Perversions à l'hôpital -- Ch. 02/03

Informations sur Récit
De l’ambiguïté à la perversion…
1.7k mots
4.52
5.1k
0

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 08/16/2023
Créé 08/08/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je viens de passer vingt-quatre heures l'hôpital, où l'on tente de me soulager d'une crise de douleur aiguë. Une aide-soignante un peu perverse tente d'apaiser mes souffrances avec des moyens peu conventionnels...

La nuit suivante, le petit jeu reprit... Mélissa pénètre dans ma chambre avec un sourire étrange sur les lèvres. Je dois bien avouer qu'à ce moment, je la trouve ravissante: ses cheveux sont lâchés sur ses épaules, sa tenue de travail est différente et met davantage en valeur sa taille fine. Mais je ne me sens pas d'humeur lubrique: les douleurs ont repris... Et ça se lit sur mon visage, si bien que de suite, elle voit que quelque chose cloche et me lance de façon très cash:

« Bonjour mon chou, si tu veux des antalgiques, il va falloir être docile... j'ai été patiente hier... frustrée mais patiente. Ça ne sera pas le même scénario cette nuit » dit-elle avec un sourire sardonique en claquant la porte.

Le changement de ton est radical. Je comprends à ce moment-là qu'elle ne plaisante pas et que je ne me suis pas fait de film. Mais de mon côté aussi je suis résolu, la nuit précédente m'avait mis terriblement mal à l'aise, les actes semblaient "médicaux" mais j'avais quand même l'impression d'avoir trompé ma femme...

Pourtant, vers deux heures du matin, je n'en peux plus. Les douleurs sont terribles et je me décide à contre-cœur à sonner l'alarme... Quelques secondes plus tard, l'aide-soignante entre dans la chambre, et me lance:

« Alors, on est enfin décidé? »

Je ne réponds pas, mais elle se laisse tomber sur le lit et commence à se déshabiller, puis elle relève ma blouse et se met à me toucher le pénis et les testicules... Il n'y a plus d'ambiguïté sur son objectif! Pourtant, je ne sais pas ce qu'elle imagine, mais avec la douleur intense qui me tenaille et qui bat jusque dans mes couilles, tout désir et toute possibilité d'érection semblent inhibés chez moi. Rapidement, elle semble s'en rendre compte et me dit presque en chuchotant:

« T'inquiète, j'avais prévu ça... Mais j'ai de quoi te redonner de la vigueur! »

Sitôt dit, sitôt fait : elle sort une sorte de sonde d'un emballage stérile et commence à l'introduire dans ma verge molle... Avec l'énergie du désespoir, je tente de me dégager: je lui plaque une main dans le dos, et je la repousse en gesticulant... mais c'est sans compter avec mon état physique diminué : Elle se lève prestement, s'assoit à califourchon sur mon visage en me maintenant les bras contre le corps avec ses cuisses. En quinze secondes, je suis immobilisé et elle a le champ libre pour s'occuper de ma bite...

« Pendant que tu es là, tu peux lécher ma chatte? Aller, dépêche-toi... Si tu veux que je sois douce, il faut que tu fasses un effort... » minauda-t-elle.

Le nez collé à son anus et la bouche à sa vulve, je suis dans l'impossibilité de voir ce qu'elle est en train de me faire. Alors, avec un terrible sentiment d'impuissance, je commence à visiter son sexe avec ma langue, non pas que je craigne une douleur pire que ce que je supporte déjà, mais c'est plutôt une forme de résignation... Je sais que j'ai perdu cette bataille. Elle mouille déjà abondamment et inonde mon visage de sécrétion à chaque fois que je touche son clitoris.

Elle commence alors à glisser la sonde dans mon urètre, je sens instantanément le raclement du tuyau de plastique remontant loin dans mon bas ventre. J'eus ensuite le droit à une courte pause: elle semble s'affairer sur autre chose, mais d'un seul coup un liquide glacé parcourt le tuyau et se diffuse dans mes chairs. La douleur est terrible, je me mets à bouger dans tous les sens. Je veux crier, mais aucun son ne sort de ma bouche qui à la place se remplit de sécrétions acidulées.

Après trente secondes d'horreur, la douleur se calme un peu et je sens une érection arriver, l'aide-soignante relâche son étreinte en relevant un peu ses fesses. Un long filet de mouille continue de relier son sexe à mes lèvres, jusqu'à ce qu'entre ses seins, je puisse enfin voir mon propre sexe: il est alors en train de grossir énormément et de façon complètement grotesque: mon gland a gardé une taille normale, mais le corps de ma bite fait au moins deux fois son diamètre habituel. Je sens que ma queue est lourde et amorphe et elle a pris une vilaine couleur violacée... De son côté, Mélissa profite de ce moment pour m'entraver sur le lit avec les sangles de contention du lit médicalisé et me dit:

« T'inquiètes pas: c'est un mélange de Chorulon et de Detosedan, c'est ce que l'on donne aux étalons dans les fermes quand ils ont des petits soucis! Par contre, pour le dosage, j'ai fait au feeling... »

Elle éclate de rire et commence à me sucer: cela n'a aucun effet sur la taille de ma verge déjà énorme mais c'est particulièrement désagréable: le moindre contact avec mon gland est un supplice et je me tortille en poussant des gémissements de douleur. En plus de cela, du liquide séminal collant s'échappe de façon régulière de mon sexe qui palpite doucement comme une énorme limace agonisante. C'est vraiment répugnant et effrayant à la fois, mais étonnamment, cela semble attiser son désir...

Aussi, sans attendre, elle se place au-dessus de moi et tente de se pénétrer avec mon engin difforme. La tâche n'est pas aisée: ma bite est grosse mais flasque et sa chatte est tellement humide qu'elle doit s'y reprendre à plusieurs fois. Finalement elle parvient à y rentrer la totalité de ma queue et commence un mouvement de vas et vient rapide. La douleur est forte et les sensations très désagréables, mais je suis soulagé de constater que son désir monte rapidement: mon supplice n'en sera que plus court...

Ayant presque atteint l'orgasme, je l'entends murmurer pour elle-même:

« Non non non... pas maintenant... »

Aussitôt, elle ralentit le rythme, et se met à faire de tout petit mouvement très lent, ce qui est aussi moins désagréable pour moi. Elle se penche alors au-dessus de ma tête et fait frotter doucement ses tétons sur mon visage. Je saisis l'occasion et j'attrape un mamelon avec mes lèvres, j'ai juste eu le temps de le lui mordre farouchement avant de me prendre une gifle cinglante. Mais je suis content de moi: elle pousse un cri de douleur strident et je perçois le goût du sang dans ma bouche... Pourtant, cela ne suffit pas à la calmer: au contraire, elle s'allonge sur moi et m'embrasse à pleine bouche tout en continuant de bouger ses larges hanches qui font de grands mouvements lents et amples.

Je ne sais pas si c'est sa langue dans ma bouche, ses seins écrasés contre mon torse ou ses grosses fesses qui travaillent ma bite depuis maintenant vingt bonnes minutes, mais je finis par jouir... Là encore, c'est douloureux... Un peu comme si mon foutre restait bloqué dans la tuyauterie. Je ne suis même pas sûr qu'elle s'en soit rendue compte car elle continue ses mouvements encore et encore.

Après quelques minutes, elle change de position et je vois ses fesses larges et rondes s'écraser sur mon bas ventre, je sens alors un second orgasme arriver... Nouvelle douleur cinglante dans le bas ventre, elle accélère le rythme, se donnant maintenant de grands coups de butoir dans la chatte. Je peux voir ma queue énorme et bleue rentrer et sortir de sa chatte trempée de sa mouille et de mon sperme collant qui sort maintenant presque sans interruption de ma bite: nouvel orgasme douloureux. Elle s'empale désormais complètement sur mon sexe en donnant de grands coups de rein d'avant en arrière. Je suis au supplice, mais elle semble au bord de la jouissance: sa respiration s'accélère, et ses gémissements sont de plus en plus répétés et profonds. Enfin dans un ultime mouvement de bassin, elle explose dans un long râle guttural, et moi je jouis douloureusement une fois de plus...

Après quelques secondes immobiles durant lesquelles elle reprend son souffle, elle se relève maladroitement au-dessus de moi. Ma bite glisse mollement hors de sa chatte qui se vide de ce qui me semble être des litres de sécrétion tiède se déversant sur mon bas ventre en petites vagues successives.

Melissa s'allonge ensuite près de moi, complètement nue, trempée de sueur avec ses cheveux emmêlés. Je constate qu'un de ses tétons est encore enflé et couvert de sang... Je souris...

Elle approche son visage du mien, dans ses yeux, je vois passer un éclair de folie et je commence à prendre peur... Elle m'embrasse en fouillant profondément ma cavité buccale avec sa langue. Puis, elle saisit ma lèvre inférieure entre ses dents et la mord violemment: je retiens un cri. Elle me lance en examinant son téton blessé :

« C'est dommage, c'était bien parti pour que l'on passe une bonne soirée et toi tu gâches tout... T'aurais pas dû faire ça... »

Après quelques minutes de silence, elle se lève et tout en s'habillant, elle ajoute :

« Tu comprends, une agression sexuelle dans un hôpital, ce n'est pas tolérable... Je vais devoir en parler à mes supérieurs... Je suis désolé mais je vais te laisser les entraves: je ne voudrais pas que tu blesses une autre collègue »

Enfin, elle quitte la pièce dans un grand éclat de rire. A ce moment, je comprends que son petit jeu malsain est en fait un piège dans lequel je me suis complètement englué. Sur ces sombres pensées, je ne tarde pas à tomber dans un profond sommeil terrassé par la fatigue et la douleur.

À mon réveil, le lendemain matin, je suis plutôt en forme: mes entraves ont disparu, de même que la douleur. Ma lèvre reste un peu gonflée mais ça n'était rien face aux supplices endurés dans la nuit.

Le médecin ne tarde pas à passer et m'annonce souriant que ma prise de sang est bonne et que si les douleurs restaient gérables, je pourrais sortir dans la soirée. Cette perspective me réconforte à double titre: je vais quitter l'hôpital et ce sera avant le retour de mon bourreau. Je me pense tranquille pour le reste de la journée, mais je suis loin du compte: ma dernière journée sera sans doute la pire...

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 8 mois

Je souffre avec lui ! Mais je veux bien connaître la suite...

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Le Donneur L'infirmière se découvre une obsession pour un étalon noir.
The Tammy Rogers Real Estate Co. Selling real estate may be the last thing on anyone's mind!
FuckBuddy to the Rescue Frankie gives up her ass to very persistent Johnny.
Exitlude Rich woman buys captured soldier to be her slave-boy.
A Night for Firsts A true story about my first threesome and bi encounter.
Plus d'histoires