Les Culottes de Maman

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Désirs d'une mère soumise.
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LES CULOTTES DE MAMAN

Le récit qui suit est la traduction d'un texte de RainierWriterII paru en anglais sur Literotica. Traduction et mise en ligne avec l'aimable autorisation de l'auteur.

J'ai tenté de faire au mieux pour restituer ce texte sans le dénaturer. Je vous invite, si cela est possible, à le lire dans sa version originale sous le titre « Mon's panties ».

On observait à la maison un certain nombre de routines qui se déroulaient comme le plus parfait des mécanismes d'horlogerie. Le samedi par exemple était rituellement le jour de la lessive, où Maman nous mobilisait obligatoirement ma sœur Lise et moi. Seul mon père était exempté de cette corvée. C'était son jour de golf... Il était pourtant rarement à la maison, dont son travail l'éloignait régulièrement. Ma mère assurait le ménage durant la semaine, mais les samedis matin nous devions, enfants, ranger nous-mêmes nos chambres et les nettoyer soigneusement, changer nos draps et descendre le linge sale à la buanderie pour que Maman fasse la lessive. Mes 18 ans n'avaient rien changé à cette règle intangible.

Le jour où commença cette histoire débuta comme tous les autres samedis, mais se termina d'une façon qui devait changer ma vie pour toujours. Je venais juste de terminer de ranger ma chambre quand j'entendis ma mère m'appeler :

« Luc, tu peux venir mon chéri? »

Je rassemblai mes draps sales et sortis la rejoindre. Elle était dans sa chambre et me demanda si je pouvais descendre le panier de linge sale car il était trop lourd pour elle.

« Bien sûr Maman! » acquiesçai-je. Et après avoir entassé mes draps sur le dessus de la pile, je descendis à la buanderie. En passant devant la chambre de ma sœur, je l'entendis passer l'aspirateur.

Je venais juste de placer le panier sur la table à côté de la machine à laver quand la pile de draps se renversa et tomba sur le sol. Je les ramassai, mais au moment où j'allais les remettre en place, je remarquai qu'une petite culotte jaune avait été découverte par leur chute et était restée au-dessus du tas de linge. Je restai figé et la regardai un long moment. Puis, sans presque réfléchir, je laissai mes draps sur la machine à laver et m'emparai de cette culotte tentatrice. Mon pouls tout à coup s'était accéléré. Comme indépendamment de ma volonté, je la portai alors à mes narines et en humai longuement l'entrejambes. Instantanément ma queue se dressa. Je ne savais pas si cette culotte appartenait à ma mère ou à ma sœur, mais l'odeur en était absolument enivrante. J'étais perdu dans mon propre monde en continuant à sentir le parfum musqué et commençai à frotter ma bite à travers mon short. Je n'avais aucune idée du temps qui s'écoulait. J'étais là, le sous-vêtement pressé contre mon visage dans une main et l'autre astiquant brutalement ma bite à travers mon short, quand je perçus un mouvement du coin de l'œil. Je me retournai rapidement : à trois mètres de moi, ma mère me regardait, les yeux écarquillée, visiblement suffoquée, J'écartai prestement la culotte de mon nez et essayai de la cacher dans mon dos dans une tentative dérisoire, mais ma queue tendait mon short devant moi de manière obscène.

« Le linge est prêt » marmonnai-je d'une voix blanche en tournant le dos à Maman.

Pendant un long moment il régna dans la pièce un silence absolu. Nous restions tous les deux figés, puis je l'entendis dire :

« Euh.. ou... oui, merci... »

Elle se dirigea alors vers le panier à linge et j'en profitai pour sortir sans oser la regarder.

Je montai dans ma chambre, ôtai mon short et me jetai sur mon lit, où je me branlai comme un malade. J'éprouvais un sentiment de catastrophe absolue, mais plus excité que je ne l'avais jamais été. Pour une raison que j'aurais eu du mal à m'expliquer, me faire surprendre par ma mère dans une situation aussi compromettante me faisait bander comme un fou. Je n'étais pas vierge à l'époque et j'avais eu pas mal d'expérience avec les filles, mais ce que je venais de vivre n'était pas du même ordre. En me branlant, je pensais pour la première fois à ma mère comme à une femme. Elle était ce qu'il est convenu d'appeler une mère au foyer des plus respectables. Elle portait des jupes et des chemisiers éminemment « convenables. » Pourtant, après ce qui s'était passé, c'était la femelle que je voyais à présent en elle...

Je n'avais pas eu la possibilité, ni même, il faut le dire, la présence d'esprit de remettre la fameuse culotte dans le panier, et je la tournai et retournai en ce moment entre mes mains, voyant littéralement dans mon fantasme ma mère allongée à mes côtés sur mon lit, jupe relevée, cuisses écartées et chatte à l'air pendant que je frottais sa culotte dans sa mouille, l'entendant feuler comme une salope en chaleur dans l'attente fiévreuse du mâle. Dans l'attente de ma queue! Je jouis brusquement irrépressiblement, éclaboussant sa culotte de ma jute.

Je ne pouvais supporter de faire face à ma mère après la scène à laquelle elle venait d'assister et je me faufilai hors de la maison aussi discrètement que possible. Je restai absent toute la journée, l'esprit en ébullition, mais le soir je finis par rentrer à l'heure du dîner, le cœur battant. Je priais pour que ma mère n'ait rien dit à mon père, mais en la voyant m'accueillir avec un faible sourire, rougissante, et se tourner vers le poêle pour que personne ne puisse remarquer son trouble, je compris qu'elle n'en avait rien fait. Au cours du repas, mon père et ma sœur firent presque à eux seuls les frais de la conversation, sans se rendre compte de notre air gêné à Maman et à moi. Aussitôt après le dessert je m'excusai et me retirai dans ma chambre. Le reste de la semaine se déroula à peu près de la même manière. J'évitai autant que possible les contacts et les conversations avec ma mère, mais je me branlai au moins deux fois par jour en pensant à elle.

Le samedi arriva. Mon père, comme d'habitude, partit tôt pour son golf, et comme d'habitude ma sœur et moi nous affairâmes à ranger nos chambres. J'en avais fini et je m'apprêtais à prendre une douche quand ma mère m'appela à nouveau.

« Tu peux venir, Luc? »

J'allai la rejoindre dans sa chambre avec une certaine crainte. Je la trouvai debout à côté de son lit sur lequel reposait le panier à linge plein.

« Tu peux descendre ça mon chéri, c'est trop lourd pour moi... » me dit-elle en détournant le regard, l'ai embarrassé.

« Bien sûr Maman » répondis-je d'une voix altérée, et je m'apprêtais à prendre le panier, baissant la tête pour ne pas risquer moi aussi de croiser le regard de Maman quand, je n'en crus pas mes yeux, je vis, sur le dessus de la pile, une culotte dont la blancheur tranchait avec la couleur des autres pièces. Je restai un moment figé devant ce spectacle, incrédule. Puis je rassemblai mes sens et m'emparai rapidement du panier sans regarder ma mère.

Comme la semaine précédente, je plaçai mon fardeau sur la table à côté de ma machine à laver, puis jetai un coup d'œil en arrière pour voir si ma mère m'avait suivi. La pièce était vide et je n'entendais personne venir. Alors, malgré moi, je me saisis de la culotte les mains tremblantes. Je passai mes doigts sur l'entrejambes et quelle ne fut pas ma surprise de la trouver humide et chaude. Ma mère venait juste d'ôter cette culotte, et elle était en train de mouiller! L'avait-elle placée intentionnellement pour que je le trouve? Je la portai lentement à mon visage et inspirai profondément. La fraîche odeur féminine emplit mes narines et me submergea. Ma bite se dressa à la seconde, palpitante dans mon slip. Quelques instants auparavant, cette culotte s'humidifiait de la mouille de ma mère qui avait anticipé sur ce que j'allais faire!

Une fois de plus ma main droite descendit vers ma bite et je la frottai à travers mon jean. Mon esprit s'enfiévrait. Si ma mère avait fait ça, ce ne pouvait être que parce que la scène de l'autre semaine l'avait violemment excitée... Je plongeai ma main dans mon slip et commençai à me branler en humant les fragrances de sa culotte. C'est alors que, comme le samedi précédent, je perçus un mouvement du coin de mon œil. Mais cette fois l'idée que ma mère mouillait pour moi m'ôta toute inhibition : je continuai à me branler ouvertement en maintenant sa culotte sur mon visage et en me tournant vers la porte. Maman se tenait dans l'embrasure et me regardait avec avidité, les joues rouges et le souffle haletant. L'échange silencieux entre nous dura quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle recule sans rien dire et sorte, vacillante et les lèvres tremblantes. Je m'interrompis et sortis à mon tout quelques instants plus tard pour gagner ma chambre, où je ne tardai pas à jouir dans sa culotte, que je n'avais pas lâchée.

Après m'être un peu calmé, j'essayai de revoir les événements des dernières minutes pour en tirer toutes les conséquences. A l'évidence ma mère avait placé intentionnellement sur la pile de linge sale la petite culotte qu'elle venait tout juste d'ôter, la chaleur de cette dernière le disait assez. Je ne l'avais pas entendu venir. Elle avait donc dû descendre subrepticement en espérant me surprendre à nouveau comme le samedi précédent. Ses joues étaient écarlates, ce qui indiquait qu'elle était aussi excitée que moi. Mon père n'était jamais à la maison et elle devait se sentir frustrée. Frustrée au point de mouiller pour le seul mâle de son entourage à sa portée si elle voulait voir préservée sa réputation de femme honnête : son fils... La conclusion s'imposait...

« Bon Dieu! pensai-je, ma mère veut que je sente les culottes qu'elle a portées et me voir me branler devant elle! »

Il n'y avait pas d'autre explication possible. Je bandai à nouveau et me branlai pour la seconde fois en revoyant la scène qui venait de se passer quelques instants seulement auparavant. Je me douchai ensuite rapidement et, l'esprit en ébullition. sortis en catimini de la maison comme la semaine précédente.

Celle qui suivit fut comme une répétition de celle-ci, avec entre Maman et moi un minimum de communication. Cette retenue traduisait évidemment notre gêne. Nous faisions comme si rien ne s'était passé, mais elle comme moi ne pensions évidemment qu'à ça. Je me masturbai chaque jour en fantasmant sur des images d'elle de plus en plus hard, envisageant toutes les pratiques auxquelles nous pourrions tous deux nous livrer. La buanderie devint le centre de mes fantasmagories érotiques. Je me voyais en train de la baiser sur la table près de la machine à laver, de la labourer courbée sur le sèche-linge, de la monter à même le sol en lui ordonnant de tendre mieux ses fesses, bref d'en faire ma chose. Je ne pouvais détacher d'elle mon esprit et je me demandais si elle avait elle aussi des pensées semblables. Elle m'avait toujours paru assez soumise et je me demandais jusqu'où je pouvais aller. J'échafaudai alors un plan pour le cas où les événements du week-end se répéteraient, dans l'espoir de tâter le terrain avec ma génitrice.

A l'aube du samedi, je me réveillai en attendant avec impatience ce que la journée allait m'apporter. Il faisait chaud, aussi je me contentai d'enfiler un short, sans slip, et je me mis à ma corvée hebdomadaire habituelle. Mon père m'interrompit un instant pour échanger quelques mots avec moi, puis il me souhaita une bonne matinée et s'en alla rejoindre ses amis golfeurs comme à l'accoutumée. Je fis le ménage de ma chambre avec une énergie non dépourvue de nervosité. Je me demandais si ma mère me demanderait mon aide une fois encore. Je n'eus pas longtemps à attendre pour la voir apparaître à ma porte, surprenant du coin de l'œil son regard troublé devant ma quasi nudité alors que je me penchais sous prétexte de ramasser un stylo tombé par terre. Lorsque finalement je la regardai ouvertement, elle rougit et me demanda :

« Est-ce que tu peux encore m'aider à descendre la lessive s'il te plaît, Luc? »

Comme si elle ne savait pas que j'allais dire oui... Ce que je fis bien sûr, mais cette fois avec un sourire ironique qui accentua son fard. Je me dirigeai vers la chambre de mes parents, où je trouvai sur le lit comme d'habitude le panier de linge sale. Mais cette fois, juste au-dessus, il y avait une petite culotte en dentelle noire, la plus bandante que j'aie jamais vue. Mon pouls s'était brusquement accéléré mais j'essayai de garder mon sang-froid. Je pris le panier et me retournai vers ma mère, dont l'air embarrassé cachait mal, je l'aurais juré, une excitation qui me rassurait sur la suite de la matinée, je n'en doutai plus à présent.

Je traversai le couloir, passai devant la chambre ouverte de Lise, que je surpris en plein nettoyage, et descendis à la buanderie. Comme toujours, je déposai le panier sur la table, mais cette fois m'emparai aussitôt de la culotte et la déposai sur mon visage sans prendre aucune précaution. Comme la fois précédente, elle était trempée, et sa chaleur attestait que ma mère devait l'avoir ôtée juste avant de venir me trouver dans ma chambre. Je la pressai sur ma face de la main gauche et inhalai l'arôme enivrant en frottant l'entrejambes pour que l'odeur reste sur moi pendant que ma main droite se portait dans mon short sur mon sexe dressé. J'entendais l'aspirateur gémir dans la chambre de ma sœur, à l'étage juste au-dessus. Je ne doutai pas un seul instant que ma mère allait apparaître sans tarder. Une minute plus tard, elle apparaissait en effet à la porte, plus rougissante que jamais.

C'était le moment que j'avais attendu. Je me tournai vers elle et continuai à me branler, à deux mètres d'elle à peine, sa culotte de dentelle pressée contre mes narines. Nous nous regardions l'un l'autre intensément, sans prononcer une parole. J'ôtai ensuite lentement la culotte de mon visage et plaçai mes mains sur l'élastique de mon short. Et en fixant ma mère droit dans les yeux, j'abaissai lentement ce dernier jusqu'à ce qu'il atterrisse en boule sur le sol à mes pieds. Ma mère haletait, les yeux écarquillés. Elle déglutit et se couvrit la bouche mais ne dit toujours rien Ma main gauche revint une fois de plus sur mon visage, tenant la précieuse culotte, tandis que, de ma main droite, je saisissais ma bite, raide et impérieuse, et continuai à me branler en la dévisageant ouvertement. Ses yeux allient et venaient entre mes yeux et ma queue, son visage virait au cramoisi et sa respiration se faisait de plus en plus irrégulière. Jamais de ma vie je n'avais été aussi excité et je sentis brusquement que l'orgasme était tout proche. J'accentuai sauvagement mon va-et --vient et après quelques instants, je giclai sur le carrelage en émettant un grognement animal. J'avais fermé les yeux un instant pour mieux jouir de la sensation. Quand je les rouvris, elle avait disparu.

J'entrepris alors de nettoyer le sol avec la petite culotte maternelle, puis remis mon short et remontai à ma chambre. Quand je passai devant celle de ma mère, sa porte était fermée et je me demandai ce qu'elle était en train de faire. Etait-elle submergée de honte et en pleurs ou ce qui venait de se passer l'avait-il trop violemment excitée pour qu'elle puisse résister de se branler fiévreusement elle aussi sur le lit conjugal? Je pris une douche réparatrice. Ce jour-là, je ne quittai pas la maison. Je restai près de ma mère pour essayer de savoir où elle en était concernant nos rapports. Elle ne disait pas grand-chose, comme je m'y attendais, et devenait rouge comme une tomate à chaque fois que je tentais indirectement d'aborder le sujet.

La semaine suivante me sembla durer une éternité, tant j'attendais le samedi matin avec impatience. Je me branlais quatre ou cinq fois par jour en pensant à ma mère et à toutes les perversités que nous pourrions explorer. J'essayais d'imaginer exactement comment pourrait se dérouler notre prochain jour de lessive et comment je pourrais faire avancer mes affaires. Je voulais tellement baiser ma mère, en espérant qu'elle pourrait avoir des désirs semblables aux miens!

Le jour tant attendu arriva enfin et je me levai tôt, plein une fois de plus d'une énergie agitée. Je ne mis qu'un vieux short de sport et rien d'autre, en souhaitant que les choses se passent comme les samedis précédents. Papa était absent. Pressé d'en venir au fait, j'avais hâté mon ménage de peur que ma sœur ne vienne entraver mes projets. Comme chaque semaine, Maman s'est présentée à la porte de ma chambre. Ses yeux parcoururent timidement mon corps pendant un instant avant de me demander dans un murmure :

« Luc, peux-tu m'aider encore? »

Sans un mot je passai devant elle et j'entrai dans sa chambre. Le panier était à l'endroit habituel sur le lit et je me penchai pour y jeter un œil. Je ne fus pas surpris de découvrir cette fois une minuscule culotte rose. Je me retournai et je vis ma mère debout à la porte derrière moi, attendant que je me saisisse de la bannette. Mais cette fois, j'étais décidé à provoquer chez elle le choc décisif. J'attrapai le sous-vêtement et je le portai lentement à mon visage en la dévisageant ostensiblement. Elle sursauta, bouche bée, saisie de panique, eut un mouvement de recul. Son regard, cependant, s'il ne me quittait pas, semblait en même temps aimanté par la table de nuit à mes côtés. Je tournai la tête : dans sa photo de mariage, elle souriait en tenue de mariée aux côtés de mon père, resplendissante. J'aurais pu, j'aurais dû être déstabilisé par cette vision. Celle-ci me stimula au contraire. J'avais commencé à bander, je triquai tout à coup queue à la verticale. J'allais me branler devant leur photo. Je me débarrassai de mon short, qui tomba à mes pieds, et ma main entama aussitôt un rapide va-et-vient. Ma mère haletait.

« S'il te plaît, pas ici, souffla-t-elle. Ta sœur! Elle est juste au bout du couloir! Oh s'il te plaît, Luc, descends! »

Je fis tout d'abord mine de ne pas l'entendre, mais finis par m'interrompre.

« D'accord Maman, lui dis-je, mais seulement si tu descends aussi. »

Elle était dans un tel état qu'elle n'hésita pas une seconde.

« Oui, oui, mon chéri, mais pas ici! »

Je sentis qu'elle était désormais à ma merci.

« Bien, suis-moi! » lui intimé-je.

Puis je me penchai et remis mon short, mon érection ressortant de manière obscène. J'attrapai alors le panier et plaçai la mini-culotte rose dessus. Dans le couloir, nous passâmes sans bruit devant la chambre de ma sœur qui passait l'aspirateur.

Dans la buanderie, ma mère éclata en sanglots :

« Comment peux-tu, Luc? », larmoya-t-elle.

Pour toute réponse je me défis à nouveau de mon slip et le repoussai d'un coup de pied. J'étais une fois de plus entièrement nu devant elle, la bite dressée. Tout en continuant à pleurer, elle respirait avec difficulté, hors d'haleine, mais ne pouvant en détacher son regard.

« S'il te plaît, pleurnicha-t-elle, tu ne peux pas, ta sœur est juste à l'étage... S'il te plaît mon chéri... »

Mais ces mots tombèrent dans l'oreille d'un sourd. Je recommençai à me branler devant elle. Cette fois elle n'était plus qu'à un mètre de moi... Je me masturbai longuement avec de longs mouvements lents et je la regardai dans les yeux en souriant. Je pouvais y voir le combat qui se livrait en elle, une partie d'elle-même brûlant de fuir, l'autre, comme hypnotisée, incapable de bouger et attendant de me voir gicler.

Je me mis alors à lui parler doucement :

« C'est si bon, Maman... Si tu savais comme ça fait du bien... Tu l'aimes, hein ma bite, Maman? Elle te fait mouiller, hein? »

Elle ne répondait pas mais son regard ne cessait d'aller et venir de mon visage à ma queue turgescente, les joues plus rouges et le souffle plus court que si elle avait couru un marathon. Son silence parlait pour elle, elle regardait maintenant comme fascinée ma main qui s'agitait le long de mon manche.

Au bout d'un moment je repris la parole :

« Je t'ai posé une question... Tu aimes ma bite? »

Elle détourna les yeux et balbutia :

« Je... je... oh... je ne... crois pas... »

Je me mis à rire :

« Je ne le pense pas, et tu sais bien que j'ai raison, n'est-ce pas? »

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