Mutinerie au Congo, Chapitre 03

BÊTA PUBLIQUE

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Le premier chanteur, ou « lead singer », entame son couplet, suivi du chorus des trois autres...

« Got down on my knees and began to pray (Great big idol with the golden head) »

Les voix des Coasters portent un héritage tribal d'Afrique, qui donna naissance au «gospel » chanté par les esclaves d'Amérique et qui finit par se retrouver dans le «rhythm and blues» et le « doo-wop » américains. Sans l'héritage africain, il manquerait quelque chose à l'Amérique de 1960.

Pauline danse près des autres filles, peut-être non moins excitées qu'elle. Elle sent sa petite-culotte toute mouillée. Elle cherche Véronique du regard, car elle sait que Véronique peut parfois se sentir attirée par une autre fille. Pauline a envie, très envie que quelqu'un, qui que ce fût, lui mange la chatte pour éteindre l'incendie allumé en elle. Embrasser Véronique serait très bien et très doux en soi ; elle ne dirait pas non, et puis se serait drôle de faire ça entre filles.

Sur la table de chevet de Lucie, elle aperçoit le réveil matin, rond avec ses oreilles de laiton sonore ; les aiguilles noires sur blanc indiquent une minute passé deux heures vingt.

Pauline et les autres entendent confusément une sorte de brouhaha qui vient de dehors. Mais elles continuent de danser, emportées par les voix des Coasters et leurs fantasmes de jeunes filles.

Tout à coup, de gros coups sourds donnent contre la porte d'entrée. Puis, un coup de feu retentit à l'arrière et peu après, Jeanne hurle le nom de sa fille en voyant une escouade de nègres mutinés faire irruption après avoir fait sauter le verrou et enfoncé la porte de derrière à l'aide d'une poutre.

« Lucie! Lucie! Sauve-toi! Cours! Cours! AAaaHhh!!! Non! Non! Laissez-moi! Non!»

Les troufions, hurlant leur joie sauvage et criant « les putes blanches! les putes blanches! », ont attrapé Jeanne avant qu'elle ait pu courir à sa chambre chercher son revolver russe « Nagant ».

Pendant que des soldats vont ouvrir la porte du devant pour laisser entrer les autres gars du peloton, d'autres soldats entraînent Jeanne au milieu de la salle de séjour.

Ils lui plaquent le dos contre la table à café, qu'ils rasent brutalement en faisant tomber livres, tasse et bibelots, et sans autre forme de procès, sans la déshabiller, ils retroussent sa large jupe et se hâtent de lui arracher la petite-culotte.

Elle lutte désespérément, criant à Lucie de se sauver, sachant ce que ces sales nègres ont en tête et collant furieusement les jambes pour protéger sa vertu tandis qu'elle braille et continue de hurler le nom de Lucie.

Lucie entend tout et stoppe le morceau de musique sur le point de finir. Elle comprend que ce qui se passe est très grave. Elle entend sa mère hurler à tout rompre, comme elle ne l'a jamais entendue hurler, et elle a soudain vraiment très peur, car elle comprend, sans arriver à y croire, que ce qui est en train de se passer, c'est la chose la plus grave entre tous les scénarios possible. C'est le pire cauchemar!

Elle entend les nègres crier son nom tandis que sa mère n'arrête pas de hurler comme une folle en criant son nom elle aussi...

« Lucie! Lucie! Sauve-toi vite! Noon... Nnaaaaaaaaaaaooooon!!! Lucie! Lucie! »

« Allez les gars, par ici les gars, elle doit se cacher dans sa chambre, la petite gourgandine! »

« Aaah... Lucie De Vos! Qu'est-ce qu'on va la défoncer! »

« Wou-hou-hou-hou-hou-hou-hou! »

« T'en fais pas ma mignonne! On arrive! »

« J'ai hâte de voir son beau petit cul tout blanc! »

Lucie a le sang qui se glace ; terrifiée, elle veut se mouvoir pour prendre la fuite, elle veut parler pour dire à ses amies de se cacher, de se sauver, de prendre quelque meuble pour se défendre, mais ses jambes refusent de lui obéir ; sa bouche reste muette, les lèvres tremblantes de terreur tandis qu'elle entend les lourdes bottines militaires approcher résolument de sa porte.

Ils viennent! Ils viennent pour elle! Pour elle ; et ils vont aussi trouver ses amies. Ils arrivent! Ils arrivent!

La porte s'ouvre à toute volée. Les nègres en uniforme font irruption dans la chambre de Lucie, l'aperçoivent, les aperçoivent, et là, toutes les filles sauf Lucie crient à faire éclater le verre en percevant le désir fou chez ces hommes et l'éclair sauvage et insensé qui brille dans leurs yeux d'Afrique noire. Il n'existe plus aucune loi ni plus aucune barrière pour les protéger d'eux, et elles le savent ; pire, elles le sentent dans leurs tripes qui se nouent et les paralysent.

« Hé les gars! Regardez ce qu'on a ici! Lucie... Véronique! La belle grande Pauline...»

« Saperlipopette! C'est pas croyable! On a trouvé une belle petite brochette ici! »

Pendant que les deux soldats s'étonnent, les autres ne perdent pas de temps et se ruent sur les quatre filles, qui emplissent la pièce de leurs hauts cris, sauf Lucie.

Pendant qu'on lui saisit les bras, Lucie croit entendre des cris stridents qui arrivent estompés, mais navrants, de sa fenêtre entrouverte... « Maman! Maman! maman! maman! maman-maman! ... » On dirait la voix d'Anne dans la maison d'en face. Difficile à dire avec Pauline, Véronique et Isabelle qui crient à pleins poumons pendant que les nègres leur annoncent qu'elles vont être violées pour fêter le Congo indépendant.

Quand elle sent des mains d'homme lui empoigner les seins, Lucie veut hurler, mais n'y parvient pas. Elle veut se défendre contre la soldatesque, mais elle est paralysée comme dans un cauchemar. On l'entraîne quelque part. Quelqu'un rigole en disant que ce sera drôle d'enfiler la fille juste devant sa mère. Sa mère qu'elle entend plus distinctement.

Elle ne voit rien ; autour d'elle, tout n'est qu'une forêt de visages, bras et mains d'hommes du Congo qui l'injurient en la traitant de « petite salope blanche » et de «sale petite pute ». Ces hommes portent l'uniforme de la Force publique ; ils n'arrêtent pas de lui pétrir les seins à travers son polo blanc, qu'ils obscurcissent de leurs mains rapaces et finissent par lui déchirer sauvagement.

« Regarde! Regarde ta fille, Madame la Capitaine! Tu vas voir comment on va la violer, ta petite salope blanche! » dit le meneur à Jeanne, qui se met à sangloter en les suppliant d'épargner l'opprobre à sa fille, mais le meneur, un adjudant joufflu, la gifle très fort et force pour lui écarter les cuisses, ce qu'il ne parvient à faire que partiellement, assez pour se glisser entre ses genoux ; l'homme lui-même agenouillé est irrité de cette résistance opiniâtre, et il donne deux grands coups de poing à Jeanne.

À demi inconsciente, un œil à moitié fermé et bientôt enflé au beurre noir, la mère a les jambes écartées et le solide adjudant au visage grassouillet, les nez bien épaté, peut enfin prendre ses aises entre ses belles cuisses à la peau claire et pousser contre l'entrée de son sexe, plutôt sèche. Comme toutes les brunes, Jeanne a le mont de Vénus obscurci de poils sombres.

L'adjudant joufflu est bientôt en elle et commence à la violer tout habillée, en robe d'été, sur la table à café pendant qu'à deux pas de là, d'autres mutins déshabillent Lucie à la hâte en lui pétrissant les seins et les fesses.

Les soldats nègres sourient et ressentent un vif plaisir en réalisant ce fantasme fou : déshabiller Lucie, fille chérie du capitaine De Vos, la mettre toute nue et lui balancer un gros chargement de sperme bien chaud après l'avoir déflorée. C'est l'objectif de leur mission. Ils y touchent et ils l'adorent. Mon Dieu qu'elle est jolie, la petite Lucie!

Ils se foutent de la terreur sans nom qu'ils infligent à la jeune fille tandis qu'ils lui arrachent son polo blanc et que leurs mains brun terre pulvérisent son soutien-gorge rose pastel, lui libérant les seins, dont le déploiement éperdu illumine toute la pièce et fait pousser de sauvages grognements aux soldats qui la contemplent. Ses mamelons tout pâles sont le point de perspective de leurs regards fous.

Les nègres qui l'environnent sont bandés comme des taureaux.

Incapable de bouger, écrasée par l'horreur qui happe sa vie, Lucie pleure en silence, les lèvres tremblantes tandis qu'on se presse pour lui lécher et pétrir les seins ; elle crie de honte terrifiée en se rendant compte que ça excite son corps, de se faire sucer et caresser les seins par cette troupe de sauvages déchaînés.

Ils finissent par la plaquer sur le ventre contre le gros bras rembourré du canapé massif, meuble préféré de son père ; elle se retrouve la tête en bas, cheveux épars sur le cuir de Venise, le ventre plaqué contre ce bras rembourré et le souffle coupé ; de la chambre lui parviennent les hauts cris de ses amies, tandis qu'elle entrevoit sa mère en train de se faire violer en missionnaire sur la table à café, par un gros adjudant joufflu qui hurle sa jouissance sauvage en la secouant convulsivement tandis que d'autres nègres, tout souriants, lui maintiennent les bras et elle, sa mère, elle la regarde en hurlant son nom... « Lucie! Lucie! Pas ma Lucie! »

Jeanne crie comme une folle quand un grand sergent baisse rageusement le short de Lucie, maintenue à plat-ventre sur le gros bras du canapé massif par un soldat souriant qui lui tient les bras et les épaules, et adore son parfum de fille, et le sergent empoigne la petite-culotte rose pastel de l'adolescente et la lui arrache en poussant un cri sauvage en lingala. Apparaissent les fesses de Lucie, toutes blanches dans leur splendeur de lycéenne.

Le cul de Lucie, magnifique de jeunesse, apparaît bien en évidence et fait durcir les érections qui l'environnent, toutes sorties des uniformes tropicaux de la Force publique.

Le sergent Kumwimba saisit son érection, dure comme un baobab, et pousse contre la fente vierge de Lucie, qui geint et pleure en sentant sa défloration si proche. Il force l'entrée sans pitié et fait hurler la fille de douleur ; il sent quelque chose lui résister à l'intérieur, puis céder tout d'un coup avec épanchement de liquide, et là tout devient lubrifié; le sergent Kumwimba vient de lui déchirer l'hymen.

Lucie hurle, hurle et hurle encore tandis qu'on la tient et que le sergent grogne comme un sanglier en rut et la viole en levrette avec une joie indicible, admirant et caressant les formes adolescentes de son cul, blanc comme lis et tellement doux, tandis qu'il la pilonne contre le canapé et abolit toutes les frontières, tous les tabous coloniaux. Il l'invective pendant qu'il la viole à grands coups de bélier triomphant...

« Tiens, tiens et tiens, maudite salope blanche! Tiens! Tu vas voir ce que c'est que le Congo libre et indépendant... Sale traînée! Vous n'avez que ce que vous méritez! Ooh... Oh, mon Dieu que c'est bon! Oh... Elle est si étroite! Oh, la petite salope! Tu vas voir comment on va te violer, petite chipie... Tu vas voir! »

« Vas-y, sergent! Fais-la jouir comme une chienne en chaleur! »

D'autres soldats encore entrent dans la maison et se réjouissent du spectacle surréel, pendant que le capitaine De Vos se morfond au cachot, le visage tuméfié par le passage à tabac que ses hommes lui ont fait subir en lui promettant de lui apporter des photos de sa fille en train de se faire monter par les militaires du rang.

Dans la chambre de Lucie...

Confrontées aux Noirs en uniforme qui investissent la pièce, Véronique, Isabelle et Pauline se plaquent contre le mur, le plus loin possible des hommes, comme si elles allaient y trouver une issue.

Les mutins surexcités les saisissent. Véronique est jetée sur le lit et brutalement assaillie, elle et ses vêtements. Isabelle est plaquée la face contre une commode, et ils lui déchirent sa robe bleue et blanche en damier oblique. Sa robe d'été au tissu mince n'est pas de taille contre la fureur des Congolais déchaînés.

Dans un grand concert d'étoffe déchirée, le dos d'Isabelle est hâtivement mis à nu et on lui brise l'élastique et l'agrafe de son soutien-gorge. À la blancheur éclatante de son dos répond la pureté toute en courbes de son cul de fille rousse. Ici, aucun hâle africain ; la fille sera violée en tant que vraie Blanche.

Véronique se débat comme une folle tandis que des mains sombres saisissent et abîment son épais chandail vert ; il faut trois hommes pour la maîtriser ; elle se débat et lutte comme une forcenée, mais les nègres sont trop fort ; ils ont trop envie de la voir nue et de la posséder.

Pauline crie d'une puissance suraigüe contre les trois Congolais souriants qui l'environnent. L'un lui tient fermement les bras par derrière en lui disant des cochonneries à l'oreille, et elle gesticule des mains en suppliant les deux lascars qui lui font face, en les implorant d'être gentils, mais le nègre qui lui fait directement face saisit et force le devant de son chemisier blanc cassé.

« Non! Non! Je vous en prie! Soyez gentils! Soyez de bons nègres! Non, AAAIIEEE!!!»

Le caporal lui faisant face l'a giflée à toute volée, puis il tire et déchire complètement sa blouse, puis tire, étire et détruit son soutien-gorge.

« Allez, la salope blanche, fais voir tes petits nichons! »

Les petits seins de Pauline apparaissent au milieu des ruines mouvantes de son chemisier. Ils sont comme animés d'une vie propre ; ses mamelons à peu près bruns surmontent de petits promontoires dont le relief est aussi modeste que puissant. Le caporal vient les lui lécher, et Pauline hurle comme si on l'éventrait, mais le contact de cette bouche de nègre sur ses mamelons la font brûler d'une excitation souterraine ; elle sent qu'elle va vite capituler, et raisonne avec sa vertu outrée en se disant que de ne pas résister rendra le tout plus facilement supportable ; si elle coopère, peut-être qu'ils seront gentils et iront plus en douceur...

Pris d'une sauvage pulsion de viol, le caporal veut tout de suite lui écarter les jambes pour la posséder, mais ce n'est pas si facile. Pauline serre les jambes ensemble, sous la jupe qu'elle porte toujours, en criant comme une folle...

« Non, non, non! Soyez gentils! Non... NAOOOOON!!! Je suis vierge! Vierge! Naoooon... aaaahh-aaaaaahhhh... rrrrrrhhhhhhhaaaa-aaaaaaaaa-aaaaaaaaaa-aaaaaaaaaaahhhh... »

Pauline emplit la pièce de ses cris désespérés, elle tente en vain de se dégager, se débat et s'épuise, comprenant que ses petits fantasmes de lycéenne n'ont rien à voir avec la vraie vie.

Sur le lit, on frappe Véronique de gifles et de coups de poing et l'on finit par avoir raison de son chandail vert, qui bientôt gît au sol comme un garde loyal que les assaillants viennent de tuer. Son soutien-gorge est aussitôt arraché. Les seins de Véronique, d'une beauté blanche et nubile, se déploient et gigotent tandis que la fille tente de résister en hurlant sa rage et sa terreur.

Ce sont à présent quatre nègres qui s'acharnent sur elle tandis que d'autres plaquent Pauline au sol.

Véronique secoue la tête en perdant la raison ; elle crie « Non! Non! Non! Non! Non! » en secouant la tête dans le désordre noir de ses cheveux, tandis que deux nègres lui tiennent solidement les poignets et les deux autres lui soulèvent les jambes bien droites en s'excitant à la vue de ses pieds nus.

Une fois qu'ils lui tiennent bien les chevilles, ils se ruent sur sa ceinture et tirent le tout, sans douceur, et forcent le passage de ses hanches. Ils font ainsi glisser tout ce qui lui reste de vêtements -- jupe et petite-culotte -- dans un grand désordre en découvrant son mont de Vénus et son triangle parfaitement noir de poils intimes ; ils admirent son sexe et apprécient les accents beige clair de son teint riche en mélanine.

Avec ses cheveux longs à peu près noirs, Véronique a plus l'air d'une Italienne née à Vérone que d'une Belge née à Léopoldville. La violer sera comme posséder et humilier une jeune Romaine et toute la civilisation classique qu'elle personnifie.

Pauline est déshabillée exactement comme Véronique : les jambes droites et maintenues ensemble tandis qu'on fait glisser sa jupe en damier noir et blanc tout le long de ses jambes longilignes. Elle aussi a des pieds magnifiques qui font durcir les érections congolaises.

Isabelle est déjà maintenue la face contre la commode et gémit comme une âme perdue tandis qu'un mutin la viole en levrette, un homme d'âge mûr qui trouve extraordinaire de violer cette jeune fille, abolissant l'écart des générations en plus de fracasser les tabous coloniaux.

Véronique, dont la bouche saigne des coups reçus, a beau se démener, crier et supplier et tenter de se libérer en gigotant comme une anguille plongée dans de l'acide, deux nègres lui tiennent et écartent les jambes ; d'autres lui tiennent solidement les bras plaqués sur le lit et la secouent comme un prunier pour lui faire comprendre qu'elle doit se calmer et subir leur loi.

Véronique a les seins bien à la vue avec leurs mamelons foncés qui sentent le secret d'une jeune fille douce, et le premier de ces messieurs, la bite bien dure et bien sortie sous les yeux terrifiés de l'adolescente, l'homme, plutôt laid et chauve, s'allonge sur elle, peinant à croire à la réalité du moment.

Véronique hurle et crie de rage et de honte quand elle sent la puissante invasion lui élargir la matrice et la déflorer! Mais elle est surprise de ne pas avoir trop mal.

L'homme s'exclame de surprise et dit quelque chose en lingala. Elle comprend qu'elle avait déjà le sexe mouillé d'excitation, car elle n'arrêtait pas de songer à son fantasme de motards pendant qu'elle dansait au son des disques de Pauline.

Pauline est violée en missionnaire comme Véronique sauf qu'elle est par terre. Le caporal est allongé sur elle et savoure son plaisir sans nom. Il l'a pénétrée presque comme dans du beurre, car sa chatte était toute mouillée.

Le caporal va-et-vient en Pauline, qui pleure et gémit en intégrant l'infinie distance entre ses fantasmes et la réalité d'un véritable viol en réunion, viol qu'elle subit et qui ne fait hélas que commencer. Elle n'a presque pas senti son hymen, et le sien n'était pas grand'chose de toute façon.

Le caporal rugit de plaisir en violant Pauline ; il s'emballe et la secoue sauvagement, et ses petits seins dansent la mesure en mouvements secs et rapides. Elle gémit de plaisir forcé quand les autres lui frottent les seins, et les pressent doucement ; elle sent qu'ils ne la torturent pas ; ils font juste la violer sauvagement. Rien que ça. Elle est secouée tout en sanglots tandis que son violeur se met à hurler...

« La lycéenne! La lycéenne! Je la viole! Je la viole... Aahh, aahhh, ahhh, aaahh... Oaah c'est bon! Aahh, Pauline, tu es belle, Pauline, tu es... Aahh! Bandante! Une vraie petite déesse... aaah oui! Oui... »

L'homme chauve d'un certain âge couvre Véronique de baisers et d'opprobre tandis qu'il la viole. L'homme plutôt âgé qui prend Isabelle en levrette lâche bientôt son cri de jouissance accompagnée d'une chaude décharge qui porte le risque d'un bébé brun ; il est aussitôt remplacé par un autre, plus jeune et vigoureux celui-là, et dont les sauvages coups de boutoir font bientôt grincer la commode où glisse le visage d'Isabelle, qui ressent malgré elle un plaisir diffus de cette bite qui la laboure.

Dans la salle de séjour, l'adjudant joufflu a fini d'éjaculer dans la mère et regarde le sergent pilonner Lucie par derrière comme un étalon qui monte une jument blanche; la fille prend les coups de bite le ventre plaqué contre ce bras de canapé rembourré qui lui coupe le souffle à demi.

Soudain, le grand sergent accélère et se met à aller et venir en Lucie comme un forcené, admirant les lumières belges de son cul parfait tandis qu'il sent la douceur de sa taille sous ses mains et la tient bien fermement lorsqu'il vient mourir en elle.

Il pousse un long râle et jouit très fort, tirant quatre ou cinq jets puissants en Lucie, qui pleure à chaudes larmes au milieu des quolibets et des railleries des soldats qui l'entourent et la tiennent, la bite à l'air, et aussitôt, un autre soldat vient prendre le relais et pénètre Lucie en levrette, et la viole à son tour contre le canapé grinçant et déjà fatigué de cette rude épreuve.