Nu à l'hôpital (05)

Informations sur Récit
Une chance de sortir de l'hôpital.
1.3k mots
4.56
3k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/10/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je suis mon bourreau mais n'en suit pas moins humilié. Certes, je ne suis plus nu. Mais la tenue est humiliante. Le pantalon glisse et j'ai beau lutté détendre mes muscles. La tenue n'est pas confortable et risque de tomber à tout moment. Tâché de mes secrétions, mon pantalon découvre partiellement mon sexe et mes fesses. Je suis baladé dans l'étage jusqu'à l'ascenseur. Heureusement, il fait nuit et nous ne croisons que peu de monde.

Arrivé à l'ascenseur, je la vois appuyé sur le 2. Je me rends alors compte que tu ne sommes pas encore prêts de quitter cet hôpital. Elle m'emmène dans un autre service, pour saluer des collègues. Je la suis, n'osant réajuster ma tenue de peur de subir ses foudres. J'arrive dans le bureau des infirmières et elle leur dit aurevoir. Elle ajoute : "Je vais raccompagner ce jeune pervers qui s'est baladé nu, toute la journée". Pouffant, l'une d'entre elle, regarde la base de mon sexe visible, et me dit "Vous risquez de recommencer. Votre pantalon est sur le point de tomber". N'osant réagir à l'interdiction de mon bourreau, je reste statique. L'infirmière s'approche donc de moi, et devant les regards de ses collègues tentent de réajuster mon pantalon. Elle s'exclame alors : "le pantalon est vraiment trop large, tout en l'agitant de bas en haut".

Ce simple frottement me provoque instantanément une nouvelle érection fulgurante. Plus de doute, j'ai dû être drogué. Mon sexe réagit trop rapidement, même après avoir joui. Elle a dû me faire prendre à mon insu, du viagra ou je ne sais quoi.

Mon érection est si forte qu'elle dresse mon pantalon telle une tente, mon gland retenant l'élastique. L'érection pulsant, mon pénis jaillit du pantalon, le faisant tomber par la même occasion. Craignant les représailles et soumis à mon bourreau, je n'ose bougé. Je me retrouve le pantalon sur le chevilles, exposées à toutes. Elles me scrutent, ne comprenant pas pourquoi je reste statique. Après un temps, mon infirmière cruelle me dit "Enfin! Jeune pervers. Rhabillez-vous".

Enfin autorisé, je remonte mon pantalon et le maintien. Le relief de mon érection ne laisse aucun doute sur mon état. Nous retournons vers l'ascenseur sous les ricanements moqueurs des infirmières, direction le -1. Nous arpentons des couloirs de services et arrivons devant une porte coupe-feu. A côté de cette porte, se trouve un chariot à linge. Mon bourreau me l'indique, en me disant "Laissez-y vos vêtements". Je rétorque : "Mais, mes affaires?". Elle tapote alors sur son sac à mains et me réponds "Vos effets personnels sont ici. Quant à vos vêtements, vous n'en avez pas besoin". Je lui réponds, ce qui semble l'agacé : "Mais... je vais pas rentrer chez moi nu... mes voisins...". Elle conclut en disant "De toute manière, vous ne rentrerez pas, ce soir...". Elle interrompt alors la conversation, en ôtant mon haut violemment et le jetant dans le chariot. Elle prend, ce faisant, son ton autoritaire : "le pantalon!".

Je m'exécute, non sans crainte. Je me retrouve à nouveau nu, avec une érection forte qui ne semble se calmer. Elle m'accompagne et me fait franchir la porte coupe-feu. Nous arrivons sur un grand parking en plein air. Bien qu'il fasse nuit, le parking est éclairé ça et là par des spots. Les rares endroits de pénombre sont éclairés par les phares de voiture issus de la circulation avoisinante.

Nu, en plein air, je suis alerte au moindre son, à la moindre voiture qui contourne le parking. Je me sens exposé, sans la moindre occasion de me câcher. Je suis l'infirmière sur des dizaines de mètres, avant d'arriver jusqu'à une petite voiture blanche. Elle marque l'arrêt et comme dans un instinct de survie, je me jette sur la poignée de porte passager. Elle semble prendre son temps. Délicatement, elle ouvre son sac à main et en fouille le contenu. Presque amusée, elle croise mon regard et me dit : « J'ai confondu mes clés avec les vôtres. Les miennes sont restées en haut. Attendez-moi ici, je vais les chercher ». Comme si je n'étais pas assez paniqué d'être abandonné nu en plein air, elle ajoute : « Profitez-en pour vous calmer. Il est hors de question que vous montiez ainsi dans ma voiture ». Elle repart alors vers l'hôpital.

Comment calmer cette érection qui n'est en rien liée à de l'excitation? Et si elle m'abandonnait à mon sort? Honteux, je me résous à trouver un coin discret, entre deux voitures, un malheureux buissons dans mon dos. Je m'accroupis et entreprend de me masturber. L'exercice est compliqué. Je sursaute au moindre bruit, au moindre passage de voiture. L'excitation a du mal à monter, et le stress de voir revenir mon infirmière, alors que je suis dans cet exercice me glace le sang. Je tente de me concentrer. Bizarrement, j'arrive à me réélaborer le scénario de la douche avec les deux stagiaires et mon excitation finit par monter. Je finis par arriver à jouir, humilié, me sentant sale. Je me rends compte de mon état, accroupi, nu sur un parking, forcé à me masturber comme un pervers. Je commence à avoir froid. Je reste dans ma position, attendant... longtemps.

Je finis par entendre des bruits de pas. Longeant la voiture qui me sert de cachette, je guette la personne qui arrive. Est-ce celle que j'attends et redoutes ou est-ce que je vais être surpris par un visiteur? Par chance, c'est bien mon infirmière. Etant sûr de son identité, je me lève. Surprise, elle regarde mon entrejambe et constate que mon sexe, bien que gonflé n'est plus dressé. Tout en faisant une mine satisfaite, elle retourne vers sa voiture et me fait monter.

Nous démarrons. La route est longue et j'ai l'impression que tous les passagers que nous croisons peuvent me voir. J'ignore ce que leurs champs de vision leur permet mais il n'y a pas de doute sur le fait que des regards insistants détaillent les parties de ma nudité apparente. Durant la trajet, mon bourreau reste muette. Et ce malgré mes nombreuses tentatives. En effet, bien qu'elle m'ait annoncé que je ne rentrerai pas chez moi. Je ne peux y croire. Je tente de lui communiquer mon adresse, de détailler l'itinéraire pour aller chez moi, en fonction des endroits où nous passons mais elle reste comme sourde.

Nous prenons l'autoroute et roulons jusqu'à un petit quartier résidentiel. La voiture s'arrête devant une petite villa. La villa est de plein pied, assez petite, entouré d'un petit espace jardin. La voiture s'engage sur une petite allée, devant une porte de garage. Laissant tourné le moteur, elle sort son trousseau de clé et me demande d'aller ouvrir la porte. Je suis distrait, je découvre l'environnement, alerte au moindre spectateur. Maladroitement, je finis par arriver à ouvrir la porte, voyant la conductrice s'impatienter. A peine la porte ouverte, elle klaxonne bruyamment me faisant sursauté. Bien que le rue soit déserte, je sursaute et me jette dans un buisson. Le réflexe est utile puisque je vois un voisin regarder à sa fenêtre. L'air de rien, l'infirmière rentre tranquillement dans son garage. Elle sort de sa voiture. Ferme la porte du garage de l'intérieur et me laisse là, angoissé durant de longues minutes.

La porte d'entrée finit par s'ouvrir. Elle se met à hurler « Allez, venez! ». J'avance timidement restant attentif à cette fenêtre où je sais qu'un observateur peut surgir. Je rentre dans un petit hall d'entrée. Elle me montre une porte sur la gauche, en me disant « Là, ce sont les toilettes ». Elle m'accompagne alors dans le salon, en m'indiquant le canapé où se trouve un pled. « Vous dormirez là, me dit-elle ». Elle pénètre dans la cuisine située à côté. Elle en sort avec une grande bouteille d'eau, et en ferme la porte à clé. Elle pose la bouteille sur une table devant moi, et part vers une autre porte. Elle y rentre et verrouille la porte derrière elle.

Presque paranoïaque, je regarde cette bouteille, en me demande si elle n'y aurait pas encore glissé une quelconque drogue. Je me vois rassuré en voyant qu'elle n'a jamais été ouverte. J'y bois une grosse gorgée et m'allonge en me glissant sous ce plaid qui me donne l'impression d'être protégé pour la première fois de la journée. Ce sentiment de sécurité me fait m'assoupir très vite

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
4 Commentaires
Zonerouge1000Zonerouge1000il y a plus d’un an

J'aime beaucoup la trame de ce récit. Quelques idées intéressantes et correctement exploitées en augmente encore l'intérêt.

Cependant, l'humiliation du personnage pourrait être encore augmentée. Plus de détails dans les descriptions et les situations constituerait également un bon point.

Une piste à explorer pour la suite que je souhaite prolifique.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très très bien !!!

SJejeSJejeil y a plus d’un anAuteur

N'hésitez pas à laisser des commentaires, ça me motivera pour la suite de l'écriture ;-)

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

J'adore et suis frustré en même temps de savoir ce que cette femme va faire de ce pauvre jeune homme... Jusqu'où cela va-t-il aller ? Merci de ne pas nous laisser tomber !

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Nu à l'hôpital (04) Partie Précédente