Monsieur Attilio

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu vas avoir un cul bien propre

Je sens l'eau chaude monter le long de mes intestins. Il serre ma nuque pour contrôler mes spasmes. C'est l'enfer. Il retire le tuyau. Je dois serrer les fesses de toutes mes forces pour retenir le liquide. Des spasmes violents dans mon ventre. Mes muscles veulent expulser le trop plein.

Il refuse que j'aille aux toilettes. Je sens le liquide couler. Je serre les fesses au maximum. Je le supplie de me laisser aller aux toilettes.

- Non....

Un filet brun coule le long de l'intérieur de mes cuisses. Odeur d'excréments. Il regarde la tâche brune qui s'étend sur la porcelaine blanche. D'une main de fer, il garde ma tête baissée. De l'autre, Il me met sous les yeux l'éponge de bain. Une grosse éponge.

- Je vais t'aider.....

Il enfonce violemment une partie de l'éponge dans mon anus. C'est la première fois que je crie aussi fort. J'ai l'impression que mon ventre va éclater. Les crampes deviennent incontrôlables. J'expulse l'éponge. Des grands jets fusent de mon trou. Un bien être incroyable. Une odeur infernale. Je ne peux toujours pas relever la tête. Un liquide chaud sur mes cheveux et mon dos. M. Attilio est en train de me pisser sur le corps pendant que je me vide les intestins dans la baignoire.

Il part sans même me regarder. J'ai passé beaucoup de temps à me laver, et à laver la baignoire car j'ai vomis après son départ. Je savais que je venais de franchir une nouvelle étape et que M. Attilio était devenu mon maître.

Un lundi, après le café, M. Attilio ne m'a pas touché. Je portais un slip en dentelle et des bas assortis. Ma mère les avait achetés récemment. J'attendais ses ordres pour savoir si je devais mettre du rouge sur les lèvres. Cela faisait maintenant presque deux ans que M. Attilio me rendait visite.

- Tu es devenu une bonne larve.... Bien obéissante.... Avec une bouche accueillante et un cul bien souple...... Enlève les sous-vêtements de ta mère.....

Je me suis mis nu dans la cuisine. J'étais parfaitement épilé de la taille aux hauts des cuisses. Heureusement que je ne pratiquais aucun sport à la faculté et que ma mère me savait pudique. M. Attilio s'est levé pour venir près de moi. Il a fouillé dans la poche de son blouson.

- Il est temps que tu sois ma bonne petite chienne.

Il a sorti de sa poche une laisse et me l'a montrée. Une lanière d'environ un mètre cinquante en cuir rouge avec à un bout un collier auto-étranglant en maille d'acier avec les pointes de chaque maille tournées vers l'intérieur.

- Tu vois si tu es trop récalcitrant, je tire dessus, et les pointes s'enfoncent dans le cou. Aucun chien ne résiste à ce genre de collier.... Je suis sûr que j'aurai pas besoin de te faire mal.

C'est lui qui m'a mis le collier autour du cou. Le métal froid m'a fait frissonner. Il a à peine tiré que j'ai sursauté. Douleur et sensation d'étranglement.

- Mets-toi en levrette.... Allez

Je me suis mis à quatre pattes dans la cuisine. Il a attaché l'autre bout aux pieds de la table. Il suffisait que je tente d'avancer pour que le collier m'étrangle.

Il a mis son pied devant mon visage.

- Embrasse...

J'ai mis trop de temps à obéir, il a tiré d'un coup sec sur la laisse. Les griffes du collier se sont enfoncées dans mon cou. J'ai baisé sa chaussure.

- Encore..... Encore....

J'ai embrassé le bout de sa chaussure. Il tenait fermement le collier et m'obligeait à me prosterner, le visage contre sa chaussure.

- Maintenant tu lèches....

Le collier m'a à nouveau serré le cou. Me faisant mal. J'ai passé ma langue sur la chaussure de M. Attilio.

- Lèche comme un bon chien qui aime son maître...

J'ai obéis. J'ai longtemps léché la chaussure maculée de graisse et tâches de peinture.

- Stop salope... Je reviens....

Il est revenu au bout de quelques minutes. Il tenait des vêtements dans la main. J'ai reconnu mon pantalon de jogging et un polo à col roulé trop grand pour moi. Un cadeau de ma grand-mère. Il a détaché la laisse et m'a tendu les fringues.

- Les animaux, il faut les sortir pour qu'ils fassent leurs besoins.... Ne t'inquiètes pas personne ne verra la laisse sous tes vêtements et là ou on va on sera tranquille....

Pour la première fois, j'ai quitté l'appartement en sa compagnie. Je tremblais de peur. Je sentais la laisse contre mon corps et le collier autour du cou. J'avais peur de rencontrer quelqu'un dans le couloir ou l'ascenseur.

M. Attilio a sorti un gros trousseau de clefs et a saisi une petite clef plate qu'il a inséré dans une serrure sous le bouton d'appel de l'ascenseur. Dans l'ascenseur, il a fait la même chose. Nous sommes descendus sous le dernier niveau des parkings. Je ne savais pas qu'il y avait encore un sol-sol.

- C'est l'étage technique.

Les portes se sont effacées dans un bruit inhabituel. Un long couloir sombre aux murs de béton brut. Un silence inquiétant. Des portes en métal peintes en beige. Les chaussures de M. Attilio claquaient sur le sol nu de couleur gris clair. L'endroit était sinistre. L'ascenseur est parti.

Des tas de tuyaux de toutes les tailles et de toutes les couleurs couraient le long du plafond et des murs. Il faisait chaud, très chaud.

- Tu laisses tes vêtements ici et tu te fous à quatre pattes....

Il m'a promené dans le couloir en marchant lentement. Je le suivais à quatre pattes. Mes genoux me faisaient mal sur le sol peint à même le béton et le collier serrait mon cou. Il s'est arrêté.

- Lèves la patte contre le mur.... Allez lèves la patte.... Plus haut.... Encore....

J'ai fait semblant d'uriner contre le mur. Il m'a tiré. Arrêt devant une porte qu'il ouvre. Nous pénétrons dans la pièce. C'est le local de stockage des produits d'entretien.

- J'ai un cadeau pour toi

Au milieu de la pièce, il y a une écuelle. Mon prénom et peint sur le bord en lettres rouges. Il me tire vers elle. L'écuelle est pleine de céréales et de lait. Il pose sa chaussure sur ma nuque.

- Allez mange....

Mon visage s'écrase dans le brouet. Il me donne des coups de pieds pour que je lape la mixture. Je le fait en pleurant de honte. Il se positionne derrière moi. Me donne des claques sur les fesses.

- Lèches bien ton écuelle....

Il ouvre mes fesses et s'enfonce dans mes reins brutalement. Il m'encule durement et m'oblige à manger. Ses coups de bassins projettent mon visage dans l'écuelle. Il m'encule de plus en plus fort.

- Lape tout.... Lèche l'écuelle....

Mon visage est souillé de céréales. Je manque de m'étouffer. Je crie. Il pousse son sexe au maximum dans mon trou. Il tire sur la laisse m'obligeant à relever la tête.

- Espèce de sale chienne!.... Chochotte de mes deux.... Tu vas être un bon trou à bitte....

Il devient violent, me frappe sur le dos et tire sur la laisse. Je suis au bord de la suffocation. Il se vide en moi. Son liquide chaud envahi mes intestins meurtris. Je sens les jets puissants s'écraser dans mon cul. Il se retire. Se rajuste et se lève. J'ai ses bottes devant mon visage.

- Lèche les bottes de ton maître..... Allez chienne lèche mes pompes....

J'ai léché les bottes de M. Attilio, sur le dessus et le dessous. J'ai avalé les saletés, fait briller le cuir. J'avais mal, je me dégouttais. J'avais envie de disparaître sous terre.

oooOOooo

La fois suivante, après l'écuelle. M. Attilio passe la laisse entre ses jambes. Je suis derrière lui.

- Quand elles sont en chaleur, les chiennes lèches le cul de leur mâle.

Il baisse son pantalon. C'est la première fois que je vois son derrière. Très poilu, peau blanche piquetée de points rouges, odeur de sueur et de merde. Il tire la laisse. Mon visage s'écrase contre son cul.

- Allez nettoie....

Il n'a pas besoin de me forcer. Il lui suffit de m'étrangler avec la laisse. C'est moi qui lui écarte les fesses, dévoilant une raie noire de poils. Les odeurs deviennent insupportables. Je sors ma langue et commence à lécher. Envie de vomir. Mouvements de répulsion contrôlés par la tension de la laisse.

- Fait briller le trou de ton maître....

Je le fais. Je lape le muscle brun; Je lèche les poils collé; je tète la corolle plissée. Je fais de mon mieux. Les odeurs ne me dérangent plus. Je lui nettoie la raie du cul comme une bonne salope. Il est mon maître. Son odeur très forte marque mon cerveau.

Après son cul c'est au tour de sa bitte tendue que je tète. J'avale tout son sperme jusqu'à la dernière goutte.

oooOOooo

Un jour, il trouve que je le suce mal et me remplit la bouche de paillettes de savon. Un autre jour, c'est mon cul qu'il trouve sale et me plante un pistolet à graisse dans mon fondement. Il vide entièrement la cartouche dans mes intestins.

Un autre jour, il m'attache par les couilles à un tuyau et s'en va. Je reste seul dans le noir de ses sous-sols.

oooOoooo

Il y a six mois, M. Attilio a ouvert la porte du local pendant que je lapais mon écuelle, le visage dans l'assiette et le cul bien haut comme il le voulait. Je pensais qu'il allait partir en me laissant seul dans le noir comme il le faisait souvent. Mais non....

- Entrez les gars.... Venez voir ma chienne..... Elle est bien dressée maintenant...

J'ai pas levé la tête. Je n'avais pas le droit. Depuis un mois je dois toujours baisser la tête en présence de M. Attilio. C'était les gardiens des autres immeubles. Je le savais. Ils m'ont regardé en silence. J'ai continué à manger.

- Vous pouvez y aller les gars... Je lui ai bien ouvert le trou et il suce pas mal... Il fera tout ce que vous voulez.... Allez la chienne.... Montre leur comme tu es bien dressé.... Allez en

position....

Je me couche à plat ventre sur un vieux tas de couverture. C'est ce qui me sert de panier. Je ne sais pas qui m'encule en premier. Je m'en fous complètement. Je leur offre mon cul et ma bouche. Je ne suis plus rien dans cette cave. Que de la chair fraîche.... Et encore....

Après quelques hésitations, ils se déchaînent. M. Attilio à raison, je supporte bien les queues qui se succèdent dans mes orifices bien ouverts. Je n'ai même pas mal. Je suis leur chienne, leur pute. Ils me montent, m'enculent, se vident en moi. Je les suce, les boit, les avale sans brocher.

M. Attilio leur parle de ma mère, leur montre une photo prise dans notre album. Elle est en maillot de bain minimaliste sur une plage du Lavandou. Je me rappelle bien de cette photo. C'est moi qui l'ai prise. Certains des gardiens la connaissent. Ils la traite de salope, de pute avec son maillot qui ne cache rien de son anatomie. Ils m'enculent en s'imaginant le faire avec elle.

- C'est elle que tu devrais nous amener Fernand....

- Qui sait.... Un jour peut-être.... En attendant utilisez son fils....

Cela dure six mois. Six mois pendant lesquels une fois par semaine les gardiens se vident les couilles en moi.

oooOOooo

On sonne. Je vais ouvrir. Il est là.

- Allez ma poule.... Au turf....

Je suis M. Attilio. L'ascenseur stoppe au niveau habituel. Les portes s'ouvrent en chuintant. Comme d'habitude, je me débarrasse de mes vêtements. Je n'ai plus de laisse de chien.

Ils préfèrent que je porte les sous-vêtements de ma mère. J'arpente le couloir vêtu d'un slip noir en dentelle et de bas assortis. J'arrive à marcher avec des chaussures à talons hauts de ma mère.

- Tortille bien ton cul de pute... Comme ta maman.

Dans la pièce, ils ne sont que deux à nous attendre. Je sais parfaitement ce que je dois faire.

Je me mets à quatre pattes et lape mon écuelle.

Cette fois, changement de programme. Ils veulent que je mette une cagoule. Elle est noire en tissu avec deux trous devant les yeux et un devant ma bouche. J'obéis et ne dit rien. Je reste en levrette sur les vieilles couvertures.

La porte s'ouvre. Les deux autres entrent. Je ne vois rien. Je les subis dans mes trous. Ils me sodomisent, se font sucer, me fessent, dévoilent largement mon trou, y plantent leurs doigts. Je suis leur pute, leur jouet, leur trou à bitte. Ils se vidangent en moi, sur mon corps offert. Je ne vois rien. Ils partent ....

C'est la même chose le Lundi suivant mais à un moment on m'enlève la cagoule pendant que je suce en me faisant sodomiser. Les flashes crépitent rapidement en m'éblouissant. Cela dure à peine quelques secondes et on me rabat la cagoule sur la tête.

- Photo souvenir ma petit pute!

Le lundi suivant M. Attilio me tend une enveloppe.

- Ouvre.... C'est pour toi....

C'est plusieurs photos instantanées. De moi évidement. Avec et sans la cagoule. Dans toutes les positions. Y compris des gros plans de mon trou dilaté ou de ma bouche dégoulinante de sperme. C'est l'horreur. Je les laisse tomber sur le sol. Il les ramasse et les remet dans son blouson.

- Lundi prochain, tu iras là ou je te dirais.... La personne te rendra une de ces photos si tu es très gentil avec elle.....

Je l'ai fait.....

Et je le fais toujours....

Et maintenant j'aime bien....

Fin  

Bien sûr, cette histoire est une pure vue de l'esprit.....

Et doit le rester...

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  • COMMENTAIRES
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2 Commentaires
Sium38Sium38il y a environ 2 ans

Fantastique d'humiliation !

mecdualmecdualil y a plus de 2 ans

très excitant, je m'y vois presque

dommage qu’aucune suite n'ai l'air d’être prévue

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