Mutinerie au Congo, Chapitre 03

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Un autre homme est en train de violer Jeanne sur la table à café ; Jeanne qui n'arrête pas de hurler le nom de Lucie au milieu de ses sanglots convulsifs. On lui déchire le haut de la robe, puis le soutien-gorge, et l'on trouve qu'elle n'est pas mal du tout, seins nus.

Le mutin qui la viole arrive rapidement à son point d'orgue en contemplant la poitrine soudainement nue de Jeanne De Vos ; il éjacule à gros traits.

Quelqu'un, un jeune caporal, annonce d'une voix toute joyeuse qu'il vient de faire une grande trouvaille dans la chambre des maîtres. Il revient dans la salle de séjour avec un kodak, qu'il utilise aussitôt pour immortaliser les ébats de Jeanne et de Lucie ; la mère et la fille qui se font passer dessus par toute la troupe.

« Ha! Ha! Ha! Ha! Très riche idée ça, » fait l'adjudant joufflu pendant qu'un lieutenant nègre sourit, « aussitôt qu'on les aura développées, on va montrer ces belles photos demain à papa De Vos. Je suis sûr qu'il va adorer! »

« Il va en faire une crise d'apoplexie. Ha! Ha! Ha! Ha! »

Dans la chambre, l'homme chauve a rugi de plaisir en embrassant les larmes de Véronique pendant qu'il l'emplissait de son sperme épais et chaud. Pauline a subi l'opprobre d'une décharge de sperme congolais. À présent, le caporal se repose en se délectant du spectacle de voir le mutin suivant pénétrer et secouer Pauline sous lui, tandis que Véronique est pareillement secouée sous son violeur suivant. Et Isabelle, toujours plaquée contre la commode, subit le feu roulant de jeunes soldats qui la violent tour à tour et éjaculent très rapidement.

Chez les De Vos, c'est le triomphe de la bite congolaise.

Toujours violée à plat-ventre contre le bras rembourré du gros canapé, ou divan en français belge, Lucie se fait ordonner de prendre une bite dans sa bouche et si elle refuse ou s'il lui prend l'envie de mordre, les hommes prendront un burin et feront sauter ses dents une à une.

« Arrangée comme ça, pas sûr que ton Michel va encore vouloir de toi pour femme,» ricane l'adjudant, qui la connaît bien pour l'avoir beaucoup observée au cours des derniers mois. « Allez, ma petite Lucie, » ajoute-t-il en prenant un ton paternel, « si tu es une bonne fille, on sera tout doux avec toi et tu vas voir, tu vas finir par adorer les bites congolaises bien juteuses!»

À la pensée de devenir laide aux yeux de celui qu'elle aime, Lucie De Vos obéit. Tandis que son deuxième violeur est foudroyé de plaisir et pousse un long râle en éjaculant puissamment après avoir savouré chaque seconde de ce coït en levrette, Lucie ouvre grand la bouche et reçoit la grosse bite juteuse d'un vieux sergent tout content de se faire sucer par une aussi belle fille ; une Blanche!

Elle veut reculer, dégoûtée par cette odeur rance et ce goût infect, mais l'homme lui empoigne la tête à deux mains et lui viole carrément la figure, coupant à peu près sa respiration, elle qui est déjà plaquée sur le ventre contre le bras du canapé.

Tandis qu'un autre nègre la viole par derrière, les yeux rivés sur son cul d'adolescente, Lucie commence à s'évanouir, car elle ne parvient plus à respirer, juste au moment où le vieux sergent pousse un gras juron en lingala et lâche un gros paquet de sperme dans la bouche de Lucie, qui continue d'être furieusement secouée en levrette par l'autre mutin ; celui-ci prend son pied, le visage en sueur et la bouche grande ouverte par l'intense plaisir pour lequel il ne trouve aucun mot lingala ou français.

Lucie tousse et crache le sperme infect, dont elle a avalé une bonne partie pour retrouver sa respiration. Elle se laisse tomber de côté, et l'homme suit son mouvement. Le coït est interrompu, mais très brièvement seulement. Lucie se retrouve à plat-ventre sur le tapis turc qui décore la salle de séjour. Par terre, elle respire beaucoup mieux, mais son violeur l'écrase de son poids en s'allongeant sur elle, puis la viole et consomme l'acte dans cette position en fusil de chien.

Après le grand râle sauvage qui la remplit de semence congolaise une fois de plus, Lucie est retournée comme une crêpe, et elle a droit à une longue succession de visages congolais d'hommes qui la violent tour à tour, en missionnaire cette fois. Et le pire, c'est qu'elle reconnaît beaucoup de ces hommes pour les avoir vus au garde-à-vous devant son père, avec l'adjudant joufflu qui saluait respectueusement.

Ce même adjudant, après avoir violé la mère, viole à présent la fille par terre en admirant ses jolis petits seins, qu'il tient gentiment pressés dans ses mains en goûtant la blancheur intense de sa chair et la pâleur délicieuse de ses mamelons. Il finit par lâcher ses traits épais de semence en beuglant comme un taureau...

« HHHHUUUHHHGGGG!!! Tiens... HHNNNUUUHH... sale petite Belge... ça... ça t'apprendra à... à... à te pavaner en faizz... aaahh... en faisant la fière devant la t... troupe! Ta place est... en-dessous de nous... »

Sur ce, il se relève, tout haletant, mais tout souriant, et c'est le nouveau lieutenant qui prend le relais.

Il viole Lucie en la traitant de sale petite pute et de salope blanche confirmée, et elle, son corps, pris d'un délire soudain, la pousse tout droit à l'orgasme, et elle jouit pendant qu'il la martèle par terre, contre ce tapis turc qu'elle connaît depuis toujours. Et la troupe qui n'arrête pas de la traiter de petite salope blanche juste bonne à prendre les bites de nègres... Se faire dire toutes ces cochonneries excite son corps de fille bourgeoise.

Entre deux viols, il arrive qu'un ou deux soldats viennent finir de se masturber juste au-dessus d'elle et elle reçoit alors une chaude douche de sperme épais au visage ou sur les seins tandis qu'on jouit en râlant au-dessus d'elle et de ses cheveux souillés. Lucie se sent confusément excitée d'être devenue une pareille salope.

Lucie reconnaît soudain un vieil homme aux cheveux blancs, à moitié chauve, tandis qu'il s'allonge sur son petit corps brisé moralement, mais qui tient le coup physiquement. C'est le vieil Ernest, le balayeur de rue qui lui dit toujours bonjour très respectueusement avec la politesse d'un homme effacé.

Ernest est changé. Enfin! Enfin! Il va enfin pouvoir sauter la petite Lucie, qui comprend tout à coup que ceci est le vrai visage d'Ernest. Après qu'elle a vu sa prodigieuse érection de nègre, il plonge en elle et crie son extase à chaque coup de boutoir dont il la secoue. Elle râle et elle hurle... « Non, Ernest! Ernest... Non! Non! Non, nn-naaaaooooon!!! nnnaaaaaaahhh... »

Plus elle crie « Non, Ernest », plus son petit corps s'excite, et c'est pour cela qu'elle continue de crier ça comme la salope blanche qu'elle devient, secouée sauvagement sous les coups de bite du vieux balayeur, sous les rires et les moqueries des mutins.

Quand il change un peu sa position pour lui lécher et caresser les seins tout en continuant de la labourer, Lucie devient folle de plaisir et jouit très fort dans les bras du vieil Ernest, qui doit avoir dans les soixante-cinq ans. Le caractère profondément scandaleux de ce coït pour l'écart d'âge s'ajoute à tout le reste, et fait que Lucie hurle à la lune comme une jeune louve en chaleur...

Mais en fait de lune, c'est simplement le lustre de la salle de séjour, sous lequel Ernest pousse un grand cri tribal et libère d'un seul coup le désir sauvage qu'il éprouvait depuis longtemps pour Lucie De Vos, haletante, qui reçoit sa prodigieuse décharge de vieille semence, et elle en jouit presque. Mais elle le hait, elle les hait tous de lui faire subir ça. Elle pleure tandis qu'un autre nègre s'allonge déjà sur elle et de nouveau, elle est toute secouée sous la bite d'un Congolais. Ça n'arrêtera donc jamais...

Dans la chambre, l'adjudant rigole en passant le doigt dans la chatte de Véronique et en lui caressant le clitoris pour voir s'il va la forcer à jouir, et diantre, ça fonctionne!

La haute gamme des cris de jouissance de Véronique, en sueur et haletante, emplit la chambre.

Par terre, une recrue brave le goût infect du sperme pour le plaisir de lécher la chatte de Pauline, noire et assez touffue. Ça marche encore mieux.

La jeune fille finit par crier comme une folle en songeant à son fantasme du groupe de boxeurs qui lui font subir un cunnilingus forcé, avant que Sonny Liston la viole en missionnaire au centre d'un ring dans un gymnase désert, en plein quartier mal famé.

D'autres soldats à la bite épuisée viennent s'y essayer et obtiennent le même succès ; sa chatte violée goûte mauvais, mais ça vaut la peine d'aller y jouer de la langue. La fille épuisée est obligée de jouir et de jouir encore, encore et encore. Les mutins trouvent cela très drôle.

Toute en sueur, elle les supplie d'arrêter, ce que le jeune homme fait, mais il s'allonge sur elle et la viole jusqu'à ce qu'il jouisse à gros traits. Il éjacule en l'embrassant et en lui caressant doucement les cheveux, tandis qu'elle pleure et se sent toute honteuse d'être aussi excitée quand elle se fait violer pour de vrai.

Contre la commode fatiguée de grincer, Isabelle se fait embrocher à répétition par encore d'autres mutins, arrivés il y a peu, qui n'arrêtent pas de les traiter de salopes blanches, elle et ses amies. Son corps à elle aussi la force à jouir. Elle avait beau raconter plein de récits grivois ; elle était vierge à l'aube.

Pour Lucie, sa mère et les trois autres filles, le seul univers tangible est une interminable série de bites du Congo, bien brunes et juteuses.

La mère et les filles belges ne sentent plus autre chose que l'âcre odeur du sperme tropical qu'elles reçoivent sans cesse, jusqu'au soir tombé, et là encore le calvaire continue.

À présent que tout est foutu, que les barrières, la loi et l'ordre des Blancs sont tombés, les mutins tiennent les filles auxquelles ils rêvaient en secret. Maintenant qu'ils les possèdent, ils vont prolonger la fête.

L'homme au kodak a pris tout plein de photos, de Lucie et de sa mère surtout, et aussi de Pauline et de Véronique. Sur la dernière photo, Véronique est en train de jouir malgré elle en entourant le nègre de ses jambes, qu'elle a belles et douces, et elle croise les chevilles au-dessus de lui ; ses petits pieds de fille blanche sont magnifiques à voir!

L'homme au kodak dépose vite son appareil près du lit, et dès que son pote a balancé son sperme, il prend sa place et viole Véronique en lui suçant les seins, des seins merveilleux, et le goût de ses mamelons foncés l'est plus encore ; on dirait qu'il est en train de violer une belle Italienne. Il intensifie son rythme tandis que le beau visage de la "fille mystère" aux cheveux sombres danse sous lui...

Et le nègre finit par être pris d'une puissante éruption qui n'a d'autre choix que de se déverser massivement dans le vagin étroit de la Belge violée et violée encore, derechef et encore. La "fille mystère" n'a plus de secrets pour la troupe congolaise. Elle les abhorre et rêve de tous les tuer ; mais elle jouit encore sous leurs coups de bélier et son corps semble aimer la bite congolaise. Véronique pleure.

Ahhh... Que c'est bon de violer les filles des officiers blancs! Elles font d'excellentes suceuses de bites. Le caporal satisfait court au bâtiment administratif avec son précieux kodak volé.

Pendant que quelques jeunes employées de l'administration, leurs vêtements ou uniformes en lambeaux, continuent de se faire violer à répétition sur leurs bureaux, sur un lit de feuilles froissées parmi l'ouragan d'un saccage en règle, ou encore sur une table dans la cafétéria, le caporal file au laboratoire de photographie.

Il s'y connaît un peu en photo. Il prend son pied quand les images apparaissent progressivement dans le bac d'eau froide. Les photos noir et blanc sont parfaitement claires. Il a hâte de les montrer à Monsieur De Vos.

Dans le quartier blanc, c'est maintenant le soir. Les mutins, rois et maîtres des lieux, sont surtout dehors à chanter en lingala tandis que certains jouent du tam-tam congolais.

Au rythme des hauts tam-tams dansent les filles blanches, ou plutôt on les oblige à danser et on les aide un peu en les caressant beaucoup, car elles sont toutes nues, ces filles, et elles attirent les mains, les bouches et la chaleur des nègres.

On les fait danser autour d'un feu. Au son des tam-tams, les fesses nues de Lucie font la joie des mutins, qui admirent tout son corps gracieux, d'une nudité aussi jeune que parfaite, tandis qu'elle continue de danser, fatiguée, épuisée, mais terrifiée par la punition qu'elle encourra si elle désobéit aux ordres. Pourvu que Michel n'apprenne rien!

Ses trois amies sont là aussi, à danser nues, autour du feu, pendant que le tam-tam bat la mesure et que les mutins à moitié nus chantent en lingala, mangent des mets congolais et boivent de la bière belge ou de la bière de banane.

Nues comme les putes à nègres qu'elles sont devenues, Lucie, Pauline, Véronique et Isabelle font un drôle de simulacre de la partie de danse qu'elles s'étaient faite entre elles en après-midi, alors qu'elles étaient encore vierges et habillées en étudiantes rêvant à l'Amérique.

Ce ne sont plus Elvis Presley ou Lloyd Price qui chantent et guident leurs pas civilisés ; ce sont à présent des chants tribaux en lingala et le son rythmé des tam-tams qui forcent leur danse contrainte. L'unique point commun entre leur danse d'après-midi et leur prestation en soirée, c'est qu'elles dansent pieds nus ici aussi.

La poussière du sol d'Afrique est délicieuse à voir sur la plante de leurs pieds tout blancs.

Les soldats préfèrent les pieds de Véronique ; ils adorent les fesses de Lucie ; ils bandent sur les jambes et la grâce innocente de Pauline ; ils vénèrent les cheveux longs et noirs de Véronique et aiment aussi ceux de Pauline ; et les cheveux cuivre d'Isabelle, comme son corps blanc immaculer, rendent certains hommes fous d'elle.

Isabelle, tandis qu'elle sent tous ces regards vulgaires sur ses seins nus, danse la tête basse. Elle n'a plus envie de raconter ni d'entendre des histoires cochonnes. Elle redoute en tremblant le moment où les viols vont recommencer. Le ciel bleu nuit et ses étoiles sereines marquent le calme avant la tempête.

Tandis que les filles nues dansent au son des tam-tams et des chants en lingala, le commandant Gilles LeBlanc passe tout près, sous bonne escorte ; on l'emmène chez lui ; le colonel Bobozo veut lui faire voir de ses yeux le traitement réservé à sa fille Anne.

Comme il arrive devant chez lui, en face de chez les De Vos, le regard de Gilles croise celui de Véronique, qui se sent soudain excitée d'être nue devant lui ; tout en dansant, elle monte la tête et déploie ses longs cheveux noirs en redressant la poitrine pour qu'il voie bien le galbe de ses seins. Dans son état altéré, c'est plus fort qu'elle. Elle n'a plus d'inhibition.

Le père de famille et la jeune fille se regardent l'un et l'autre dans un moment de paradis arraché à l'enfer. Gilles sent que cette fille l'aime, et force lui est de s'avouer à lui-même qu'il adorerait la sauter, ici et tout de suite. Il est d'ailleurs solidement bandé. Et elle le remarque ; la fille brisée se sent quand même fière de son charme.

Puis, il aperçoit Lucie et Pauline ; les deux gamines dansent en pleurant. Malgré l'horreur et son sentiment d'échec de ne pas avoir su les protéger, Gilles trouve beau de les voir ainsi, nues, éclairées par les feux sous les étoiles du soir. Elles sont à croquer des pieds à la tête.

À la lueur du feu et sous le ciel étoilé, les cheveux châtains de Lucie font d'elle une vraie brune à la peau toute blanche et lisse ; ses petits seins sont de magnifiques promontoires en mouvement, et ses mamelons pâles sont à peine visibles.

Gilles LeBlanc est bandé comme un taureau. Lucie est souvent venue chez lui passer du temps avec Anne. Et chaque fois, il n'a pu s'empêcher d'admirer en secret les formes et le doux visage de la jeune fille en maudissant ses années à lui, passées trop vite. Et là, il la voit danser au son des chants et tam-tams congolais. Il la voie nue et savoure le moment ; elle est encore plus belle qu'il l'imaginait.

Puis, il baisse la tête de honte et le colonel et les soldats qui l'escortent le font entrer chez lui, où il finit par violer sa propre fille, Anne, qui se laisse faire et finit par s'abandonner au désir secret qu'elle éprouve pour son père.

Dehors, Lucie et ses trois amies continuent de danser nues pour le plus grand plaisir des soldats de la Force publique, qui goûtent les doux fruits de leur révolte et ne se lassent pas d'admirer la nudité gracieuse des jeunes Blanches.

Dans la chambre à présent plongée dans l'obscurité, les chaussures blanches à selle noire de Pauline sont toujours là, juste à côté des « loafers » de Véronique, non loin de la jupe en damier et des vêtements déchirés de cette jeune Belge qui jouait les petites Américaines ; la « juke-box girl » n'est plus. Les soldats congolais l'ont brutalement faite femme.

À SUIVRE.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

great but could have been far better

''On the evening menu, it will be rather the acrid and strangely fascinating taste of the men of the Congo with their very brown and juicy penises'' why not devote an entire page or two to this scenario? please

dicordobadicordobail y a environ 1 an

J'ai adoré cette histoire et j'attends la suite avec impatience. Merci

HBuffHBuffil y a environ 1 anAuteur

Cette histoire a été vue ou lue par 2 630 personnes en moins de deux jours, et en français... Merci! C'est un gros lectorat comparativement à bien d'autres sites où je publie en anglais. Ça me fait plaisir de contribuer. Désolé pour les quelques coquilles ; je me relis toujours attentivement, mais on dirait que les seins des filles détournent trop mon attention.

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

HUmmmm récit très excitant

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