On Ne S'habitue Jamais

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Un vendredi soir, deux amies sont invitées à une fête.
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SalomeD
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Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle et le viol. Elle colle à la réalité, bien qu'elle ne soit que fiction elle pourrait être vrai. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

Je m'appelle Abigaëlle. Je suis issue d'une famille bourgeoise, vivant dans un quartier chic de Paris. J'ai 18 ans quand tout ça m'est arrivé. Mes parents sont partis pour tout le week-end, c'est quelque chose qu'ils font souvent. J'aime quand ils partent car je me sens indépendante. Je peux faire ce que je veux, sans être la fille parfaite que je suis habituellement.

On est vendredi soir, avec mon amie Shannon, d'origine anglaise, arrivée en France à l'âge de trois ans, qui a 18 ans elle aussi, nous allons à une soirée dont une de nos meilleures amies nous a parlé un peu avant.

On pense retrouver des jeunes de notre âge, comme on nous a dit, mais en fait, il en est tout autre!!

Nous sommes descendues du métro pour rejoindre une rue un peu sinistre. Il y a un bâtiment vieux et délabré. Je n'étais jamais venue là avant, Shannon non plus. C'est une vieille rue pavée, un quartier pauvre certainement. Il fait déjà sombre, nous sommes entrées dans la maison.

En entrant, j'ai senti que quelqu'un me serre les fesses, me faisant sursauter en avant, contre un autre homme qui m'a attrapée et embrassée sur la bouche. Il rit comme je recule. Je suis le dos de Shannon, ainsi que son splendide fessier, qui continue d'avancer, j'entends alors une porte se refermer, en claquant. Nos chances de quitter l'endroit s'évaporent alors.

Shannon et moi on a vu une autre copine, Lisbeth, qui est en train d'embrasser un garçon, que je ne connais pas. Un autre homme a une main dans son chemisier. C'est vrai que bien que fort sympathique, Lisbeth est une fille assez facile, pas mal de garçons du lycée peuvent en témoigner. Pourtant, on ne la juge pas, elle reste une très bonne amie, une amie proche même.

-- Voilà tes amies! a dit l'un des garçons, parlant fort parce que de la musique se fait entendre assez bruyamment.

Tous les garçons sont blacks. Tous, sans exception. Je sens soudain des mains sur mes seins, quelqu'un derrière moi. J'essaie de me détacher mais il me tient fermement. Shannon qui est à côté de moi, est elle aussi touchée par deux autres hommes. Elle est en grande difficulté et je l'entends se plaindre.

J'ai été tirée de l'autre côté de la pièce, on m'a donné une bouteille pour boire. En même temps, deux hommes se frottent contre moi, un derrière et un devant, en dansant sur la musique.

J'ai vraiment peur. Mes seins sont mutilés et je peux sentir leur bosse dure s'appuyer et se frotter contre mon cul et mon vagin. Je suis alors forcée de boire à la bouteille. Je n'ai pas l'habitude de boire autant, ni aussi vite. L'alcool est très fort.

D'autres hommes viennent pour me toucher, m'embrasser, sans aucune douceur. Je sens leurs mains sous ma jupe, touchant mon vagin. Je luttais comme je peux, en les poussant, en tirant ma culotte vers le haut pendant qu'ils la tirent vers le bas. Mais ils sont trop fort.

On me fait boire plus que de raison. On m'embrasse. Ils forcent leur langue dans ma bouche. Le goût de leur salive et l'odeur de la fumée est vraiment écœurante.

Je cherche désespérément Shannon en balayant la pièce du regard. Je ne la trouve pas, ni Lisbeth d'ailleurs. Je me retrouve donc seule, et je m'inquiète de savoir ce que mon amie Shannon est devenue. Je ne m'inquiète pas pour Lisbeth, elle me semble plutôt consentante... elle...

- Je dois aller aux toilettes! ai-je crié.

On me montre le chemin. C'est à l'étage. J'ai la tête qui tourne, sûrement les effets de l'alcool. Je prends les escaliers, je titube. Il y a plusieurs chambres, et la plupart des portes sont grandes ouvertes. En passant je peux voir des couples faire l'amour. C'est Lisbeth. Je suis vraiment choquée, je n'ai jamais vu ça avant. Dans notre milieu, enfin le mien et celui de Shannon, on reste vierge jusque au mariage, c'est ancré en nous.

Un des hommes m'a suivie pour, soi-disant, m'indiquer le chemin des toilettes. Il me conduit en fait dans une autre pièce où j'entends la voix de Shannon, provenant d'un lit qui grince : « arrêtez, ne le faites pas, s'il vous plaît, non! non! »

Il y a plusieurs hommes avec elle, qui rient aux éclats. Je vois un homme sur elle qui la viole. Sauvagement, brutalement, sans pitié pour ses cris ou ses suppliques. Ma pauvre amie, tout comme moi, elle aussi est vierge, enfin malheureusement l'était. Perdre son pucelage comme cela, c'est atroce. La terreur m'envahit à l'idée que cela soit bientôt mon tour. Cela semble inéluctable, mais je ne veux pas le voir. Tout du moins mon cerveau ne veux pas le comprendre, ce serait pour moi, pire que tout.

Je continue d'avancer. L'ivresse m'empêche hélas de fuir. Je suis entrée dans une pièce, où il y a plusieurs hommes. Je réalise soudain qu'ils sont tous nus, sans exception. Je commence alors à lutter, à crier, mais l'un d'eux me gifle violemment le visage, si durement que je pense que je suis devenue sourde.

Un autre arrache mes vêtements, chemisier, et soutien-gorge. Je pleure, j'essaie de me débattre, ils sont trop fort. Un black attrape alors mes gros seins, il les tords sans aucune pitié. Brutal, méchant, sadique. Mes pleures semble lui donner du plaisir.

Un autre tire vivement ma jupe, en quelques secondes, elle n'est plus sur moi. Je suis alors traînée sur le lit. Immédiatement des mains sont partout sur mon corps, sur mes seins, tordant mes mamelons, me faisant crier de douleur. Ma culotte est également arrachée, des mains se posent sans pitié aucune, sur mon vagin. Des doigts essaient d'entrer, mes lèvres intimes sont tirées de tous les côtés. Je pleure, je hurle, même!

J'entends alors une voix grave dire « Elle est vraiment serrée, celle-là, je peux même pas mettre un doigt! C'est pas Lisbeth où j'arrive à entrer la main! »

Quelqu'un grimpe sur moi, je continue de crier, d'essayer de me débattre, inutilement. Il soulève mes jambes sur ses épaules.

-- Je vais la prendre! quand elle recevra ma bite, elle sera étirée comme un élastique!!!

Je le repousse, en vain. Je peux sentir son gland sonder ma chatte, sa queue essayant de trouver mon ouverture. Puis, il est là. Je sens avec épouvante le gland presser dans mon entrée. Je crie. « Nooooon! Non! s'il vous plaît, non! » Mais cela semble au contraire l'exciter encore plus...

J'ai tellement peur, j'angoisse tellement que j'urine, sans pouvoir me retenir, sans pouvoir m'arrêter. L'homme recule, surpris. Tous les autres ont rit, parce que j'ai pissé sur lui. Il est furieux. Il me gifle, plusieurs fois, avec force et méchanceté. Il veux me frapper encore plus fort, mais les autres le retire. Pas par pitié, ils ne veulent juste pas violer une fille défigurée...

Je reste là, à pleurer, pendant que les autres rient de moi, de mes larmes, de ma détresse, de ma terreur...

Un autre homme prend maintenant sa place, il se met entre mes jambes. Lui aussi sonde mon vagin avec sa queue. Il en trouve facilement l'entrée pourtant totalement vierge de toutes visites. Il pousse fort à l'intérieur. Je crie, je hurle. Sa bite vient frapper contre mon hymen. Je le supplie alors, lui disant que je suis encore vierge, que je ne veux pas ça, que c'est un viol, qu'il ira en prison.

Mais pour toute réponse, j'entends un rire. Il se retire un peu, puis il pousse un grand coup vers l'avant. Cette fois je crie si fort que mes poumons ont faillit exploser. Sa queue déboule dans mon vagin, arrachant mon hymen. La douleur est insupportable, horrible, incandescente, brut. Je pense même que je m'évanouis quelques secondes.

Quand je reviens à moi, l'homme a commencé à se déplacer en moi, y allant rapidement, fort, il grogne, gémit. Sa queue de noir est large, longue, dure, elle me fait mal, très mal. Elle me déchire l'intérieur, je le sais, je le sens. J'ai les jambes ouvertes, relevées, telle une soumise. Je vois les autres rire, encore et toujours, mais surtout regarder, se caresser, se branler sur mon viol immonde.

Il m'a violée près de dix minutes. Dix longues minutes qui me semble une éternité. Puis je l'ai entendu dire « je vais jouir, je vais jouir! »

-- Non! pas ça! pas ça! pas dedans! je... je prends pas la pilule! ai-je crié.

Mais quoi que je dise, ça ne change rien. Il pousse en moi, je sens son liquide m'envahir. Il m'insulte en jouissant. Je suis très choquée par tous les noms insultant qu'il me donne.

Je reste là, à pleurer doucement, quand sa bite s'adoucie. Il se retire, j'entends comme un bruit de ventouse. Je sens son liquide dégueulasse couler de mon sexe qu'il vient de massacrer, de déchirer, de détruire. Il m'a tuée, il m'a assassinée de son sexe. Je sais que désormais, plus rien ne sera comme avant.

Dès que ce premier homme, ce premier violeur, ce premier bourreau, s'est retiré du lit, un autre prend sa place. Il me gifle, sans raison, juste par plaisir. Un plaisir sadique et pervers qui les font se montrer violent, envers moi, la victime, leurs jouet. Puis, il me pénètre, encore plus brutalement que le premier. Il me fait pleurer de douleur encore plus fort. J'ai la bouche grande ouverte mais plus aucun son ne peut sortir. Un des hommes en profite pour enfoncer son épaisse queue noire à l'intérieur.

J'essaie de retirer ma tête, de fermer ma bouche, mais j'arrive seulement à mordre. Le propriétaire de la queue crie alors, il attrape mes joues et les presse douloureusement avec ses grandes mains. Il serre mes narines entre le pouce et l'index, je ne peux plus respirer.

- Si tu mords encore, je vais te frapper si fort que tu ne pourras plus entendre! tu vas me sucer comme la vraie salope que tu es!! Mais aussi avaler tout ce que je te donne!!

Je fait alors ce qu'il m'a ordonné, même si l'épaisseur de sa bite écarte trop fort ma mâchoire. L'homme me baise la bouche. Il me fait mal, se servant de moi comme d'un vulgaire sex-toy aux lèvres de velours...

L'autre homme entre mes jambes tremble, il va jouir. Je prie pour ne pas qu'il se vide en moi, mais mes prières ne sont hélas pas entendues. Il pousse lui aussi fort dans mon vagin, puis il m'inonde la chatte. Un autre homme vient rapidement prendre sa place, pour me violer encore plus fort.

La bite dans ma bouche est en train d'envoyer sa semence. Elle remplit mon gosier. Je commence à étouffer, mais il ne lâche pas prise, me forçant a garder sa queue et à avaler. Je sens alors la semence, ce venin tiède au goût dégueulasse couler dans mon œsophage.

D'autres hommes viennent ensuite me violer. Ils vont, et viennent, sans fin. Ma chatte et ma bouche sont dilatées, remplies sans arrêt. Je n'ai aucun répit, aucune pause, je ne fais que subir et subir leurs viols sauvage. Si je veux uriner, c'est sur le lit.

Parfois, je peux entendre Shannon, elle est toujours là, violée, autant que moi, elle crie, elle hurle, elle supplie. Je ne sais pas ce qui lui font mais ça à l'air terrible, encore pire que ce que je subis. Elle hurle longtemps, très longtemps, puis je ne l'entends plus. Pourvu qu'il ne l'est pas tuée. Mais le sort que me réserve mes violeurs me fait cessé de penser à Shannon, j'ai bien assez à penser avec mon corps torturé et violé sans aucune pitié.

Le temps défile, mais je ne me rends absolument pas compte depuis combien de temps je suis là, simple poupée gonflable entre leurs mains de bandits pervers. Je ne suis plus qu'une coquille vide, un simple réceptacle à sperme. J'ai dus avaler des litres de leurs semences, ils en ont déversés encore plus dans mon utérus. Je suis enceinte, c'est certain. Je ne veux pas d'un bébé, je ne veux pas d'un enfant né d'un viol. Je veux partir, rentrer chez moi. Dormir, et me laver. Oui, surtout me laver. Je me sens sale, complice.

Un des hommes me soulève, puis il me change de chambre. Il me couche à plat ventre sur le lit, à côté de Shannon. Elle me regarde sans réagir, d'un regard absolument vide. Elle non plus ne peut plus parler, ce n'est plus qu'un pantin qui se laissait baiser sans rien dire. Se contentant de pleurer à gros sanglot. Elle bave, elle a vomit. Ma meilleure amie subit le même sort que moi... Pire, je vois celui qui la viole se retiré d'elle. Un autre arrive, la retourne, il doit lui faire encore plus mal, car Shannon gémit de douleur, incapable de hurler. Je ne le sais pas encore, mais celui-ci en fait l'encule.

Celui qui m'a apportée ici, me met sur mes genoux, avec les fesses à l'air. Un homme sur le lit derrière moi vient me prendre en levrette. Mais pas dans le vagin. Pour mon plus grand malheur, je vais vire un nouveau viol que je n'ai pas encore vécu. Il va me prendre mon dernier pucelage, le pire, le plus douloureux, le plus humiliant, le plus destructeur.

Il pousse sa grosse queue dans mon anus. Jusque là, j'ignore même que c'est possible, par là. J'ai beau essayé de résister, de m'éloigner de lui, mais il attrape mes cheveux, les tire en arrière si fort, que je pense que mon cou va se briser en plusieurs morceaux.

-- N-non... n-non... pas là... arrrghh... arrghh... stop... stop...

Il force sa queue dans mon sphincter. J'agonise, la douleur est horrible, brûlante. Il ouvre mon cul. Il s'arrête par moment, se retirant un peu, puis recommence.

-- Aaaaaaaaaaaaaaah... nooooon... aaaah... arrrgh... aaah... ehhh... aaaaïe...

Il ignore mes cris. Il coulisse son gros pénis dans mon petit cul jusqu'à ce que je sente ses couilles contre ma chatte. La douleur est insupportable, je la sens partout, dans mon ventre, dans mon dos, sur mes jambe, même jusqu'aux poumons. Il commence à m'enculer, dedans, dehors, dedans, dehors, dedans, dehors.

Il grogna en claquant sa queue, il se vide dans mes entrailles. Je hurle tant cela me brûle.

En se retirant, une coulée fécale sort de mon trou dilaté, détruit, massacre, que je ne peux retenir.

-- Putain la salope! elle m'a chié dessus!

Il me frappe durement les fesses aussi fort qu'il peut. Je sens alors un des hommes venir m'essuyer. Ils peuvent supporter l'urine, pas la merde. Je comprends enfin par quel orifice l'homme qui a retourné Shannon quelques minutes plus tôt, l'a violée...

Je pense que l'on va enfin me laisser tranquille, mais immédiatement après, un autre homme prend sa place. Il pousse alors sa grosse queue noire dans mon cul. Il est encore mieux membré que le précédent. J'ai hurlé encore plus fort. C'est atroce cette douleur, cette haine dans ce viol. Il me massacre, me détruit le trou-du-cul. Je n'en peux plus, je veux mourir...

Shannon me regarde sans réagir. Elle a dû subir la même chose. Elle se fait prendre la chatte sans réaction. Je vois son corps couvert de bleus, les traces de morsures sur ses gros seins. L'homme qui la viole ne lui montre pas plus de pitié que ceux qui me violent à moi. On est plus pour eux, que des poupées juste bonne à violer par tout les orifices que l'on a bien serré.

Un autre homme est maintenant à genoux devant moi, me disant d'ouvrir la bouche, de le sucer. Je le fait, sans réfléchir. C'est tout ce que je peux faire, de toute façon. Son gros membre m'empêche de vomir, je régurgite sans cesse. Le goût et l'odeur sont horrible.

L'homme dans mon cul y va vraiment fort, il est rapide, violent. C'est toujours aussi douloureux. Sans m'avertir, je reçoit de la semence dans ma bouche. Je n'en peux plus, je recrache, je vomis en même temps. Ça sort même par mes narines. Quand il retire sa queue, j'ai toussé, et craché.

Derrière moi, l'homme est sorti de mon cul. Il se couche sur le lit, à côté de Shannon, et m'ordonne de le chevaucher. Ce que je fais. Il positionne sa grosse queue à l'entrée de mon anus, il m'ordonne de m'asseoir. Son pieu énorme rentre assez facilement. Je descends, je me relève. Je dois répéter l'opération, sans fin, me violant moi-même.

Un autre homme vient devant moi. Je pense que je vais devoir le sucer. Au lieu de ça, je suis tirée vers l'arrière par un autre, presque couchée sur le dos. C'est une position étrange, car la queue dans mon cul était toujours là. Ça me remplis encore plus, le pire est que ça me dilate encore plus fort.

L'homme debout s'approche de moi, il approche sa queue de mon vagin, alors que j'ai toujours l'autre dans les fesses. Mes yeux doivent sortir de mes orbites, quand je sens qu'il force sa bite dans mon vagin. Il force comme un malade, mon sexe est devenu encore plus étroit, à cause de la présence de l'autre pénis dans mon anus.

La douleur est quasi insupportable. Je sens sa queue entrer dans ma chatte serrée. Et puis il me remplie avec sa chair. Il commence à aller et venir, il me baise, malgré mes cris, mes hurlements stridents. La douleur dans mes fesses est encore plus atroce. Celui qui m'encule s'est mis à jouir en m'insultant. Je ne sens rien, la douleur est trop intense. L'homme qui ouvrait ma chatte halète lui aussi. Il me remplie à son tour.

Il y a du sang mélangé au sperme qui coule de mes orifices. Ils m'ont déchirés la chatte, fissurés le trou-du-cul, le rectum. La pression de mes fesses s'est assouplie.

Il y a des rires dans la chambre, beaucoup. Je vois avec horreur entrer et sortir d'autres hommes, des tas. On me viole, on m'encule, je dois sucer. Par un, par deux, par trois, ils me passent dessus, sans fin. Comme si une véritable armée est là, en train de me prendre. À mes côtés, Shannon vit la même chose. On la viole à deux. Un dans la chatte, un dans le cul, ses hurlements reprennent. Ils la déchire, ils la massacre elle aussi.

À force de me faire prendre si violemment, à force de me faire frapper, mordre, j'ai la tête qui tourne, j'ai mal partout. Je n'en peux plus. Et ces bites qui se vident en moi, sur moi. Cette semence qui jaillit dans ma bouche, mon anus, ma chatte. Mais aussi sur mon ventre, sur mes fesses, pire sur mon visage et mes cheveux. Ils sont sans pitié, je me sens de plus en plus mal à mesure qu'ils y vont de plus en plus méchamment. Je perds conscience. Enfin.

Quand j'ai ouvert de nouveau les yeux, Lisbeth est là, elle m'essuie le visage avec un chiffon humide. Shannon est assise sur le bord du lit, en pleurs, la tête dans ses mains, se balançant d'avant en arrière, marmonnant des mots que je ne comprends pas. Elle est de nouveau entièrement habillée. Je pense même qu'elle a été lavée, ses cheveux sèchent, encore un peu humide.

J'ai regardé autour de moi, il n'y a que nous trois.

-- Qu'est-ce qui s'est passé? oh mon dieu! j'ai mal! j'ai si mal! ai-je marmonné.

J'ai mal dans tout le corps, dans le vagin, aux seins, dans mes fesses surtout. Je sens que mon sexe et mon anus sont encore ouvert, peinant à se refermer. Je gémis.

Lisbeth parait triste. Pourtant, c'était celle qui a le moins souffert. Elle n'a pas été violée sauvagement, elle. Pourtant, elle m'aide à me laver, avec un seau d'eau claire et un gant. Tandis qu'elle me lave, je regarde mon corps, j'ai des bleus sur les seins, des morsures sur le corps, entre les cuisses. Il y a de la semence séchée, du sang séché aussi, beaucoup. Mon corps n'est plus qu'une plaie. Lisbeth me lave avec douceur, pourtant je gémis de douleur. Puis, une fois que je suis propre, mon amie prends mes habits. Lisbeth me les enfilent, faisant attention à ne pas trop me faire mal.

Quand je suis habillée, nous sortons de la chambre. Shannon et moi nous figeons, il y a plusieurs hommes dans le couloir. Lisbeth nous dis de faire vite, d'avancer rapidement. Il faut que l'on descendent, que l'on sortent. Ils peuvent recommencer à tout moment.

Je regarde l'heure, il est six heures du matin. On est arrivées à vingt heures. On a été violées presque immédiatement, le calcul est simple, on a subit dix heures d'agressions. Pendant plus de dix heures j'ai donc été violée. Je repense à tout ce que j'ai vécu. Je revois Lisbeth appréciant d'être baisée par un black, par plusieurs certainement. Je revois Shannon crier, supplier, hurler. Je revois ma propre épreuve.

SalomeD
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