Humiliation Au Sex-Shop

Informations sur Récit
Une histoire de pari perdu et une punition méritée.
1.8k mots
4.46
11.3k
5
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je peux en témoigner, parier bourrée est fortement déconseillé.

Tout a commencé à cette soirée d'anniversaire entre filles et cette succession de paris stupides, allant crescendo au fur et à mesure que l'alcool faisait son effet.

Nous sommes quatre quadras, Valérie, Laurence, moi-même Jade, et Julie dont nous fêtons justement les quarante ans.

Après un bon restaurant, nous nous sommes retrouvées chez cette dernière, à enchaîner les cocktails et les paris stupides et osés.

Valérie vient de revenir seins nus et en petite culotte du coin de la rue au grand plaisir d'un groupe de jeunes, croisés au même moment, sous nos encouragements depuis le balcon.

Elle doit imaginer le prochain pari, et décide qu'une de nous, va se faire prendre à voler quelques chose chez un commerçant, et devra proposer en plus du règlement de l'article, un dédommagement sous forme d'une fessée.

Elle nous demande d'inscrire chacune, sur une feuille de papier, un article, une tenue, un commerce, son propre prénom.

Nous mélangerons les papiers dans quatre boites différentes et tirerons ainsi la totalité du pari au hasard.

Nous nous exécutons, en gloussant et pouffant, imaginant les pires scénarios.

Je tire le premier papier dans la boite "articles", sur lequel est écrit -Préservatifs-.

C'est autour de Valérie d'ouvrir la boite "Tenue" et de lire -Ecolière en jupe et corsage blanc-

Julie prend la boite "Commerce" , pioche un papier et dans un éclat de rire nous cri -Sex-shop

Il reste la dernière boite dans laquelle figure nos quatre prénoms. La tension, malgré les sourires de circonstance, est palpable, car aucunes n'a réellement envie d'être tirée au sort.

Valérie mélange bien une dernière fois, plonge la main et déplie le papier. Il y a marqué "JADE".

Les cris de joie de mes copines résonnent et j'ai l'impression d'être un peu assommée.

Devoir aller voler des préservatifs, dans un Sex-shop, habillée en écolière, ne m'emballe absolument pas.

De plus je n'ai jamais mis les pieds dans ce genre de magasin, et je suis quasiment toujours en jeans et baskets.

D'ailleurs je me rend compte que je ne me suis pas décrite.

Je me prénomme donc , Jade, j'ai 42 ans, mesure 1m68 pour 60 kilos, de petits seins en forme de poires, une taille assez fine, un beau fessier qui attire tout de suite l'œil des hommes et j'arbore une chevelure brune mi-longue.

Nous voilà donc le jour J.

Mes copines sont là, et me prennent en photo dans ma tenue ridicule, d'écolière à la mode japonaise, jupe blanche plissée et corsage blanc.

J'ai mis des dessous sages en coton blanc, afin d'en dévoiler le moins possible, lors de la fessée.

Nous partons toutes les quatre, direction Gare de Lyon, où nous avons repéré un sex-shop.

Le but est donc de dérober un paquet de préservatifs, me faire prendre, rembourser l'article et négocier une fessée en dédommagement du préjudice.

Autant mes copines sont toutes excitées à l'idée de cette épreuve, autant en ayant retrouvée ma sobriété, je suis nettement moins enthousiaste.

En effet, je suis relativement pudique, toujours habillée de pantalons et sweat, et rien que d'être en jupe, me donne l'impression de m'exhiber.

Nous arrivons aux abords du magasin.

Elles me souhaitent bonne chance et me précédent à l'intérieur de ce dernier.

Je prends une grande inspiration, écarte le rideau d'entrée et pénètre dans la boutique.

La caisse est tout de suite à droite, et l'homme qui la tient, et qui paraît être le gérant me salue.

A part mes copines qui gloussent au fond, il n'y a pas foule dans les rayons.

Je repère tout juste trois clients, qui d'ailleurs, vu ma tenue, me dévisagent, sans se gêner, me prenant sûrement pour une fille facile, tendance exhibitionniste .

Il y a un trentenaire boutonneux au regard fuyant, encore puceau à coup sur, puis un homme d'un certain âge, à vue de nez la soixantaine passée, au regard pervers, et un arabe d'une cinquantaine d'année qui semble subjuguée par ma plastique.

J'observe avec étonnement la quantité de produits exposés, poupées, tenues érotiques, sextoys, jeux, accessoires de bondage, produits de bien-être, aphrodisiaques, stimulants et lubrifiants, DVD, bref le paradis des baiseurs.

Je repère le rayon des préservatifs.

Je jette des coups d'œil furtifs autour de moi et glisse rapidement dans mon sac une boite de Durex.

J'ai l'impression que le gérant m'a vu faire mais pas les autres clients.

Je me conforme à la lettre au scénario, toujours observée de loin par mes copines.

Le moment décisif va arriver, puisque je me dirige vers la sortie.

Je passe la caisse et le patron m'interpelle aussitôt.

Je reviens sur mes pas et lui demande ce qu'il veut. Il me prie d'ouvrir mon sac.

Je m'exécute. Il me demande de sortir la boite de préservatifs et sollicite des explications.

Je lui explique que j'étais dans mes pensées et que j'ai oublié le fait d'avoir déposé cette boite dans mon sac. J'ajoute que je vais immédiatement la régler et que je mérite peut-être une fessée pour me faire pardonner.

A ces mots, les autres clients se sont rapprochés, ainsi que mes copines. Je suis rouge de confusion.

Le patron me demande si j'ai volé autre chose.

Je lui répond que non, et ajoute que ce n'est pas un vol, mais juste un oubli.

Il m'attrape le bras, et me dit qu'il va appeler la police.

Je commence à paniquer et alors que quelques larmes commencent à couler sur mes joues, mes copines interviennent et expliquent l'histoire de ce pari stupide et de la fessée finale.

Tous les clients de la boutique, regarde maintenant le gérant, espérant que ce dernier accepte ce dédommagement.

Il me demande alors, d'ouvrir mon chemisier afin de vérifier que je ne dissimule pas d'autres articles. Je suis obligée de m'exécuter, et je défais un à un les boutons. Il me demande ensuite de lui donner.

Puis d'un geste brusque, il soulève mon soutien gorge, faisant apparaitre à la vue de tous, mes seins laiteux.

Je tente de protester, mais les mots appel et police, calment tout de suite mes ardeurs.

Il me demande maintenant de lui donner mon soutif et ma jupe.

N'ayant pas le choix, je m'exécute et me retrouve en petite culotte de coton blanc, tentant de masquer maladroitement mes seins à la vue des trois obsédés.

je suis rouge pivoine.

Il me demande de me pencher sur le comptoir afin de me donner cette fameuse fessée.

Il me plaque sur ce dernier et le froid du métal, fait immédiatement durcir mes tétons.

Je sens ses doigts saisir l'élastique de ma culotte, et avant que je réagisse, cette dernière est tirée sèchement vers le bas, dénudant mes fesses.

Mon postérieur est offert aux voyeurs et mes globes fessiers reçoivent les tapes attendues.

La souffrance est vive car le patron met toute sa fougue dans cet exercice, et à force de bouger mes jambes, pour essayer d'atténuer les impacts et la douleur, je dévoile sans le vouloir une partie de mes trésors cachés.

Enfin, après un temps qui me semble interminable le supplice prend fin et le patron me relève face contre mur, en demandant à mes copines, si le pari leur semble réussit.

Mes fesses me font un mal de chien et doivent être écarlates.

Valérie, afin de me préserver, s'empresse de répondre par l'affirmative, et le gérant leur demande de quitter la boutique.

Je me retourne, surprise, tentant de dissimuler d'une main mon sexe et de l'autre mes seins, aux regards lubriques des quatre hommes, et demande que mes amies m'attendent, le temps que je remette mes habits.

Le patron me rétorque qu'il vient d'accéder à notre demande concernant la fessée, mais que ma punition en tant que voleuse reste à venir.

Il m'ordonne également de mettre les mains sur la tête, afin que ses clients puisse apprécier, tranquillement la beauté de mon corps.

Ces derniers sont ravis et goguenards en voyant ma gène provoquée par cet ordre.

Et me voilà, punie comme une petite fille, les mains sur la tête, complètement nue, face à quatre mâles excités.

Le pire est que cette situation commence à m'exciter.

Les pointes de mes seins sont gonflées de désirs et mon abricot tout lisse commence à s'humidifier.

Mes copines sont raccompagnées vers la sortie et je me retrouve seule, attendant la sentence du patron.

Vu le risque de perdre mon emploi, ou mon ami, à cause d'un vol commis, je ne peux rien faire.

Je vais devoir exécuter toute sentence prononcée et cette humiliation en public est en train de m'exciter au plus haut point.

Le gérant s'adresse alors à ses clients.

- 3 clients, 3 trous, le compte est bon!! qui veux commencer?

Le boutonneux lève la main et le gérant me donne l'ordre de lui faire une petite gâterie.

Je m'agenouille, baisse sa braguette et sort son membre déjà dressé. Je le fais glisser entre mes lèvres, ma langue tournant délicatement atour de son gland rouge d'excitation. Je pense que pour lui c'est vraiment la première fois et après quelques allés et retours, il crache sa semence dans ma bouche. Je finis de lui nettoyer son gland et lui rend une bite toute propre .

Le patron me couche sur le dos et le vieux approche aussitôt.

Il m'écarte les cuisses.

Mon abricot glabre, humidifié par ma mouille s'entrouvre, dévoilant mon intimité secrète, que son pieu de chair investit aussitôt.

Il commence ses va-et-vient dans mon fourreau brulant et lubrifié.

Je ne peux empêcher des gémissements de plaisir de s'échapper de ma bouche.

Pour lui aussi, le plaisir survient rapidement et un jet de sperme inonde mon vagin.

Je suis repositionné à plat ventre contre le comptoir et l'arabe déjà dénudé m'écarte les fesses, dévoilant mon petit trou plissé.

Il pousse sa bite lentement, investissant mon fondement serré.

Etant habituée à la sodomie, la douleur provient plus des claques qu'il inflige à mon postérieur, qu'à l'intromission de son mandrin de chair.

les mouvements sont de plus en plus rapides et ses couilles butent contre mon cul à un rythme régulier.

Avec toujours la bite dans les fesses, le patron me relève, et me demande de lui entourer le cou de mes bras. Il m'écarte les lèvres et introduit une deuxième bite en moi.

Je suis prise debout en sandwich et c'est une première pour moi.

Les deux hommes synchronisent leurs mouvements, mes seins sont pelotés et mes tétons titillés par les deux autres participants.

les tissus érectiles de ma vulve et de mon vagin commencent à se remplir, et quelques gouttes de rosée commencent à perler. Mon utérus réagit en multipliant ses contractions.

Ma respiration s'accélère, puis mon corps se tend et je suis emportée par un orgasme monumental qui irradie tout mon corps.

Dans un synchronisme quasi parfait les deux phallus déversent en moi leur liqueur séminale.

Le patron me tend la boite de préservatifs en me disant que c'est cadeau, me pousse sur le trottoir et me lançant mes vêtements, me dit que je suis la bienvenue pour un autre vol.

Je me retrouve ainsi dans la rue, nue, du sperme coulant des mes orifices et encore groggy par ce formidable orgasme.

Je peux en témoigner, parier bourrée est fortement déconseillé,......... ou pas!!!

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
10 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Génial, on veut une suite !!

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

superbe histoire très bien écrite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Parfait

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

génial

AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Très excitant on en voudrait plus !

Montre plus
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
La Punition J'ai bien mérité ma punition.
Lucia, Esclave Entrée Lucia, jeune femme de 24 devient la soumise parfaite.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
Initiation - 01 (ses 18 ans) Pour Manon, un anniveraire très spécial avec ses parents.
Plus d'histoires