On Ne S'habitue Jamais

BÊTA PUBLIQUE

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Puis, j'ai aussi de l'angoisse, ça m'étreint le cœur. Je ne suis plus vierge. Je pleure, je pleure fort, et Shannon s'est précipité près de moi. Elle m'a prise dans ses bras pour me calmer. Elle aussi pleure fort, elle a subit la même chose que moi, voir pire. Je l'étreint à mon tour. Lisbeth nous dis de nous dépêcher, que l'on, pleurera plus tard. Que si on ne parts pas de suite, tout va recommencer. Déjà les hommes dans le couloirs murmurent en nous regardant, certains se caressant même le sexe par dessus leurs pantalon.

Je vois dans divers chambre, d'autres filles se faire violées, comme nous. Il y a deux brune, deux rousses, deux châtains. C'est violent, il y a des tas de gars dans chaque chambre. Shannon et moi sommes donc les deux blondes du lot. Mais je ne me pose pas trop de questions, il nous faut fuir. Et vite. C'est ce que je comprends d'après l'empressement de Lisbeth.

Arrivées devant l'escalier, un géant black nous barrent le passage.

- Vous allez où?

- On sors! Réponds Lisbeth.

- Le boss est au courant?

- Oui.

- OK, mais alors la grande et belle blonde me suce.

Il désigne Shannon du menton. Lisbeth tente de négocier quand elle entend Shannon dire « Non, pitié, pas encore! ».

- Je te suce moi, tu peux aussi me baiser ou m'enculer, c'est comme tu veux.

- Non, elle.

Lisbeth se tourne vers Shannon.

- Fais-le, si on tarde trop, tout va recommencer.

- Non, pas ça pitié...

- Tu préfère te faire violer à nouveau par tout les trous? Tu veux subir de nouvelles double-pénétrations? Ou pire encore?

Shannon ne répond pas, je la vois se mettre à genoux, avaler le sexe du mâle en sanglotant. Elle vit une nouvelle épreuve, mais elle ne s'arrête qu'après qu'il est jouit en elle, que mon amie ait tout avalée.

Shannon se relève une fois la fellation fini, un peu de sperme coulant de la commissure de ses lèvres. Mais elle est tellement choquée par ce nouveau viol, qu'elle ne le sent pas. On prends les escalier, on descend en courant presque. En bas, je vois un géant barbu qui vient d'entrer. Il est blanc, le premier que je vois ici. Il nous barre le passage, il sourit méchamment en matant Lisbeth. Il est accompagné de quatre autres gars, blanc eux aussi. On ne peux plus passer.

- Tu vas où avec mes deux putes?

Il désigne Shannon et moi comme ses deux putes. Comment il peut dire cela? Nous n'appartenons à personnes. Nous ne sommes pas des putes, juste deux jeune femmes à peine majeures qui viennent de se faire sauvagement, sadiquement, brutalement violées.

- Igor, S'il-te-plait, il faut que l'on partent. C'est mes meilleures amies, on ne peux pas faire cela!

- Tes amies? Elles m'appartiennent maintenant. Tu me les a livrées je crois!

- Pas elles, les autres oui, mais pas elles. J'ai fais une erreur, pardon...

- C'est toi qui décide maintenant?

Autant vous dire que ni Shannon, ni moi ne bougeons. On assistent à ce dialogue comme si c'est de la science-fiction, comme si cela ne nous concernent pas. Pourtant si, ce Golgoth parle bien de Shannon et moi, il faudrait être idiote pour ne pas le comprendre. Pourtant, ni mon amie, ni moi, ne comprenons rien...

- Non, non, pardon. C'est toi le boss...

- Je préfère. Et je préfère que tu n'oublies pas la dette de tes parents envers moi. L'accord est limpide, tu nous livres huit putes de bonnes familles, et j'efface tout. Hors si tu parts avec les deux blondes, il n'y en a plus que six...

- Pardon, pardon, j'en ferais venir deux autres...

- Deux blondes à gros seins comme elles?

Lisbeth réfléchit, avant de répondre d'une petite voix.

- Non... c'est les seules... de mes amies... comme ça... Mais je peux en faire venir quatre autres... Des canons... Tu en auras plus comme ça...

Je vois la main du géant partir, il gifle violemment Lisbeth qui s'écroule au sol, sonnée.

Il la surplombe.

- Un accord est un accord. Si je cède avec toi, tout le monde voudra discuter ensuite! Pour avoir voulut m'arnaquer, on passe donc à neuf.

Lisbeth regarde le géant, ne comprenant pas.

- Neuf?

- Tu fais partis du deal maintenant. C'est l'amende pour avoir voulut enlever les deux salopes les plus canons du deal!

Il fait un signe de tête à ses gars.

Aussitôt deux se jettent sur Lisbeth, qui se met à hurler, à se débattre, mais quelques coups la calme immédiatement. Les deux hommes lui arrachent ses vêtements, la mettant complètement nue. Ni Shannon, ni moi ne pouvons bouger. Je vois même une flaque se faire au pieds de mon amie. La pauvre, elle est en train de s'uriner dessus de terreur. J'entends Lisbeth hurler, mon regard se porte de nouveau sur elle. La pauvre, elle est empalée vaginalement sur le sexe d'un homme allongé sur le sol, tandis qu'un autre la sodomise.

Igor me chope par la nuque, il me plaque violemment contre le mur. Il arrache mes habits, me mettant nue. Je sens un sexe brûlant se ficher entre mes fesses. L'instant d'après je hurle. Il vient de s'enfoncer dans mon anus, me sodomisant. Aucun de mes violeurs précédent n'a eut un sexe aussi long et aussi épais. La douleur est atroce. Il me broie les seins de ses mains. Cela ne finira donc jamais?

Shannon a été mise à nue elle aussi. Un des hommes lui viole le sexe en levrette, tandis qu'elle doit sucer le second. De nouveau, on est violée brutalement, sauvagement, méchamment. La seule différence cette fois, c'est que Lisbeth, qui est pourtant une fille assez facile niveau sexe, se fait violer elle aussi.

Je suis enculée longtemps, très longtemps. Puis quand il a fini, il se retire. Je sens sa semence immonde couler de mon anus qu'il vient de fissurer encore plus. Mais ce n'est pas fini pour autant. L'instant d'après, il vient violer mon vagin. Me déchirant, me faisant hurler encore plus fort. Les deux qui violent Lisbeth, interchange de trou après avoir jouis en elle. Pour Shannon, c'est encore plus atroce que pour moi. Celui qui vient d'éjaculer dans sa bouche, l'encule maintenant en levrette. Tandis que celui qui a violé son vagin, se sert de sa cavité buccale comme d'un sexe.

Nos viols durent de très, trop, longues minutes. Puis quand tous on jouis, on doit les nettoyer de nos langues. Une fois qu'ils s'estiment propre, les cinq hommes se rhabillent. Ils nous font sortir nues de la maison où on vient de vivre le pire des cauchemars. Ils ne prennent ni nos habits, ni nos sacs. On est conduites dans une cité, on y reste dix jours, dans une cave pour trois, où on est violées du soir au matin, pour cinq euros le coup. On mangent et on dors avec une ou plusieurs bites en nous. Ni Shannon, ni Lisbeth, ni moi ne saurons jamais ce que sont devenus les six autres filles. Je présume qu'elles ont subies un sort similaire au notre.

Ensuite, toujours nues, on est emmenées au Havre. D'où l'on prends un cargo. La traversée dure deux semaines, laps de temps pendant lequel les quarante hommes d'équipage nous violeront. Mais c'est moins dur que la maison ou la cave, ils sont moins nombreux, on a enfin quelques heures tranquille pour dormir ou manger. Je n'ai jamais su dans quel pays on est arrivé. La seule chose que je sache, c'est qu'il fait assez chaud. On est emmenées dans un camp. On va y rester six mois. On y sera violées, torturées, battues chaque jour. C'est un camp de dressage. On en repart que quand nous sommes devenues vraiment obéissantes et expertes en sexe.

De là, on part au Luxembourg. En avion cette fois, on est habillée. Un seul homme nous accompagne. C'est Hugo, un blond d'environs vingt-cinq ans. Il est sadique et violent. On l'a souvent subies au camp. Il nous accompagnent ensuite dans un grand appartement de Luxembourg, la capitale. Il y a quatre chambres et un grand salon. Shannon, Lisbeth et moi avons chacun notre chambre. On passe une soirée tranquille, la première depuis notre arrivée à cette soi-disant fête. Sauf pour Shannon qui doit dormir avec Hugo, qui ne se prive pas de la baiser et de l'enculer.

Dès le lendemain, on comprend ce que l'on fait ici. On est devenues des escort à cinq-cents euros de l'heure. Tout est permis avec nous, nos riches clients ne s'en privent pas d'ailleurs. On reste dix ans ici, jusque à nos trente ans. Bossant dix-huit heures par jour. Puis nous jugeant trop vieille, on est transférées. Des filles plus jeunes nous remplaçant alors.

Shannon, Lisbeth et moi sommes alors transférées à Lille. Là, ce n'est plus Hugo qui s'occupent de nous, mais un mac, Vlado. Aussi violent et méchant que Hugo. Il ne se gêne pas pour dormir avec chacune de nous, chacune notre tour. Là encore, on bossent dix-huit heures par jours. Sur le trottoir de vingt heures à six heures, sur des chantiers, dans des caves ou des bars de six heures à quatorze heures. Le reste du temps est réservé à notre repos. Sauf pour celle qui dort avec Vlado, celle-là à droit à une heure de baise en rab. On reste quinze ans là-bas. À quarante-cinq ans, bien abîmées par une vie de sexe et de violence subie, nous descendons encore plus bas, l'organisation de traite des blanches à laquelle nous appartenons, nous faisant encore descendre d'un grade.

On parts pour la Turquie, dans un bordel d'abatage à dix euros les quinze minutes. Les hommes peuvent passer seul, à deux ou à trois. Une sonnerie retentit quand le quart d'heure est écoulé. L'homme (ou souvent les hommes...) doit alors partir ou repayer pour quinze nouvelles minutes. Pour augmenter le profit, on a que quatre heures de repos, se faisant prendre vingt heures par jours. Aucune de nous n'a plus jamais eus de nouvelles de sa famille. On sait que l'on a été recherchées par la police, mais aujourd'hui, quarante après cette maudite fête où tout à commencé, tout le monde nous a oubliées.

Aujourd'hui, j'ai cinquante-huit ans, je suis toujours dans ce bordel d'abatage. Si Shannon est toujours avec moi. Cela fait deux ans que Lisbeth n'est plus là. Devenue trop large de ses orifices, elle ne rapportait plus assez. Ils lui ont fais tourner quelques films zoophile, avec tortures et coups, avant qu'elle ne finisse dans un snuff affreux. Le même sort nous attends Shannon et moi, peut-être dans six mois, peut-être dans un an. On mourra ensemble, ils nous l'ont promis. Shannon comme moi attendons ce moment avec impatience, ce sera notre délivrance. Car on ne s'habitue jamais...

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Anonymous
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11 Commentaires
SalomeDSalomeDil y a environ 1 anAuteur

Merci pour ton commentaire, j'apprécie, surtout venant d'une autre auteure.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a environ 1 an

PFFF c'est wao mais dans le bon .

C'est rapide ( peut etre un peut trop) c'est glauque et compliqué mais plaisant à lire , bravo à toi

SalomeDSalomeDil y a plus de 2 ansAuteur

Anonyme merci pour l'info. Franchement, pourtant j'ai une vulve et un vagin, mais grâce à toi je me rends compte que j'ai toujours inversé les deux. D'ailleurs je pense que j'ai fais l'erreur dans tout mes textes. Merci encore.

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Merci pour ce texte bien écrit ! Il y a une chose qui m'a un peu refroidie c'est que tu utilises le mot "vagin" a la place de vulve au début du texte. On ne peut pas poser la main sur le vagin ou le frotter, il est à l'intérieur. Sans ça c'était très excitant merci !

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