Mutinerie au Congo, Chapitre 03

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Les mutins déchaînés violent toutes les Blanches chez elles.
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Chers lecteurs et lectrices. Je poursuis ici mon adaptation de cette histoire écrite en anglais sur un autre site. Ici, la perspective s'élargit avec de nouveaux personnages. Les soldats mutinés déferlent sur l'ensemble du quartier blanc et enfoncent toutes les portes. Encore une fois, c'est une profusion de viols en réunion, mais il y a de nouveaux éléments, parce que chaque situation, chaque personnage a ses particularités. Il y a une chose qui est pourtant très répétitive... c'est qu'elles sont belles, les Belges! J'adore les voir se faire déshabiller.

Il faut aussi savoir que sur Literotica, une règle exige que dans les récits non consentants, chaque victime ressente un minimum de plaisir. C'est donc plus le récit d'un fantasme de viol qu'un récit de viol. Tous les noms de personnage sont fictifs, et je ne prétends aucunement décrire fidèlement ce qui s'est vraiment passé à Camp Hardy ce jour-là.

Puisse cette suite vous plaire.

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Camp Hardy, quartier blanc. Lundi, 11 juillet 1960.

En ce beau jour ensoleillé du mois le moins chaud de l'année congolaise, Armande, l'épouse du lieutenant Neveu, est là, dans la cour arrière de sa voisine, assise à siroter une bière blonde et fraîche comme elle, tout en discutant avec une autre jeune femme portant alliance, les cheveux bruns et quelques années de plus celle-là. C'est Louise, la femme du capitaine O, en train de garnir sa corde à linge de lessive à sécher.

De son regard d'Andalouse, Louise voit avec fierté le beige clair d'une chemise d'uniforme se déployer avec les pattes d'épaule ornées des trois étoiles signalant le grade de son capitaine de son mari.

Comme sa voisine blonde qui sirote sa bière belge, Louise tâche de vaquer à ses occupations quotidiennes en essayant de ne pas songer au pétrin dans lequel elles-mêmes, leurs maris et leurs familles se trouvent. Le colonel Bobozo, ce sale nègre que le nouvel état-major congolais a bombardé commandant de Camp Hardy, refuse catégoriquement de laisser partir les « bons Blancs ».

Elle sent le soleil tropical, très haut dans le ciel en ce début d'après-midi, lui taper directement sur les cheveux, qu'elle a brun chocolat en longues et soyeuses mèches qui tombent ondulées sur son dos, que recouvre une robe vert émeraude, ceinturée et seyante, qui se déploie en largeur et lui descend un peu plus bas que les genoux. Madame la capitaine porte bas de soie et talons hauts, comme il se doit.

Armande, qui est un tantinet bisexuelle, adore contempler sa voisine, dont elle devine la joliesse des seins sous cette robe à manches courtes en la regardant qui tend les bras devant elle et accroche sa lessive à la corde, tenant les pinces à linge dans sa bouche, où brille un discret rouge à lèvres. La jolie brune a de petites boucles d'oreille argentées dont l'éclat perce parfois la nuit de ses cheveux.

« En tout cas, dit Armande, j'espère qu'on va bientôt pouvoir filer d'ici. Non mais, tu te rends compte, Louise? Ils sont entrés dans nos maisons et ont tout saccagé la semaine dernière! Il paraît qu'ils ont trouvé la femme du colonel et se sont amusés...»

« Armande! Je t'ai dit cent fois de ne plus parler de ça! Nos maris se battent becs et ongles pour nous faire évacuer, et je suis certaine que d'ici quelques jours... »

« Bon... Bon... Dis, Louise... Aimerais-tu qu'on aille à l'intérieur et qu'on fasse une petite sieste? Ensemble... » La jeune femme laissa traîner ce dernier mot avec la sensualité d'un doux baiser. Elle regardait Louise d'un regard félin de chat qui ronronne, regard qu'elle avait gris sous les lignes ténues de ses sourcils, dorés comme les fils d'une robe de comtesse médiévale.

Louise considéra Armande d'un air songeur. Elle regarda les douces courbes de son corps de jeune fille, bien en évidence sous sa robe d'été blanche que complétait un châle vieux rose de chez Dior. Avec ça, la jeune femme finissait sa coupe de bière d'une main gantée de blanc; elle ne manquait pas de style, Armande.

« Oui, peut-être que ce serait bien... » songea Louise.

Ces mots firent sourire la jolie blonde, que la brune regardait avec plus de curiosité que de désir. Louise ne recevait pas tellement de tendresse de son capitaine de mari, qui la fourrait un soir sur deux, à peu près toujours en levrette, avant de s'endormir comme un cochon bien content.

Avec Armande, c'était autre chose. Louise était peu portée vers les autres femmes, mais lorsque Armande lui découvrait et caressait les seins, Louise n'avait qu'à fermer les yeux et songer que c'était le jeune Michel qui lui léchait et pressait doucement les mamelles, qu'elle avait très sensibles.

Michel, dix-neuf ans, c'était le fiancé de Lucie De Vos. Les deux tourtereaux s'étaient promis l'un à l'autre en mai, et Louise était à peu près certaine que leurs amours n'étaient pas encore consommées. Ils comptaient se marier l'an prochain.

Louise O, Capucet de son nom de jeune fille, était obsédée par ce garçon qui avait quinze ans de moins qu'elle. L'écart d'âge et le tabou social multipliait son désir. Bref, partout où les mains et la langue d'Armande se posaient, c'était Michel qu'elle s'imaginait sentir...

Les jeunes femmes discutèrent encore un peu. La soirée de bridge était demain chez Madame De Vos. Enfin, elles s'apprêtaient à rentrer pour la sieste, quand une grande clameur se fit soudainement entendre.

Ça venait de la rue. Ça criait, ça hurlait et ça vociférait de colère. Louise resta interdite en regardant vers sa maison, le brouhaha venant de par-delà ses murs blancs, tandis qu'Armande consulta machinalement sa montre.

Il était des poussières passé deux heures vingt ; la poussière diurne dansait au vent devant ses yeux gris, dont les notes turquoise étaient alimentées par un sombre pressentiment.

Tandis que Louise restait pétrifiée, Armande distingua certains mots au milieu du fracas...

« Ils nous tirent dessus... » « ... Fumiers! »

« On va leur montrer! » « ... bois on se chauffe! »

« Les cochons b...! »

« Où sont... leurs salopes! »

« Elles vont prendre une... »

Armande comprit. Ses jambes tremblèrent de frayeur. La jeune épouse, qui menait jusque là une vie insouciante, sentit en elle pour la première fois ce que c'était que d'avoir peur.

« Mon bébé... Mon petit Rémi... » fit soudain Louise en songeant à son petit dernier, un poupon d'un an qui dormait dans la chambre d'enfant, avec Nadine, la fille d'un autre voisin, qui était assise pas loin, dans la maison, avec un roman sentimental pour jeunes filles.

« Il faut se cacher, Louise. Vite! »

Armande aperçut deux uniformes beiges de la Force publique. L'ennemi à présent.

Deux mutins armés, venus se poster dans l'arrière-cour, aperçurent à leur tour et reconnurent les femmes du capitaine O et du lieutenant Neveu, qui étaient tous deux au cachot avec les autres officiers blancs ; les mutins les avaient tous arrêtés, eux et leurs fils, puis s'étaient amusés à les passer à tabac avant de tous les jeter au cachot. Ils venaient à présent pour les femmes et les jeunes filles.

Les deux nègres en uniforme tropical, à manches et culottes courtes, leur sourirent en leur bloquant le chemin de la véranda.

« Ôtez-vous de là, vous deux! » leur lança Armande avec toute la morgue que pouvait produire quatre-vingts ans de domination coloniale. Louise gardait le silence; elle se pressait contre Armande à la manière d'une petite écolière apeurée par une grosse couleuvre.

Les deux lascars aux bras marron foncé ne répondirent pas, mais s'approchèrent, souriants comme des enfants à la fête et considérant les deux Blanches avec des yeux fascinés et sauvages dont la voracité perçait la civilisation des robes d'été.

Sentant ces regards odieux, elles se croisèrent les bras devant la poitrine, comme si elles étaient nues et essayaient de cacher leurs parties intimes, mais elles oubliaient leurs sexes, heureusement à l'abri sous leurs robes au tissu délicat.

Armande sentit une grande colère monter en elle. Comment osaient-ils la regarder de cette façon? Elle les vit s'approcher, médusée par ce soudain sans-gêne, en serrant son châle vieux rose d'une main crispée, gantée de blanc.

Ce gant blanc de bourgeoise fascinait les deux nègres, qui marchèrent droit aux deux Blanches, mirent leurs carabines en bandoulière et les empoignèrent! Armande tenta l'esquisse d'un mouvement de recul au tout dernier instant, mais c'était bien trop tard.

« Mais... Mais qu'est-ce que vous faites!? » glapit-elle, tandis que Louise se laissa saisir, pétrifiée de surprise, terrifiée, le visage soudain livide tandis qu'elle considérait en panique le grand nègre, dont les yeux sombres et le visage souriant dansaient tout près, trop près d'elle.

« Mais lâche-moi! Lâche-moi, sale macaque! Hé, mmmmhhhh... » fit Armande, qui bientôt poussa des gémissements étouffés en refusant d'accepter ce dont ses cinq sens l'informaient : le soldat nègre était en train de l'embrasser de force, de ses grosses lèvres charnues, son visage de terre sombre tout contre le sien tandis qu'il lui serrait les poignets à la faire hurler de douleur. Ce qui arrivait était impossible! Impossible et impensable! Mais pourquoi donc cela arrivait-il? À elle en plus!

De hauts cris résonnèrent dans la maison. C'était Nadine. Armande, qui redoubla de vigueur en se débattant, tentant désespérément de dégager ses poignets de l'emprise de son agresseur, comprit que des mutins investissaient la maison et qu'ils venaient de s'emparer de Nadine.

Pendant que l'autre soldat tenait Louise fermement embrassée dans l'étau de ses bras, Armande parvint à se dégager à demi de son agresseur à elle, qui malheureusement lui saisit d'une main le devant de sa blouse blanche et l'empêcha de partir ; les deux boutons d'en haut se rompirent et la jeune blonde tenta de fuir tandis que le nègre gardait obstinément sa prise sur la blouse blanche, dont l'échancrure s'élargit encore, laissant voir les jeux de courbes de son soutien-gorge.

Dans la maison, la jeune Nadine hurlait à en faire s'ébranler les murs tandis que des troufions lui lançaient des jurons et quolibets anti-Belges. D'autres se réjouissaient de leur belle capture...

« Hé les gars! C'est Nadine Gilbert, la fille du directeur de l'école! »

« On va bien s'en occuper, de la petite Nadine! »

« Allez, la petite étudiante! Fais-nous voir un peu ton petit cul de lycéenne! »

« Non! Non, non, non, non, non, non, non... »

Armande entendait tout et commença à pleurer pour Nadine. La pauvre allait se faire déflorer à répétition. Par ces sales nègres! Par ces maudits Congolais qui se croyaient tout permis juste parce qu'ils avaient maintenant un pays souverain.

Louise restait pétrifiée tandis que le soldat, qu'elle connaissait bien de vue, continuait de l'embrasser avec une fougue forcenée, obligeant ses seins à s'aplatir contre sa poitrine d'homme congolais.

Louise ne pouvait concevoir se contact charnel et intime entre le Noir et la Blanche. C'était trop. Son esprit se bloqua et tenta de faire le vide face à la tempête de ses cinq sens. Elle était pénétrée de l'odeur âcre du nègre, de ses mains, dont une lui pressait un sein, de cette noirceur de peau qu'elle ne pouvait s'empêcher de regarder... Pénétrée aussi par ce goût inédit qu'il forçait dans sa bouche, tandis qu'elle entendait toujours les hauts cris de Nadine venant de la maison, et les hargneuses protestations d'Armande juste à côté d'elle.

Il y eut bientôt du mouvement autour des Blanches qu'on embrassait de force. Des soldats accouraient et environnèrent la scène, qu'ils applaudirent de leurs mains bien brunes.

La bruyante soldatesque, sept ou huit hommes, reconnurent immédiatement les deux femmes. Louise O et Armande Neveu ; mesdames la capitaine et la lieutenante.

« Allez, les gars » dit un sergent, « déshabillez-les, ces deux salopes blanches, qu'elles puissent tâter d'un peu de bites congolaises! »

« À poil! À poil, les Blanches! »

« C'est aujourd'hui qu'on sabre le champagne! »

Cette scène ensoleillée et crue se déroule comme dans un rêve sur fond de pelouse jaunie ; pour les femmes comme pour les hommes, le temps ralentit.

Dans la maison, les murs et la fenêtre ouverte retentissent des hauts cris de Nadine, accompagnés des rires gras, sifflets et quolibets des mutins qui, de leurs mains et de leurs visages souriants, assombrissent son horizon et éclairent leurs yeux fous en la déshabillant de force tandis que la jeune fille devient folle et gesticule en panique dans leurs bras en criant toujours comme une folle.

Dans la cour arrière, Armande est empoignée par les bras et l'officier, un capitaine fraîchement promu, à qui elle crache au visage, lui saisit le col, déjà à demi déchiré, et il l'embrasse de force avec un plaisir indicible.

D'autres nègres souriants étendent Louise sur le gazon jauni de soleil ; la masse sombre de ses cheveux forme un grand éventail de soie brillante sur cette pelouse où elle a le souffle coupé en réalisant qu'elle est sur le point d'être violée par ces hommes.

Les mutins hurlent leur joie sauvage de pouvoir faire main-basse sur les bourgeoises blanches...

« Wou-hou-hou-hou-hou! »

« Ahh... On va les violer, ces sales traînées blanches! Ahh... On va les faire râler comme des chiennes! »

« À poil, à poil, les salopes blanches! »

« On va leur donner de la bite congolaise! »

« Elles en meurent d'envie! »

« Fumiers de Belges, ils l'ont bien cherché! »

« Allez les filles, c'est votre tour! »

« Ahh... On va leur apprendre à tirer sur nos hommes! Allez les gars, déshabillez-moi ces deux gourgandines! Dommage que leurs couillons de maris ne soient pas ici pour voir ça! »

« On va tout leur raconter en détail, sergent! »

L'idée n'est pas mauvaise, mais aucun des mutins échauffés n'a envie de quitter les lieux pour aller chercher les maris, et puis il y a là un risque inutile de complication. On fera ça demain, mais d'abord, il s'agit de déshabiller les deux jeunes épouses et de s'amuser avec elles.

Muette de stupeur, étendue sur le gazon jaune d'Afrique au milieu des grands éclats de voix et des moqueries assourdissantes, Louise, tout hébétée, a le corps tout pétri par les mains des nègres qui lui arrachent sa belle robe d'été ; tout est emporté par la meute rageuse ; sa robe vert émeraude au tissu fin est déchirée en lambeaux dans un bruit qui la dénude et la couvre de honte.

Un soldat lui tient les bras au-dessus de la tête tandis qu'elle est maintenue au sol et qu'on découvre ses longues jambes fuselées et bien blanches, en les tenant droites et hautes pour y faire glisser les lambeaux de sa robe toute déchirée.

Petite-culotte et soutien-gorge, aussi blancs que les gants d'Armande, lui sont arrachés au milieu d'un grand roulement de sifflets grivois ponctués de grognements primitifs. On commente l'éclat tout noir du sexe de Louise, et la blancheur laiteuse de ses seins soudainement révélés avec le vin rosé de ses mamelons au soleil. On lui laisse son collier de perles blanches ; la troupe n'est pas là pour la voler.

« Alors, ma belle petite capitaine, ça te plaît d'être toute nue au milieu des soldats?» lui lance le capitaine nègre en admirant sa nudité aveuglante. « N'as-tu pas honte, salope? »

Armande vocifère et fait rire la troupe par ses vaines menaces. D'autres soldats encore arrivent et la reconnaissent. Déjà, des mutins ôtent leur uniforme pour se mettre nus eux-mêmes pendant que d'autres déshabillent les deux femmes sous le haut soleil du Congo, qui brille plus bas dans le ciel de Belgique, loin au Nord.

Armande est elle aussi étendue sur la pelouse sèche et déshabillée dans un grand concert d'étoffe déchirée. Son châle vieux rose de chez Dior est emporté par leurs mains tropicales dont elle tente en vain de s'éloigner en vociférant sa rage impuissante...

« Non! Non! Non! Non! Non! Non! Vous serez tous fusillés! Fusillés! FUSILLÉS! »

Elle répète « fusillés » en hurlant d'un cri strident et rageur, abattant ses furieuses cordes vocales contre le mur implacable de ces visages de nègres qui l'entourent et se moquent d'elle.

Dans la maison, la douce Nadine crie, crie et crie comme une possédée... « Naoon! Aaaaaaahhh... Aaaahhhh naaoon! »

Armande porte toujours ses gants blancs et serre ses petits poings de Bruxelloise tandis qu'elle sent que la meute hurlante lui arrache ses sous-vêtements. Elle sent une pointe d'excitation sauvage naître en elle quand la brise africaine caresse directement ses seins, soudainement nus en plein soleil, sous les regards et les mains voraces des soldats, dont elle connaît bien les visages, car c'est le peloton que commande son mari.

On lui arrache sa petite-culotte et l'on commente l'éclat triangulaire de sa belle toison dorée. Armande sent l'excitation monter en elle, sauvage et interdite ; elle se hait, elle les hait pour lui faire ressentir ça, elle qui a déjà vu des nègres dans un zoo humain à Bruxelles, elle qui apprend aujourd'hui que les nègres peuvent physiquement la toucher et faire d'elle leur jouet, et ça, ça excite la Belge dont les cheveux blonds sont dégrafés par la troupe et déployés sous le haut soleil, qui brille d'indifférence, loin au-dessus de la scène impensable.

De ses mains, la troupe de mutins parcourt le corps des jeunes femmes, éclatantes et plus aristocratiques que jamais dans leur nudité tout européenne. Les Congolais sont bouche bée et saisis d'un puissant désir libérateur ; ils vont pouvoir les fourrer! Seuls les bas de soie de Louise, tenus par les jarretières, sont encore là à couvrir ses jambes d'un film sombre et moiré.

Le capitaine donne ses ordres...

« Aristide! Auguste! C'est vous qui les avez vues les premiers, et c'est vous deux qui les aurez en premier! Après, on procède par ordre de grade... Et ôtez-moi ces bas de soie-là! J'ai envie de voir ses jolis petits pieds belges... Ahh oui... Ça, ça va être du vrai bon cul! Ahh, les salopes blanches! »

Pendant que Nadine est dans la cuisine, la face plaquée sur la table, et continue de crier à tout rompre pendant qu'elle est violée à répétition par derrière, les Noirs de la Force publique mutinée tiennent solidement Louise et Armande, bras et jambes écartés, tandis que les deux soldats qui les ont vues les premiers s'agenouillent entre leurs jambes nues et regardent tout timidement ces jeunes épouses d'officier qu'ils vont violer sous les encouragements de leurs camarades en liesse.

Aristide s'enfonce sans difficulté dans la chatte mouillée d'Armande, qui braille et hurle à tout rompre sa rage folle d'être ainsi humiliée et bafouée par son propre corps, pris d'une excitation involontaire qui fait même s'enfler ses seins, qu'elle a encore aussi fermes qu'à l'époque où elle était lycéenne.

Armande crie sa fureur impuissante contre cette meute noire, contre son corps aussi, tandis qu'Aristide la possède et commence le va-et-vient en lui embrassant les seins, ce à quoi son corps réagit par une poussée de plaisir sauvage. Le contact de cette bouche congolaise sur ses mamelons tendres incendie son sexe, et Armande pleure à chaudes larmes sous les coups de boutoir du soldat qui la viole en grognant contre ses seins, pendant qu'elle a les bras et les jambes solidement maintenus par la troupe moqueuse.

Nadine continue de crier en arrière-plan, mais ce ne sont plus les hauts cris stridents du début ; ce sont plutôt les râles d'une fille qui a capitulé.

Auguste force Louise à hurler sa douleur et sa honte tandis qu'il la pénètre, mais bientôt, le sexe de Louise est devenu lubrifié par les fluides de son plaisir involontaire tandis que ses parois vaginales font connaissance avec la brutale bite congolaise et tâchent de s'y adapter tant bien que mal.

Après le choc douloureux, Louise pleure en silence pendant que son petit corps de fille brune est secoué sous les violents assauts d'Auguste, qui la viole la bouche grand ouverte pendant que les autres lui meurtrissent poignets et chevilles en la maintenant de leurs mains crispées par l'intense excitation.

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