Perversions à l'hôpital -- Ch. 01/03

Informations sur Récit
Une aide-soignante au comportement ambiguë.
2.5k mots
4.14
4.4k
1

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 08/16/2023
Créé 08/08/2023
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Il m'est arrivé, il y a maintenant quelques semaines, une histoire peu commune. Certains parmi vous ressentiront peut-être un certain malaise à lire ces lignes. Fable ou réalité, je vous laisse choisir...

Tout commence un lundi matin ordinaire, je me lève tranquillement, ma femme et mes enfants sont quasi prêts à partir, pour ma part, j'ai une profession aux horaires assez flexibles et le week-end ayant été sportif, j'avais pris la décision de me lever un peu plus tard. Bref, je commence à déjeuner, je prends une douche rapide, et là, je commence à sentir que quelque chose ne tourne pas rond... Une douleur dans le dos et le bas du ventre. Une douleur que je reconnais instantanément pour l'avoir déjà ressentie à plusieurs reprises : un calcul tente de s'échapper de mon rein et descend de manière chaotique dans mon uretère... À chaque fois, c'est la même histoire : je tente de me convaincre que c'est autre chose, je passe par les toilettes, j'applique du chaud, du froid. Mais rien, au bout d'une heure, la douleur est encore plus forte et je peine à marcher maintenant .... Je me rends à l'évidence : je dois partir aux urgences.

Rapidement, je prépare quelques affaires, j'envoie un message à ma femme, et je me mets en route tant bien que mal, l'hôpital est à 15 min de chez moi, mais l'horaire est encore matinal et je sais que les bouchons seront au rendez-vous. Je serre les dents et je roule, je relâche un peu ma ceinture pour soulager la pression et je change sans cesse de position, mais rien n'y fait : la douleur s'accroît de minutes en minutes à mesure que mon bol de café se déverse dans mon rein qui monte inexorablement en pression. Je commence à avoir des sueurs froides, mais ça y est, un tout dernier rond-point, et j'aperçois l'énorme silhouette grise et rouge du CHU d'Amiens.

Frénétiquement, je gare la voiture, me réajuste un peu et me dirige d'un pas chancelant vers la double porte automatique des urgences. Je m'approche du guichet, blanc comme un linge, et là, c'est comme si une lame s'enfonçait dans mon dos pour ressortir par le ventre, sous la violence de la douleur je tombe accroupi et je suis incapable de répondre aux sollicitations des gens qui m'entourent. Comme dans un rêve, je vois des gens s'agiter autour de moi, un brancard arrive, et je roule... Du mieux que je peux, je tente d'expliquer mon problème et j'ai l'impression qu'ils m'ont compris. Durant les trentes minutes suivantes, j'oscille entre douleurs extrêmes et perte de connaissance. On me fait une injection de morphine et la douleur s'efface : je suis presque capable de suivre dans mon corps endolori le parcours du produit. C'est un bonheur sans nom, un soulagement.

Les médicaments s'enchaînent, les heures passent, on me fait passer un scanner et l'urologue tient à ce que je passe la nuit à l'hôpital pour évaluer la situation. Si mon état venait à se dégrader, il faudrait opérer. Dans l'après-midi, ma femme me rend visite et en profite pour me ramener quelques affaires. Les douleurs sont plus ténues, mais lorsque les médicaments s'éliminent de mon organisme, je sens une pointe me vriller à nouveau les entrailles. En plus de ça la morphine me rend nauséeux, je peine à trouver mes mots et j'ai la sensation que mon cerveau tourne au ralenti.

Vers 20h, c'est la relève avec l'équipe de nuit, on vient vérifier mes constantes, et je passe à côté du repas : il faut que je sois à jeun pour l'éventuelle opération du lendemain... L'aide-soignante qui s'occupe de moi est plutôt jolie, elle parle d'une voix douce et fait preuve de beaucoup d'empathie. En fait, c'est la première personne que je remarque depuis le début de la journée et je ne peux m'empêcher de la regarder pendant qu'elle prépare son matériel : elle est un peu plus jeune que moi, je dirais 30-35 ans, les cheveux longs et bruns mais avec les pointes quasiment blondes, je trouve ça originale. Les traits de son visage sont doux et son sourire m'apaise. Ce n'est pas une bombe, mais elle possède un véritable charme. Par contre, son uniforme ne la met pas en valeur : ses fesses semblent être compressées dans son pantalon de toile bleue et il m'est impossible d'imaginer sa poitrine, invisible dans son haut trop grand... J'aperçois aussi une pochette en tissu qui dépasse un peu de sa poche et où est brodé son prénom : Mélissa... Et là, je commence à culpabiliser... Je reluque une aide-soignante certainement indifférente à un gars qui a un caillou dans la tuyauterie... Je dois vraiment avoir un problème! Je me ressaisis, elle s'apprête à quitter la chambre, mais juste avant, elle se tourne vers moi:

« - Je reviens d'ici une heure pour vous faire prendre votre douche préopératoire. Si vous avez des douleurs, n'hésitez pas à sonner me lança-t-elle avec un sourire »

Elle va me faire prendre ma douche?? Qu'entend-elle par là... C'est bizarre comme formulation de phrases... Ou bien, c'est moi qui suis bizarre de tout interpréter de travers... mais les médicaments sont là et je m'assoupi lourdement. J'entends frapper à la porte qui s'ouvre dans la foulée, j'ai l'impression que quelques secondes se sont écoulées, mais dehors, il fait déjà nuit noire. L'aide-soignante arrive près de moi :

« - Vous arriverez à vous lever? On va aller à la douche, c'est à quelques mètres dans le couloir, je prends vos affaires de toilette.

- Oui ça devrait aller, lançais-je un peu hésitant sur les modalités de cette douche. »

Je la suis péniblement et un peu courbé dans le couloir, puis j'entre dans une petite pièce entièrement carrelée, avec juste un banc et une douchette. Elle ferme le verrou de la porte derrière nous et me tend un gel désinfectant à base de Bétadine :

« - Il faut vous faire le corps et les chevaux avec ça, c'est pour préparer l'opération.

- Vous allez rester avec moi...? Lançais-je un peu gêné.

- Bien sûr, je ne voudrais pas que vous fassiez un malaise dans la douche et en plus le bouton d'appel ne fonctionne pas ici... »

Résolu, mais un peu décontenancé, je lui tourne le dos, je me déshabille rapidement et mets la douche en route. L'eau chaude me fait du bien, mais je sens dans mon dos un regard cuisant que j'imagine braqué sur moi... Je me savonne du mieux que je peux, et m'apprête à me rincer quand d'un coup, je sens une main se poser sur mon épaule... Mon sang se glace à ce contact.

« Vous n'avez pas bien fait votre dos... Murmura mon accompagnatrice »

Je reste pétrifié alors qu'elle commence à me savonner le haut du dos, ses gestes sont sûrs, précis et en même temps assez sensuels. Mais lorsque ses mains descendent vers le haut de mes fesses, je sens une érection commencer à monter... En plus d'être un peu douloureux, ce n'était vraiment pas le moment... Je remets l'eau en route et je me rince rapidement. Dans ma précipitation, je me retourne pour prendre ma serviette et nos regards se croisent, enfin plus exactement, je surprends son regard qui se balade au niveau de mon entre-jambe. J'enfile prestement la blouse bleue ouverte derrière qu'elle me tend en souriant comme si elle était amusée par la situation. Nous regagnons ma chambre et je constate qu'elle me laisse passer devant... Elle m'aide ensuite à m'allonger et elle justifie de devoir réajuster ma perfusion pour se coller à moi. À ce moment, je peux sentir la chaleur de son corps et son parfum dans ses cheveux. Enfin, elle se lève, ajoute une poche d'antalgique sur la potence puis elle quitte la chambre après m'avoir salué poliment. Je pousse un profond soupir... Je suis à la fois terriblement gêné, un peu douloureux et en même temps excité... Un mélange que j'expérimente pour la première fois...

La nuit avance lentement, à peine une heure trente après la dernière injection d'antalgiques les douleurs reprennent. Il est alors une heure du matin, n'en pouvant déjà plus, je sonne. Moins d'une minute plus tard, Mélissa entre doucement dans ma chambre. Je lui explique la situation, mais elle me répond embêtée :

« - Le problème, c'est que je ne peux plus rien vous donner avant quatre heures... je vais voir avec l'infirmière de garde. »

Elle revient plusieurs minutes plus tard, seule et sans médicaments... Je me décompose. Mais elle me lance avec un petit sourire :

« Je ne peux rien vous administrer mais, ça ne veut pas dire que je ne peux rien faire pour vous! »

Sur ces mots, elle débloque les roues de mon lit et commence à me pousser à travers les couloirs de l'hôpital. À cette heure tardive, l'endroit est silencieux et les lumières sont presque toutes éteintes, créant une ambiance particulière et un peu inquiétante. Après quelques minutes de trajet, nous arrivons dans une pièce de soins mais je suis surpris par les équipements qu'elle contient : les écrans plats ornent les murs, sur une console à droite, je compte trois ordinateurs portables mais aussi plusieurs casques de réalité virtuelle... Je suis de plus en plus dubitatif.

« - On va tenter une autre approche, me dit-elle presque en chuchotant, ici on essaie de soulager les patients avec des techniques alternatives : réalité virtuelle, électrostimulation, hypnose...

- Je ne suis pas sûr que ça va fonctionner sur moi... Répondis-je.

- Ne partez pas défaitiste... Laissez-moi faire »

C'est bien le problème, je n'ai pas beaucoup de lâcher-prise... Mais Melissa ne m'écoute pas : elle allume un des PC, m'installe au centre de la pièce et m'enfile un casque VR. Ensuite, je sens qu'elle glisse quelque chose sous mes reins : une poche de glace. Le froid endort un peu la douleur, je me détends. Puis je sens qu'elle remonte ma blouse sur mon torse et semble installer un dispositif sur mon bas-ventre... je suis à nouveau gêné d'autant que je sens ses mains effleurer mon sexe alors que je suis totalement dans le noir. J'entends des frottements de tissus, et d'autres bruits étranges que je ne parviens pas à identifier : le contact des mains de Melissa sur mon ventre qui m'enduit de gel répond à mes interrogations... Elle me badigeonne le ventre, puis la verge et même mes testicules. Immanquablement une érection commence à monter, je veux parler mais elle me coupe :

« Ça va, on se détend, j'en ai vu d'autres, ne vous inquiétez pas! Ça ne me dérange pas... C'est même plutôt flatteur »

A ce moment, c'est moi le plus mal à l'aise, mais là tout de suite, ce n'est pas ce que ma bite semble indiquer... Donc je me tais donc et j'attends.

L'écran de mon casque s'allume, tout est flou, puis je commence à voir un ciel bleu, une vaste prairie et des montagnes dans le fond, le paysage défile doucement devant mon regard. L'impression de bien-être est renforcée par une musique douce et des bruits légers de la nature. Après quelques secondes, une voix douce et féminine démarre une séance de méditations. Je dois bien reconnaître que c'est apaisant et que ma douleur semble bien plus lointaine... Au bout de quelque temps, je sens de nouveau un contact sur mon sexe, un léger va et vient chaud et doux quoi qu'un peu mécanique. Le gel aide à ce que ce soit indolore. Je bouge un peu, mais Mélissa répond à ma question avant que je ne la pose :

« C'est la machine qui se met en marche, on se détend, tout va bien... »

Je trouve la situation de plus en plus étrange et malaisante et pourtant les douleurs s'apaisent énormément... Le va-et-vient sur ma bite s'interrompt brièvement puis reprend, mais cette fois, c'est plus doux, moins mécanique, on dirait vraiment que des mains sont en train de me masturber... Je me dis que les ingénieurs qui ont inventé cette machine ont raté leur cible marketing! Les minutes passent et je sens mon plaisir monter doucement, encore une fois, le mouvement s'arrête quelques secondes avant le reprendre de manière totalement différente : ma queue semble glisser dans quelque chose de compact et de très humide. Je n'ose plus bouger et dans le même temps, j'ai de plus en plus de mal à retenir mon orgasme... Mais n'y tenant plus, je jouis... Instantanément le mouvement de la machine s'interromp, puis reprend avec un mouvement différemment quelques secondes avant de se décoller de mon sexe. Cette machine est incroyable...

L'aide-soignante me retire mon casque et je sens qu'elle me nettoie le bas ventre avec une serviette éponge. Mon regard encore embué se tourne vers elle, je lui souris doucement :

« - Merci... Cette machine est incroyable, la douleur a vraiment diminué...

- Oui, c'est comme je vous avais dit... Faites-moi confiance... »

Pourtant, je trouve son ton distant, un peu mal à l'aise. Étrangement, son visage s'est empourpré, ses cheveux sont en bataille et je peux même voir quelques gouttes de sueur perler sur son front... Elle continue à ranger le matériel, je l'observe du coin de l'œil et je la surprends à plusieurs reprises en train de réajuster sa tenue... Mais mon cerveau shooté aux endorphines ne tarde pas à sombrer dans un demi-sommeil à tel point que je ne me rappelle plus du retour vers ma chambre...

Le lendemain matin, je me réveille vers six heures, la douleur est faible, et je vois qu'une perfusion d'antalgiques est en train de passer dans mes veines, j'ai l'esprit nettement plus clair et je me remémore la nuit précédente... En y repensant, tout cela me paraît irréel comme s'il s'agissait d'une invention de mon cerveau... Pourtant, un rapide passage de ma main sur mes poils pubiens met en évidence des résidus poisseux de gel et de sécrétion... Je n'ai pas rêvé! mais rien ne va : cette étrange machine, les gouttes de sueur sur la peau de Mélissa et son changement d'attitude à la fin : à la lumière du matin, je suis perplexe... Mais je suis interrompu dans mon analyse par la visite matinale du médecin et l'infirmière qui font irruption dans ma chambre :

« - Bonjour, bon alors j'ai vu qu'un niveau des douleurs la nuit a été encore compliqué, en plus votre bilan sanguin est plus mauvais qu'hier... Je pense que l'on va devoir opérer. Je vous ai déjà expliqué les modalités de l'opération?

- Oui, je les connais... Mais j'ai un peu peur des complications, ne peut-on pas attendre un peu et voir comment mon état évolue? Je trouve que les douleurs sont plus faibles quand même...

-Bon, on peut se donner jusqu'à ce soir, d'ici là nouveau bilan sanguin et si c'est mauvais, demain on opère, C'est bon pour vous?

- Ok. Merci docteur »

Un peu soulagé par ce report, j'avais oublié que cela signifiait une nouvelle nuit seul avec Melissa... Il faut que je sois plus ferme, pas de touche-touche bizarre dans la nuit cette fois...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Pourquoi pas. L'histoire est cependant courte et il reste un peu trop de fautes de frappe ou d'orthographe.

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