Sabrina: Un Concert Qui Tourne Mal

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Une bourgeoise de 40 ans entraînée dans une orgie.
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gophil72
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J'avais depuis plusieurs mois des vues sur une de mes collègues, Sabrina, je la connaissais depuis plusieurs années et nous étions amis, mais je n'arrivais pas à trouver l'ouverture pour aller plus loin avec elle : elle était marié avec 3 enfants, et toujours amoureuse de son mari!

J'avais découvert que Sabrina allait à son cours de danse le samedi matin, un peu avant midi. Je me débrouillai pour la croiser "fortuitement" à la fin de son cours, derrière le Lieu Unique, sous prétexte d'aller chercher le programme de la Scène Michelet. Elle était enchantée de me rencontrer, comme d'habitude, et je lui proposai d'aller boire un coup pour se rafraichir après son activité, ce qu'elle accepta. Elle avait peu de temps puisqu'il fallait qu'elle rentre manger, mais m'accompagna tout de même.

Nous nous installâmes en terrasse d'un café, et discutions tranquillement. J'en profitais pour feuilleter le programme de la Scène Michelet, et repérai un concert des Hurlements de Léo 15 jours plus tard : J'en fis part à Sabrina, lui vantant les mérites de ce groupe écouté à Lyon quelques années auparavant, et je lui proposai d'y aller ensemble, si elle le souhaitait. Elle me dit qu'elle vérifierait son agenda, mais pourquoi pas!

Nous nous quittâmes vers 12h30, et rentrâmes chacun chez soi.

La semaine précédant le concert, je fus surpris qu'elle me contacte par chat d'elle-même, pour me confirmer qu'elle serait disponible pour le concert des Hurlements de Léo. Je m'attendais à ce qu'elle ait oublié ma proposition, et ça me paru être un bon présage! Je lui rappelai l'horaire, et lui proposai de se retrouver directement à la Scène Michelet. Je lui laissai également mon numéro de portable.

Le samedi soir, je négociai le concert avec mon épouse, qui était ok. Peu de temps avant de partir, je reçu un SMS de Sabrina me demandant si je pouvais passer la prendre chez elle, elle n'avait pas pu (ou essayé de) motiver qq'un d'autre chez elle pour y aller. Je confirmai que je passais la chercher, et terminai de me préparer.

J'étais un peu intimidé, et j'essayai de me calmer en roulant vers chez elle. J'arrivai devant chez elle : le portail était ouvert, et il n'y avait dans l'allée que la voiture de sa fille et le Picasso blanc, le monospace de son mari Stéphane était absent.

Je sonnai à la porte, et je fus accueilli par sa fille aînée, Marie, que je n'avais encore jamais rencontré : elle avait la classe de sa mère, grande et mince, avec de longs cheveux châtains. Elle portait un débardeur jaune pâle, assez large et décoletté, qui masquait une poitrine que je devinais de toute beauté. Elle me fit entrer, m'indiquant que sa mère finissait de se préparer, et me devança dans le salon. Son short en jean bleu clair mettait en évidence un fessier ferme, et ses longues jambes bronzées. En attendant sa mère, nous discutâmes dans le salon, à propos de son bac réussi brillamment, de la suite de ses études, de son voyage en Grèce, et de ses vacances à l'île d'Oléron. Marie était vraiment séduisante, je tombai complètement sous le charme! elle semblait prude et un peu timide, ce qui rajoutait du désir à la conquérir. J'essayai de la convaincre de nous accompagner à la Scène Michelet, mais elle déclina l'invitation, préférant laisser sa mère s'amuser sans elle (elle me dit cela avec un regard en coin un peu sous-entendu ...). Entendant Sabrina descendre, j'assurai Marie que j'étais enchanté d'avoir fait sa connaissance, et que nous aurions sans doute l'occasion de nous revoir.

Sabrina arriva enfin : elle était particulièrement en beauté, elle avait du aller chez le coiffeur récemment. Elle portait un maquillage léger et subtil, mettant en évidence son regard et son sourire. Elle était habillé d'une robe bustier blanche, magnifiant sa poitrine, et bouffante en bas, assez large mais courte, s'arrêtant bien au-dessus du genou. Le contraste entre sa peau bronzée et sa robe était saisissant, et elle avait réhaussé ce contraste avec un simple collier vert ras du cou. Je l'embrassai, remarquant son parfum plutôt entêtant, le parfum d'une femme qui souhaite séduire, et je lui fis des compléments sur sa tenue et sa mise en beauté. Elle accueillit mes paroles tout sourire, et proposa d'y aller pour ne pas rater le début du concert. J'embrassai Marie en lui souhaitant bonne soirée, posant ma main sur sa hanche pour l'embrasser, et la maintenant un tout petit plus que nécessaire, terminant par un clin d'oeil, et j'emboîtai le pas à Sabrina.

Sabrina était particulièrement joyeuse, ce qui me permettait de blaguer pour essayer de vaincre ma timidité et mon émotion : j'étais quand même en train de sortir une des plus belles femmes de ma boîte, et surtout celle que je convoitais le plus. A moi d'assurer lors de cette soirée! nous arrivâmes à la Scène Michelet, je pris les places et nous pénétrâmes dans la salle. La première partie avait commencé, un petit groupe sympa, avec un son pas trop gros qui permettait de discuter. Je proposai à Sabrina de prendre quelque chose au bar, la poussant un peu pour qu'elle prenne autre chose qu'un Perrier, on était là pour s'amuser, enfin quoi! Elle pris finalement, sur mes conseils, un coktail doux et sucré, mais que je savais un peu traître! Je pris une bière pour ma part, et lui proposai de monter à l'étage pour suivre le premier concert et être un peu plus au calme. Je lui emboîtai le pas dans l'escalier, ce qui me permit de jouir de la vue sur ses jambes magnifiques pendant qu'elle escaladait les marches! Nous nous installâmes sur une rangée assez haute, au calme, pour discuter tranquillement en attendant le concert des Hurlements de Léo.

La soirée se déroulait parfaitement, il faisait relativement chaud dans la salle et Sabrina sirotait plutôt rapidement son cocktail bien frais! Le premier concert parvenait à son terme, je proposai d'aller refaire le plein avant la pause, pour éviter le rush au bar. Je repris la même chose pour Sabrina, le demandant discrètement un peu plus alcoolisé au serveur, et remontai à l'étage au moment où la première partie se terminait. Je trouvai Sabrina en train de discuter avec une jeune femme d'une trentaine d'années : de longs cheveux châtains, des lèvres pulpeuses, et d'après ce que j'en apercevais, un corps magnifique moulé dans une robe fourreau grenat. Sabrina me présenta Agnès, une amie de son cours de Hip Jazz, habituée de la Scène Michelet. Agnès semblait avoir bien commencé la soirée, son haleine n'était plus tout à fait à jeûn! Nous discutâmes tous les 3 en attendant la reprise du concert, et Agnès me sembla plutôt libéré, voire dévergondée! Ces propos faisaient parfois rougir Sabrina, qui replongeait à ce moment-là le nez dans son cocktail!

Voyant le groupe s'installer sur scène, je pressai un peu les deux filles pour vider leur verre et trouver une bonne place devant la scène : Sabrina vida rapidement son verre, ce qu'Agnès avait déjà fait depuis longtemps, et nous descendâmes sur la piste. J'offrai mon bras à Sabrina pour les escaliers (pas facile en talons hauts avec 2gr, quand on n'est pas habitué!), et Agnès prit d'autorité mon autre bras! Je voyais clairement le regard de Sabrina évoluer, l'alcool faisant son oeuvre : elle n'était plus très lucide, et je la guidai sur la piste en la tenant par la taille. Elle riait pour rien, et commença d'entrée à se trémousser dès les premiers accords de musique. Nous dansâmes tous les trois, juste devant la scène, dans une ambiance surchauffée par le rythme des cuivres des HDL! je fis danser Sabrina, et cette nana a vraiment le rythme et le mouvement dans la peau! La faisant tourner dans mes bras, mes mains parcouraient les zones accessibles de son corps, appréciant la douceur et la fermeté de ses muscles. Mais Agnès ne voulait pas être en reste, et elle m'arracha presque des bras de Sabrina pour danser avec moi. Celle-ci voulait du cul, elle se frottait ostensiblement contre moi, laissant ses mains glisser sur mes fesses, sur ma poitrine et mon dos.

Je répondais à ces avances, en profitant pour peloter son corps parfait, mais je gardais un oeil sur ma cible prioritaire, et je libérai Agnès à la chanson suivante pour reprendre Sabrina : je remarquai alors deux petits rebeus qui s'approchaient d'Agnès en train de danser. L'air de rien, ils se mirent de part et d'autre d'elle, un dans son dos, le second face à elle, dansant sur le même rythme. J'observais attentivement ce qui allait se passer : celui qui était dans son dos vint poser ses mains sur ses hanches, accompagnant son mouvement, jusqu'à finir par plaquer son bassin sur celui d'Agnès, donc son sexe contre ses fesses. Agnès continuait de danser, accompagnant son partenaire qui donnait maintenant le rythme, faisant onduler son bassin d'avant en arrière et de chaque côté. Le second, face à elle, se rapprochait lentement, et il vint lui aussi saisir les hanches d'Agnès, glissant une jambe entre ses cuisses et ondulant au même rythme : Elle était prise en sandwich, serrée entre deux arabes chauds comme la braise, et continuait de danser en riant! Elle n'avait vraiment plus toute sa tête! Je vis distinctement une main de celui qui était derrière elle remonter le long de son torse, et venir doucement empalmer son sein, sans provoquer de réaction de rejet.

Du coup, il s'attarda, l'englobant plus fermement : Agnès bascula la tête en arrière, se cambrant, ce qui devait augmenter la pression de ses fesses sur le sexe de celui qui la pelotait! Je remarquai alors que celui qui était devant elle avait glissé une main entre ses cuisses! elle était en train de se faire caresser la chatte par deux parfaits inconnus, et elle semblait aimer cela! Le morceau s'arrêta, et Agnès s'écarta de ces peloteurs comme si rien ne s'était passé, applaudissant à tout rompre le groupe, et venant nous rejoindre avec Sabrina. J'étais estomaqué par son comportement, et me dit que ça valait le coup de voir jusqu'où elle pouvait aller.

Je proposai aux filles de faire une pause au bar, et les pris toutes les deux par le bras. Je demandai au serveur la même chose que tout à l'heure, avec un clin d'oeil appuyé en direction de Sabrina, et choisi pour Agnès ce qu'elle désirait. Je demandai à Sabrina si la soirée lui plaisait, et elle me dit que c'était génial, me remerciant de l'avoir fait sortir en m'embrassant sur la joue. Nous restâmes au bar le temps d'une chanson, puis retournâmes danser. Agnès avait son verre presque vide à la main, ce qui ne l'empêchait pas de se trémousser comme une folle.

Je prétextai une pause aux toilettes, et m'éclipsai à l'étage pour observer : Sabrina dansait avec Agnés, juste devant la scène. Les deux petits arabes qui l'avaient peloté n'étaient plus en vue. En revanche, trois bikers en blouson noir, style hell's angels, semblaient l'avoir repérée. Ils étaient assis à une table, et vidèrent tous les 3 leur bière pour se diriger vers la piste de danse, ou plutôt vers Agnès et Sabrina. Pendant que le plus grand s'approchait de Sabrina, les deux autres encadrèrent Agnès. Il y avait un gars de taille moyenne, qui semblait plutôt musclé, avec un gilet de cuir sans manche mettant en évidence ses bras tatoués, et un autre plutôt petit, gras, barbu et poilu, sa chemise ouverte pouvant l'attester! Le tatoué vint se placer derrière Agnès, pendant que le barbu restait à côté d'elle. Le scénario se répéta presque à l'identique : il vint lui saisir les hanches, accompagnant son mouvement, puis se plaqua ouvertement contre son cul et donna le rythme, ne se privant pas d'imiter des mouvements à connotation sexuelle.

Le second saisit le verre que tenait toujours Agnès, et se plaça devant elle : lui saisissant les mains, il les mit sur ses épaules, et la prit par la taille, venant se serrer contre elle. Celui qui était contre ses fesses avait fait glisser une main contre son ventre plat, et la plaquait ainsi contre lui. Je remarquai alors que son autre main était en train de remonter doucement sa robe, je voyais sa cuisse apparaître progressivement, jusqu'à arriver au haut de celle-ci. Une fois qu'il put passer sa main sous sa robe, je le vis la glisser entre les cuisses de Agnès, et il ne fallait pas être devin pour deviner son objectif : Agnès ondulait, les yeux mi-clos, et se cambrait de plus en plus. Elle finit par poser la tête sur l'épaule du barbu devant elle, alors qu'il était évident que le tatoué était en train de la doigter! je ne perdais une miette de ce spectacle, et la caméra de mon appareil-photo non plus!

Détournant les yeux du trio, je cherchai Sabrina du regard, et il me fallut un peu de temps pour la retrouver : Le grand biker dansait avec elle, et l'avait entraîné dans une zone un peu à l'écart de la scène. Il la faisait virevolter entre ses bras, la ramenant toujours vers lui et en profitant systématiquement pour la plaquer contre lui, de face ou de dos, laissant ses mains se balader sur ses fesses et son ventre. Sabrina ne semblait pas refuser ses avances appuyés, les 3 cocktails qu'elle venait de s'enfiler n'y étaient sans doute pas étranger. Il allait falloir que je mette cela sous contrôle si je ne voulais pas hypothéquer mes chances! Je décidai de laisser passer encore quelques minutes avant d'intervenir. Revenant à Agnès, je constatai que les deux bikers l'avaient ramené à leur table, et l'avaient assise entre eux deux. Pendant que le tatoué allait au bar, le barbu colla sa chaise à Agnès, et semblait lui dire quelque chose à l'oreille. Il était évident que sa main avait glissée malencontreusement entre les cuisses de la belle (!), et remontait vers des lieux de plaisir! Agnès riait, complètement désinhibée, quand je vis finalement le barbu présenter à son collègue qui revenait avec 3 bières le string de la demoiselle, qu'il venait de lui retirer! Celui-ci huma le mince morceau de tissu, le mit dans sa poche, et vint également coller sa chaise à celle d'Agnès.

Parcourant à nouveau la foule, je ne retrouvai pas Sabrina! Où avait-elle pu passer avec son biker? Il fallait absolument que je la retrouve, je ne pouvais pas la laisser partir avec cette brute, avec le risque qu'elle se fasse violer dans un coin d'une rue sombre; Je descendis rapidement de l'étage, et fus soulagé quand je les aperçus tous les deux au bar. Le biker avait commandé deux verres : vu leur taille minuscule, ça ne devait pas être de l'eau! Il en offrit un à Sabrina, et lui ayant dit quelques mots à l'oreille, il vida son verre cul-sec. Je devinai aisément qu'il avait dit à Véro d'en faire autant, et celle-ci se jeta effectivement le verre dans la gorge! Elle fut prise immédiatement d'un quinte de toux, qui fit rigoler le biker pendant qu'il passait sa main autour de ses épaules! La prenant par la taille, il se dirigea ensuite vers ses comparses : sa main glissa très rapidement pour se poser sur la fesse de Sabrina, qui ne réagit toujours pas à cet attouchement!

Il vint discuter avec ces collègues, qui abandonnèrent quelques instants le pelotage d'une Agnès hilare. Sabrina sembla faire de l'effet au tatoué. elle était debout à côté de lui, toujours maintenue par la taille (ou par la fesse) par le grand, le tatoué se trouvait donc au niveau de ses belles cuisses. Sans se poser de questions, celui-ci posa une main sur l'intérieur de sa cuisse, au niveau du genou, et remonta sous la robe à volants! je devinai qu'il avait atteint une zone sensible car Sabrina finit par se tortiller et le repousser, tout en riant!

Je profitai de ce moment pour faire mon apparition :

- vous êtes là, les filles! je vous cherche partout!

Mon arrivée ne sembla pas ravir les bikers! Sabrina s'écarta des bras du grand pour s'approcher de moi :

- nous avons bien dansé avec ces messieurs!

Agnès, qui relevait le nez, proposa alors :

- on peut aller finir la soirée chez moi, si vous voulez.

Les bikers se regardèrent avec un grand sourire aux lèvres. Sabrina, toute excitée, approuva avec force :

- oh oui, allons-y

Je pris Agnès par le bras, et fus devancé pour accompagner Sabrina par le tatoué, qui la prit d'autorité par la taille, et nous quittâmes la Scène Michelet. Arrivé à la voiture, je fis monter Agnès devant, pendant que le tatoué ouvrait la porte arrière à Sabrina, et l'aidait à monter, tout en lui mettant franchement la main au cul. Les 3 bikers récupèrent leur moto, et nous suivirent dans la ville de Nantes endormie. Pendant tout le trajet, Agnès faisait des plaisanteries grivoises qui faisaient rire Sabrina. Cette dernière n'était plus du tout lucide, il allait falloir que je la garde à l'oeil. Quand à Agnès, c'était clair qu'elle allait se faire démonter par les bikers, je ne lui donnais pas un quart d'heure de répit!

Agnès habitait à Bouaye, une petite maison un peu à l'écart, avec une belle terrasse. Tranquille. Nous nous garâmes devant la maison, les bikers béquillant leurs motos à côté de la voiture. Alors que j'aidais Agnès à descendre, le tatoué était déjà là pour tenir compagnie à Sabrina, et le barbu se joignit à eux. Ils se mirent de part et d'autre de Véro, le tatoué la tenant par la taille et discutant avec elle, le barbu collé à elle, mais je ne voyais pas sa main autour de sa taille. M'arrêtant pour aider Agnès à garder l'équilibre, ils passèrent devant nous, et je compris mieux : le barbu pelotait sans vergogne le cul de Sabrina, qui se trémoussait et le repoussait, mais sans grandes convictions, ce qui fait qu'il revenait à la charge de plus belle.

Agnès ouvrit (non sans peine!) la porte de sa maison, et nous nous installâmes dans le salon.

Le grand suivit Agnès, pour l'aider à chercher quelques bouteilles à la cave, le tatoué installa Sabrina dans le canapé et s'assit à côté d'elle, le barbu prenant la place de l'autre côté. Pour ma part, je choisis un fauteuil face à eux pour observer. Les 3 discutaient en rigolant, le tatoué racontait des histoires plutôt obscènes, qui faisaient par moment rougir Sabrina mais la faisaient surtout rire. Il avait posé une main sur sa cuisse, et je l'observais caresser doucement sa peau et remonter imperceptiblement sous les volants de sa robe. Sabrina, dans son état, ne s'apercevais de rien, surtout qu'elle était aussi occupé à tempérer les ardeurs du barbu qui était beaucoup moins fin, et essayait depuis un moment de lui caresser la poitrine!

Agnès mettait un temps anormalement long pour remonter de la cave, je décidai d'aller leur donner un coup de main.

Laissant les 3 sur le canapé, je descendis discrètement à la cave : il n'y avait personne dans la première partie de la cave, qui contenait surtout de la nourriture, mais j'entendis des gémissements venant d'une ouverture à gauche. M'approchant doucement, je trouvai Agnès penchée en avant, les deux mains appuyées sur une table sur laquelle étaient posées deux bouteilles, en train de se faire sauter par derrière par le grand! Sa robe était remontée jusqu'à la taille et le biker lui pelotait les seins sans ménagement tout en la besognant! Agnès couinait de plaisir, les yeux mi-clos. Effectivement, les rafraichissements allaient avoir un peu de retard. Je quittai la cave et remontai au salon.

Il y avait maintenant de la musique (un truc un peu langoureux), le barbu était en train de farfouiller dans le bar, sortant toutes les bouteilles d'alcool fort qu'il trouvait, pendant que le tatoué dansait avec Sabrina : danser était un bien grand mot! En fait, il la serrait contre lui, ondulant du bassin, les deux mains posées sur les fesses de Sabrina, qui semblait un peu dans le vague. Il glissa une jambe entre ses cuisses, venant plaquer le bassin de Sabrina contre sa cuisse. Sa main gauche la maintenait contre lui, bien plaquée entre ses fesses (je le soupçonnais de lui masser la raie par la même occasion), l'autre main lui saisit la taille, et remontait le long de son torse; Sabrina ondulait en rythme, elle avait fermé les yeux, complètement abandonnée. Le tatoué atteignit la base de sa poitrine, et empalma doucement son sein gauche, sans provoquer de réaction de recul. Il s'enhardit, je le voyais caresser sa poitrine, son majeur insistant sur le téton qui commençait à poindre. Sa main gauche montait et descendait maintenant sur ses fesses, s'insérant de plus en plus profondément dans le sillon de ses fesses. Relâchant son sein, il lui prit la taille à deux mains, et commença à descendre ses mains le long de ses hanches puis de ses cuisses, se baissant jusqu'aux genoux, pendant que Sabrina dansait lascivement, les bras tendus au-dessus de la tête. Je devinai aisément où il voulait en venir, et effectivement, il remonta le long de ses cuisses, mais cette fois-ci ses mains étaient passées sous la robe et il finit par lui saisir une fesse nue dans chaque main, fermement, et la tirant vers lui, il la mit à califourchon sur sa cuisse toujours glissée entre ses jambes, les pieds décollés du sol!

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