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BÊTA PUBLIQUE

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La gaine est remplie de sperme, de pisse, de sang dans une drôle de couleur. Avec il saisit l'étron que j'ai perdu tout à l'heure et l'écrase avec les pointes. Il m'ordonne de lécher et nettoyer la gaine, qu'elle soit comme neuve. Je ne réfléchis pas, je ne veux pas réfléchir, je la lèche doucement, me déchirant le bout de la langue si sensible, rajoutant un peu de sang à celui déjà présent. Le goût est indéfinissable, je m'applique, comme si ma vie en dépendait, mais il me faut bien 10 minutes pour arriver au résultat qu'il souhaite. Je saigne de la langue et des gencives, quelle curieuse torture, cela ne m'excite pas du tout, mais je ne suis pas trop en état de penser, je suis partagé entre l'envie de baiser les pieds de mon Maître et celle de m'enfuir de cet enfer. Je choisis la première option et me met à 4 pattes pour lécher ses chaussures. Il les soulève et me sentant encore plus misérable, je lèche ses semelles sales. Il les essuie sur mon visage, avant de me gifler longuement. Je suis sonné.

Mon Maître me remet le bâillon gode au fond de la gorge, tout de suite je sens l'angoisse monter. Il me fait rentrer dans une cage à 4 pattes, elle est un peu juste pour ma taille, je dois rentrer ma tête entre les bras pour y tenir dans cette position. J'ai les croisillons sous les genoux, c'est douloureux. Mes poignets sont cadenassés aux deux coins de la cage, tout comme mes chevilles aux deux autres coins. Je ne peux pas trop bouger. Cela ne suffit pas à mon tortionnaire qui m'écarte les cuisses pour les attacher à la cage avec des lanières de cuir. Mes jambes sont écartées au maximum. Un ceinture vient parachever mon immobilisation passant par le haut de la cage et me comprimant le ventre aussi fort que mon Maître peut tirer, entravant un peu plus si besoin était ma respiration. Je suis super mal, mes muscles sont mis à rude épreuve, je voudrais implorer mon Maître mais je ne peux émettre qu'un faible bruit. J'ai peur de ne pas arriver à respirer et de m'étouffer ainsi, c'est sur, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.

Maître ouvre une trappe à l'arrière de la cage, je ne vois pas ce qu'il fait mais je sens une fraicheur sur mon cul. Il m'enduit de crème, c'est apaisant pour mon cul irrité, mais je sais bien que ce n'est pas pour cela qu'il le fait. Il entre trois ou quatre doigts et force bien l'entrée, je gémis dans mon bâillon, j'aime cette sensation d'être pris ainsi. Je sens son pouce et sa main qu'il veut rentrer, la pression est très intense, la douleur aussi, mais il n'insiste pas plus que cela, me laissant à la fois soulagé et vide.

Mais pas pour longtemps. J'entends un raclement, et un objet se positionner sur mon cul. J'entends mon Maître faire quelques réglages, et pousser l'objet au fond de mon cul. Il est imposant et surtout sans fin, du diamètre environ de mon plug que j'ai pris pour venir le voir, mais sans l'amincissement à la base permettant de soulager l'anus et de le maintenir en place. Je me sens très rempli ainsi. Un moteur se met en route et je sens l'engin en moi se retirer puis revenir me fendre en deux. Mon Maître a installé une fuck machine en moi. La sensation est étrange, ma prostate est comprimée, je sens une envie d'éjaculer mais rien ne vient. Je tremble de tous mes membres, ne sachant si c'est de plaisir, de souffrance ou de désagrément.

— Bonne nuit la pute, demain tu auras le cul bien ouvert.

Je n'en crois pas mes oreilles, je ne peux rester ainsi plus de quelques minutes, mon Maître s'éloigne, la lumière s'éteint, je pleure doucement.

La lumière s'allume à nouveau. Les heures ont passé, et Maître est venu plusieurs fois, remettre du lubrifiant, me pisser dessus aussi, mais rien pour alléger ma souffrance. Je me sens complètement détruit, épuisé, bon à rien. Mes muscles et mes tendons me font mal partout, je n'imagine pas pouvoir me sentir bien à nouveau un jour.

Malgré ma situation mon sexe est resté tendu toute la nuit, dur comme jamais, sans que je puisse me toucher, le sperme glissant doucement comme pour me vider contre ma volonté, la prostate écrasée sans cesse par le gode allant et venant inexorablement. Avec un plaisir secret, je sens comme il ne force plus pour rentrer en moi, mon anus a cédé et je suis maintenant très ouvert, ce qui ne manque pas de m'exciter. Je sens que des sécurités sont en train de lâcher en moi, que plus rien n'a d'importance que d'être utilisé comme un jouet et de sentir la vie en moi au travers de la souffrance et la contrainte.

Cela ne fait pourtant pas longtemps que je suis arrivé, mais sans doute étais-je prêt et Maître a su le voir en moi. Je sens mon cœur rempli de désir tandis qu'il détache les liens qui me relient à la cage. Le gode est enfin arrêté, laissant mon cul tout béant, et j'ai même le bâillon qui m'est à nouveau retiré. Je veux me précipiter à ses pieds, mais je m'écroule ne tenant pas sur mes genoux blessés, et je rampe jusqu'à lui pour lécher ses semelles avec dévotion. Un tremblement profond me ravage, je me sens rempli d'une onde de jouissance qui me terrifie : j'ai joui sans son autorisation et sans même me toucher.

— Non mais que voilà une lope pareille. Ne t'ai-je pas interdit de jouir sans mon consentement. Même si tu ne t'es pas touché cela est interdit. Je voulais te proposer un peu de repos mais je suis trop bon pour toi.

Je me mets à genoux, je voudrais l'implorer mais je ne sais comment faire, je me presse à nouveau contre ses jambes, je prends l'initiative de coller ma bouche contre son short, je sens son sexe dur comme de la pierre, je le lèche un peu espérant qu'il me laissera le prendre en bouche, mais il se lève et me tire par les cheveux, avant de m'attacher à nouveau les bras en l'air. Il me remplit le cul avec un plug gonflable, j'entends l'air qui rentre, le ballon se gonfler. La pression est énorme, mais Maître continue sans sourciller, je commence à pleurer, à crier. Il stoppe le temps de me remettre le bâillon dans la gorge, qu'il sert comme un fou, et recommence à gonfler. Je hurle en silence, mais il continue, j'essaie de m'échapper, mais bien sûr je ne peux pas. Quand il arrête, je sens mon ventre gonflé par le plug monstrueux en moi. Il ne risque pas de sortir.

Maître prend une fine cordelette qu'il noue autour de mon prépuce qui devient rapidement rouge puis noir. Il prend des haltères et pend à mon sexe ainsi exposé 10 kg qu'il lâche progressivement. La douleur est fulgurante, mon prépuce va tomber j'en suis sûr. Je l'espère même pour me sentir ainsi libéré, mais cela n'arrive pas. J'essaie de contrôler ma respiration, c'est terrible.

Puis c'est au tour de mes couilles d'être prises dans un parachute qui les tire vers le bas. Un nouveau poids de 10 kg, la douleur remonte vivement dans le ventre, je sens encore les coups reçus la veille, j'ai le souffle coupé. Je ne sais plus où j'ai le plus mal. Pourquoi autant de sadisme? Je me promets de toujours obéir, je suis totalement terrorisé par l'imagination de mon tortionnaire. Je sais que je n'en sortirai pas vivant, mais je veux essayer de ne pas trop souffrir.

Ce n'est hélas pas fini, je me retrouve avec les deux tétons percés de deux aiguilles en croix. Les aiguilles sont épaisses, mais la douleur n'est rien comparée à ce que je subi par ailleurs. Une fine cordelette à la base, retenue par les aiguilles, permet à Maître de bien tirer sur les tétons. Cette fois ci ce sont des poids de 4 kg à chaque téton que je reçois. Je comprends que jamais des pinces n'auraient pu tenir. La sensation est indescriptible, l'impression que mon corps est tout attiré par le bas, je deviens spectateur de ma souffrance incapable d'assumer toute la douleur de mon corps. Maître s'amuse à faire balancer les différents poids, doublant la douleur ressentie, puis donne 5 coups de plus au plug et s'en va en me laissant. Il me promet de venir me libérer dans quelques heures pour me laisser rentrer chez moi.

Le jour tombe, la voiture s'arrête, le coffre s'ouvre. La laisse est tirée et je me mets à 4 pattes sur le bas-côté aux pieds du Maître. Par instinct je lui baise les pieds avec dévotion. Il m'a libéré peu avant de ma punition terrible, a utilisé ma bouche puis mon cul pour son plaisir, m'a fait le boire et lui nettoyer le cul, avant de décider de me raser complètement la tête, la rendant lisse comme une boule de billard.

J'ai dû remettre mon plug, qui est entré comme dans du beurre, tenant à peine. Mon cul est vraiment distendu, c'est une sensation très particulière. J'ai remis également ma gaine cloutée, cela a été douloureux car mes couilles et mon sexe sont meurtris de toute part, puis mes pinces qu'il a serré au maximum alors que mes tétons et mes seins me lancent sans arrêt ce qui m'inquiète. Je repars comme je suis arrivé. Simple détail il garde la clé du cadenas de ma gaine cloutée et a rajouté un cadenas au collier que je porte maintenant très serré depuis qu'il a rajouté un trou. Nous sommes sur une route de campagne, mes vêtements sont par terre, il a gardé mon argent, mes papiers, je n'ai sur moi que la clé de chez moi.

— Tu rentres chez toi la larve. Ce que je t'ai fait endurer ces deux jours, eh oui cela fait deux jours, nous sommes dimanche, ce n'était que pour voir ce que tu supportais. Sache que je peux bien pire, pas seulement physiquement mais aussi dans la déchéance totale en te dressant comme un animal. Alors voilà, vendredi je serais au même endroit à t'attendre, coffre ouvert. Ou bien tu viens et c'est définitif, tu ne contrôles plus rien, ou bien tu ne viens pas, et je ne veux plus jamais entendre parler de toi. Il n'y aura pas de seconde fois. Pendant ces quelques jours tu as le temps de réfléchir et de décider, et de te préparer si tu veux venir. Cependant, sache que si tu ne viens pas, alors j'enverrais quelques dizaines de photos et vidéos prises par ce week-end à différentes personnes de ton carnet d'adresse. Juste pour compenser le temps que tu m'auras fait perdre. Ici tu es au milieu de nulle part, je t'ai laissé tes vêtements, tu t'en tires bien, débrouille toi pour rentrer. Oh j'ai juste gardé ton écharpe comme cela tout le monde verra bien ton collier de chien et le cadenas qui le ferme. Si le collier n'est plus en place ou ta gaine n'est plus là, inutile de venir vendredi. Est-ce que je suis bien clair, la larve?

— Oui Maître, merci Maître de vous occuper de la larve.

— Tu sais ce qu'il te reste à faire alors. Oh encore un détail, tu ne devrais pas laisser ainsi tes mots de passe sur ton smartphone, j'ai eu accès à tous tes emails, et même tes comptes bancaires. Ne soit pas surpris de découvrir qu'il ne te reste presque rien sur tes comptes. Juste un acompte sur les frais que tu nécessites.

Je n'arrivais plus à penser, plus à respirer, je ne croyais pas ce qu'il venait de me dire. Les lumières de la voiture disparaissaient, je me sentais tout seul, en fait abandonné. Enfin libre mais je ne savais pas quoi faire, je repensais à tout ce que j'avais subi, en oubliant sans doute la moitié, sentant mon sexe souffrir au milieu des pointes dans une érection insoutenable. Je me cachais dans le fossé, et avec fièvre me caressait au travers du cuir et des pointes, libérant en quelques secondes un orgasme dévastateur. Je m'écroulais assommé de toutes ces émotions.

J'arrive chez moi lundi au petit matin. Un routier m'avait déposé dans Paris, faisant ses livraisons à l'aube, puis j'étais rentré à pied jusqu'à mon appartement. Il ne m'avait pas posé de question sur ma mine défaite, mon collier serré, ma bouche restant grande ouverte malgré mes efforts, les muscles de la mâchoire ne répondaient plus. J'étais allongé sur mon lit, repensant à ces deux dernières journées, à cette folie qui m'avait prise de ne pas prendre plus de précautions, à ces émotions que j'avais ressenties. J'étais encore tout rempli de cette fébrilité délirante que je connaissais et qui me prenait à intervalle régulier, mais chaque fois elle avait disparu quand au terme de multiples auto punitions et humiliations je me faisais jouir une ou deux fois. Je devais l'avouer, au lieu de se calmer cette folie me prenait encore tout entier. Je m'endors ainsi, sans même songer à me soulager du plug ou des pinces à sein.

Je me réveille en sursaut en repensant à ce que Maître m'a dit sur mon argent. Je ne peux l'appeler autrement. Je me précipite sur mon ordinateur et je contrôle, cela n'était que pour me faire peur, mon solde de 2 200 € n'a pas bougé. Pourquoi a-t-il fait cela? Est-ce que le reste est du bluff aussi? Je contrôle mes mails, essentiellement du spam, le dernier est de lui, de ce matin. Plein de fébrilité, je m'assois bien sur mon siège pour enfoncer plus encore le plug et bien le sentir en moi.

« Ma petite chose,

Sur www.slaveregister.com tape le numéro 165-852-945 tu vas avoir une surprise. Je pensais envoyer le lien d'abord à ta famille, puis à tes amis et enfin à ton bureau, qu'en penses-tu?

N'oublie pas, n'enlève ni le collier ni ta cage cloutée, sinon inutile de venir vendredi ni de venir pleurnicher car tout le monde découvrira quelle trainée tu es.

Ton Maître »

Je connais ce site, il permet d'immatriculer son esclave. Mon Maître y a mis des photos de moi, dont certaines de visage, je suis reconnaissable sans aucun doute. Il y a aussi mon adresse, mon portable, et toute une série de clichés de ce weekend. Là aussi impossible de me rater, elles sont vraiment très hard, je ne suis pas certain d'en avoir vues d'aussi excitantes. En même temps c'est moi, alors cela ne me fait pas d'effet.

Enfin si, j'ai le cœur qui bat à toute allure. Je voulais un vrai pervers, je suis tombé aux mains d'un des plus pervers que je connaisse. Je m'allonge sur le lit et je pleure sans discontinuer. Je ne sais pas ce que je pleure, ni pourquoi. Tout en continuant à pleurer, j'enlève machinalement le gros plug en moi. Il est douloureux mais pas tant que cela, et sort très facilement, je suis vraiment déjà élargi, c'est fou. Comme je n'ai rien mangé depuis longtemps il est bien propre. Pour les pinces c'est plus délicat, mes tétons sont en sang avec de nombreuses croûtes. La douleur est intenable quand j'enlève la première, je me mords la main. Pour la seconde je fais beaucoup plus doucement. Mes tétons sont dans un très sale état.

Je m'allonge sur le lit, je suis excité, c'est terrible. Je prends le double de la clé pour ouvrir ma gaine cloutée, le cadenas claque, et à cet instant je me rends compte que je suis en train de faire un choix rédhibitoire, et je ne suis pas certain du tout de ce choix. Je referme le cadenas, je m'allonge au pied de mon lit, et je m'endors à nouveau en caressant mon sexe avec les pointes acérées.

Le train file à toute vitesse, je goûte mes derniers moments de liberté. Franchement je suis mort de peur, bien plus que la première fois. Mes tétons sont encore très douloureux et remettre les pinces a été difficile, tout comme le plug dans mon cul, que j'ai bien soigné à l'homéoplasmine. Mes fesses sont marquées, c'est encore plus impressionnant, noires, violettes, bleues, et toujours aussi douloureuses.

J'ai réalisé que si je ne venais pas ce vendredi, ma vie n'avait plus aucun sens. J'avais toujours rêvé de cette situation, un fantasme bien sur, cette fois-ci il m'était proposé et si je ne le saisissais pas, je ne saurais plus quoi faire, plus rien à attendre, plus rien qui me fasse envie, et je serais sans doute dans le regret éternel. Cela a été frappant dès que la décision a été prise, je n'avais au fond rien à perdre, et je ne laissais rien derrière moi. Je n'avais même pas pris la peine de prévenir qui que ce soit de ma famille ou de mon employeur, je disparaissais ainsi sans explication, et c'était bien plus simple. En fait je n'avais rien que je regrettais de quitter.

Le train s'arrête, c'est le moment de me décider, je me lève, je descends, je ne réfléchis plus. Comme promis la voiture est là, le coffre entrouvert. Je me déshabille rapidement, ne gardant que les clés de chez moi et mon portable, jetant mes affaires dans une poubelle à côté, je m'engouffre dans le coffre que je referme derrière moi, la voiture démarre, je tremble de fébrilité.

Le coffre s'ouvre, et je sors, me mettant immédiatement à 4 pattes aux pieds de mon Maître que je baise. Il vérifie mon collier toujours serré, la marque est rouge vif et sans doute définitive tant je sens ma peau marquée, puis mon sexe enfermé dans sa gaine, le cadenas intact. Il prend mon téléphone et mes clés, je n'ai rien, je suis nu, je suis à lui tout entier.

Je le suis difficilement à 4 pattes, toujours sans qu'un seul mot n'ait été prononcé. Nous allons sur la pelouse, il fait un peu frais, je frissonne. Au milieu du jardin il m'immobilise, me force à me coucher et m'attache les jambes et les bras en croix, maintenus par des pics profondément enfoncés dans le sol, je sens mes muscles s'étirer, j'ai encore plus froid en plein contact avec la terre. Il soulève ma tête, et m'urine dans la bouche, j'avale tout goulûment, heureux de le satisfaire ainsi. Je me sens apaisé, sans pouvoir rien contrôler. Il tire mon paquet enfermé en arrière qui dépasse entre mes jambes. Je sens son pied appuyer dessus progressivement. Je résiste le plus possible, mais la pression ne fait qu'augmenter, je geins doucement ne voulant surtout pas qu'il soit fâché.

Il fait rouler le poids de droite à gauche pour comprimer toute la surface, la douleur aux couilles est terrible. Il relâche la pression pour venir les écraser cette fois-ci avec les talons. J'implore pitié, je sens que cela l'excite encore plus. Soudain la pression est énorme, j'hoquette de surprise, lorsqu'elle se relâche j'ai la respiration coupée. Ma tête est à nouveau tirée en arrière, et je vois sa bite sous mes yeux qui décharge dans ma gorge tout son foutre. J'avale mécaniquement, et lèche délicatement ce qui reste sur son méat, heureux à nouveau de lui avoir procuré du plaisir, malgré mon ventre très douloureux.

Il revient quelques instants plus tard, avec un bâillon gonflant en forme de petit sexe. Il me l'enfonce bien profondément puis se met à gonfler, je panique, sentant l'espace de ma bouche s'ouvrir malgré moi, ma langue coincée, sans pouvoir rien faire ni même le faire bouger. Il contrôle que je peux respirer, appuie encore deux fois sur la poire, sourit en regardant mes yeux paniqués. Je suis concentré à bien respirer par le nez.

Passant derrière moi Maître vient retirer le gros plug qui me remplit. Le frais qui rentre dans mon cul me soulage. Il m'enduit de crème et cela devient délicieux. Je sens ses doigts se faire un chemin, y compris le pouce et je crois qu'il va pousser pour me fister, mais non, il teste juste mon élasticité, et semble satisfait puisque me traitant de bonne chienne.

Je sens un petit plug me pénétrer profondément, et je frémis quand j'entends la première poussée sur la poire de gonflage. Le souvenir de la dilatation subie est encore très fort. Je sens l'engin en moi gonfler et pousser sur mes intestins et mon ventre, inexorablement, mon anus s'ouvrir encore plus, un besoin irrépressible de me soulager en poussant, mais rien ne se passe. La sensation me rend dingue. Je gigote, les liens tiennent bien, je vais devenir fou. Et le gonflement continue encore, je crie sans cesse et sans succès. Je suis épuisé, mon Maître dégonfle un peu le plug, je retrouve du souffle, je le remercie en pensée. Je suis rempli de gratitude et d'amour pour lui.

Il prend quelques branchages qu'il avait préparés et me fouette le corps, sans protection. C'est aussi cinglant qu'une badine, mais les petites aspérités provoquent des écorchures sur mon corps. Mon dos est longuement lacéré, provoquant un sursaut à chaque nouveau coup, puis mes fesses sont mises en sang, tout comme mes cuisses et mes mollets, je brûle littéralement. Je ne suis plus qu'une plaie, mais pourtant seule la souffrance dans mon cul m'interpelle à cet instant. Comme s'il l'avait perçue, Maître arrête sa flagellation, redonne trois coups de poire dans le cul et un dans la bouche, provoquant un hurlement de ma part, puis un coup de pied dans mes parties exposées et me laisse là pour la nuit. Je commence ma nouvelle vie.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Effectivement très hardware.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Heureusement qu'il lui avait dit qu'il voulait préserver sa santé et pas de marques définitives.

En fait il s'est offert corps et âme à un pur sadique qui n'a qu'un but, le détruire complètement physiquement et psychologiquement.

Pas sûr qu'il sorte vivant de cette expérience

OlivX

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