Nu à l'hôpital (04)

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Je me retrouve nu, baladé dans un hôpital.
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Partie 4 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
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Je reste sous le choc. Immobile sur ce lit d'hôpital, nu et encore mouillé par mes propres secrétions. Je réalise que cela fait plusieurs heures que je suis exhibé, nu, dans cet hôpital. J'ai, bien que je n'ose y croire, subi un viol.

Soudain, j'entends la porte s'ouvrir dans une bruit de fracas. Sursautant, je repositionne les mains sur mon sexe, craignant l'arrivée de nouveaux visiteurs. Mon bourreau rentre dans la pièce, secondée par une autre infirmière. Je reconnais cette dernière. Elle qui m'avait chaleureusement accueilli et avait plaisanté avec moi.

Mon infirmière tortionnaire, fixant mes mains, me dit : "Cessez cette fausse pudeur! Plus personne n'est dupe". Aussitôt, je place mes mains, le long du corps, exposant mon pénis encore humide. Voyant l'air interrogatif de l'autre infirmière, je réalise que mon geste spontané semble inexplicable, même pour moi. Est-ce par soumission face à cette infirmière qui me fait paniquer? Est-ce par peur de subir de nouvelles foudres de sa part?

Sorti de ma réflexion, mon bourreau s'adresse à sa collègue : "Vous voyez! Je n'ai jamais cru à son histoire. Ce garçon n'est qu'un dangereux pervers. Sitôt avez-vous quitté les lieux, qu'il s'est attaqué à mes malheureuses stagiaires. Il leur a proposé de faire sa toilette. De toute évidence, et il l'a montré de mainte façons, il a pris un plaisir pervers à un acte qui devrait être médical! Et là ... là... nous le retrouvons à s'adonner à des plaisir solitaires dans nos chambres d'hôpital!"

Sa collègue me regarde, l'air incrédule. Voyant la bienveillance dans son regard, je la fixe droit dans les yeux, désespéré, cherchant de l'aide. Je lui dis "Non! Non! Ce n'est pas vrai. Ce n'est pas comme ç..". Je suis alors interrompu par mon bourreau qui m'interpelle "Oseriez-vous nier? Est-il nécessaire que je fasse revenir ces malheureuses stagiaires pour qu'elles témoignent de vos vices?". Je réalise alors que son plan est bien construit et que si les stagiaires devaient être interrogées, elles iraient dans son sens. Résigné, je baisse alors la tête dans un soupire et dit "non".

L'infirmière incrédule me fixe pendant un moment, semblant cherché mon regard. Me voyant resigné à ne pas me défendre, elle se retourne vers sa collègue et d'une voix hésitant, lui dit "Vous pensez qu'il faille appeler la sécurité?".

Pris de panique, je veux réagir, je sens la pression monté. Alors que mes lèvres commencent à s'ouvrir, aucun son ne sort. Je m'interrompt. Je commence à me dire que c'est peut-être là ma chance de salut : une dernière humiliation pour pouvoir sortir de cet hôpital et des griffes de cette infirmière tyrannique. Ne répondant pas, mon tyran le fait à ma place : "Hum. J'imagine qu'il serait encore capable de nous faire porter la faute d'avoir égaré ses vêtements... Attendez, je crois avoir une solution". Elle saisit le bras de sa collègue et l'amène hors de la chambre. Qu'a-t-elle encore inventé?

Deux minutes plus tard, je sursaute, de nouveau par le bruit de la porte. Mon bourreau entre d'un pas décidé avec deux autres infirmières. Ces dernières se placent de chaque côté du lit, et commencent à le déplacer. Elles remontent légèrement les barreaux du lit. Voyant ces mouvements, je me lève, tentant de m'extraire, mais les deux infirmières, quasi simultanément, posent une main sur mon torse nu et me maintiennent. Elles attrapent après, chacune un bras. Je vois alors mon infirmière incrédule rentrer avec des sortes de lanières en cuir brun. Elle les passent à ses collègues qui, en quelques gestes assurés, m'attachent poignets et chevilles aux barreaux du lit. Sitôt fini, elles sortent en silence de la chambre me laissant, de nouveau, avec le premier binôme venu me rendre visite. L'infirmière bienveillante me regarde l'air peiné, me voyant ainsi attaché. Pendant ce temps, mon bourreau saisit le lit, maintenant au centre de la pièce, pour le positionner en face de la porte. Une fois, l'opération terminée, elle s'exclame "Comme ça, nous pourrons vous surveiller".

Dans un geste presque maternel, sa collègue prend le drap et me recouvre avec. Bien que cela soit une faible consolation, ce geste m'apaise et protège enfin ma pudeur. Mais c'était sans compter sur mon bourreau qui sitôt arrache le drap, en disant à sa collègue "Ce drap a été souillé. Il doit aller au sale". Les deux sortent, laissant la porte ouverte. Je suis maintenant nu, les bras et les jambes écartés par mes liens. Faisant face à la porte, je suis exposé à tous ceux susceptibles de passer devant la porte de la chambre. Heureusement pour moi, la nuit est tombée. Les visites sont terminées et je n'aurais à priori comme spectateurs que les quelques infirmiers et infirmières qui passent dans le couloir.

Mon bourreau revient dans ma chambre avec un gobelet d'eau et me dit "Hydratez-vous!" Assoiffé, j'ouvre la bouche et la laisse y vider le contenu du verre. Elle sort de la chambre. Je suis alors surpris par un léger goût amer dans la bouche. M'aurait-elle drogué? M'aurait-elle donner un sédatif?

Les minutes passent et je ne vois pas mon état changé. Je finis par me dire que je me suis injustement angoissé. Soudain, je suis pris d'une violente érection. Je ne comprends pas pourquoi elle se déclenche. Je tente de penser à autre chose, de penser à des choses peu excitantes mais elle ne semble pas se calmer. Des infirmières passent, lançant des regards jugeant en direction de mon pénis gonflé. Cette érection s'éternise et ne se calme pas. Elle commence à devenir réellement douloureuse. Je sens mon sexe pulser.

Alors que je suis concentré sur mon pénis douloureux, je vois face à moi, une vieille dame, l'air désœuvré. Elle rentre dans la chambre et s'approche du lit. Elle fixe pendant plusieurs minutes, mon érection, dans un silence pesant. Elle finit par s'approcher davantage, en posant le bout de ses doigts sur ma cuisse. Je suis paniqué par la scène. Je me débats mais mes liens tiennent. Je vois soudain une infirmière passé et lui dit "Excusez-moi". Elle regarde alors la scène avec effroi, s'approche et accompagne la vieille dame vers la sortie. J'ai envie de lui parler, de lui dire la supercherie, lui fait part de ma douleur dans le pénis. Toutefois, le regard qu'elle me lance après cette scène m'en dissuade.

Une bonne heure a dû passé. J'ai l'impression que mon sexe, posé contre mon ventre, va exploser. Mon bourreau rentre alors dans la chambre en tenue du ville. Elle ferme la porte et pose des vêtements de travail sur un fauteuil. Elle s'assied ensuite sur mon lit et, dans un silence de marbre, saisit solidement mon pénis. Sa main serrant mon sexe, m'apporte un profond soulagement de la pression, au point que j'émets un profond râle de soulagement. Elle commence à me masturber, tandis que je détends tous les muscles de mon corps, pressé de pouvoir relâcher la pression dans mon membre. L'éjaculation ne tarde pas. Pourtant, elle semble guerre n'y prêter attention, continuant son geste. Le frottement incessant m'amène une autre douleur bien plus forte. Je me débats mais mes liens m'empêchent de lutter contre cette torture. Je gesticule, je tente de m'extraire par des mouvements de bassin mais elle continue machinalement ses gestes. Je commence à crier, à dire que j'ai mal. Elle pose alors fermement sa deuxième main contre ma bouche, semblant ne pas vouloir s'arrêter.

Après cette très longue torture, elle s'arrête enfin et sort de son silence. Elle me dit "Bon. Je vous propose de pouvoir rentrer chez vous et de sortir de cet hôpital. Si vous voulez que tout se passe bien, je vous invite à respecter scrupuleusement mes instructions. Est-ce bien clair?". Soumis à son bon-vouloir, je réponds oui.

Elle reprend : "Très bien! Je vais vous détacher et vous allez m'accompagner". Jusqu'à ce que nous nous soyons quittés, je ne tolèrerais pas de voir vos mains sur votre corps. Est-ce qu'on est bien d'accord?". Encore une fois, j'acquiesce.

Elle me détache et m'indique les vêtements de travail laissés sur le fauteuil. Elle me dit "Enfilez ça". Je m'habille mais me rend compte que rien n'est à ma taille. Le haut m'arrive au nombril. Le bas fait l'effet d'un pantalon trois quart, alors que la ceinture flotte, menaçant la pantalon de chuter à tout moment. Le pantalon tombant, découvre la moitié de mes fesses et est faiblement maintenu à la base de mon pénis. Ma tenue est d'autant plus humiliante, qu'elle laisse deviner mon sexe encore gonflé et qu'elle est tâchée par le sperme étant resté sur mon corps.

Je tente tant bien que mal de réajuster ma tenue mais mon bourreau me reprend "Je pensais vous avoir dit que je ne voulais pas voir de mains sur votre corps!". Elle reprend en disant "Maintenant, suivez-moi!"

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Anonymous
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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Mais que lui réserve-t-elle encore !!! Vite la suite

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