il se met sur le dos. Il est vidé, heureux, serein. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Je me met sur lui. À califourchon sur son torse. Mon pénis est encore dur. Il le met dans sa bouche mais il ne peut pas vraiment relever la tête. Je m'avance. Il me lèche les couilles, c'est très doux et très agréable. Mmm, quelle dégustation.

Mais j'ai autre chose en tête. Je me relève et avance encore un peu plus. Il a compris.

Mon anus réclame sa langue, et je me retourne pour bien m'asseoir sur sa tête. J'ai bien digéré.

Je veux qu'il détende mon anus avec sa bouche et goûte à sa propre jouissance. Il enfonce sa langue en moi, et je sens le liquide redescendre, je me sens me recontracter. Il me lèche avec une douceur incomparable et son liquide commence à ressortir.

C'est tellement bon de lui chier son sperme dans la bouche. Mon sexe est tellement dur qu'il en est presque douloureux tandis que je le sens laper à mon anus le sperme que je viens chier sur sa langue.

Ma queue est prête à exploser, je vais bientôt gicler à mon tour.

Je lui fourre vite ma queue dans la bouche pour qu'il puisse avaler avec le sien.

Je jouis d'un coup, ma bite vibre sous la pression des jets de sperme, comme un geyser entre ses lèvres et il avale tout sans en laisser une goutte.

Je l'embrasse.

Je m'endors à côté de lui

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