Mutinerie au Congo, Chapitre 03

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D'autres encore lui caressent les cheveux, une épaule ou un sein ; leurs mains viriles vont là où le corps du violeur nu leur laisse assez d'espace.

Auguste ne dure pas longtemps. Il la pilonne de toutes ses forces, et pousse bientôt un immense râle de gorille en rut, foudroyé de plaisir, et il éjacule en force dans l'épouse de son capitaine. Il n'arrive pas à y croire! Louise pleure en recevant son sperme tout chaud.

Sous l'étreinte d'Aristide, Armande jouit, très fort, ses petits poings bien crispés dans ses gants blancs, en même temps qu'Aristide lui hurle son plaisir au visage et lui balance un torrent de sperme congolais, bien chaud et tropical.

La troupe rit ; Armande reconnaît le sergent Gbongo, qu'elle s'étonne de voir torse nu ; ses yeux de fille le trouvent horriblement magnifique ; elle n'ose pas regarder sa verge congolaise, qu'elle sait sombre et luisante au soleil.

Elle hurle sa rage et sa honte tandis que le puissant sergent Gbongo s'allonge sur son corps dont le blanc pur vient juste d'être profané et changé et jamais. La fille blonde reçoit sa grosse bite en râlant de fureur mêlée d'un plaisir sombre tandis que Gbongo trouve sa trajectoire et se met à la pilonner en haletant tout contre son visage de jeune fille, qu'elle détourne tandis qu'elle est toute secouée sous la fureur de l'homme révolté, qui n'en croit pas ses yeux de voir la femme du lieutenant, nue, les seins branlants, tandis qu'elle ondule et gémit dans ses bras, sous ses coups de bite répétés et bien sentis. Oh, comme c'est bon d'être en elle!

Pendant que le sergent Gbongo soumet Armande à la nouvelle loi congolaise, le capitaine préfère regarder ses hommes passer sur Louise. Louise qu'il désire violemment depuis plusieurs années. Il reste en forte érection et se masturbe en observant un caporal qui crie sa jouissance et répand sa semence en elle ; la jolie brune subit les viols en silence, ses larmes faisant comme des étoiles salées sous le soleil, dont l'éclat brille aussi sur son collier de perles blanches qui surmonte ses seins en parfaite débandade.

Le capitaine en érection est hypnotisé par les seins de Louise, dont le galbe est sans cesse secoué par la fureur des hommes qui se succèdent et éjaculent en elle.

Obligée de gémir de plaisir sous le feu roulant des mutins, la Blanche jouit de temps à autre tandis que la moitié du peloton lui passe dessus.

Alors que Louise se prend une dizaine de soudards dans la même position, son regard vers le ciel, Armande est retournée par un caporal qui a envie de lui lécher le cul.

Armande Neveu a la peau d'un blanc lacté enjolivé d'une discrète lueur dorée qui répond à la blondeur de ses longs cheveux, dont la queue de cheval n'a pas survécu aux premiers viols. Ce doré pâle s'observe magnifiquement dans l'immensité érotique de son cul, dont les courbes se déploient, larges et belles en dessous de sa taille fine. C'est que madame la lieutenante veille jalousement sur sa ligne.

Les Congolais s'amusent à lécher, à pétrir et à frictionner le cul d'Armande, dont la blancheur ne cesse d'emplir leurs regards incrédules, fascinés... Le cul d'une Blanche! Le cul de la lieutenante!

D'autres mains et bouches congolaises lui parcourent les jambes, les chevilles, et ses pieds, qu'elle a jolis et délicats comme ceux d'une adolescente, et dont le doux rosé rend fous certains hommes, gonflés de sève et d'impatience. On se jette sur elle, et les viols recommencent de plus belle, cette fois en levrette.

Tenue et possédée à quatre pattes, la femme nue aux gants blancs est obligée de se faire pilonner par le peloton révolté de son mari. Armande, la belle Armande, fait plus amplement connaissance avec la gamme variée de leurs rugissements et grognements tandis que sa taille reste saisie par une paire de mains congolaises et que l'homme en rut savoure avec joie les collisions répétées avec le double coussin de ses fesses, blanches et magnifiques sous le soleil, jusqu'à ce qu'il finisse par rugir de plaisir en explosant au plus profond d'elle.

Madame la lieutenante reçoit tout l'amour de ses hommes en collisions répétées. Elle sent trop bien la chaleur toute tropicale de leur sperme, qu'ils lui balancent avec un délice cru en poussant des râles horribles. Elle râle, souvent de rage et de honte, parfois aussi de plaisir quand son corps l'oblige à jouir sous l'opprobre. L'heure de la décolonisation a sonné.

Dans la maison, des nègres nus saccagent et pillent la cuisine pendant que Nadine continue de se faire violer contre la table ; son visage baigné de larmes glisse, va et vient en leitmotiv sur la table, ses yeux pers en gros plan devant une petite salière renversée, pendant que les mutins se bousculent et se succèdent pour le plaisir de la violer par derrière.

À la lumière diurne de la pièce, les fesses vierges de Nadine sont la proie des plus bas instincts de cette soldatesque déchaînée. Enfin! Ils ont enfin trouvé le prétexte pour se mutiner en masse et venir enfoncer les portes chez les Blancs. Un avion belge a tiré sur leur convoi en route vers Port Matadi.

L'ordre de mission est changé. L'objectif, à présent, c'est le cul des filles belges. Il s'agit de savoir comment c'est, monter et ensemencer une fille blanche.

Et la petite Nadine... Si belle avec ses cheveux châtains clairs, à présent déployés en désordre sur la table tandis que les soldats mutinés la violent à répétition, à couilles rabattues au milieu de la cuisine saccagée. Ils l'ont trouvée pieds nus dans la salle de séjour où elle lisait ; ils l'ont bien vite déshabillée. Et le pire, c'est qu'après la douleur insoutenable de sa défloration, le plaisir forcé l'a soumise à son empire tribal aux mains des nègres ; elle les a bien fait rire par l'éclat de ses cris de jouissance, avec la splendeur de son cul d'adolescente illuminant la cuisine, au milieu des Congolais qui boivent de la bière belge et en arrosent parfois ses fesses pleines d'innocence, dont ils ne se lassent pas.

Dehors, le capitaine Mtoumba, un sergent de peloton bombardé officier deux jours plus tôt, constate que Louise est bien fatiguée des sept ou huit viols dont le dernier s'achève par un râle sourd du violeur satisfait, râle qu'accompagne une chaude et violente décharge de sauce congolaise. À côté, Armande subit un pilonnage en règle, abaissée à quatre pattes et montée comme une chienne par les soldats de son mari, mais c'est sur Louise que Fabrice Mtoumba porte toute son attention, Louise dont il admire le sexe triangulaire, un buisson noir à présent noyé d'opprobre, tandis qu'il s'agenouille tout près de la Blanche nue, nu lui-même.

Il ordonne qu'on lâche ses chevilles, désormais meurtries de contusions à force d'être enserrée par les mains congolaises. Une fois qu'elle a les jambes libérées, le capitaine Mtoumba, toujours à genoux devant elle, saisit l'un de ses mollets et porte à son visage le pied nu de Louise ; il l'embrasse avec une ferveur religieuse.

Il lèche, goûte et sent le pied de Louise, puis il saisit l'autre mollet et fait de même avec l'autre pied, dont il s'enivre intensément de la douceur salée, ponctuée d'une très fine odeur de champignons belges sèchement parfumée par la pelouse congolaise.

Louise, épuisée, ne résiste pas aux caresses inattendues. Elle comprend combien cet homme la désirait ; sous l'épaisse horreur qui lui donne envie de vomir, Louise sent son orgueil flatté d'être le centre d'attention de tous ces jeunes hommes qui lui donnent leur sève.

Enfin, après avoir bien savouré les pieds de Madame la capitaine, le capitaine nègre la prend jambes en l'air. Les chevilles reposant sur les épaules musclées du Noir, la jeune femme gémit en se sentant si fortement prise. À quoi bon résister? Cet homme est si fort!

Pendant que le capitaine Mtoumba la possède et pousse ses grognements de triomphe, Louise garde les jambes en l'air et sent le souffle brûlant de l'homme sur la plante de ses pieds, que le rythme du coït remue doucement tout près du visage du capitaine nègre.

L'angle de la pénétration plaît à son petit corps de femme. Elle entend un homme dire quelque chose en lingala et rire très fort. Les gémissements d'Armande en train de se faire éperonner l'excitent aussi. C'est l'orgie à ciel ouvert!

Tandis qu'elle sent le capitaine Mtoumba la prendre profondément, à coups forcenés, Louise se revoit deux ans plus tôt, à Bruxelles avec son mari, avec Armande aussi. Ils visitent un village congolais reconstitué pour l'Exposition universelle de 1958. Son mari a même donné des conseils aux organisateurs pour que le village ait l'air plus vrai.

Louise se rappelle les yeux en colère des nègres quand des Belges leur jettent des bananes. Elle a senti ces regards furieux se perdre dans l'échancrure de sa robe, et sous sa robe... Plus tard, dans les bras de son mari, elle s'est imaginé que ces nègres du zoo humain se multipliaient comme par miracle, comme si Jésus les avaient multipliés tels du pain noir, pour enseigner l'humilité aux Blancs.

Et dans son imagination, ces nègres, devenus innombrables, allèrent piller les postes de police pour y saisir des armes, puis ils répandirent la terreur dans toutes les rues de la capitale et forcèrent maisons et appartements, où ils passèrent les hommes à tabac, puis violèrent toutes les Blanches.

C'est à ce fantasme insensé que songe Louise en ce lundi fatidique de juillet 1960, pendant qu'elle reçoit les furieux coups de boutoir du capitaine Mtoumba. Jambes en l'air, elle sent ses seins gonflés à bloc qui mènent leur danse désordonnée, sans cesse pétris par les mains des nègres qui font cercle autour d'elle.

Louise leur crie sa profonde jouissance. Elle sent exploser en elle toute la puissance du tabou qui l'écrase comme la pyramide d'une citée interdite. Elle halète et jouit de nouveau, encore plus fort, sous les rires des soldats nègres.

Le capitaine Mtoumba souhaiterait continuer tout le jour et toute la soirée, tellement il adore posséder cette jeune épouse d'officier, si belle et si éclatante de blancheur, avec ses seins merveilleux dont les mamelons rouge vin battent la mesure du viol sauvage et tabou. Dominer ces Blanches si hautaines et arrogantes, c'est du vrai bon cul pour les Congolais libérés!

Il n'en peut plus! C'est trop. Le capitaine Mtoumba embrasse les pieds de Louise, qu'il tient par les chevilles et lui assène ses ultimes coups de bélier tandis qu'il sent ses jambes devenir comme engourdies et qu'un éclair de plaisir pur le happe tout entier... Ça y est! Enfin!

« Ah, oui, on a gagné! AAAahhhhh... HHHNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN HRHRR!!! »

Tandis qu'il explose en elle, le capitaine Mtoumba songe à toutes les fois, au cours des six années précédentes, où il a vu Madame la capitaine O, bien habillée au bras de son mari, et l'a désirée en secret, par goût pour la beauté féminine, mais surtout par curiosité et par l'envie intense de fracasser les interdits coloniaux en bourrant cette femme qui le considère comme une sorte de chien savant.

C'est chose faite! « Ahhhrr... Madame la Capit... Oooohhh... »

Le grand nègre contemple les seins vaincus de la Blanche, tandis qu'il lui lèche affectueusement les pieds et sent délicieusement ses dernières gouttes de sperme brûlant se déverser doucement dans le sexe de la douce capitaine.

Dans la maison, Nadine hurle à tue-tête, plus fort qu'elle ne l'a jamais fait. Quelqu'un des mutins sort par la véranda et invite ses potes au spectacle...

« Hé les gars! Le gros Jules Botoumba est en train d'enfoncer la jeune dans le cul! »

En effet, violée dans son anus par l'énorme bite de Jules, dont les mains charnues lui tiennent les fesses, la jeune fille est maintenue bras étendus à plat sur la table, et n'a pas d'autre choix que de hurler sa douleur d'une voix brisée, tandis que la grosse bite congolaise lui élargit le conduit du cul.

Le gros soldat observe l'entrée anale, aussi rose qu'étirée, là où son moyeu est entré, tandis qu'il laboure délicieusement le rectum de la jeune fille, dont les cordes vocales rendent l'âme tellement elle hurle.

Après une éternité de coups de boutoir tous plus douloureux les uns que les autres, Nadine ressent une sorte de jouissance diffuse qui la fait râler d'un son étrange ; c'est comme si le plus beau garçon du quartier était en train de la sauter devant toute sa classe au lycée, dans un fantasme qui l'excite fort.

« Elle adore ça, la petite! »

« Je vais l'essayer moi aussi! »

« Moi aussi! »

On commente, on finit de boire la bière du frigo pillé et l'on en asperge le cul de l'adolescente pendant que les grosses fesses de Jules Botoumba propulsent son impressionnante bite, qu'il sent grosse et gonflée dans le rectum bien serré de l'adolescente aux cheveux châtain clair, dont les fesses européennes accusent les coups répétés du gros soldat Botoumba, qui sue à grosses gouttes tandis qu'il la sodomise en extase pure, un filet de bave s'écoulant de sa bouche grande ouverte.

Les mutins applaudissent à tout rompre quand Jules Botoumba explose et inonde ce rectum de fille belge qu'il vient de déflorer, et tandis qu'il lui donne son épaisse semence, le gros nègre pousse un grand hurlement...

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHRRRRNGNGNGN!!! HHnnnghgh! »

C'est le hurlement d'un homme qui satisfait un désir qu'il gardait caché depuis longtemps. Nadine pleure à chaudes larmes tandis qu'elle reçoit cette décharge herculéenne, puis un autre mutin s'installe derrière elle et l'encule à son tour au milieu des hourras et des quolibets anti-Blancs et anti-Belges.

Soumise à ce déluge de gourdins africains, Nadine est secouée comme une poupée de chiffon, sa joue meurtrie glissant toujours dans le même va-et-vient sur la table qui grince fort pendant qu'un gamin au visage très foncé, au nez très épaté, lui tient les poignets en la qualifiant de belle petite putain de la Métropole, bien qu'elle aussi soit née au Congo.

Le gamin finit par l'obliger à tenir sa verge bien bandée et à le masturber pendant qu'elle est sodomisée par l'autre, un homme bien plus vieux. Et au même moment où l'autre éjacule dans son rectum, le nègre adolescent lâche un grand juron et lui balance un gros chargement de sperme en plein visage. La jeune fille pleure de plus belle sous cette humiliation chaude et crémeuse.

Plusieurs mutins font encore la file derrière elle ; ils se masturbent et la traitent sans cesse de petite salope blanche en lui disant comment ils vont la violer. La pauvre fille belge subit tous ces nègres qui la bourrent.

Déjà, le jour baisse sur Camp Hardy. Pour Nadine, Louise et Armande, le calvaire est loin d'être fini. Toutes seront forcées de prendre des bites de nègre dans leur bouche habituée aux frites et à la bière belge, habituée aux vins de France et d'Allemagne.

Au menu du soir, ce sera plutôt le goût âcre et étrangement fascinant des hommes du Congo avec leurs verges bien brunes et juteuses, le tout généreusement arrosé d'une onctueuse sauce blanche salée et africaine à souhait.

Louise finit par devenir folle. Elle ne sait plus où elle est. Son seul univers est devenu cette grosse saucisse grosse et longue, dure et sombre, qu'elle parcourt de sa langue et enrobe de sa salive en la massant de sa main, comme on le lui a ordonné sous peine de subir une brûlure de cigarette sur un sein. Obéissante, la jolie capitaine est récompensée par des caresses à ses cheveux.

Pendant qu'elle fait la fellation à une recrue, un gosse allongé sur la pelouse, le capitaine Mtoumba est revenu à la charge et la viole triomphalement en levrette, tandis que deux ou trois soldats commentent les douces et amples courbes de son derrière ; selon eux, Louise a le cul encore plus beau et blanc que celui d'Armande, qui n'est pourtant pas à dédaigner.

Tous s'entendent pour dire que mesdames la capitaine et la lieutenante sont excellentes pour sucer les bites des simples soldats. Et Nadine apprend vite.

On cherche et finit par trouver un kodak. On prend de jolies photos à montrer plus tard à messieurs les officiers blancs.

Armande, allongée de nouveau sur la pelouse, entoure de ses jambes la jeune recrue en train d'éjaculer. Elle est obligée de s'avouer à elle-même qu'avec ce gamin, c'est différent ; ça l'excite beaucoup, en tant que femme de vingt-sept ans, de le prendre en elle.

Pendant qu'il fourre Louise par derrière, le capitaine assiste à ces ébats et admire les pieds d'Armande, qu'il trouve magnifiques à la lumière du jeune crépuscule.

Le capitaine Mtoumba rugit de plaisir et jouit à longs traits brûlants, et Louise reçoit sa décharge en même temps que sa bouche est toute remplie du sperme chaud et salé du gamin allongé sous elle ; ce dernier râle de satisfaction tandis que ses jeunes mains caressent les beaux cheveux épars de sa capitaine. C'est sa première fois avec une Blanche, et sa première fois tout court.

Les mutins s'en donneront à cœur-joie toute la nuit. C'est toutes les femmes et les filles du quartier blanc qui seront passées par les gourdins congolais. Une douce et sensuelle vengeance, car dans le fond, ces braves soldats de la Force publique aiment bien les femmes et les filles de leurs officiers blancs. Ils rêvaient depuis longtemps d'une occasion de bien le leur montrer.

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En Europe, au Canada et aux États-Unis, de même qu'en Australie, beaucoup préfèrent ignorer que de tels événements peuvent se produire. L'ignorance est souvent confortable chez les gens bien au chaud.

À New-York, Los Angeles ou Chicago, bon nombre de Noirs ont combattu en France ou en Italie avant d'entrer en Allemagne. Là-bas, des milliers de filles des pays ennemis ou alliés ont braillé et gémi sous leur pilonnage intercontinental. Ces Noirs se souviennent de ce que c'est que d'éjaculer dans une Blanche. Beaucoup préfèrent en fait leurs femmes à eux, celles dont la beauté s'exprime dans divers tons de brun, mais les Blanches et le tabou fascinent.

Juste avant un combat, le boxeur Sonny Liston s'est offert une jeune fille blanche du Kentucky. Après, il est monté sur le ring gonflé à bloc et a pulvérisé son adversaire, qui a dû être hospitalisé pendant trois bonnes semaines.

Sonny Liston est un ennemi public, victime constante et habituée du profilage racial que lui font subir les forces policières. Il se sent haï et honni de la société. Et pourtant...

Une jeune fille belge qui vit au Congo garde une photo de lui, soigneusement cachée dans la commode près de son lit. Sur cette photo noir et blanc, découpée dans un magazine sportif, le grand boxeur poids lourd est torse nu, dans tout le déploiement sombre et musclé de sa force indomptable.

Cette fille d'officier blanc regarde la photo longuement, s'imprègne tout entière de sa virilité africaine, puis elle éteint la lampe et se masturbe en s'imaginant seule avec lui dans un motel aux États-Unis, en train de se faire culbuter -- et déflorer -- par Sonny Liston, qui finit par lui lâcher toute sa jouissance chaude et épaisse.

Parfois, elle s'imagine en train de le prendre dans sa jeune bouche, avant de le supplier de s'allonger pour qu'elle puisse monter sur lui et se faire sauter en lui offrant le spectacle de ses seins menus et en savourant le plaisir de sentir ses mains énormes les lui presser gentiment tandis qu'elle s'accouple avec lui.

Cette jeune fille, complexée par la taille de ses seins, s'appelle Pauline. Elle vit à Camp Hardy et c'est une amie à Lucie De Vos, elle-même la meilleure amie d'Anne, fille du commandant LeBlanc, qui vit juste en face des De Vos dans le quartier blanc.

En ce beau lundi 11 juillet, Pauline s'est levée du lit tout heureuse. Elle va passer un après-midi entre filles chez Lucie. Outre Lucie, il y aura Isabelle Deslauriers, Véronique Lippens et peut-être Anne LeBlanc.

Pauline aime beaucoup Anne Leblanc et trouve qu'elle est plus jolie qu'elle avec son air de ressemblance avec l'actrice américaine Ann Blyth : taille courte, élégance menue, cheveux noirs et doux visage, et des seins visiblement mieux remplis que les siens ; Anne est gracieuse avec de jolies courbes qui se déploient avec grâce quand elle marche ou danse.