Monsieur Attilio

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Tout ce sait dans une citée...
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M. ATTILIO

Comme tous les lundis depuis bientôt quatre ans, j'attends M.Attilio.

Je m'appelle Cédric. J'ai vingt et un ans. Je vis dans une citée de quatre grandes tours, très hautes et très peuplées. Avec tout ce qu'il faut pour ne jamais les quitter. Dans chaque tour, il y a deux couples de gardiens. Un pour chaque hall. Les femmes s'occupent des poubelles et de l'entretien courant, les hommes de la surveillance et des travaux plus lourds.

Je vis seul avec ma mère et tous les lundis, je suis libre. Je mesure un mètre soixante-dix pour soixante kilo. Autant dire que je suis pas bien épais. Je suis blond imberbe et d'un physique plutôt sympa. Je fais des études de littérature et je me débrouille assez bien. J'ai jamais eu beaucoup d'amis et depuis quatre ans, j'en ai encore moins.

Si dans un quart d'heure au maximum M. Attilio n'a pas frapper à ma porte, c'est qu'il ne viendra pas. Cela arrive quelques fois. Rarement. Depuis quatre ans, il est presque toujours venu sauf quand il est en vacance, ou nous, absents.

Je n'ai pas connu mon père. Ma mère en a chier pour arriver à son poste actuel. Responsble des ressources humaines dans une grosse boite. Autant dire que l'on se voit pas souvent. On se croise et on se fait confiance. Je dois bien reconnaître que je l'adore. Elle dit que je suis trop renfermé. Que je dois sortir, m'amuser, avoir une petite copine, faire du sport etc.... Je suppose qu'elle me dit ce que doivent dire toutes les mères à leur progéniture. Elle est fière de moi et pour rien au monde je ne voudrais lui faire du mal ou la décevoir.

M. Attilio le sait et en profite. M. Attilio est le gardien de notre hall. Sa femme et lui s'occupent de notre étage et de la surveillance de la tour de jours comme de nuit. La femme de M. Attilio fait aussi des ménages chez quelques locataires. Elle le fait chez nous deux fois par semaine.

C'est à cause d'elle que cela a commencé. Elle a écouté une de mes conversations téléphoniques sans que je m'en aperçoive et en a parlé à son mari qui s'est mis à me surveiller sans que je m'en rende compte. Je me suis douté de rien du tout. Et un lundi, il est venu.

Je me souviens parfaitement. C'était le lendemain de mes dix-huit ans. Comme d'habitude, ma mère avait quitté l'appartement vers sept heures du matin. Je me suis levé vers neuf. A dix heures on a frappé à la porte. J'ai ouvert. C'était M. Attilio.

M. Attilio est grand, gros avec un ventre énorme qui pend au-dessus de sa ceinture. Il doit avoir près de cinquante ans. Visage rougeaud, des mains poilues aux ongles cassés. Des cheveux noirs malgré son âge, rasés très courts.

Il ressemble à un ancien boxeur qui aurait trop mangé. Il est costaud, très costaud. Il a des tous petits yeux noirs très enfoncés dans le visage. Un front de brute.

Bref, M. Attilio est presque une caricature du beauf complètement taré et sans aucune culture. Il faut aussi ajouter l'odeur de sueur et de crasse ou de poubelle qui se dégage de ses vêtements.

M. Attilio savait se faire respecter et le travail fourni par ce couple était impeccable. A tel point que M. Attilio était le chef de tous les gardiens de la résidence. J'ai été assez surpris de voir sa silhouette massive occuper tout l'encadrement de l'entrée.

- Bonjours Cédric

- Bonjours M. Attilio

- Ça va?

- Euh... Oui... Oui... Et vous...

- Comme d'habitude faut faire avec...

Je comprenais pas trop ce qu'il voulait dire par là. J'attendais poliment sur le seuil qu'il me donne l'objet de sa visite. Il s'est gratté la tête de sa grosse main . Il avait l'air gêné. Je pensais qu'il souhaitait parler à ma mère.

- Ma mère n'est pas là

- C'est pas grave. C'est toi que je voulais voir.

- Moi?

- Oui.... Voilà c'est assez gênant, mais je voudrais te parler de quelque chose de particulier...

- De quoi?

- Est-ce que je peux entrer?

- Oui bien sûr... Excusez moi... Entrer... entrer... J'ai du café chaud si vous voulez...

- Je veux bien oui... J'ai rien pris de chaud depuis cinq heures du matin....

J'ai servi un café à chacun dans la cuisine. Il s'est assis, a bu quelques gorgées sans rien dire. Je commençais à m'impatienter, mais je ne laissais rien paraître. Il a commencé d'une voix hésitante.

- Voilà... Tu es à la maison tous les lundis?...

- Oui j'ai jamais cours le lundi....

- Et qu'est-ce que tu fais tous les lundis?

- Comment ça?

Il ne m'est même pas venu à l'esprit de le remettre en place en lui demandant en quoi cela le regardait. J'étais assez surpris de la question.

- Ben oui tu fais quoi tous les lundis?

- Mes devoirs et la prépa de mes cours....

Il m'a regardé d'une drôle de façon. Un regard brusquement devenu dur et très sûr de lui. Il me foutait un peu la frousse. Il avait un ton de commandement sévère et méprisant.

- Tu fais ça chez toi..... Mais à la cave.... Tu fais quoi tous les lundis?...

C'était comme si j'avais brusquement reçu le plafond sur la tête. Je le regardais complètement figé. Je sentais bien mon visage rougir. Je n'arrivais pas à articuler un seul mot. Et surtout j'avais peur. J'étais statufié, tétanisé.

Il s'est levé pour me faire face. Il me dépassait très largement. Il pouvait m'écraser sans problème. Je ne faisais pas le poids. Les boutons de sa chemise avaient du mal à contenir la taille de son ventre. On voyait du tissu blanc par les entrebâillements. J'avais pas la force de me lever de ma chaise.

- Tu réponds pas?.... Tu sais bien que j'ai toute les clefs des caves.... Ça fais presque trois mois que j'ai un œil sur toi tous les lundis matin....

J'ai brusquement eu froid. Très froid. Pourtant l'appartement était bien chauffé mais je ne portais qu'un polo et un bas de jogging quand je restais chez moi. Pas de chaussettes ni de slip. J'aimais être à l'aise dans ces fringues amples.

Il a posé sa grosse patte sur mon épaule. J'ai sursauté comme si je recevais une décharge électrique. Il a serré. Pas trop fort mais assez pour me faire mal.

- Comme dit le proverbe, qui ne dit rien consent.... J'aimerais pas devoir tout raconter à ta mère....

Malgré mes dix-huit ans tous neufs j'avais envie de pleurer. Je me sentais complètement désemparé et paniqué. Je ne savais pas quoi faire et sur le moment, j'étais piégé comme un animal dans une cage. Aucune issue. J'ai levé mon visage vers lui. Il a vu mon désarroi. Il a senti ma peur et mon abandon. Il avait un regard perçant et méchant. Aucune sympathie dans son visage. Au contraire, j'ai compris qu'il était en train de se faire plaisir. Cet homme que tous les locataires considéraient comme un larbin était en train de se venger avec moi. J'oublierai jamais le sourire méprisant qui s'est formé sur ses lèvres serrées.

- Je veux bien me taire.... Cela peut rester entre nous....

L'odeur de sueur que dégageaient ses fringues me semblait insupportable. Une odeur aigre, sale. Et ce gros ventre devant mon visage. Et ces grosses mains couvertes de poils noirs y compris sur les phalanges. Le pantalon de travail taché et très large. Les grosses chaussures jamais cirées maculées de traces de vieilles peintures séchées.

- Je sais me taire.... Tu pourras même continuer... Mais bien sûr.....

Tout était dans le "mais". Ses gros doigts boudinés ont fourragé dans mes cheveux blonds. Les ongles cassés et endeuillés ont griffé ma nuque. Je tremblais sans arrêt. J'avais la chair de poule. Il a fini son café.

- Si tu me faisais visiter ta chambre;

Bien sûr, je n'avais pas le choix. C'était un ordre. Un ton de commandement malgré la douceur de la voix. Je me suis levé. J'avais du mal à tenir debout. Il m'a laissé passer devant lui. Je ne pouvais ni penser, ni me révolter, ni même parler. J'avais même du mal à mettre un pied devant l'autre.

Jamais le couloir de l'appartement ne m'a semblé si court. C'est lui qui m'a poussé dans la chambre. Le lit était défait, la fenêtre encore fermée. Je suis resté immobile devant le lit. M. Attilio est resté derrière moi.

- On va faire un marché toi et moi..... Je vais rien dire, ni à ta mère, ni aux flics..... Je viendrais tous les lundis à la même heure......

J'ai sentis des larmes couler sur mes joues. J'étais comme dans un cauchemar. Je regardais les draps froissés de mon lit. Je devinais cette masse humaine derrière moi. J'avais du mal à comprendre ce qu'il me disait. J'avais peur.

M. Attilio m'a baissé le pantalon de jogging qui est tombé autour de mes chevilles. J'ai reniflé comme un gamin. J'avais envie d'appeler ma mère au secours.

- Tu pourras aller à la cave autant que tu veux et faire ce que tu veux.... Mais entre dix heures et midi tu es à ma disposition....

M. Attilio m'a ôté mon polo. Ses mains ont parcouru mon dos me faisant frissonner de dégoût et de honte. Elles ont pincés durement mes tétons me faisant crier de douleur.

- Pôvre chochotte vas....

Les mains sont descendues le long de mes flancs pour s'agripper à mes hanches. J'ai fermé les yeux. Je ne voulais ni voir ni être présent. Je voulais être dans un autre monde. Je voulais disparaître.

- Tu feras tout ce que je veux.... Absolument tout.....

Un de ses bras m'a ceinturé tandis que son autre mains me poussait. Il m'a collé contre son bas ventre, m'obligeant à me pencher. Je pleurais silencieusement sans aucune retenue. Le tissu rugueux de son pantalon me grattait les fesses.

M. Attilio a frotté son bas ventre contre mon derrière. Je le laissais faire. J'étais penché devant mon lit, comme une marionnette entre ses mains viriles.

- Tu sens comme elle est grosse..... C'est pas comme la tienne....

Oui je sentais la bosse dans le pantalon de M. Attilio. Je sentais aussi son odeur de vinaigre. Je sentais ma répugnance. Je sentais sa puissance de vainqueur. Je sentais ma soumission de perdant.

- Maintenant tu te débarrasses de ton pantalon et tu écartes bien les jambes..... On va faire un peu connaissance....

J'ai obéis à M. Attilio. Je savais que je n'avais pas le choix. J'acceptais d'être son prisonnier. J'acceptais son chantage. Je me sentais petit, incapable de résister. J'avais le cerveau cassé.

- Tu as un très joli derrière.... On le mangerait.....

M. Attilio a ouvert sa braguette et a dégagé son braquemart. Je ne pouvais rien voir bien sur. Mais un truc brûlant, énorme et baveux s'est promené sur mes fesses.

- T'as la peau douce.... Une peau de bébé.... Un beau petit cul bien rond et bien relevé.... Pas de poils tant mieux... On va voir ta raie maintenant....

Les grosses mains de M. Attilio couvraient toutes mes fesses. Il a mis mon sillon à nu. J'ai essuyé mes larmes qui mouillaient mes joues. Il a sifflé d'admiration. Le bout de son sexe frottait le long de ma raie.

- Tu as un tout petit trou.... Tout plissé... Avec une belle rosette..... Un vrai plaisir à regarder....

M. Attilio s'est branlé devant mon derrière. J'entendais ses halètements et ses râles de plaisir. Je sentais les mouvements de sa main sur son membre. Il avait laissé son gland entre mes fesses collé contre ma corolle.

- Ne crains rien.... Aujourd'hui, je suis juste venu marquer mon territoire...

Effectivement, il m'a marqué en jouissant sur mon dos, mes fesses et mon anus. Son sperme brûlant m'a marqué plus fort qu'un fer porté au rouge. Sa liqueur a atterri jusque sur ma nuque et sur le drap. Sa jouissance était proportionnelle à sa carrure et à sa bestialité.

- Tu restes sans bouger....

M. Attilio est parti. La porte s'est refermé et moi je suis parti dégueulé. Je me sentais souillé, avilis. Je me suis frotté de toutes mes forces sous la douche.

Je suis resté couché toute la journée. Je savais que je ne dirai rien à personne et que je serais obéissant. Je n'avais pas le choix. J'ai passé une sale semaine. Mais une seule chose comptait pour moi. C'est que personne ne sache. Et surtout pas ma mère

Le lundi suivant, mon cœur battait tellement fort, que je pensais que j'allais m'évanouir. Je n'avais pas fermé l'œil de la nuit. Je tremblais comme une feuille. J'avais peur. J'attendais M. Attilio.

On a frappé à la porte à dix heures et deux minutes, enlevant tous mes derniers espoirs. Je ne pouvais pas marcher. On a frappé plus fort. Je ne sais pas comment j'ai trouvé la force d'ouvrir. M. Attilio était devant moi. Occupant presque tout l'encadrement de la porte. Je me suis effacé pour le laisser entrer.

- Bonjour Cédric.

- Bonjour...

- Bonjour qui?

- Bonjour M. Attilio

Ma politesse avait quelque chose d'humiliant. La porte s'est refermée. Son regard s'est durci. J'ai baissé les yeux le laissant me détailler. Son examen a duré longtemps. Il y prenait plaisir.

- Tu as du café?

- Oui

Un tout petit oui. Une voix de garçonnet.

- Oui qui?

- Oui M. Attilio

- C'est bien.... Tu comprends vite... Sers-moi un café...

Dans la cuisine, il s'est assis sur la même chaise que la fois précédente. Il a vu que ma main tremblait en versant le café dans sa tasse. Il portait les mêmes fringues. La même odeur aussi.

- N'ai pas peur. J'ai jamais mangé personne tu sais... Reste debout devant moi.... Mains derrière ton dos...

Il sirotait son café à toutes petites gorgées en me regardant. J'étais très gêné. Je ne savais pas quoi faire. Je n'osais pas le regarder. Ce type me fichait la trouille. C'était plus fort que moi.

- Pourquoi t'as mis des chaussettes?..... Je parie que tu as aussi mis un slip...... C'est idiot...

Bien sûr que c'était idiot. Mais c'était ma seule défense et je me suis senti ridiculement démuni devant cette montagne de chair et de vigueur.

- Enlève tout ça..... Allez grouille.... Tu mets tout sur la table....

C'est dans la cuisine familiale, en plein jour, que je me suis déshabillé pour la première fois devant un mec. J'avais du mal à enlever mes frusques. Je respirais difficilement. J'avais la gorge nouée, des spasmes dans le ventre. J'ai déposé devant lui, mes chaussettes, ma chemise, mon polo.

- Allez fais pas ta chochotte.... Le reste....

J'ai ôté mon pantalon. Une boule me bloquait la gorge. Les larmes montaient lentement. Le désespoir aussi. Il souriait méchamment. Je suis resté en slip. J'avais mis un boxer blanc. Le vêtement me moulait trop.

- T'as raison de garder ton slip. T'es encore plus bandant la dedans....

Je suis resté devant lui le temps qu'il finisse son café. Il ne parlait pas, me regardait à peine. J'étais une chose. Un jouet. Un objet.

- Prend une chaussette et roule-la en boule.

J'ai fait ce qu'il demandait. Je tremblais toujours. J'avais une conscience aiguë de mon physique. De ma minceur, ma blondeur. De mon manque de poils. De la finesse de mon corps. J'avais honte de mon corps. J'ai roulé la chaussette en boule. J'avais froid.

- Maintenant tu la mets dans ta bouche....

M. Attilio s'est levé. J'ai ouvert grand les mâchoires. La chaussette a eu du mal à entrer. Il l'a poussée de ses gros doigts. Je ne pouvais plus fermer ma bouche. J'arrivais à respirer avec peine. Mes yeux se sont injectés de larmes.

- Lundi prochain je veux que tu ouvres la porte comme cela. En slip avec la chaussette dans la bouche....

M. Attilio m'a donné une grande claque sur les fesses. J'ai gémis de douleur. Il m'en a donné une autre, puis encore une. Le bâillon couvrait mes cries. Il s'en foutait et me tenait par le cou pour que je ne lui échappe pas.

- Penches toi sur la table....

J'ai couché mon torse maigre sur la table de la cuisine. Le dessus de la table était glacial. Je frissonnais. Mes fesses me brûlaient. Mes jambes tremblaient. Je pleurnichais sans aucune honte. Il s'est planté derrière moi.

- Montre-moi ton cul.

M. Attilio m'a baissé le boxer sous les fesses. J'avais très peur de la suite. J'ai tourné mon visage vers lui le suppliant du regard. Cela l'a fait rire. Il a commencé à ouvrir sa braguette. Je regardais terrorisé, la bouche écartelée par mon bâillon. Mais je ne bougeais pas, le torse frigorifié, collé contre le revêtement froid de la table, mes mains tétanisées sur les rebords.

Un liquide chaud à giclé sur mon slip roulé autour de mes cuisses puis est monté sur mes fesses. Le jet a aspergé toutes mes fesses avant de remonter sur mon dos. Le liquide coulait sur le carrelage de la cuisine et sur la table. Le jet a frappé ma nuque avant de redescendre le long de ma colonne vertébrale.

- La seule chose que tu mérites c'est qu'on te pisse dessus.

M. Attilio a fini d'uriner dans mes cheveux et dans ma raie du cul. Les derniers jets se sont écrasés contre mon anus. Je pleurais de honte et d'humiliation. Le sol et la table étaient trempés. Mes cheveux et tout mon corps complètement souillés d'urine. Je sanglotais dans ma chaussette.

Je ne l'ai pas entendu partir. Je suis resté sans bouger, le corps agité de spasmes incontrôlables. Je me suis traîné sous la douche. J'ai passé un temps fou à tout nettoyer dans la cuisine. L'odeur tenace de l'urine imprégnait ma peau. J'ai lavé comme un malade mon slip trempé. Mes fesses sont restées rouges toute la journée. J'ai compris que mes lundis allaient se transformer en petits enfers...

oooOOooo

M. Attilio a frappé à dix heures cinq. J'ai ouvert. Il est entré et m'a regardé d'un air satisfait. Je suis resté debout uniquement vêtu de mon boxer et ma bouche dilatée par la chaussette.

Dans la cuisine, je lui ai servi son café. Il ne parlait pas. Il a finis sa tasse. Son ventre proéminent tendait sa chemise. Ses grosses mains étaient tachées de peinture. Il a écartées ses cuisses imposantes.

- Approche....

Je suis venu debout entre ses cuisses. Je voyais le haut de son crâne. Il avait des pellicules dans les cheveux. Il m'a pincé les tétons en serrant de plus en plus fort. Je criais de douleur dans ma chaussette.

- Tu te tournes..... Tu te penches....

J'ai bien sur obéis. Il avait une vue imprenable sur mes fesses moulées dans mon boxer collant. Ses mains ont à peine effleurées mes lobes.

- Tu baisses ton slip et tu t'écartes bien les fesses que je vois ton trou....

J'ai fait glisser mon boxer le long de mes hanches puis j'ai écarté mes fesses. Je lui dévoilais mon intimité, mon sillon, et mon trou du cul. J'attendais sans bouger.

Une brusque brûlure dans mon anus. Cela dure à peine quelques secondes.

- Faut que tu apprends à être propre par là gamin....

J'ai rougi de honte. Il venait de me planter un doigt dans le cul.

- Maintenant tu te mets à quatre pattes....

M. Attilio s'est levé et a posé une de ses chaussures sur mon dos. Elle pesait très lourd. Il aurait pu m'écraser. La semelle me faisait mal. Puis il m'a donné un coup de pieds aux fesses.

- Allez tu marches à quatre pattes jusqu'à ta chambre...

M. Attilio me suivait en riant et en me donnant des petits coup de pieds. J'avançais lentement. C'est pas facile de marcher à quatre pattes. Je savais bien que mon derrière se dandinait au rythme de mon avancée. Mon slip était coincé au niveau des genoux ce qui ne facilitait pas ma progression.

- C'est bien.... Avance.... T'es une bonne chienne..... Les jeunes chiens comme toi, il faut leur apprendre tout de suite à obéir.

Dans ma chambre, M. Attilio m'a carrément porté pour me jeter sur le lit. Puis il m'a arraché le slip en le déchirant. Mon lit grinçait sous son poids. Il n'a pas enlevé ses chaussures. Il m'a retourné à plat ventre et s'est mis à genoux entre mes jambes ouvertes.

J'avais très peur de la suite et je criais dans mon bâillon. Je le suppliais. Je tournais ma tête dans tous les sens. Je battais des bras et des jambes.

Sa grosse main m'a écrasé le visage contre le matelas. J'avais un mal de chien à respirer. Je ne voulais pas . Je devinais la suite et je ne voulais pas.

Il m'a tiré les cheveux vers l'arrière m'obligeant à lever mon visage et à le tourner vers lui à la limite du supportable. Il a vu mes yeux fous et mes larmes de dépit et de peur. Ses tous petits yeux brillaient de haine. Il ricanait.

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